Vaudricourt (Pas-de-Calais)

commune française du département du Pas-de-Calais

Vaudricourt
Vaudricourt (Pas-de-Calais)
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Jean-François Jurczyk
2020-2026
Code postal 62131
Code commune 62836
Démographie
Population
municipale
1 104 hab. (2021 en augmentation de 19,35 % par rapport à 2015)
Densité 369 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 30′ 09″ nord, 2° 37′ 33″ est
Altitude Min. 29 m
Max. 52 m
Superficie 2,99 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Béthune
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nœux-les-Mines
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Vaudricourt
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Vaudricourt
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Vaudricourt
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Vaudricourt

Vaudricourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune est de 2,99 km2 ; son altitude varie de 29 à 52 mètres[1].

Hydrographie modifier

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par trois cours d'eau :

  • le Fossé d'Avesnes, d'une longueur de 9,41 km, qui prend sa source dans la commune d'Haillicourt et se jette dans la Blanche au niveau de la commune de Béthune[3] ;
  • le Fossé des Sept, d'une longueur de 5,37 km, qui prend sa source dans la commune de Maisnil-lès-Ruitz et se jette dans le Fossé de Barlin au niveau de la commune[4] ;
  • le Château du Prieuré Saint-Pry, d'une longueur de 1,1 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le Fossé d'Avesnes au niveau de la commune de Fouquières-lès-Béthune[5].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 746 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 12 km à vol d'oiseau[8], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme modifier

 
Une entrée de la commune.

Typologie modifier

Vaudricourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[15] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béthune, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,2 %), zones urbanisées (17 %), prairies (9,8 %), forêts (9,3 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Waudrericourt (vers 1165), Waudericourt (XIIIe siècle), Waudricort & Waudricourt (XVe siècle et jusque vers la fin de l'Ancien Régime).

L'appellatif toponymique -court (> français cour) est issu du gallo-roman CŌRTE (on rencontre également cet étymon donné sous les formes cortem ou curtis dans les sources, le tout issu du latin classique cohors, cohortis), qui signifie « cour de ferme, ferme » ou encore « établissement agricole entouré d'un mur d'enceinte ».

Le premier élément Vaudri- représente le nom de personne germanique Walderic(us) / Waldric que l'on rencontre également dans Vaudricourt (Somme), Vaudrecourt (Haute-Marne), Vaudrémont (Haute-Marne, Waudrimont vers 1172), etc[21].

Histoire modifier

Vaudricourt était le siège d'une seigneurie avant la Révolution française .

Nicolas de Gennevières, d'une famille originaire de Picardie, en Artois depuis le XIVe siècle, est seigneur de Waudricourt et Courchelettes. Il a épousé Marguerite Laurie, demoiselle dudit lieu et de Courchelettes, fille de Robert Laurie, écuyer, et de Jeanne de Gonnère[22].

Antoine Ier de Gennevières, fils de Nicolas, écuyer, est seigneur de Waudricourt et Courchelette.

Charles de Gennevières, fils d'Antoine, est seigneur de Waudricourt et Courchelette, écuyer, époux de Antoinette du Mont-Saint-Éloi. En 1544, il est appelé en qualité de gentilhomme aux États d'Artois. Ses descendants vont également être convoqués à ces États, et leurs filles acceptées dans toutes les nobles abbayes de Flandre[23].

Antoine II de Gennevières dit noble homme, fils de Charles, bénéficie le , d'une exemption du droit de nouvel acquêt, (en tant que noble). Il est seigneur de Waudricourt et de Courchelettes[22].

Un de leurs descendants Antoine François de Gennevières est seigneur de Samettes (hameau de Lumbres) en 1763[23].

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités modifier

La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

Circonscriptions administratives modifier

La commune est rattachée au canton de Nœux-les-Mines.

Circonscriptions électorales modifier

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Hervé Barras    
mars 2008 2020 Roger Valet   Réélu pour le mandat 2014-2020[24],[25],[26]
23 mai 2020 En cours
(au 8 avril 2022)
Jean-François Jurczyk   Professeur des écoles[27],[28]

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 1 104 habitants[Note 3], en augmentation de 19,35 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
240293303287319323327356334
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
361377388406411394392404416
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
432427420444382353350352478
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
460454668897863867886880944
2021 - - - - - - - -
1 104--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 478 hommes pour 528 femmes, soit un taux de 52,49 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,2 
9,4 
75-89 ans
9,4 
23,9 
60-74 ans
23,6 
20,9 
45-59 ans
16,5 
19,7 
30-44 ans
18,1 
8,9 
15-29 ans
11,2 
16,9 
0-14 ans
21,0 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Site classé modifier

Un site classé ou inscrit est un espace (naturel, artistique, historique…) profitant d'une conservation en l'état (entretien, restauration, mise en valeur...) ainsi que d'une préservation de toutes atteintes graves (destruction, altération, banalisation...) en raison de son caractère remarquable au plan paysager. Un tel site justifie un suivi qualitatif, notamment effectué via une autorisation préalable pour tous travaux susceptibles de modifier l'état ou l'apparence du territoire protégé[34].

Dans ce cadre, la commune présente un site classé par arrêté du  : le gros tilleul, en bordure du chemin de la D 86 et près de son croisement avec le chemin d'Hesdigneul-lès-Boulogne[35].

Monument historique modifier

  • L'église Notre-Dame. Elle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du [36].

Autres lieux et monuments modifier

Légende modifier

L'elficologue Pierre Dubois mentionne une légende particulière à Vaudricourt, un « magnifique cheval blanc » apparut sur la place du village pendant la messe de minuit et se laissa docilement chevaucher par des enfants, tout en allongeant son dos pour que vingt d'entre eux puissent s'y placer. Lorsque la messe s'acheva, il s'élança à toute vitesse et plongea dans une mare sans fond en noyant tous ses jeunes cavaliers. Depuis, ce cheval réapparaît à chaque nuit de Noël en portant ses victimes, fait le tour du village, rejoint son point de départ à minuit et disparaît dans un gouffre[39].

Personnalités liées à la commune modifier

  • Joseph de Bretagne (1901-1986), ingénieur du son de plusieurs grands réalisateurs français y est né.

Héraldique modifier

Les armes de Vaudricourt se blasonnent ainsi :

d’or à la bande de gueules accompagnée de deux hures de sanglier de sable à dextre et d’une hure du même à senestre, au lambel de trois pendants d’azur brochant sur le tout en chef.

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé d'Avesnes (E3660642) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé des Sept (E3660672) » (consulté le )
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Château du Prieuré Saint-Pry (E3661000) » (consulté le )
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Vaudricourt et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Béthune », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 702a
  22. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 8, lire en ligne.
  23. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 98, lire en ligne.
  24. Anna Morello, « Vaudricourt : avec des tas de projets dans ses tiroirs, Roger Valet n’a aucune envie de raccrocher : Pas de suspense ici, Roger Valet sera bien candidat à sa succession aux prochaines municipales. C’est qu’à 68 ans, l’élu a encore pas mal de projets dans ses tiroirs pour ce qui serait son second mandat. Et notamment celui de terminer le gros chantier de l’école. On fait, point par point, le bilan du maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Liste des communes et des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  26. Stéphanie Leulier, « Les projets du maire de Vaudricourt : Roger Valet veut « préserver l’âme du village » : Son premier mandat a été marqué par l’école des Marcassins. Roger Valet l’annonce d’emblée : celui entamé confortera les investissements. Ce qui n’empêche pas de travailler ardemment sur une maison médicale », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  28. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vaudricourt (62836) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  34. Articles L. 341-1 à 22 du code de l'environnement
  35. « Bilans annuel de la politique de classement des sites », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  36. « Inscription de l'église Notre-Dame », notice no PA00108435, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  38. « La plaque aux morts de la paroisse », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  39. Pierre Dubois (ill. Roland et Claudine Sabatier), La Grande Encyclopédie des fées (1re éd. 1996) [détail des éditions] p. 102-103.