Utilisateur:LycéeZolaClémentine/Brouillon

Adolf Hennecke, 1949

Particularités artistiques et thématiques

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Un contexte découpé, un plurilinguisme et une influence turque

Malgré la diversité et la variété de ce que l'on appelle le "cinéma germano-turc", on peut repérer quelques points communs qui permettent de différencier cette catégorie du cinéma allemand et du cinéma de migrants. Certains metteurs en scène d'origine turque utilisent des thèmes typiquement allemands, mais sont quand même rangés dans la catégorie "cinéma germano turc". En effet ces metteurs en scènes montrent au travers de leurs films les différences de culture par le biais des rôles des étrangers exercés par les personnages secondaires.

Le point commun le plus visible des films turcs parlant des Turcs en Allemagne est la maitrise de différentes langues. En effet la majorité des metteurs en scène germano-turc est bilingue et parfois il est difficile de dire laquelle des deux langues est considérée comme langue maternelle. La diversité des langues, telle que l'allemand, le turc, le kurde ou l'anglais, est expliquée par les minorités d'immigrés vivant en Allemagne.

Mark Terkessidis voit dans les premiers films du cinéma germano-turc de 1998 des points communs. Le point de vue interne et subjectif des jeunes hommes qui doivent survivre dans cette culture étrangère est une des caractéristiques communes des films, ainsi que les combats menés en vain par les immigrés. C'est donc ainsi que se terminent les films le plus souvent : par la prison ou la mort du personnage principal. La subjectivité décrite par Terkessidis dans les films est à ranger dans la catégorie "Cinéma de l'autre regard" : dans les films germano-turc plus que dans les films allemands, il est question de mélanges de cultures et de rencontres. L'histoire d'une vie entre deux cultures est donnée comme tentative d'explication du phénomène. Künstlerisch-ästhetische Spezifika innerhalb des deutsch-türkischen Kinos auszumachen, ist angesichts der Fülle der vorhandenen Produktionen kaum mehr möglich. Vielmehr muss angemerkt werden, dass die Bandbreite der Stile dem Länderkino ähnlich ist: Fatih Akın zeigt sich bekanntermaßen beeinflusst vom amerikanischen Genrekino, Thomas Arslan steht in der Tradition der französischen „Nouvelle Vague“ – dies nur um die Gegensätzlichkeit allein zwischen zwei der erfolgreichsten Filmemacher aufzuzeigen. Eine spezifische Besonderheit stellt allenfalls der hier und da spürbare Einfluss der im deutschsprachigen Raum (nicht aber international) bis dahin relativ bedeutungslosen Filmkultur der Türkei auf deutsche Filmemacher türkischer Abstammung dar. Dieser macht sich am ehesten poetologisch bemerkbar.[1] So werden zum Beispiel konzeptionelle Details bezüglich der Erzählstruktur schon des ersten deutsch-türkischen Films 40 qm Deutschland als der „narrativen Vorliebe – oder Schwäche – für das türkische Melodrama entsprungen“ beschrieben.[2] Die Kenntnis des türkischen Kinos und türkischer Sehgewohnheiten wird von der heutigen Filmemachergeneration vor allem als Gewinn gesehen. Fatih Akın gibt in dem Dokumentarfilm Tagebuch eines Filmreisenden (2007) zum Beispiel an, so bei der Konzeption seiner Werke neben der deutschen und „deutsch-türkischen“ Rezeption bewusst auch eine mögliche Aufnahme in der Türkei mit berücksichtigen zu können. Dieser transnationale Ansatz begründe auch den Erfolg deutsch-türkischer Filme in weiteren Ländern.


Les comédies musicales indiennes deviennent très populaire en Allemagne pendant la croissance des deuxièmes et troisièmes générations d'immigrants turcs dans la communauté turque en Allemagne. L'influence de ces dernières sur les metteurs en scènes germano-turcs n'est actuellement pas étudiée, mais comme l'explique Fatih Akin dans son oeuvre L'Engrenage, [..] était aussi souvent comparé à un "opéra"

. Ahmet Tas est un réalisateur allemand qui a grandi pendant l'influence des comédies musicales en Allemagne. Il

La réussite du cinéma germano-turc

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A la fin de l'année 1990, de longs métrages de réalisateurs turcs trouvent leur place dans les cinémas allemands et reçoivent un accueil favorable, aussi bien de la part du public que de la critique.

Cette nouvelle génération de cinéastes rencontre un véritable succès à Hambourg et à Berlin, qui selon la rédaction de la chaine de télévision allemande ZDF, s'affirme de plus en plus.

Fatih Akin tourne son premier court métrage Turqué (en allemand Getürkt) en 1996, et achève son premier long métrage L'Engrenage (en allemand Kurz und schmerzlos) en 1998. L'Engrenage est recompensé par de nombreux prix et lui ouvre la porte à de nombreux projets à gros budget.

Yüksel Yavus sort son deuxième film Aprilkinder en 1998. Le film reçoit un tel succès que Yüksel Yavus le sort lui même sous la forme d'un enregistrement VHS.

Kutluğ Ataman réalise en 1999 le film Lola und Bilidikid grâce à la participation d'acteurs allemands et de donateurs. Lola und Bilidikid est le meilleur film du Festival du film gay et lesbien de Turin en 1999. C'est un film culte, de renommée internationale sur les migrants homosexuels à Berlin.

Thomas Arslan, réalisateur allemand d'origine turque, sort en 1998 le film Dealer, qui est la deuxième partie de sa trilogie sur les jeunes turcs de Berlin. Il est un des représentants les plus prometteurs du cinéma d'auteur allemand, et gagne un prix au Festival international du film de Berlin.

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