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République de Huataraque

(es) República de Huataraque

(langue non reconnue : indigène) Repp’blica de Huataraque

Devise en Indigène traditionnel : Espera é solal nos guida (« l’espoir et le soleil nous guide »)
Hymne en Indigène : Nistra guida (« Notre guide »)
Fichier:Indisponible
Fête nationale -
· Événement commémoré
Jour de l’indépendance - Naissance de Señor El Presidente
Description de l'image Huataraque Terrirory.jpg.
Administration
Forme de l'État République parlementaire (De Jure) - Dictature militaire (De Facto)
Président Elias Enrique Vázquez
Premier ministre Pablo García Rodríguez
Parlement Chambre des représentants
Langues officielles Espagnol (langue nationale) et Indigène
Capitale Manpóyas

Géographie
Superficie totale 116 041 km2
Superficie en eau négligeable
Fuseau horaire UTC + 9
Histoire
Entité précédente
Indépendance Drapeau de l'Empire espagnol Empire espagnol
Détachement
Démographie
Gentilé Huataraquet (peuple)
Population totale (2020) 8 920 543 hab.
(classé 103e)
Densité Erreur d’expression : nombre inattendu. hab./km2
Économie
PIB nominal (2020) en augmentation 59,251 milliards de $
+ 0,29 % [1]
PIB (PPA) (2020) en augmentation 102,486 milliards de $
+ 11,36 % [2]
PIB nominal par hab. (2022) en diminution 13 501,278 de $
- 0,70 %[1] (34e)
PIB (PPA) par hab. (2020) en augmentation 12 607,356 de $
+ 10,26 %[1]
Taux de chômage (2020) 9,5 % de la pop. active
- 1,4 %
Dette publique brute (2020) Nominale
5,980 milliards d'
+ 3,23 %
Relative
10,046 % du PIB
+ 6,42 %
Monnaie Peso Poya (PEP)
Développement
IDH (2020) en augmentation 0,792[3] (élevé
IDHI (2020) en augmentation 0,609[3]
Coefficient de Gini (2020) 68,4 %[4]
Indice d'inégalité de genre (2020) en stagnation 0,167
Indice de performance environnementale (2020) en stagnation 25,2
Divers
Code ISO 3166-1 HTQ, HT
Domaine Internet .ht
Indicatif téléphonique +012
Code sur plaque minéralogique HT
Organisations internationales Drapeau des Nations unies ONU

République de Huataraque modifier

La République de Huataraque (prononciation : houataraque) est un État centre américain bordant le Honduras et étant proche du Bélize et du Mexique. Cet état comptant presque 9 millions d’habitants est tristement connu par son régime actuel qui est une dictature militaire dirigé par El Presidente, Elias Enrique Vázquez, d’une main de fer depuis 17 ans.


Il possède cependant une économie forte et une des plus florissante d’Amérique centrale, prospère grâce à l’exploitation d’un minerai nommé “Bavarium” avec des propriétés énergétiques extraordinaire mais aussi par sa forte production de tabac.

Histoire modifier

Avant l’arrivée espagnole (?-1492) modifier

Huataraque avant l’arrivée des conquistador espagnol en 1492 était une nation unie autour du roi Merquisa Ier et de la divinité Feyo (“Dieu du Feu” en indigène traditionnel). Il s’agissait d’une nation très tournée vers la religion du même nom que son peuple, Tocas, qui avait une économie prospère et se développait énormément avec la construction de grandes villes et les relations commerciales crées avec ses voisins. Les Tocas étaient pendant très longtemps les maîtres de l’Amérique centrale et le faisait savoir à tous avec la construction de grandes pyramides et l’élaboration d’immenses fêtes de façon hebdomadaire dans sa capitale avec la donation d’un nombre impressionnant de richesses en tout genre.

Arrivée des espagnols | Colonisation et RFAC (1492-1839) modifier

L’arrivée des espagnols en 1492 s’est faite comme partout ailleurs en Amérique du Sud, elle s’est faite de manière épouvantable. Les conquistadors ont d’abord assassiner le Roi Tocas, puis ont pillés toutes les richesses de la capitale et ont brûlés ses principaux bâtiments. Après ce vaste carnage qui a, d’après des estimations, coûté la vie à près de 70% de la population locale. Les espagnols ont alors entamés la construction d’une quantité astronomique de forts sur les côtes pour y faire le point de passage principal avec le « Nouveau Monde ». Plusieurs siècles après, le plus grand volcan du pays le « Kira’mo » est rentré en éruption un très grands nombres de fois en très peu de temps ce qui a détruit une grande partie des postes espagnols et à faire fuir les espagnols pensant que cette éruption avait été l’œuvre d’une divinité. Suite à cela, Huataraque a été partagé en plusieurs petites nations jusqu’à être annexé par les mexicains. Une fois l’Empire Mexicain dissout, la République Fédérale d’Amérique centrale (RFAC) s’est mise en place mais a pas duré dans le temps puisqu’elle se finit en 1839, à partir de cette date où Huataraque devient une république.

Les conflits mondiaux, un berceau de prospérité (1839-1991) modifier

Depuis son indépendance vis-à-vis de la République Fédérale d’Amérique Centrale, Huataraque a connu une ère de prospérité encore plus conséquente que l’avant colonisation espagnole. Les conflits mondiaux n’ont fait qu’accroître l’économie nationale grâce aux nombreuses commandes effectuées pour son nickel et son fer, principaux matériaux pour la fabrication d’armes, de casques et de véhicules militaires. Avec cette économie en expansion le gouvernement a développé un secteur touristique concurrentiel à celui du Mexique, pourtant bien plus imposant, avec le volcan « Kira’mo », les paysages montagneux du pays, ses stations balnéaires et ses vestiges coloniaux et précolombiens en parfait état. Les États-Unis étaient d’abord les premiers clients du pays pour ses minerais et constituaient l’origine principale des touristes du pays cependant avec le changement de gouvernement de 1986, le pays décide de tourner le dos aux États-Unis pour aller dans le camp de l’Est et devient, avec Cuba et le Nicaragua, un bastion communiste en Amérique centrale. Dès lors le pays effectue sa première importante militarisation pour « se protéger de la menace impérialiste américaine ». Ainsi l’économie nationale ne se fait plus que via les aides soviétiques et les exportations de minerais vers la Russie. En 1989, des mouvements étudiants se font entendre dans les plus grandes villes du pays comme Manpóyas, Tocalis et aussi Costa de Rosa Fronte. Ces mouvements pro libérale et pour l’émancipation prennent de plus en plus d’ampleur et crée une situation de crise dans le pays avec la mise à l’arrêt de l’éducation, de la santé et de la justice. Alors le gouvernement communiste a décidé d’envoyer l’armée resoudre les manifestations mais comme on pouvait le prévoir, la situation dégénéra, l’armée usa de ses armes contre la population et faisant en l’espace de 3 semaines 2791 morts du côté des protestants. Suite à ces événements, le 26 Mars 1990 sous l’impulsion du président américain George H. W. Bush, les forces armées américaines lancent l’opération « White Spirit » et envahit le pays avec l’appuie de groupes rebelles avec l’envoie de plus de 14,000 soldats. Au total, pendant 9 mois de combats, les forces armées américaines et les rebelles réussissent à prendre le pouvoir. Un gouvernement de transition américain est mis en place jusqu’en 1993 où les États-Unis se retirent en laissant Huataraque encore dans son sang et ses flammes.

La Guerre Civile, l’arrivée d’El Presidente (1993-aujourd’hui) modifier

Après le départ américain en 1993, le pays voit défiler 5 chefs d’états en 8 ans tous finissant par démissionner en ayant volé bien sûr un peu d’argent dans les maigres caisses de l’état. Après ces 8 ans, donc en 2001, une terrible guerre civile fait son apparition et durera ainsi pendant 4 ans. Ces tristes années où les gens sont nostalgiques de l’époque de prospérité du 20e siècle. Tous les historiens s’accordent à dire que Huataraque subit à ce moment-là l’effet d’Amérique centrale en retard. Car en effet, l’Amérique centrale a subit exactement les mêmes choses (guerres civiles, instabilités politiques…) mais pendant la Guerre Froide. Cette guerre civile opposa les Forces Nationales de Révolution, la Coalition Démocratique Patriotique et l’Union Ouvrière nationale. Chacun de ses camps s’est affrontés sans relâche pendant 4 ans. Ce conflit fut le plus meurtrier de l’histoire du pays avec près de 76,000 morts au total et plus de 200,000 blessés et disparus. A l’issu de cette guerre civile se terminant par la victoire de la Coalition Démocratique Patriotique (CDP), le pays est littéralement en ruine, encore plus qu’il ne l’était après l’invasion américaine ou après la colonisation. En 2006 donc 1 ans après la Guerre civile, le Président Elias Enrique Vazquez est élu démocratiquement avec 82,91% des voix. Le peuple entier donne sa confiance à ce nouveau personnage faisant son apparition pour, selon ses dires, « sauver notre éternel patrie ». Et oui il tient sa promesse, dans les années qui suivent sont accession au pouvoir, la capitale et le pays est déjà reconstruit et l’économie se remet petit à petit avec le début de l’exploitation du « Bavarium ». Cependant, en même temps que cette reconstruction, l’armée gagne de plus en plus en puissance et les libertés réduisent énormément laissant au final qu’un seul parti politique au pouvoir dans le pays, celui du président, la CDP. Aujourd’hui le pays est un pays plutôt développé tant sur le bien social, militaire et économique mais devient de plus en plus autoritaire de part la militarisation complète du pays et bien d’autres phénomènes. Les projets du président sont cependant très populaire et il reste le président qui aura remis sur pieds la nation. Même si la majorité de la population l’approuve, quelques groupes de guérilla sont actifs mais pas si menaçant que ça malgré les attaques lâchement perpétrées contre les installations militaires.

  1. a b et c Fonds monétaire international, World Economic Outlook Database - Données pour l'année 2022.
  2. PIB à parité de pouvoir d'achat, d'après le Fonds monétaire international (FMI).
  3. a et b Rapport sur le développement humain 2021/2022 : Temps incertains, vies bouleversées : façonner notre avenir dans un monde en mutation, New York, Programme des Nations unies pour le développement, , 337 p. (ISBN 978-92-1-126452-4, lire en ligne).
  4. (en) « Gini index », sur Banque mondiale (consulté le ).

Politique modifier

Le pouvoir modifier

Huataraque est De Jure une république parlementaire avec tous ses pouvoirs indépendants du Président et tous démocratiques mais De Facto est une dictature militaire dirigée par El Presidente. La Chambre des Représentants possède un système unicameral avec un mandat de 7 pour les députés. Depuis 2006, le gouvernement de Elias Enrique Vazquez règne sur le pays avec une main de fer. Les trois pouvoirs : exécutif, législatif et la justice sont tous contrôlés par l’état et ainsi le Président dirige sans partage. L’assemblée nationale est constituée de 65 députés, tous étant du parti politique du président, la CDP. Il n’y a pas de chambre haute. Le pouvoir exécutif est principalement dirigé par le Président mais aussi, dans un système de « partage unique », le second du pays n’est pas le Premier Ministre mais le Chef des Armées. Le pouvoir de justice est représenté par le Ministre de la Justice et de l’Égalité mais toutes les peines sont appliquées par l’armée sans aucun jugement, l’armée a droit de mort sur quiconque selon l’actuelle constitution.

Les Forces Armées (FND) modifier

La force militaire de Huataraque et les FND, « Fuerza Nacionales de Defensas », Forces Nationales de Défense. Elles sont contrôlées par El Presidente et par le Général Di Ravello. Cette force militaire est divisé en 4 corps d’armées :


- Armée de Terre | 17.300 soldats

- Armée de l’Air | 2.410 soldats

- Marine de Défense Nationale | 4.860 soldats

- Police de Sûreté | 22.230 soldats | (agis en gardien de la paix et de police politique)


Ces forces sont composées au total de 46,800 soldats principalement équipés de matériels soviétiques et russes datant d’avant guerre civile et de quelques équipements américains laissés sur place après l’invasion américaine de 1990. Le budget des forces est estimé à 539 millions de Peso Poya. Les Forces disposent d’un contrôle et d’une autorité totale sur l’ensemble du pays au travers des 4 bases de commandement régional, des 13 bases militaires et des +90 postes de contrôles que possèdent l’armée, sans compter les postes de police de l’unité de Sûreté publique.

Armée de Terre modifier

Armée de l’Air modifier

Aircraft Origin Type Variant In service Notes
Avions de combat
F-5 États-Unis Intercepteur 7
Su-30 Russie Multirole 19
MiG-29 Soviet Union Multirole 6
Transport
Antonov An-26 Soviet Union Transport 2[1]
An-70 Russie Transport 5
Embraer 195 Brésil Transport VIP 1
Hélicoptères
Mil Mi-8 Union Soviétique Utilité Mi-8/17 19
Mil Mi-24 Russie Attaque Mi-35 6
Avions d’entraînement
Aero L-39 Tchécoslovaquie Entraînemen 26[1]

Economie modifier

La République d'Huataraque est une

Géographie modifier

Galeries modifier

  1. a et b « World Air Forces 2023 », Flightglobal Insight, (consulté le )