Varennes-sur-Morge

commune française du département du Puy-de-Dôme

Varennes-sur-Morge
Varennes-sur-Morge
L'église de Varennes-sur-Morge.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté d'agglomération Riom Limagne et Volcans
Maire
Mandat
Didier Michel
2020-2026
Code postal 63720
Code commune 63443
Démographie
Population
municipale
430 hab. (2021 en augmentation de 6,17 % par rapport à 2015)
Densité 87 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 56′ 34″ nord, 3° 11′ 16″ est
Altitude Min. 309 m
Max. 340 m
Superficie 4,93 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aigueperse
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Varennes-sur-Morge
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Varennes-sur-Morge
Liens
Site web varennes-sur-morge.fr

Varennes-sur-Morge est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme en région d'Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire urbaine de Clermont-Ferrand.

Géographie modifier

Localisation modifier

Varennes-sur-Morge est située au nord du département du Puy-de-Dôme, à 5,8 km au nord-ouest d'Ennezat[1], 8,1 km au nord-est du chef-lieu d'arrondissement Riom[2], 9,1 km au sud du bureau centralisateur de canton Aigueperse[3] et à 19,7 km du chef-lieu du département Clermont-Ferrand[4], à vol d'oiseau.

Six communes sont limitrophes[5] :

Hydrographie modifier

La commune est traversée par la Morge.

Voies de communication et transports modifier

Varennes-sur-Morge est traversée par la route départementale 211 reliant Riom (à 8 km) et Pessat-Villeneuve (à 3 km) au sud-ouest, à Sardon (3 km), Thuret (7 km), Randan (17 km) et Vichy (31 km). Elle croise la D 17, reliant à l'ouest Pontmort, hameau de l'ancienne commune de Cellule, commune déléguée de Chambaron sur Morge, et Martres-sur-Morge, Ennezat et Maringues à l'est, ainsi que la D 425, reliant Le Cheix au nord à Clerlande au sud[5].

Depuis le 3 septembre 2018, Varennes-sur-Morge est desservie par la ligne TAD 3 du réseau RLV Mobilités qui permet de se rendre à Ennezat ou aux gares de Pontmort ou de Riom, où sont possibles des correspondances avec les lignes régulières du réseau[6].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 657 mm, avec 8,8 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes à 16 km à vol d'oiseau[9], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 675,4 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Varennes-sur-Morge est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,4 %), prairies (7,3 %), zones urbanisées (5,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %), forêts (0,8 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement modifier

En 2013, la commune comptait 178 logements, contre 162 en 2008. Parmi ces logements, 90,3 % étaient des résidences principales, 4,6 % des résidences secondaires et 5,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,1 % des appartements[a 1].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 91,1 %, en hausse sensible par rapport à 2008 (90,8 %). Il n'existe aucun logement HLM loué vide[a 2].

Toponymie modifier

Histoire modifier

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

Sur le plan administratif, Varennes-sur-Morge dépendait du district de Riom puis de l'arrondissement de Riom depuis 1801, et du canton d'Ennezat de 1793[19] à mars 2015 ; à la suite du redécoupage des cantons du département, la commune est rattachée au canton d'Aigueperse[20].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1971 Joseph Dixmier CNIP Exploitant agricole
Député (1946-1962)
2008 2020 Annick Davayat[21] PS 2e vice-présidente de la communauté de communes de Limagne d'Ennezat (en 2016)[22]
2020 En cours
(au )
Didier Michel[23]   Retraité informatique[24]

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 430 habitants[Note 3], en augmentation de 6,17 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6411 0659579721 0751 0751 0661 0661 143
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1781 1181 091491491487466440410
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
387376374320295311302247215
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
213206207261282297348372402
2015 2020 2021 - - - - - -
405424430------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,2 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,9 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 205 hommes pour 206 femmes, soit un taux de 50,12 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
8,1 
75-89 ans
6,6 
16,1 
60-74 ans
13,1 
25,1 
45-59 ans
28,2 
17,1 
30-44 ans
19,7 
14,2 
15-29 ans
16,4 
19,4 
0-14 ans
16,0 
Pyramide des âges du département du Puy-de-Dôme en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
7,2 
75-89 ans
10,1 
17,7 
60-74 ans
18,4 
20,3 
45-59 ans
19,4 
18,4 
30-44 ans
17,4 
18,6 
15-29 ans
17,2 
17,1 
0-14 ans
15,4 

Enseignement modifier

Varennes-sur-Morge dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Il n'existe aucune école.

Les élèves de la commune poursuivent leur scolarité à Riom, au collège Jean-Vilar[30], puis au lycée Virlogeux (pour les filières générales et STMG) ou Pierre-Joël-Bonté (pour la filière STI2D)[31].

Économie modifier

Emploi modifier

En 2013, la population âgée de quinze à soixante-quatre ans s'élevait à 272 personnes, parmi lesquelles on comptait 81,6 % d'actifs dont 75,7 % ayant un emploi et 6 % de chômeurs[a 3].

On comptait 25 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 206, l'indicateur de concentration d'emploi est de 12,2 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 4].

184 des 206 personnes âgées de quinze ans ou plus (soit 89,1 %) sont des salariés[a 5]. 6,9 % des actifs travaillent dans la commune de résidence[a 6].

Agriculture modifier

Au recensement agricole de 2010, la commune comptait quatre exploitations agricoles. Ce nombre est en nette diminution par rapport à 2000 (9) et à 1988 (16). La commune était orientée dans[32].

La superficie agricole utilisée sur ces exploitations était de 227 hectares en 2010, dont 226 ha sont allouées aux terres labourables[32].

Entreprises modifier

Au , Varennes-sur-Morge comptait dix-sept entreprises : une dans l'industrie, quatre dans la construction, onze dans le commerce, les transports et les services divers et une dans le secteur administratif[a 7].

En outre, elle comptait dix-neuf établissements[a 8].

Commerce et services modifier

La base permanente des équipements de 2015 recense un magasin d'électroménager et de matériel audio-vidéo[33].

Tourisme modifier

Au , la commune ne comptait aucun hôtel[a 9], camping[a 10] ou autre hébergement collectif[a 11].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Château de Bénistant ou de la Roche
 
Château de Varennes
  • Église Saint-Martin, des XIIe et XIIIe siècles, inscrite aux monuments historiques en 2003[34]. L'intérieur présente des décors peints qui ont été récemment restaurés. Elle possède deux objets classés aux monuments historiques : la cloche de 1758, classée en 1917[35], et le lutrin de 1775, classé en 1908[36], ainsi qu'une pietà en bois doré du XVIIe siècle.
  • Château de la Roche, anciennement appelé château de Bénistant. Il était le siège de la seigneurie de Bénistant, qui s'étendait sur Varennes et Clerlande et qui appartenait à la veille de la Révolution à la famille Soubrany, famille de magistrats de la sénéchaussée d'Auvergne et siège présidial de Riom. Le château est constitué d'un corps de logis rectangulaire, auquel sont accolées deux tours quadrangulaires sur une façade et une tour circulaire sur la façade opposée.
  • Château de Varennes. Il a appartenu au général baron Simmer, qui le tenait par mariage de la famille Tournadre de Noaillat, famille de magistrats de Clermont et Riom.
  • Entraves à bestiaux, qui servaient au ferrage des bœufs et des chevaux.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
  2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
  3. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  4. EMP T5 – Emploi et activité.
  5. ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2013.
  6. ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
  7. DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
  8. DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
  9. TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .
  10. TOU T2 – Nombre et capacité des campings au .
  11. TOU T3 – Nombre d'autres hébergements collectifs au .
  • Autres références :
  1. « Orthodromie entre Varennes-sur-Morge et Ennezat », sur Lion 1906 (consulté le ).
  2. « Orthodromie entre Varennes-sur-Morge et Riom », sur Lion 1906 (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Varennes-sur-Morge et Aigueperse », sur Lion 1906 (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Varennes-sur-Morge et Clermont-Ferrand », sur Lion 1906 (consulté le ).
  5. a et b Carte de Varennes-sur-Morge sur Géoportail (consulté le 2 mars 2016).
  6. « RLV Mobilités 2018-2019 : Mon Guide Bus » [PDF], sur rlv-mobilites.fr (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Varennes-sur-Morge et Charmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Décret no 2014-210 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Puy-de-Dôme.
  21. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  22. « Les élus », Communauté de communes Limagne d'Ennezat (consulté le ).
  23. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme », sur amr63.asso.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ).
  24. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 36 (édition du Puy-de-Dôme).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Varennes-sur-Morge (63443) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Puy-de-Dôme (63) », (consulté le ).
  30. « SECTORISATION - DEPARTEMENT du PUY-DE-DÔME » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  31. « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  32. a et b « Données générales des exploitations ayant leur siège dans Varennes-sur-Morge commune », Ministère de l'Agriculture (consulté le ).
  33. « Base permanente des équipements : commerce » [zip], Insee, .
  34. « Église Saint-Martin », notice no PA63000064, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « cloche », notice no PM63001430, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  36. « lutrin (haut-lutrin) », notice no PM63001429, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture. Le lutrin en bois taillé est un aigle-lutrin aux ailes déployées.