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Le 1er mai 2004, l'Union européenne accueillera dis nouveaux Etats membres: Chypre, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Malte, Pologne, République tchèque, Slovaquie, Slovénie. Les traités signés à Athènes le 16 avril 2003 marquent une étape importante de l'intégration européenne et l'aboutissement d'un projet ambitieux. Pour les huits pays d'Europe centrale et orientale (PECO), il s'agie d'un << retour à l'Europe >>, dont ils avaient été sérparés par la guerre froide et le rideau de fer . Ce processus d'élargissement est loin d'être achevé puisque deux nouveaux pays ont rejoint l'UE le 1er janvier 2007 tandis que de nouvelles négociations se sont ouvertes dès 2005 avec la Turquie et la Croatie et que d'autres pays manifestent, eux aussi, leurs ambitions européennes. Enfin cet élargissement annoncé coexiste avec un élargissement virtuel au pays de l'ex-yougoslavie.

L'Europe orientale

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Tout d'abord, l'immense espace de l'Europe orientale est tout d'abord caractérisé par ses faibles densités de population, avec un gradient décroissant vers le Nord. Les densités ne dépassent pas le seuil de cent habitants par km² qu'en Arménie, en Moldova, dans le bassin industriel du Donetz, en Ukraine orientale ou autour de Moscou.La prédominance des capitales nationales représente une très forte valeur. Ensuite, La moldova est devenu le pays le plus pauvre d'Europe avec son développement très tardif. L'armée russe protège tous les lieux des trafics par rapport à son économie qu'on ne peut difficilement chiffrer. Son espace méridional et de terres noires est surtout une zone d'agriculture soviétique. Puis l'Ukraine orientale, était un des pôles industriels très puissant, majeurs de l'URSS.L 'économie ukrainienne et moldave ont eu un handicap à cause des incertitudes politiques et de l'augmentation du prix des approvisionnements énergétiques russes. Mais à cela, il y a eu aussi des tensions politiques c'est à dire qu'une partie de la population moldave veut un rattachement à la Roumanie, dont leur langue sont communes ou du moins à l'Union Européenne. Cependant, les habitants de l'Ukraine occidentale, rurale, qui sont majoritairement catholiques de rite orientale ont peu de points communs avec l'Ukraine orientale, industrielle. De plus,en Russie les conditions de la transition sont mieux car on a pu compter sur les revenus de l'exportation des hydrocarbures et d'autres matières premières,qu'en Ukraine. L'insertion internationale de cette économie russe devenue la première exportatrice se trouve dans Moscou. La capitale est un ilot de prospérité au milieu d'un océan d'une économie médiocre; cela fait qu'aujourd'hui Moscou est comme une métropole coupée de son contexte régional plutôt que la tête d'un système industriel régionale complexe. La Russie méridionale a aussi moins souffert de l'exode rural(L’exode rural est le déplacement de population des zones rurales vers les zones urbaines)et de la décroissance de la population car elle a accueilli beaucoup de réfugiés russes qui ont renoncés des anciennes républiques soviétiques. Par ailleurs, la région de l'Oural garde des atouts des différentes spécialités industriel de son passée: industries métallurgiques et chimiques. Ensuite, au Nord Russe, on observe des produits plus élevés dans les zones de pétroliers ou miniers, où il y a peu de population, cela met en évidence un pays devenus périphériques. Au Tioumen, dans l'oblast ( division administrative soviétique correspondant à une région autonome dans une république fédérée ) pétrolier, les ressources pétrolières et gazières sont abondantes; par ailleurs les produits plus élevés ne se répercutent pas toujours au niveau de vie de la population car les prix à la consommation sont plus élevés, mais aussi on peut parler des conditions de vie alors on peut dire que les régions sont à bilan migratoire négatif. Enfin, la Caucase et la Transcaucasie, sont la partie de l'Europe qui a les produits par habitants les plus faibles moins encore dans les Balkans ex-yougoslaves et albanais. Les instabilités politiques et les essors mafieux n'ont pas amélioré la situation.



L'Europe centre-orientale et balkanique

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Tout d'abord,cette partie de l'Europe manque de structure métropolitaine intégrées aux réseaux mondiaux. La république tchèque, la Pologne et la Hongrie ne protègent pas de grands sièges sociaux malgré tout elles sont des relais importants dans ces réseaux car se sont les capitales les plus développés. Cependant, d'autres capitales comme (Tallinn, Riga, Bratislava, Ljubljana, Zagreb, Sofia ) coopèrent à l'insertion internationale, mais sur une pratique plus mineur.Ce niveau n'est même pas atteint dans le reste de l'ex-Yougoslavie et en Albanie, de même qu'il ne l'est non plus pour aucune ville non capitale. Prague ( la capitale de la république tchèque) est bien connectée au réseau métropolitain allemand. Puis Vienne, Bratislava et Budapest améliorent graduellement une intégration de proximité. Mais il faudra attendre longtemps pour que se développe un axe fort entre Berlin et Varsovie ou encore plus longtemps un axe entre Bucarest,Sofia et Athènes. De plus, en Pologne l'axe majeur d'intégration est dirigé nord-sud, entre Katowice/Cracovie et Varsovie, mais une partie importante des flux passe à l'ouest de la capitale, par Lodz, entre le bassin de Haute-Silésie et le port de Gdansk. Les flux ouest-est sur l'axe Berlin-Poznan-Varsovie-Brest assurent le transit entre l'Allemagne et la Russie, avec maintenant un accroissement des flux vers le nord-est, se prolongeant à travers les Pays Baltes. La séparation de cet ensemble en grandes régions s'appuie pour une large part sur l'agencement des niveaux d'intégration à l'économie européenne occidentale, qui reflète à la fois des facteurs de proximité et d'histoire du développement. Ensuite, la République tchèque, la Hongrie et la Slovénie donnent les conditions les plus favorables à l'intégration d'activités industrielles dans le régime productif ouest-européen, soit sur la racine de la transformation et de la modernisation d'entreprises, existantes durant la période socialiste, soit sur celle d'implantations nouvelles. De plus, les infrastructures sont de qualités acceptable, la main- d'œuvre industrielle est qualifiée et bon marché, les ébauches du réseau autoroutier s'ouvrent vers l'Allemagne et l'Autriche proches. Prague et Budaspest, ainsi que Bratislava sont des très importantes car c'est le point d'appui pour les activités d'encadrement et de services, de sorte que leur produit par habitant dépassent, dès à présent, le niveau moyen européen. Par ailleurs, il faut exclure les vieux bassins miniers, dont la transformation est plus difficile et où les héritages environnementaux négatifs sont les plus lourds et les répulsifs : les produits par habitant sont ainsi nettement plus faibles au Nord-ouest et le bassin silésien, partagé entre la République tchèque et la Haute-Silésie polonaise, autour de Katowice . Puis, la Hongrie transdanubienne et la région de Pécs, au sud-ouest, restent plus agricoles et l'éloignement relatif les rendent moins attractives pour les activités fortement intégrées à l'économie occidentale. En Pologne et Slovaquie le taux de chômage est plus forts que dans l'ensemble précédent, la base industrielle moins solide et surtout l'agriculture en net retard de productivité. La Slovaquie centrale et orientale partage avec l'Est de la Pologne une part importante d'activité agricole, ensuite en Pologne les attitudes protectionnistes sont forts présentes dans le paysage politique de ce pays. Après, dans les pays baltes, les trois républiques ont retrouvé leur indépendance, au moment de l'effondrement de l'Union soviétique, partagent de nombreux points communs, malgré leurs différences ethno-culturelles, ils parlent de différents langues. Ces trois pays ont un niveau de développement relatif dans le cadre soviétique. Enfin, la Roumanie et la Bulgarie ont un retard économique mais aussi un retard en termes de satisfaction aux critères sociopolitiques, normes juridiques, niveau de corruption ...