Utilisateur:Roland45/Géologie Orléans

Cette feuille regroupe les sections « Géologie et relief » de toutes les communes situées dans la feuille 363N « Orléans » de la carte géologique.

Géologie et relief modifier

Rebréchien modifier

 
Carte géologique de la commune de Rebréchien.
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert
 ! : Gite fossilifère

Le territoire communal est situé sur le plateau Orléanais, localisé dans la partie méridionale du Bassin parisien, à la jonction de la Beauce et du Val de Loire, une zone drainée au Sud par la Loire et par ses affluents orientés Nord-Sud. Ce plateau est essentiellement constitué par des formations continentales oligo-miocènes qui reposent sur un substratum crétacé. Un calcaire lacustre aquitanien peut affleurer mais se recouvre généralement d’un manteau argilo-sableux burdigalien d'origine fluviatile. Les principaux dépôts alluvionnaires occupent les vallées[1].

Le soubassement du territoire communal est ainsi constitué par les Calcaires de Beauce, formation sédimentaire d’origine lacustre dont la partie supérieure, les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO), affleure sur une petite partie est du territoire communal, au droit du hameau l’Épineuse. Cette formation est constituée d'un calcaire beige, crème, carié, vacuolaire, dur ou marneux[2],[3]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. Des cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM, en octobre 2003. 13 ont été dénombrées sur l’ensemble de la commune. Pour la plupart (6 sur 13), ce sont des dépressions ou des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liées à l'activité karstique). Elles sont localisées principalement dans la forêt d'Orléans, à l'ouest de la commune. Trois gouffres sont signalés en forêt, de même qu'une ancienne carrière, toujours en forêt d’Orléans[4].

Les calcaires de Beauce sont recouverts par les sables de l'orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) venus combler les irrégularités sur plus de 6 m d’épaisseur, affleurant sur deux langues de territoire à l’ouest de la commune, au droit du carrefour de l’Emerillon en particulier, et sur une frange est englobant le bourg. Les sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation. Les restes de mammifères burdigaliens sont fréquents dans cette assise, notamment près des localités de Chevilly, Ingré, Rebréchien, Marigny-les-Usages, Fay-aux-Loges et à proximité. Les principales espèces rencontrées sont : des carnassiers (Amphicyon, Hyainailurus, Brachyodus onoidus), des rongeurs (Steneofiber), des suidés (Listriodon lockharti), des Anthracotheriidae (Brachyodus onoidus), des équidés (Anchitherium aurelianense), des cervidés (Palaeomeryx kaupi, Procervulus aurelianensis), des Proboscidiens (comme les éléphants actuels : Mastodon angustidens, Deinotherium cuvieri), des rhinocéridés (Rhinoceros aurelianensis)[5]. Ces terrains burdigaliens, parfois générateurs de sols hydromorphes, forment l'essentiel du substrat de la forêt d'Orléans. En période pluvieuse, ils sont engorgés et favorisent le ruissellement, mais demeurent très secs durant l’été[6].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant toute la partie centrale de la commune[7],[3].

L'altitude du territoire communal varie de 114 mètres, en limite sud-est du territoire, aux abords du moulin de l'Épinay, à 141 mètres, dans la forêt d'Orléans, au droit du carrefour du Marchais aux Prêtres[8],[9].

45308 Semoy modifier

 
Carte géologique de la commune de Semoy.
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
$ : Carrière à ciel ouvert

Le territoire communal est situé sur le plateau Orléanais, localisé dans la partie méridionale du Bassin parisien, à la jonction de la Beauce et du Val de Loire, une zone drainée au Sud par la Loire et par ses affluents orientés Nord-Sud. Ce plateau est essentiellement constitué par des formations continentales oligo-miocènes qui reposent sur un substratum crétacé. Un calcaire lacustre aquitanien peut affleurer mais se recouvre généralement d’un manteau argilo-sableux burdigalien d'origine fluviatile. Les principaux dépôts alluvionnaires occupent les vallées[1].

Le soubassement du territoire communal est ainsi constitué par les Calcaires de Beauce, formation sédimentaire d’origine lacustre dont la partie supérieure, les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO), affleure sur les flancs de la section aval de l'Égoutier. Cette formation est constituée d’un calcaire beige, crème, carié, vacuolaire, dur ou marneux[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. Des cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM, en octobre 2003. Une seule est recensée sur l’ensemble de la commune. Il s’agit d’une carrière à ciel ouvert, près du lieu-dit la Gazonnière[10].

Les calcaires de Beauce sont recouverts par les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) venus combler les irrégularités sur plus de 6 m d’épaisseur. Ils occupent une grande partie du territoire communal, principalement à l’ouest en bordure des calcaires de l’Orléanais et sur une frange ouest. Les sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant toute la partie centrale de la commune[7].

45314 Sully-la-Chapelle modifier

 
Carte géologique de la commune de Sully-la-Chapelle.
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO), affleure sur les flancs de l’Oussance dans la partie sud de la commune. Cette formation est constituée d’un calcaire beige, crème, carié, vacuolaire, dur ou marneux[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. Des cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM, en octobre 2003. Une seule doline (dépression circulaire ou elliptique liée à l'activité karstique) est recensée sur l’ensemble de la commune[12].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années), recouvrent les calcaires de Beauce et occupent principalement la partie centrale du territoire communal. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant toute la partie ouest de la commune[7].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 41 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 106 mètres à 147 mètres[13],[14].


45327 Traînou modifier

 
Carte géologique de la commune de Traînou.
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les calcaires de Pithiviers (m1CPi) et les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO), affleure sur les flancs de la Bionne dans la partie extrême nord de la commune. Cette formation est constituée d’un calcaire beige, crème, carié, vacuolaire, dur ou marneux[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 29 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003. Il s’agit d’un gouffre, localisé près du lieu-dit la Motte-Moreau, dans la partie nord de la commune, de trois carrières et de dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique)[15].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent principalement les dépressions creusées par la Crénolle et les autres petits cours d’eau. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[16].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant toute la partie centrale de la commune[7].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 37 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 107 mètres à 144 mètres[17],[18].

45333 Vennecy modifier

 
Carte géologique de la commune de Vennecy.
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les calcaires de Pithiviers (m1CPi) et les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO), affleure sur les flancs de la Bionne, en limite séparative est de la commune. Cette formation est constituée d’un calcaire beige, crème, carié, vacuolaire, dur ou marneux[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 29 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003, principalement des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique)[19].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent la quasi-totalité du territoire communal. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[16].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant toute la partie extrême nord-est de la commune[7].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 29 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 106 mètres à 135 mètres[20],[21].

45044 Bougy-lez-Neuville modifier

 
Carte géologique de la commune de Bougy-lez-Neuville.
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
( : Gouffre, aven

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO), affleure sur les flancs du Nant et dans le nord de la commune. Cette formation est constituée d’un calcaire beige, crème, carié, vacuolaire, dur ou marneux[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 25 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003, six gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique)[22].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années), recouvrent les calcaires de Beauce et occupent la partie centrale du territoire communal. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[16].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant la partie sud de la commune[7].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 28 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 116 mètres à 144 mètres[23],[24].

45072 Chanteau modifier

 
Carte géologique de la commune de Chanteau.
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant ces calcaires de Beauce, occupent les parties nord du territoire communal et sud, le long du cours d’eau le Buat. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[16]. Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant la partie centrale de la commune[7].

Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques[2]. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 27 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : neuf gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique)[25].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 29 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 109 mètres à 138 mètres[26],[27].

45034 Boigny-sur-Bionne modifier

 
Carte géologique de la commune de Boigny-sur-Bionne.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1MBI : Marnes de Blamont (Aquitanien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les calcaires de Pithiviers (m1CPi), les marnes de Blamont (m1MBI) et les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO), affleure sur les flancs de la Bionne[2]. Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent les parties est et ouest du territoire communal. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[16]. Le lit mineur de la Bionne est quant à lui constitué d'alluvions récents (Fz) datant de l'Holocène, des sables quartzeux émoussés repris des Sables de l'Orléanais sous-jacents érodés par le cours d'eau[1].

Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 29 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : neuf gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique)[28].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 23 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 98 mètres, extrémité sud de la vallée de la Bionne, à 123 mètres, près du lieu-dit Charbonnière à l'ouest de la commune[29],[30]. Le talweg du Grand Bouland, situé au nord de la commune, recueille les eaux de pluie du secteur[31].

45142 Fay-aux-Loges modifier

 
Carte géologique de la commune de Fay-aux-Loges.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)
$ : Carrière à ciel ouvert
 ! : Gite fossilifère

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les calcaires de Pithiviers (m1CPi) et les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO), affleure sur les flancs de la Oussance[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 41 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : principalement des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique)[32].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent la partie nord du territoire communal. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[16].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant la partie sud de la commune[7]. Le lit mineur de la Bionne est quant à lui constitué d'alluvions récents (Fz) datant de l'Holocène, des sables quartzeux émoussés repris des Sables de l'Orléanais sous-jacents érodés par le cours d'eau[1].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 24 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 102 mètres à 126 mètres[33],[34].

45147 Fleury-les-Aubrais modifier

 
Carte géologique de la commune de Fleury-les-Aubrais.
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les calcaires de Pithiviers (m1CPi) et les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO), constitue le substratum des lignes ferroviaires, à l’ouest de la commune [2].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent la partie centrale du territoire communal. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[16].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant la partie est de la commune[7].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 24 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 109 mètres à 133 mètres[35],[36].

45188 Loury modifier

 
Carte géologique de la commune de Loury.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les calcaires de Pithiviers (m1CPi) et les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO), affleure sur les flancs de la Bionne[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 7 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : principalement des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique) et un gouffre[37].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, bordent les formations sur lesquelles s’écoule la Bionne. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[16]. Le lit mineur de la Bionne est quant à lui constitué d'alluvions récents (Fz) datant de l'Holocène, des sables quartzeux émoussés repris des Sables de l'Orléanais sous-jacents érodés par le cours d'eau[1].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant la partie nord de la commune[7].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 44 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 108 mètres à 152 mètres[38],[39].

45197 Marigny-les-Usages modifier

 
Carte géologique de la commune de Marigny-les-Usages.
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert
 ! : Gite fossilifère

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les calcaires de Pithiviers (m1CPi) et les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO), affleure sur les flancs de la Bionne[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 22 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : un gouffre et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique) et un gouffre[40].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, bordent les formations sur lesquelles s’écoule la Bionne et occupent la partie centrale de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[16].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une frange nord-ouest de la commune[7].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 35 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 103 mètres à 138 mètres[41],[42].

45302 Saran modifier

Géologie et hydrogéologie modifier

 
Carte géologique de la commune de Saran.
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), occupe la partie centrale de la commune[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 39 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : six gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique) et un gouffre[43].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent la partie ouest de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune[7].

Sur le plan de l'hydrogéologie, la lithologie des terrains de la commune permet le développement de plusieurs formations aquifères[44] :

  • des nappes superficielles perchées associées aux sables du Burdigalien, reposant sur des lentilles marneuses. Ces nappes alimentent des émergences temporaires et des puits de subsurface souvent taris en été. Ces nappes sont soumises à des variations importantes en fonction du volume des précipitations et n'ont guère d'intérêt économique ;
  • la nappe des Calcaires de Beauce, qui s'étend sur plus de 7 500 km2 à cheval sur les bassins de la Seine et de la Loire. Cette nappe est libre au nord de la Loire, sur la majeure partie de la Beauce, mais peut devenir captive sous les formations argileuses du Burdigalien. Elle s'écoule généralement du nord vers le sud, c'est-à-dire vers la Loire, qui constitue son niveau de base. La nappe est libre sur la partie Ouest du territoire communal, puis captive sous les sables et argiles du Burdigalien, à l’est de la commune. La limite est approximativement la RD 2020.

Relief modifier

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 29 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 108 mètres, au sud de la commune au niveau du tripoint faisant limite séparative entre Saint-Jean-de-la-Ruelle, Fleury-les-Aubrais et Saran, à 137 mètres au nord-est de la commune, dans la quartier de l'Hôpitau[45],[46]. L'inclinaison générale du relief est grossièrement nord-sud, sachant que la ligne de crête principale se situe au nord-est de la commune et dans un axe nord-ouest/sud-est. Le territoire est très légèrement incliné vers la Loire, particulièrement sur la partie Sud, bien que cette pente soit peu perceptible, la déclinaison la plus sensible ayant lieu au sud de la Tangentielle. La présence de l'ancien aérodrome au cœur de la commune témoigne de son caractère extrêmement plat[47].

45089 Chécy modifier

 
Carte géologique de la commune de Chécy.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • Fy : Alluvions récentes des levées et montilles de la Loire (Holocène
  • Fw : Alluvions de haute terrasse de la Loire (Pléistocène (Riss))
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1MBI : Marnes de Blamont (Aquitanien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), occupe la partie centrale de la commune[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 39 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : six gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique) et un gouffre[48].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent la partie ouest de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2]. Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune[7].

Divers alluvions complètent cette stratigraphie géologique : des alluvions fluviatiles anciennes, les hautes terrasses de la Loire, comprises entre 10 et 30 m (Fw) et affleurant dans une grande partie nord du territoire communal, et des alluvions plus récentes, datant de l'Holocène (Fz), situées dans le lit mineur de la Bionne et de l'Oussance datant de l'Holocène, des sables quartzeux émoussés repris des Sables de l'Orléanais sous-jacents érodés par les cours d'eau, mais aussi des alluvions de la Loire (Fy) [1].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 21 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 95 mètres à 116 mètres[49],[50].

45126 Donnery modifier

 
Carte géologique de la commune de Donnery.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • Fw : Alluvions de haute terrasse de la Loire (Pléistocène (Riss))
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert
 ! : Gite fossilifère

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les calcaires de Pithiviers (m1CPi), affleure sur les flancs de la vallée de l’Oussance et du canal d’Orléans. Ceux-ci se présentent, dans leur partie supérieure, sous la forme d’un calcaire dur, beige à brun rosé, plus ou moins grumeleux et meuliérisé, dans sa partie intermédiaire, sous la forme d’un calcaire gris-bleu pisolithique et, dans sa partie basale, sous la forme d’un calcaire tendre, crème, vacuolaire et carié[5].

Sur ces mêmes flancs de l’Oussance, viennent affleurer, au-dessus de ces calcaires de Pithiviers, des marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), une formation constituée d’un calcaire beige, crème, carié, vacuolaire, dur ou marneux[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. Des cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM, en octobre 2003. 40 ont été dénombrées sur l’ensemble de la commune, dont un gouffre et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liées à l'activité karstique)[51].

Les calcaires de Beauce sont recouverts par les sables de l'orléanais ( m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) venus combler les irrégularités sur plus de 6 m d’épaisseur couvrant la majorité de la commune, englobant le bourg. Les sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune[7].

Les sables burdigaliens ont été exploités par intermittence dans plusieurs petites carrières, servant de remblais ou parfois utilisés en construction lorsqu'ils sont suffisamment purs. Les marnes de l'Orléanais furent naguère employées pour amender les sols sableux. Enfin, le calcaire de Beauce était autrefois l'objet d'intenses exploitations tant en carrière souterraine qu'à ciel ouvert, il fournissait des moellons gélifs. Aucune carrière n'est actuellement en cours d'exploitation[52].

Divers alluvions complètent cette stratigraphie géologique : des alluvions fluviatiles anciennes, les hautes terrasses de la Loire, comprises entre 10 et 30 m (Fw) et affleurant dans le sud du territoire communal, et des alluvions plus récentes, datant de l'Holocène (Fz), situées dans le fond de la vallée de l’Oussance.

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 25 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 99 mètres à 124 mètres[53],[54].

45284 Saint-Jean-de-Braye modifier

 
Carte géologique de la commune de Saint-Jean-de-Braye.

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les calcaires de Pithiviers (m1CPi), affleure sur les flancs de la vallée de la Bionne, de l'Oussance et de l'Égoutier. Ceux-ci se présentent, dans leur partie supérieure, sous la forme d’un calcaire dur, beige à brun rosé, plus ou moins grumeleux et meuliérisé, dans sa partie intermédiaire, sous la forme d’un calcaire gris-bleu pisolithique et, dans sa partie basale, sous la forme d’un calcaire tendre, crème, vacuolaire et carié[5].

Sur ces mêmes flancs de l’Oussance et de l'Égoutier, viennent affleurer, au-dessus de ces calcaires de Pithiviers, des marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), une formation constituée d’un calcaire beige, crème, carié, vacuolaire, dur ou marneux, et des marnes et calcaires de l’Orléanais (m1MBI), [2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. Des cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM, en octobre 2003. 40 ont été dénombrées sur l’ensemble de la commune, dont un gouffre et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liées à l'activité karstique)[55].

Les calcaires de Beauce sont recouverts par les sables de l'orléanais ( m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années), englobant le bourg. Les sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune[7].

Divers alluvions complètent cette stratigraphie géologique : des alluvions fluviatiles anciennes, les hautes terrasses de la Loire, comprises entre 10 et 30 m (Fw) et affleurant dans le sud du territoire communal, et des alluvions plus récentes, datant de l'Holocène (Fz), situées dans le fond de la vallée de l’Oussance.

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 32 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 95 mètres à 127 mètres[56],[57].

45301 Santeau modifier

 
Carte géologique de la commune de Santeau.
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 14 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 111 mètres à 125 mètres[58],[59].

45194 Mardié modifier

 
Carte géologique de la commune de Mardié.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • FC : Alluvions et colluvions du fond des vallées secondaires (Holocène)
  • Fy : Alluvions récentes des levées et montilles de la Loire (Holocène)
  • Fw : Alluvions de haute terrasse de la Loire (Pléistocène (Riss))
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert
 ! : Gite fossilifère

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les calcaires de Pithiviers (m1CPi) et les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), affleure sur les flancs des vallées de l'Oussance et de la Bionne[5],[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques, avec des circulations préférentielles d’eaux souterraines qui érodent ces calcaires en profondeur et peuvent entraîner la formation de dépressions, gouffre ou dolines. 18 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM, en octobre 2003 sur l’ensemble de la commune, dont un gouffre et de nombreuses dolines[40].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent la partie nord de la commune[5],[2] et par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, occupant une petite partie nord-est de la commune[7].

Diverses alluvions complètent cette stratigraphie géologique : des alluvions fluviatiles anciennes, les hautes terrasses de la Loire (Fw), affleurant sur une grande partie de la commune, et des alluvions plus récentes (Fy et Fz), datant de l'Holocène, dans les lits majeurs de la Loire et de l'Oussance.

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 27 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 97 mètres à 124 mètres[60],[61].

45062 Cercottes modifier

 
Carte géologique de la commune de Cercottes.
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), occupe la partie centrale de la commune[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 39 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : six gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique) et un gouffre[62].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent occupent la partie ouest de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune[7].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 14 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 119 mètres à 133 mètres[63],[64].

45093 Chevilly modifier

 
Carte géologique de la commune de Chevilly.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • qOE : Limons et loess quaternaires
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), occupe la partie centrale de la commune[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 39 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : six gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique) et un gouffre[65].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent la partie ouest de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune[7].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 21 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 117 mètres à 138 mètres[66],[67].

45289 Saint-Lyé-la-Forêt modifier

 
Carte géologique de la commune de Saint-Lyé-la-Forêt.
  • qOE : Limons et loess quaternaires
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), occupe la partie centrale de la commune[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 39 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : six gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique) et un gouffre[68].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent occupent la partie ouest de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune [69].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 17 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 120 mètres à 137 mètres[70],[71].

45313 Sougy modifier

 
Carte géologique de la commune de Sougy.
  • qOE : Limons et loess quaternaires
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), occupe la partie centrale de la commune[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 39 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : six gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique) et un gouffre[72].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent occupent la partie ouest de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune [69].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 13 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 121 mètres à 134 mètres[73],[74].

45154 Gidy modifier

 
Carte géologique de la commune de Gidy.
  • qOE : Limons et loess quaternaires
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), occupe la partie centrale de la commune[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 39 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : six gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique) et un gouffre[75].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent la partie ouest de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune [69].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 11 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 117 mètres à 128 mètres[76],[77].

45166 Huêtre modifier

 
Carte géologique de la commune de Huêtre.
  • qOE : Limons et loess quaternaires
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), occupe la partie centrale de la commune[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 39 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : six gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique) et un gouffre[78].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent la partie ouest de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune [69].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 18 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 116 mètres à 134 mètres[79],[80].

45169 Ingré modifier

 
Carte géologique de la commune de Ingré.
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), occupe la partie centrale de la commune[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 39 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : six gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique) et un gouffre[81].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent la partie ouest de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune [69].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 30 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 103 mètres à 133 mètres[82],[83].

45235 Ormes modifier

 
Carte géologique de la commune de Ormes.
  • qOE : Limons et loess quaternaires
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), occupe la partie centrale de la commune[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 39 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : six gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique) et un gouffre[84].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent la partie ouest de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune [69].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 25 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 106 mètres à 131 mètres[85],[86].

45285 Saint-Jean-de-la-Ruelle modifier

 
Carte géologique de la commune de Saint-Jean-de-la-Ruelle.
  • FC : Alluvions et colluvions du fond des vallées secondaires (Holocène)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), occupe la partie centrale de la commune[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 39 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : six gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique) et un gouffre[87].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent la partie ouest de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune [69].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 31 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 90 mètres à 121 mètres[88],[89].

45075 La Chapelle-Saint-Mesmin modifier

 
Carte géologique de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), occupe la partie centrale de la commune[2]. Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 177 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 dont un très grand nombre de carrières[90].

Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent la partie ouest de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune [69].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 26 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 87 mètres à 113 mètres[91],[92].

45234 Orléans modifier

 
Carte géologique de la commune de Orléans.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • Fy : Alluvions récentes des levées et montilles de la Loire (Holocène)
  • Fw : Alluvions de haute terrasse de la Loire (Pléistocène (Riss))
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1MBI : Marnes de Blamont (Aquitanien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La commune est située dans la partie méridionale du Bassin parisien, à la jonction de la Beauce et du Val de Loire, une zone drainée au Sud par la Loire et par ses affluents orientés Nord-Sud. Ce plateau est essentiellement constitué par des formations continentales oligo-miocènes qui reposent sur un substratum crétacé. Un calcaire lacustre aquitanien peut affleurer mais se recouvre généralement d’un manteau argilo-sableux burdigalien d'origine fluviatile. Les principaux dépôts alluvionnaires occupent les vallées[1].

Sur le plan géologique, la commune est décomposée en trois parties[93] :

  • le plateau orléanais, au nord, en rive droite de la Loire, où affleurent différentes formations : les calcaires de Pithiviers (m1CPi) et les marnes de Blamont (m1MBI), principalement sous le centre ancien orléanais, qui constituent la partie supérieure des calcaires de Beauce, puis, de part et d'autre, les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO) et les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années), des sables essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[16] et enfin les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d'argile verte, pure ou sableuse[7] ;
  • la plaine alluviale, qui constitue le lit majeur de la Loire, est composée d'alluvions récentes (Fy et Fz), datant de l'Holocène. Les sables de la Loire sont essentiellement constitués par des minéraux provenant de la désagrégation des roches granitiques et métamorphiques du Massif Central auxquels s'ajoutent principalement, sous forme de graviers et galets, des éléments locaux provenant de l'érosion de roches sédimentaires[1] ;
  • les limites du plateau solognot, au sud, sous le quartier Saint-Marceau, sont constituées par des alluvions plus anciennes, des alluvions de haute terrasse de la Loire (Fw), datant du Pléistocène.

Les Calcaires de Beauce, qui constituent le substratum communal, sont fragmentés et fissurés et peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’[[eaux souterraines]] érodent ces calcaires en profondeur, créant des cavités souterraines et peuvant entraîner la formation en surface de dépressions, gouffres ou dolines. 704 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003, dont un très grand nombre de carrières résultant de l'exploitation de ces calcaires, qui fournissait des moellons de bonne qualité[94],[37].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 34 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 90 mètres à 124 mètres[95],[96].

45273 Saint-Denis-de-l'Hôtel modifier

 
Carte géologique de la commune de Saint-Denis-de-l'Hôtel.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • Fw : Alluvions de haute terrasse de la Loire (Pléistocène (Riss))
  • FC : Alluvions et colluvions du fond des vallées secondaires (Holocène)
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, affleurent sur les flancs de la Lenche et d'un autre cours d'eau perpendiculaire à la Loire. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[5],[2]. Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie nord de la commune [69]. Le reste de la commune est constitué d'alluvions, principalement d'alluvions de haute terrasse de la Loire (Fw) couvrant une grande part du territoire, datant du Pléistocène (Riss), et des alluvions récentes des lits mineurs (Fz), datant de l'Holocène), dans le lit de la Loire.

Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 14 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003[90].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 27 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 97 mètres à 124 mètres[97],[98].

45300 Sandillon modifier

 
Carte géologique de la commune de Sandillon.
( : Gouffre, aven
$ : Carrière à ciel ouvert

La commune comprend une plaine alluviale comprise entre la Loire (la rive Nord est plus haute) et la Sologne, la limite sud étant sensiblement constituée par le route départementale 14. Les alluvions de cette plaine (Fy et Fz) sont récentes, datant de l'Holocène. Les sables de la Loire sont essentiellement constitués par des minéraux provenant de la désagrégation des roches granitiques et métamorphiques du Massif Central auxquels s'ajoutent principalement, sous forme de graviers et galets, des éléments locaux provenant de l'érosion de roches sédimentaires. Les limites du plateau solognot sont constituées par des alluvions plus anciennes : des alluvions de haute terrasse (Fvb) datant du Pléistocène (Minden) et des alluvions de haute et basse terrasse de la Loire (Fw et Fx), comprises entre 10 et 30 m et datant du Pléistocène[1].

Avec l'abandon des extractions de sables dans le lit mineur des cours d'eau dans les années 1990, les lits majeurs ont fait - et font encore l’objet d'une intense exploitation. La réduction des extractions dans les lits majeurs est un objectif national, ce principe étant inscrit depuis 1995 dans la circulaire qui précise les modalités d’élaboration des schémas de gestion des eaux. En région Centre-Val de Loire concernée en particulier par les extractions dans le lit majeur de la Loire, dans la continuité du protocole de « bonnes pratiques » mis en place par la Profession et les services de l'Etat en 1999, le SDAGE Loire-Bretagne 2010-2015 fixe un objectif de réduction progressive des extractions en lit majeur de 4 % par an[99]. Cet objectif est reconduit dans le SDAGE 2016-2021[100]. Plusieurs entreprises d'extraction de matériaux sont en activité dans la commune.

Le soubassement du territoire communal est constitué par les Calcaires de Beauce, formation sédimentaire d’origine lacustre[5], surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, affleurant sur une partie extrême sud de la commune[7].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 29 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 95 mètres à 124 mètres[101],[102].

45298 Saint-Pryvé-Saint-Mesmin modifier

 
Carte géologique de la commune de Saint-Pryvé-Saint-Mesmin.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • Fy : Alluvions récentes des levées et montilles de la Loire (Holocène)
$ : Carrière à ciel ouvert

La commune est entièrement dans le lit majeur de la Loire, constitué d'une plaine alluviale comprise entre la Loire au Nord et le plateau solognot au sud. Les alluvions de cette plaine (Fy et Fz) sont récentes, datant de l'Holocène. Les sables de la Loire sont essentiellement constitués par des minéraux provenant de la désagrégation des roches granitiques et métamorphiques du Massif Central auxquels s'ajoutent principalement, sous forme de graviers et galets, des éléments locaux provenant de l'érosion de roches sédimentaires[1].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 12 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 87 mètres à 99 mètres[103],[104].

45286 Saint-Jean-le-Blanc modifier

 
Carte géologique de la commune de Saint-Jean-le-Blanc.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • Fy : Alluvions récentes des levées et montilles de la Loire (Holocène
$ : Carrière à ciel ouvert

La commune est entièrement dans le lit majeur de la Loire, constitué d'une plaine alluviale comprise entre la Loire au Nord et le plateau solognot au sud. Les alluvions de cette plaine (Fy et Fz) sont récentes, datant de l'Holocène. Les sables de la Loire sont essentiellement constitués par des minéraux provenant de la désagrégation des roches granitiques et métamorphiques du Massif Central auxquels s'ajoutent principalement, sous forme de graviers et galets, des éléments locaux provenant de l'érosion de roches sédimentaires[1].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 9 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 91 mètres à 100 mètres[105],[106].

45274 Saint-Denis-en-Val modifier

 
Carte géologique de la commune de Saint-Denis-en-Val.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • Fy : Alluvions récentes des levées et montilles de la Loire (Holocène)
$ : Carrière à ciel ouvert

La commune est entièrement dans le lit majeur de la Loire, constitué d'une plaine alluviale comprise entre la Loire au Nord et le plateau solognot au sud. Les alluvions de cette plaine (Fy et Fz) sont récentes, datant de l'Holocène. Les sables de la Loire sont essentiellement constitués par des minéraux provenant de la désagrégation des roches granitiques et métamorphiques du Massif Central auxquels s'ajoutent principalement, sous forme de graviers et galets, des éléments locaux provenant de l'érosion de roches sédimentaires. Les limites du plateau solognot sont constituées par des alluvions plus anciennes : des alluvions de haute terrasse (Fvb) datant du Pléistocène (Minden) et des alluvions de haute et basse terrasse de la Loire (Fw et Fx), comprises entre 10 et 30 m et datant du Pléistocène[1].

Avec l'abandon des extractions de sables dans le lit mineur des cours d'eau dans les années 1990, les lits majeurs ont fait - et font encore l’objet d’une intense exploitation. La réduction des extractions dans les lits majeurs est un objectif national, ce principe étant inscrit depuis 1995 dans la circulaire qui précise les modalités d’élaboration des schémas de gestion des eaux. En région Centre-Val de Loire concernée en particulier par les extractions dans le lit majeur de la Loire, dans la continuité du protocole de « bonnes pratiques » mis en place par la Profession et les services de l'Etat en 1999, le SDAGE Loire-Bretagne 2010-2015 fixe un objectif de réduction progressive des extractions en lit majeur de 4 % par an[99]. Cet objectif est reconduit dans le SDAGE 2016-2021[100]. Plusieurs entreprises d'extraction de matériaux sont en activité dans la commune.

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 6 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 93 mètres à 99 mètres[107],[108].

45173 Jargeau modifier

 
Carte géologique de la commune de Jargeau.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • Fy : Alluvions récentes des levées et montilles de la Loire (Holocène)
$ : Carrière à ciel ouvert

La commune est entièrement dans le lit majeur de la Loire, constitué d'une plaine alluviale comprise entre la Loire au Nord et le plateau solognot au sud. Les alluvions de cette plaine (Fy et Fz) sont récentes, datant de l'Holocène. Les sables de la Loire sont essentiellement constitués par des minéraux provenant de la désagrégation des roches granitiques et métamorphiques du Massif Central auxquels s'ajoutent principalement, sous forme de graviers et galets, des éléments locaux provenant de l'érosion de roches sédimentaires. Les limites du plateau solognot sont constituées par des alluvions plus anciennes : des alluvions de haute terrasse (Fvb) datant du Pléistocène (Minden) et des alluvions de haute et basse terrasse de la Loire (Fw et Fx), comprises entre 10 et 30 m et datant du Pléistocène[1].

Avec l'abandon des extractions de sables dans le lit mineur des cours d'eau dans les années 1990, les lits majeurs ont fait - et font encore l’objet d’une intense exploitation. La réduction des extractions dans les lits majeurs est un objectif national, ce principe étant inscrit depuis 1995 dans la circulaire qui précise les modalités d’élaboration des schémas de gestion des eaux. En région Centre-Val de Loire concernée en particulier par les extractions dans le lit majeur de la Loire, dans la continuité du protocole de « bonnes pratiques » mis en place par la Profession et les services de l'Etat en 1999, le SDAGE Loire-Bretagne 2010-2015 fixe un objectif de réduction progressive des extractions en lit majeur de 4 % par an[99]. Cet objectif est reconduit dans le SDAGE 2016-2021[100]. Plusieurs entreprises d'extraction de matériaux sont en activité dans la commune.

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 11 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 97 mètres à 108 mètres[109],[110].

45232 Olivet modifier

 
Carte géologique de la commune d'Olivet.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • Fy : Alluvions récentes des levées et montilles de la Loire (Holocène)
  • Fw : Alluvions de haute terrasse de la Loire (Pléistocène (Riss))
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Le territoire communal peut être décomposé en deux parties : le plateau solognot, au sud du Loiret, et la plaine alluviale de la Loire au nord. Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les calcaires de Pithiviers (m1CPi) et les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO), affleure sur les flancs du plateau solognot, en rive gauche du Loiret. Cette formation est constituée d’un calcaire beige, crème, carié, vacuolaire, dur ou marneux[2]. Le reste du plateau est constitué d'alluvions de haute terrasse de la Loire (Fw), datant du Pléistocène (Riss). Le nord du territoire communal, en rive droite du Loiret appartient à la plaine alluviale de la Loiret et est composé d'alluvions récentes (Fy et (Fz), datant de l'Holocène.

Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 14 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003[90].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 20 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 89 mètres à 109 mètres[111],[112].

45100 Combleux modifier

 
Carte géologique de la commune de Combleux.
$ : Carrière à ciel ouvert

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[11],[1].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). La partie supérieure de cette formation, les calcaires de Pithiviers (m1CPi), les marnes de Blamont (mm1MBI) et les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), occupe une grande partie de la commune[2]. Ils sont recouverts sur leur partie est par des alluvions de haute terrasse de la Loire (Fw), datant du Pléistocène. Le reste du territoire communal est recouvert d'alluvions et colluvions récentes (Fz), datant de l'Holocène[113].

Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 177 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 dont un très grand nombre de carrières[114].

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 15 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 95 mètres à 110 mètres[115],[116].

Notes et références modifier

Notes modifier

Références modifier

  1. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an et ao « Notice géologique 363 N - secteur d'Orléans », sur http://ficheinfoterre.brgm.fr/, (consulté le ), p. 1 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « NoticeGéo-1 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  2. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at et au BRGM, « Carte des ressources en matériaux de la Région Centre - Elaborée dans le cadre de la révision des Schémas Départementaux des Carrières », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire, février (consulté le ), p. 89 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « DREAL-89 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
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  5. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af et ag « Notice géologique - feuille 363 N « Orléans » », sur http://ficheinfoterre.brgm.fr/ (consulté le ), p. 5 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « NoticeGéo-5 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  6. Ph Verdier, M. Ferranet, « Dossier de création de la ZAC « extension du centre et entrée nord du bourg - étude environnementale », sur le site de la préfecture du Loiret, (consulté le ), p. 37
  7. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s et t BRGM, « Carte des ressources en matériaux de la Région Centre - Elaborée dans le cadre de la révision des Schémas Départementaux des Carrières », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire, février (consulté le ), p. 87 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « DREAL-87 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  8. Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
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  16. a b c d e f g h i et j Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées DREAL-89 »
  17. Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
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