Utilisateur:WikipSQ/Brouillon

https://toolbox.google.com/factcheck/explorer https://wikipedialibrary.wmflabs.org/partners/17/ Dans le contexte du [[réchauffement climatique]], l'[[érosion côtière]] devrait prendre de l'ampleur, notamment en raison de la [[Élévation du niveau de la mer|hausse mondiale du niveau marin]] et de l'augmentation de l'intensité des tempêtes, si bien que la protection au moyen de brise-lames est une réponse classiques d'[[ingénierie côtière]] (Shaw et al., 1998 ; IPCC, 2001 ; Lozano et al., 2004 ; Mörner, 2004) {{Titre mis en forme|Tombeau de {{souverain-|Napoléon Ier}}}} {{Infobox Monument}} La '''tombeau de Napoléon {{Ier}}''' est un [[monument funéraire]] placé dans une [[crypte]] à ciel ouvert aménagée à partir de 1840 par l'architecte [[Louis Visconti]] au centre du [[Hôtel des Invalides|dôme des Invalides]], pour conserver les restes de l'homme d'État français après leur [[Retour des cendres|rapatriement de Sainte-Hélène]] en [[1840 en France|1840]]. L'[[Érosion des sols|érosion accentuée des sols]] augmente le lessivage et la charge de sédiments dans les cours d'eau. Chaque année, ces cours d'eau transportent des continents aux océans une masse de sédiments de 18 milliards de tonnes Ces sédiments sont susceptibles de causer des problèmes à plusieurs espèces de poissons plus sensibles (inflammations des branchies), de colmater des frayères ou des milieux humides et de transporter plusieurs nutriments et polluants, contribuant ainsi à l’eutrophisation des plans d’eau. En fonction de leur granulométrie, les sédiments se déposeront plus en aval dans le réseau hydrographique, pouvant ainsi affecter l’écoulement normal de l’eau. Cf {{Article|langue=en|auteur=Jaia Syvitski et al.|titre=Earth’s sediment cycle during the Anthropocene|pério == Contexte == La question du [[retour des cendres]] de Napoléon et de l'abrogation des [[Loi d'exil|lois d'exil]] est évoquée à la [[Chambre des députés (monarchie de Juillet)|Chambre des députés]] dès les années 1830. La [[monarchie de Juillet]], en déficit de gloire, a en effet perçu l'engouement français pour le [[Légende napoléonienne|mythe napoléonien]] et souhaite restaurer l'image de la royauté dans un pays constamment traversé par les courants révolutionnaires. Sous Le projet de retour des cendres est une initiative du gouvernement d'[[Adolphe Thiers]] au roi [[Louis-Philippe Ier|Louis-Philippe]] dont le [[Orléanisme|régime orléaniste]] reconnaît ainsi l'héritage napoléonien. Louis-Philippe fait voter la loi du 10 juin 1840. Adoptée définitivement par les deux chambres, elle ordonne le transfert des cendres de Napoléon et la construction du tombeau de l'Empereur sous le dôme des Invalides, aux frais de l'État<ref>{{ouvrage|auteur=Jean-Marcel Humbert|titre=Napoléon aux Invalides. 1840, le retour des cendres|éditeur=Editions de l'Albaron|date=1990|passage=24-27}}</ref>. Un concours organisé pour la construction du tombeau, est présenté à partir de mai 1841<ref>{{ouvrage|auteur=|titre=Notice historique sur le palais des Beaux-Arts : exposition des projets ou plans pour le tombeau du grand Napoléon, nom des artistes admis au concours pour cet important objet, description des tableaux qui sont dans l'intérieur de l'Ecole|éditeur=Derche|date=1841|pages totales=12|lire en ligne={{Google Livres|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k63780433}}}}.</ref>. Une commission de douze membres, dirigée par le député [[Charles de Rémusat|Rémusat]], est chargée du rapport sur les 81 projets présentés. Elle énonce de nouvelles conditions en janvier 1842, {{Citation|annonçant qu'elle préférerait une crypte à l'élévation, la première propice au recueillement, la seconde impliquant un monument triomphal que le [[Gouvernement Jean-de-Dieu Soult (3)|couple Soult-Guizot]] ne souhaitait pas<ref>{{ouvrage|auteur=Thierry Lentz|titre=" « Sur les bords de la Seine… ». Histoire et secrets du tombeau de Napoléon|éditeur=Place des éditeurs|date=2023|passage=70}}.</ref>}}. Alors que le favori du public est [[Henri Labrouste]]<ref>{{Article|auteur=Martin Bressani|titre=Projet de Labrouste pour le tombeau de l'empereur Napoléon. Essai d'interprétation symbolique de l'architecture romantique|périodique=Revue de l'Art|date=1999|numéro=125|pages=54-63|url texte=https://www.persee.fr/doc/rvart_0035-1326_1999_num_125_1_348463?q=tombeau%20de%20Napol%C3%A9on%20+%20%22visconti%22}}.</ref>, la commission Rémusat retient deux projets en mars 1842 : celui de [[Victor Baltard]] et celui de [[Louis Visconti|Louis Visconti]], [[Favoritisme|candidat officieux]] du pouvoir (il est déjà l'organisateur et l'auteur des décors de la cérémonie d'accueil des Cendres)<ref>{{Chapitre|auteur1=Michael Paul Driskel|titre chapitre=Le tombeau de Napoléon, Louis Visconti créateur et administrateur |auteurs ouvrage=Françoise Hamon et Charles MacCallum (dir.)|titre ouvrage= Visconti (1791-1853)|lieu=Paris |éditeur=Délégation artistique de la Ville de Paris |année= 1991|passage=168-180 }}.</ref>. [https://www.musee-armee.fr/fileadmin-cru-1502097972/user_upload/Documents/Support-Visite-Fiches-Presentation/dome-tombes.pdf Plan du dôme des Invalides et description des tombeaux et monuments funéraires], fiche-monument du musée de l'Armée == Architecture == [[Fichier:Tomb of Napoleon Bonaparte - Crypt of Dôme des Invalides - Paris, France - 25 July 2009.jpg|vignette|Le caveau impérial sous le dôme creusé à {{Unité|6 m}} de profondeur. L'excavation circulaire mesure {{Unité|15 m}} de diamètre ({{Unité|23 m}} avec la galerie circulaire bordée d'une balustrade en marbre), et est à ciel ouvert pour que le public puisse voir au centre le tombeau sans descendre dans la crypte.]] [[Fichier:Sarcofago di scipione barbato, a forma di altare con volute ioniche, in marmo peperino, 280 ac., dal sepolcro degli scipioni sull'appia antica.jpg|vignette|Le s'inspire de celui de [[Lucius Cornelius Scipio Barbatus|Scipion barba]] : cuve à entablement (corniche) de style dorique, couvercle à volutes.]] supportée par des piliers carrés auxquels sont adossées douze figures de Victoires, sculptées par Pradier , et faisant face au tombeau . Dix bas-reliefs de Simart décorent la galerie. Sous les voûtes sont suspendues des lampe funéraires Louis Visconti choisit de réaliser le monuments funéraire en porphyres (vert et rouge), en référence aux tombeaux des empereurs romains. Les recherches de gisements antiques effectuées en Italie, en Grèce, en France, indiquent qu'ils ont disparu. Visconti envoie en exploration des savants pour trouver des équivalents (quartzite de Carélie pour le sarcophage et andésite des Vosges pour le piédestal). == Voir aussi == === Bibliographie === * {{ouvrage|langue=en|auteur=Michael Paul Driskel|titre=As Befits a Legend, Building a Tomb for Napoleon, 1840-1861|éditeur=The Kent State University Press|date=1993|pages totales=251|lire en ligne={{Google Livres|IWtfvEdLfJMC}}}} * {{Article|auteur=Jacques Touret, Andrey Bulakh. Le tombeau de Napoléon, entre pétrographie et histoire|titre=Le tombeau de Napoléon, entre pétrographie et histoire. COFRHIGEO, Troisième séri. |périodique=Travaux du Comité français d’Histoire de la Géologie|date=2016, 3ème série|tome=XXX|numéro=2|pages=65-87|url texte=https://hal.science/hal-04148287/document}} === Articles connexes === * [[Liste des monuments historiques protégés en 1862]] * [[Liste des monuments historiques du 20e arrondissement de Paris|Liste des monuments historiques du {{20e|arrondissement}} de Paris]] {{Palette|Épopée napoléonienne}} {{Portail|Paris|monuments historiques|sculpture}} [[Catégorie:Monument funéraire en France]] [[Catégorie:Oscar Wilde]] [[Catégorie:Monument historique classé en 1861]] [[Catégorie:Monument historique au Père-Lachaise]] [[Catégorie:Sculpture du XIXe siècle]] [[Catégorie:Œuvre d'art dans le 20e arrondissement de Paris]] En novembre 1520, lorsque le navigateur portugais [[Fernand de Magellan|Magellan]] passe [[Détroit de Magellan|le détroit]] à l'extrême sud de l’Amérique, il est frappé de la grande quantité de [[Feu de camp|feux de camp]] allumés sur le rivage par les indiens [[Yagans|Yámanas]] et constamment entretenus pour les réchauffer. Il nomme ce lieu « Tierra del Humo » (« Terre de Fumée »). L'écrivain [[Bruce Chatwin]]Charles Quint, à qui les expéditions de Magellan avaient été contées, pensa, en toute logique, qu’il n’y avait pas de fumée sans feu, et rebaptisa alors l’archipel « Terre de Feu ». Les noms de ''Terre des Fumées'' et ''Terre des Feux'' furent choisis par capitaine de la première expédition européenne à atteindre les îles et à traverser le [[Détroit de Magellan|détroit]] qui porte son nom, en [[1520]]. . Des feux . Les Européens surnommèrent la région “Terre de Feu” à cause des feux de camp des Yamanas qu’ils apercevaient sur le rivage Valparaiso dépositaire de la mémoire des caphorneirsAutant de fariboles plaisantes qui valent bien les sorties des hôtes fameux qui tout au long du XIXe, quand la notion de visite devint un genre littéraire, composèrent à propos du Mont un florilège de la désolation : «C'est sale» (Victor Hugo). «Un tas de cailloux» (Flaubert). «Une sublimité atroce» (Michelet). «Un morceau de sucre imbibé d'eau» https://www.liberation.fr/voyages/2005/11/12/mon-saint-michel_538800/ Dès les Mérovingiens, la plupart des rois et empereurs ont leurs maîtresses, souvent recrutées parmi parmi les filles de compagnie de leurs épouses ou concubines. Elles peuvent passer du rang de concubines à celui d'épouses et de reines [[Coutume|mariage coutumier]] . À partir du {{s-|XVI}}, on distingue entre la favorite, qui a un statut de maîtresse officielle, et les passades. dames de la cour Dames d'honneur, dames d'atour et dames du palais sont autant d'officiers de la maison de la reine qui « jouissent des dames d'atour et dames du palais sont autant d'officiers de la maison de la ... elles recevaient des gages qui s'élevaient à 1 200 livres pour une dame [[Dame de compagnie|dames d'honneur, d'atours et de compagnie]] (par ordre hiérarchique) [[Cour (palais)|cours royales]] [[secret de Polichinelle]]vêtus de robes asexuées (que les garçons gardent jusqu'à l'âge de 6-7 ans), dans une contention moindre que l'emmaillotement

Économie monastique modifier

L'édification du patrimoine foncier et immobilier (terres, granges, forêts pour le bois, carrières de pierre, champs, églises, villages, moulins, métairies) des monastères est principalement assurée par des legs, dons et donations spontanées ou sollicitées. Leurs revenus proviennent aussi des concessions de droits, taxes et redevances (revenus paroissiaux, dîmes).

de l'économie monastique puisque les communautés ont perdu une grande part de leur patrimoine. règle bénédicitne pénètre le monachisme occidental et l'emporte lentement mais sûrement sur la règle de Colomban On ne sait rien des routes empruntées par les peuples autochtones en Europe lorsque la civilisation romaine est arrivée, mais on sait que leurs relations commerciales avec les villes voisines n'avaient, en tout cas, pas l'ampleur de ce qui s'est passé plus tard sous l'Empire

Dans le monde du 21e siècle, après presque trois siècles de développement des réseaux routiers modernes en Europe, Frédéric Beigbeder lui reproche son humour « de gauche et bien-pensant », se voulant « faussement subversif », et ses cibles politiques un peu faciles[1]. https://www.google.com/search?q=%22Charline+Vanhoenacker%22+%2B+%22beigbeider%22+%2B+%22roman%22&rlz=1CAYKUD_enFR982FR982&biw=1181&bih=513&sxsrf=ALiCzsZBtpE5Q65YM0doKK-RP7zlwPq2VQ%3A1657894754864&ei=YnfRYsCgNJLyaqGmmMAM&ved=0ahUKEwjA2cCfi_v4AhUSuRoKHSETBsgQ4dUDCA4&uact=5&oq=%22Charline+Vanhoenacker%22+%2B+%22beigbeider%22+%2B+%22roman%22&gs_lcp=Cgdnd3Mtd2l6EAM6BwgAEEcQsAM6BggAEB4QDToICAAQHhAIEA06BggAEB4QFjoECCEQFUoECEEYAEoECEYYAFCqAViCK2DILGgBcAF4AIABngGIAdcOkgEENy4xMZgBAKABAcgBCMABAQ&sclient=gws-wiz L'asymétrie droite-gauche est un des caractères distinctifs de l'agencement et la structure de la plupart des organes internes et du système nerveux central des vertébrés. Elle intervient au cours de l'embryogenèse marquée par la mise en place de la symétrie bilatérale puis la perte de cette symétrie est la régle ( cœur à gauche , foie à droite La perte de la symétrie bilatérale

[[Fichier:KostrzewskiFranciszek.Grzybobranie.1860.jpg|vignette|Scène de cueillette, illustration du poème ''[[Messire Thadée|Pan Tadeusz]]'' par {{Lien|langue=en|trad=Franciszek Kostrzewski|fr=Franciszek Kostrzewski}} (vers 1860).]] Pratiquée depuis le [[Néolithique]] par les populations littorales, la '''récolte d'algues''' désigne la collecte de [[macroalgues]] en mer (pêche embarquée et mécanisée des [[goémonier]]s professionnels, qui ciblent les espèces de [[varech]]) ou à pied (récolte traditionnelle et manuelle des [[Goémon|algues de rive]]). Activité à usage domestique ou dans un but commercial, elle concerne les [[Algue alimentaire|algues utilisées dans l'alimentation]] humaine et animale mais également pour de nombreuses applications en fonction des espèces considérées ([[industrie agro-alimentaire]], santé avec notamment les [[Régime amaigrissant|régimes amaigrissants]], chimie et microbiologie). La '''collecte d'algues''' concerne également les [[mycologues]] qui déterminent les espèces au cours d'excursions mycologiques, ou encore la prospection pour la mise en marché de champignons dans des domaines innovants ({{Lien|langue=en|trad=Cosmeceutical|fr=cosméceutique}}, [[pharmaceutique]], [[nutraceutique]], etc.). [[Allégations nutritionnelles et de santé|revendiquent]] ses effets [[Minéralisation (alimentation)|reminéralisants]], {{lien|fr=Tonique à base de plantes|lang=en|trad=Herbal tonic|texte=tonifiants}}<ref>Apport d'[[acides aminés]] et de [[vitamine E]].</ref>, [[Hydratation de la peau|hydratants]] et [[émollient]]s utilisés dans des {{lien|fr=Soins personnels|lang=en|trad=Self-care|texte=soins du corps}} et [[Soin du visage|du visage]] <ref>{{ouvrage|langue=en|auteur=Se-Kwon Kim|titre=Encyclopedia of Marine Biotechnology|éditeur=Wiley|date=2020|passage=66-80}}.</ref> La collecte d’algues a deux objectifs : valoriser une ressource naturelle tout en nettoyant les plages appelée aussi '''chasse aux champignons''' ou '''récolte de champignons''', == Aspects historiques == Des traces archéologiques révèlent la == Identification == L'identification des espèces algales fait appel à trois [[Sens (physiologie)|sens]] : la vision pour déterminer leurs [[critères diagnostiques]] morphologiques (dimensions, formes et couleurs…), la [[flaveur]] (notamment la {{lien|fr=texture en bouche|lang=en|trad=Mouthfeel}} et le toucher. == Législation == Les prélèvements en grande quantité, voire la « sur-récolte », entraînent des atteintes à la [[biodiversité]], des [[Ordre public en droit français|troubles à l’ordre public]], voire des [[infraction]]s plus graves (destruction, dégradation …). La récolte des algues, qu'elle soit familiale ou commerciale, peut ainsi être réglementée<ref>{{en}} Eric Boa, {{opcit}}, p. 30-36</ref>. En [[France]], == Technique == Il est préférable de récolter les sujets assez jeunes (chair plus ferme, parfum plus agréable et saveur plus délicate), sains et entiers, les vieux étant souvent indigestes, == Notes et références == {{Références}} == Voir aussi == {{Autres projets|commons=Category:Mushroom forays}} === Articles connexes === * [[Cueillette de champignons]] * [[Phycologie]] === Liens externes === * {{Portail|phycologie|alimentation et gastronomie}} [[Catégorie:Champignon comestible|*]] [[Catégorie:Récolte]]

https://wikipedialibrary.wmflabs.org/users/my_library/ Trois questions : 1/ vous accordez la même importance dans le tableau à des classements nationaux et internationaux, cela sous-entend qu'ils ont tous la même notoriété : est-ce le cas ? 2/ vous ne détaillez pas la méthodologie de ces classements (classement de réputation ? de performance ? nombre d'indicateurs retenus ? biais dans le choix de ces indicateurs qui permet de faire tout et son contraire à chaque classement ?), cela sous-entend qu'ils ont tous la même valeur méthodologique : est-ce le cas ? 3/ D'une année à une autre, ces critères changent selon l'évolution de l'enseignement supérieur en école de commerce. Or vous ne retenez que la dernière année en cours : ne pensez-vous pas que la plus-value d'une encyclopédie (voire son WP:1er PF : serait de voir l'évolution des places des écoles, année après année, depuis l'instauration de ces classements ?

Moyen Âge modifier

L'historiographie médiévale comporte trois genres historiques principaux, les annales (récit concis et chronologique de faits jugés importants pour chaque année), les chroniques (récit sommaire et chronologique mais qui ne s'astreint pas à distinguer les faits année par année), et les histoires (récit chronologique plus détaillé, étant davantage attentif à la rhétorique Compilation (littérature). Dans les faits, leurs différences se révèlent souvent à peine perceptibles[2]. Ces trois genres ne sont pas neutres et les « historiens » médiévaux

« Le Morbihan a la réputation d’être, de tous les départements français, celui qui compte le nombre le plus élevé de monuments mégalithiques…. Cette affirmation est vraisemblablement inexacte, mais il n’en demeure pas moins vrai que » les communes de Larmor-Baden, Carnac, La Trinité-sur-Mer et Plouharnel sont particulièrement riches en mégalithes

 
Carte mondiale de la dégradation des sols établie en 2017. Selon le rapport de 2015 de la FAO et l'ITPS (en) sur l'« État des ressources du sol dans le monde », un tiers des terres arables de la planète sont plus ou moins menacées de disparaître. Les principales menaces[3] sont l'érosion des sols[4] par l'eau, le vent ou le labour, la perte de carbone organique et les déséquilibres nutritifs liés principalement au changement d'affectation des sols, ainsi qu'à l'intensification de l'agriculture et de la déforestation[5].
Dans le "positifs", il fallait entendre le contrepoids de ses positions racistes et sexistes, apports négatifs même si la condamnation morale dans la section n'est pas relevée mais implicite. Deux choses me gênent : le titre de la section : Claude Blanckaert, dans son ouvrage centré sur Broca, De la race à l'évolution: Paul Broca et l'anthropologie française (1850-1900) n'a aucun paragraphe de cet ordre, et pour cause. Il relève bien les positions racistes de Broca (qu'il condamne d'ailleurs, donc en appliquant "sur un même aspect du sujet traité, des points de vue différents existent", on pourrait ajouter cette condamnation de Blanckaert, car je vois mal un autre auteur, donner un POV positif sur ce même aspect. D'où ma réserve sur le fait d'appliquer à la lettre la phrase de cette recommandation). Mais il les nuance et surtout il montre bien que le racisme est un paradigme scientifique qui s'inscrit dans le contexte des études scientifiques sur les races. Donc avoir mis le terme raciste dans le titre de la section alors que cet ouvrage centré parle surtout de ses études sur les races relève bien selon moi du Pov. En appliquant toujours à la lettre cette recommandation, on peut alimenter les sections sur le racisme et le sexisme avec des wikinews telles que que https://www.rtbf.be/info/monde/detail_debaptiser-des-rues-c-est-effacer-les-traces-de-l-histoire-et-ca-empeche-de-faire-de-la-pedagogie-memorielle?id=10525589 ou https://www.sudouest.fr/politique/alain-rousset/bordeaux-polemique-autour-du-nom-du-neurocampus-paul-broca-chercheur-raciste-et-sexiste-1891991.php

La sobriété et la symbolique du récit des évangiles sur la crucifixion laissent place à beaucoup d'interprétation pour les artistes qui puisent dans des sources littéraires diverses (textes canoniques mais aussi apocryphes qui comblent les lacunes narratives des premiers, commentaires patristiques et médiévaux, textes liturgiques…) ou donnent libre cours à leur imagination individuelle dans ce qu'elle a de perméable voire de soumis aux besoins d'un courant artistique, d'une mode esthétique ou d'habitudes d'atelier qui fournissent des modèles au répertoire iconographique chrétien.

Des représentations de croix nues existent dès le IIe siècle mais, jusqu'au Ve siècle, celles du Christ en croix font défaut, probablement en raison du désintérêt des premiers chrétiens pour les images et le rôle qu'elles pouvaient jouer dans l'annonce de la résurrection. Cette absence s'explique sans doute aussi par le sentiment d'horreur qu'inspirait ce supplice infamant de l'esclave, aboli par l'empereur chrétien Théodose que vers 386-390 : les derniers témoins de crucifixions réelles se faisant rares, le tabou s'est levé et des artistes ont pu faire des représentations en croix symbolisant un acte de foi et de reconnaissance pour l'obéissance de Jésus à la volonté du Père, et le salut des hommes[6].

Les enjeux théologiques et culturels qui président aux choix iconographiques des artistes varient au Moyen Age marqué par cette nouvelle sensibilité religieuse : l'ignominie du supplice se transforme en adoration de la croix, symbole du . La représentation du Christus triumphans (Christ triomphant, « droit, majestueux, vêtu d'un long manteau royal, les yeux ouverts, bien vivant et vainqueur de la mort »), illustration du docétisme plus ou moins involontaire voire totalement inconscient, symbolise la victoire du Christ sur la mort. Ce motif dépourvu des marques de la douleur extrême reste le thème iconographique exclusif jusqu'au VIIIe siècle[7]. Celui de Santa Maria Antiqua (ca. 741-752) est une de premiers de ce type dans l'art monumental. Les yeux du Christ grands ouverts donnent une impression de douceur, et il est vêtu d'une tunique[8].
À cette époque, les artistes byzantins[9] introduisent le thème du Christ mort, afin de souligner sa vraie humanité et de résister à la crise iconoclaste et les courants docètes : la tête entourée du nimbe et légèrement penchée sur l'épaule, les yeux fermés du masque mortuaire, les genoux légèrement fléchis. Le supplicié est suffisamment paisible (il aigne pas ou très peu) pour qu'on le désigne de nos jours encore comme un « Christ endormi » qui va bientôt vaincre la mort[10].
Dans l'Occident chrétien, les artistes utilisent le motif iconographique du Christus triumphans jusqu'au XIIe siècle mais adoptent progressivement le modèle byzantin, développant ainsi le motif du Christus patiens (Christ résigné) caractérisé par la tête nue ou avec une couronne royale (la couronne d'épines n'apparaît qu'au XIIIe siècle lorsque Saint Louis acquiert cette relique insigne), le visage émacié, le corps légèrement arqué marqué par les pectoraux en pèlerine reliés par des stries sternales, les côtes sous-mammaires dont le gril commence très bas, les muscles effondrés de l'abdomen et les plaies saignantes (mains, pieds et flanc) montrent les déformations dues aux sévices infligés mais non des douleurs avilissantes. Ce motif prédomine jusqu'à la fin du XIIIe siècle[11].

La représentation du Christus dolens (souffrant) s'impose en Occident au XIIIe siècle. Le Christ, brisé par la souffrance, paraît désormais endurer et subir, plutôt que régner ou dormir. Sa figuration verticale laisse la place à une présentation du corps abandonné sur la croix, sans aucune tenue. Les yeux sont généralement fermés ou énucléés, la bouche figée dans un dernier cri de douleur. Les détails deviennent plus réalistes (jets de sang, rides au front, côtes saillantes, mains crispées refermées sur les clous). La valorisation de la souffrance est accentuée les siècles suivants par le développement du culte du Saint Sang et de l'Homme de douleurs. Les christs souffrants à cette époque témoignent moins de la théologie sacrificielle ou d'un goût pour le macabre apparu lors des grandes épidémies de peste noire et des ravages de la guerre de Cent Ans, que de la douleur ressentie, voire réactivée par la compassion du fidèle qui trouve sans doute un modèle consolateur pour supporter ses propres souffrances. Les illustrations du pathétique qui gagne l'expression du sentiment religieux se manifestent par la présence au pied de la croix de personnages[12] qui participent la souffrance du Christ[13]. À la Renaissance, le Christus dolens est concurrencé par des Christ sans trace de souffrance : athlétiques et à la beauté idéale, ils sont proches de la statuaire et du nu antique (crucicifiés de Raphaël, Michel-Ange, Cellini). Les artistes du Grand Siècle optent pour des crucifiés absolument seuls, la tête levée vers le ciel[14].

À partir de la grande expansion missionnaire du XVIe siècle et de son processus d'inculturation, ce thème iconographique suscite des reprises et des réinventions dans les mondes non européens alors qu'en Europe, la modernité remet en cause les codes iconographiques de la crucifixion (détournements à partir du XIXe siècle par moqueries plus ou moins injurieuses et blasphématoires[15], par substitutions ludiques, par des considérations d'ordre sociologique et politique ; expériences stylistique)[16].

Laltération de la pierre, appelée aussi mis en oeuvre dans le bâti ancien sont soumis à des altérations qui sont sous la dépendance de facteurs internes (composition chimique, porosité, perméabilité, capillarite, vitesse d'évaporation) et de facteurs externes (climatologie et pollution)

Insultes envers Zineb El Rhazoui modifier

[17],[18]

 
En position de repos, le papillon-feuille Kallima inachus simule une feuille morte[19]. Cette homotypie est « le plus merveilleux cas avéré de mimétisme défensif chez un papillon » selon le naturaliste Wallace[20].

En écologie, le cryptisme, appelé aussi mimèse cryptique ou mimétisme cryptique (du grec mimèsis, « imitation, image, portrait » etkryptos, « caché »)[21], est une stratégie adaptative qui met en œuvre une ou plusieurs modalités, grâce auxquelles un organisme se dissimule dans son environnement pour ne pas être perceptible par d'autres organismes (proie ou prédateur pour les animaux, herbivores pour les plantes. Les modalités sont des moyens morphologique (cryptisme visuel), ou physiologiques divers (mimétisme comportemental), telles que le camouflage, le comportement nocturne, la vie souterraine[22].

Le mimétisme peut être simplement évocateur, abstrait (eucryptisme) ou concret (ressemblances évidentes). Les exemples les plus emblématiques concernent le cryptisme visuel, mais il peut être aussi acoustique, chimique[23]

Le cryptisme se distingue du mimétisme phanérique (du grec phaneros, « visible ») ou trompeur dans lequel les signaux phanériques (couleurs et dessins aposématiques) jouent le rôle d'avertisseur[24].

La coloration qui sert simplement à cacher son porteur est dite procryptique quand ce porteur est une proie (par exemple la sauterelle qui présente la teinte de l'herbe pour échapper aux prédateurs) ou anticryptique quand il est un prédateur (la mante qui ressemble à la feuille ou à la fleur pour tromper sa proie)[25].

Cryptisme visuel modifier

 
Homochromie cryptique chez l'Ours polaire et ses petits.
 
Les élytres longs très larges de Zabalius aridus (sv) s'aplatissent au moment de l'immobilisation : le secret de la survie de cette sauterelle-feuille réside certainement dans son mimétisme.
 
Le cryptisme de l'isopode Idotea baltica (en) est plus obtenu par sa coloration disruptive que par sa coloration mimant le Fucus vésiculeux et ses épizoïtes (colonies blanches d'Electra crustulenta (sv) et de balanes[26].

Le cryptisme visuel peut être le résultat du conflit de forces sélectives différentes (modification de l'absorbance lumineuse, sélection sexuelle, aposématisme

Les stratégies mimétiques visuelles sont de divers types :


Cryptisme acoustique modifier

Le cryptisme acoustique le plus évident est le silence.

Les rapaces nocturnes présentent, en plus de leur coloration discrète (teinte d'écorce) et des dessins cryptiques du plumage qui favorisent la dissimulation durant le jour, plusieurs adaptations à la chasse de nuit qui permettent l'assourdissement du bruit des ailes et un vol silencieux sans vibrations ultrasoniques[33].

Dérangés, des oisillons ne piaillent plus et les oiseaux arrêtent de chanter. Dès qu'ils perçoivent un mouvement suspect, les grillons, sauterelles et criquets interrompent leur stridulation et les cigales stoppent leur cymbalisation[23].

Notes et références modifier

  1. Jérôme Dupuis, « La charge culottée de Frédéric Beigbeder contre la Matinale d'Inter », sur lexpress.fr,
  2. {{Article|auteur=Bernard Guenée|titre=Histoires, annales, chroniques. Essai sur les genres historiques au Moyen Âge|périodique=Annales|date=1973|numéro=4|pages=997-1016}.
  3. Ce rapport identifie d'autres menaces : salinisation et sodification, perte de biodiversité, contamination, acidification, compactage des sols, inondations, imperméabilisation des sols et occupation des terres. Cf (en) Orgiazzi, A., Bardgett, R.D., Barrios, E., Behan-Pelletier, V., Briones, M.J.I., et al (eds.). 2016. Global Soil Biodiversity Atlas. European Commission, Publications Office of the European Union, Luxembourg
  4. L'érosion emporte de 12 à 15 milliards de tonnes de couche superficielle par hectare et par an, soit 0,8 à 1 mm/an. 80 % des surfaces agricoles mondiales sont sujettes à une érosion forte : les taux estimés d'érosion des sols dans les terres arables ou intensivement pâturées sont 100 à 1 000 fois plus élevés que les taux d'érosion naturelle et nettement supérieurs aux taux de formation des sols. Cf (en) Montgomery, D. 2007. Soil erosion and agricultural sustainability. Proceedings of the National Academy of Sciences 104: 13268- 13272.
  5. [PDF] Rapport Status of the World's Soil Resources publié en décembre 2015 à l'occasion de la clôture de l'Année internationale des sols (en)
  6. François Bœspflug, Le Dieu des peintres et des sculpteurs. L'invisible incarné, Hazan, , p. 126
  7. Jacques de Landsberg, L'art en croix : le thème de la crucifixion dans l'histoire de l'art, Renaissance Du Livre, , p. 52.
  8. François Bœspflug, La Crucifixion dans l’art : Un sujet planétaire, Bayard, , p. 40
  9. Cette tradition byzantine est remise en cause par les artistes contemporains comme Le calvaire de Nikolaï Gay et ses représentations dépeignant le supplice dans sa dramatique réalité.
  10. François Bœspflug, La Crucifixion dans l’art : Un sujet planétaire, Bayard, , p. 157
  11. Paul Thoby, Le crucifix, des origines au concile de Trente : étude iconographique, Bellanger, , p. 38.
  12. [Category:Paintings of Crucifixion of Christ by Lucas Cranach (I) Scènes de crucifixion de Lucas Cranach]
  13. François Bœspflug, La Crucifixion dans l’art : Un sujet planétaire, Bayard, , p. 173
  14. François Bœspflug, La Crucifixion dans l’art : Un sujet planétaire, Bayard, , p. 320-350
  15. La Tentation de saint Antoine de Rops, Piss Christ de ASerrano.
  16. François Bœspflug, La Crucifixion dans l’art : Un sujet planétaire, Bayard, , p. 362-383
  17. « Insultée par Booba, Zineb El Rhazoui va porter plainte », sur lexpress.fr,
  18. « Zineb El Rhazoui porte plainte contre Booba après ses propos violents », sur leparisien.fr,
  19. Des bandes sur les ailes repliées évoquent la nervure principale et les nervures secondaires foliaires, et des taches imitent les attaques d'une rouille. Cf Lucien Chopard, Le Mimétisme : les colorations animales, dissimulation des formes et déguisements, ressemblances mimétiques, Payot, , p. 131.
  20. (en) AR Wallace, « Mimicry and other protective resemblances among animals », Westminster Foreign Q. Rev, vol. 32,‎ , p. 14
  21. Le mimétisme désigne sensu lato toute imitation d'un élément quelconque (objet inanimé ou autre espèce vivante) par une espèce. Beaucoup de biologistes n'utilisent le terme mimétisme que pour désigner les cas où une espèce en imite une autre, et mimèse ou camouflage pour les cas où il est confondu avec le milieu naturel. Le camouflage, la mimèse ou le mimétisme cryptiques sont des exemples de mimétisme grâce auquel l'organisme se dissimule. Cf Michel Boulard, Être ou ne pas être : les facettes du mimétisme, EPHE, , p. 17.
  22. Yveline Leroy, « Le mimétisme animal », La Recherche, no m45,‎ , p. 418.
  23. a et b (en) Graeme D Ruxton, « Non-visual crypsis: a review of the empirical evidence for camouflage to senses other than vision », Phil. Trans. R. Soc. B, vol. 364, no 1516,‎ , p. 549–557 (DOI 10.1098/rstb.2008.0228).
  24. Roger Caillois, Le mimétisme animal, Hachette, , p. 17.
  25. Roger Caillois, Le mimétisme animal, Hachette, , p. 12.
  26. (en) S. Merilaita, « Crypsis through disruptive coloration in an isopod », Proc Biol Sci., vol. 265, no 1401,‎ , p. 1059–1064 (DOI 10.1098/rspb.1998.0399).
  27. Lucien Chopard, op. cit., p. 22-45
  28. (en) Tim Caro, « The Adaptive Significance of Coloration in Mammals », BioScience, vol. 55, no 2,‎ , p. 5–136
  29. « Observe-moi si tu peux », sur loctopusjournal.fr, .
  30. Georges Pasteur, Le Mimétisme, Presses Universitaires de France, , p. 19.
  31. Ce corps masque aussi les nageoires dorsales dont les rayons sont transformés en dix-huit dards extrêmement venimeux.
  32. « Son pronotum reproduit une grosse épine de Rosa indica, l’unique rosier sauvage à grands piquants qui croît en Amérique centrale ». Cf Michel Boulard, « Le pronotum des Membracides : camouflage sélectionné ou orthogenèse hypertélique ? », Bulletin du Muséum national d'histoire naturelle, no 109,‎ , p. 148.
  33. Michel Juillard, Philippe Bassin, Rapaces nocturnes, Société romande pour l'étude et la protection des oiseaux, , p. 165.

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