Vegan Impact est une association antispéciste et abolitionniste française loi de 1901 fondée en 2015, qui a pour but la promotion du véganisme, le bien être et la défense des animaux.

Vegan Impact
Logo de l’association
Cadre
Forme juridique Association loi de 1901
But Promotion du véganisme en travaillant sur trois axes majeurs : les animaux, la santé et l'environnement.
Zone d’influence Drapeau de la France France
Fondation
Fondation octobre 2015
Fondatrice Alexandra Blanc
Identité
Siège Saint-Cloud
Méthode Actions d’information, de dénonciation et de sensibilisation
Financement donations, cotisations
Membres 1000
Slogan « Soyons vegan, soyons l'impact dont notre monde a besoin. »
Site web Site officiel

Historique modifier

L'association loi de 1901 Vegan Impact a été fondée en [1] par Alexandra Blanc, à la suite de son départ du collectif 269 Life dont elle était la porte-parole durant deux années[2].

Alexandra Blanc est actuellement la présidente et la porte-parole de Vegan Impact, dont le siège social est situé à Saint-Cloud.

Objectifs modifier

Le but premier de Vegan Impact est de promouvoir le véganisme ; ses trois principaux axes de travail sont les animaux, la santé et l'environnement[1].

La finalité de l'association est l'abolitionnisme[3], à savoir une société sans consommation de produits animaux.

 
Des militants de Vegan impact défilent lors de la marche pour la fermeture des abattoirs, le à Paris

Actions de sensibilisation modifier

Manifestations devant les groupes d'intérêt modifier

Ces rassemblements prennent pour cible tout organisme ou lobby promouvant la consommation de produits animaux comme la viande, le poisson et les produits laitiers, ainsi que toute marque qui en assure la distribution.

Ces actions permettent à Vegan Impact de réaffirmer son projet d’une reconversion végétale de l’alimentation humaine auprès des organes du pouvoir, des industriels et producteurs, mais aussi d’engager un dialogue direct avec des consommateurs[4],[5].

Actions « poissonnerie et boucherie » modifier

Lors de ces actions qui sont organisées à proximité de boucheries et poissonneries, les militants de Vegan Impact vont à la rencontre directe des consommateurs, pour les sensibiliser au sort des animaux qu’ils mangent[6],[7].

Interventions et débats modifier

L'association intervient également en milieu scolaire, professionnel ou universitaire et lors de meetings écologiques, pour dresser un constat et proposer d'adopter des solutions simples, en plaçant la santé, l’environnement et les animaux au centre du débat.[réf. souhaitée]

Actions de vidéo-sensibilisation modifier

Actions « Earthlings » modifier

Lors de ces actions qui tiennent place dans le métro parisien mais également dans d’autres villes françaises et européennes, des documentaires antispécistes tels qu'Earthlings ou Dominion sont diffusés sur des écrans, afin de confronter le public à la réalité de la souffrance animale[8].

Actions « Animal moVIES » modifier

 
Comptoir d’information lors de la manifestation pour la fermeture des abattoirs du , à Paris

Durant ces actions qui tiennent place dans la rue, les militants diffusent des vidéos d’animaux utilisés dans l’industrie de l’alimentation, l’habillement, la recherche ou les activités de loisir, afin d’alerter les passants sur le sort qui est réservé à ces derniers. Un happening, avec panneaux, distribution de tracts et un comptoir d’information, vient renforcer le dispositif vidéo[8].

Dénonciation de la mise à mort des animaux modifier

Le , à l'occasion de la fête de l’Aïd el-Kébir, « une trentaine d’activistes du collectif Vegan Impact se sont fait virtuellement « égorger » sur une place parisienne pour dénoncer la mise à mort des animaux », et plus globalement le fait que « chaque jour, trois millions d’animaux sont saignés dans les abattoirs de France ». Le collectif espère ainsi en appeler au changement de modèle de la société[9].

Refuge d'animaux de ferme modifier

En 2019, Vegan Impact s'associe avec le Domaine des Douages[10][réf. nécessaire], le plus grand refuge d'animaux de ferme de France avec 850 pensionnaires[11], et accomplit le son tout premier sauvetage de deux brebis blessées destinées à l’abattoir, lesquelles purent trouver refuge dans ce sanctuaire[12][réf. nécessaire].

Références modifier

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier