Utilisateur:लोकाः समस्ताः सुखिनो भवन्तु/Brouillon/Red Pill

Red Pill

Cadre
Forme juridique Association loi de 1901
But Reconnaissance des implications morales de la sensibilité des animaux.
Zone d’influence Drapeau de la France France
Fondation
Fondation Octobre 2018
Fondateurs William Burkhardt et Léa Dubost
Identité
Siège France
Président William Burkhardt
Vice-président Léa Dubost
Affiliation internationale anciennement affiliée à Direct Action Everywhere
Méthode Enquêtes, dossiers, campagnes d'information.
Financement Dons
Slogan « Animal Liberation Now / Until Every Animal is Free »
Site web Site officiel

Red Pill, anciennement Direct Action Everywhere France (DxE France) est une association à but non lucratif française de loi de 1901, militant pour les droits des animaux, fondée en octobre 2018 sur le modèle américain Direct Action Everywhere. Red Pill est spécialisée dans les enquêtes sur les élevages intensifs. Son objectif est de construire un mouvement capable de modifier les habitudes culturelles, tout en changeant les institutions politiques et sociales. Alors que Red Pill réclame une libération totale des animaux et la création d’une loi établissant le respect de toutes les espèces, certains dénoncent les méthodes employées par l'association, et condamnent notamment les intrusions effectuées par ses militants dans les élevages dans le but de réaliser leurs enquêtes et vidéos.

Historique modifier

 
DxE France en tournage lors d'une enquête dans un élevage intensif de cochons près de Bordeaux, en septembre 2019.

En , quelques mois après un bref passage dans le pôle « enquête » de L214[1], expérience qui les a laissés sur leur faim, William Burkhardt et Léa Dubost fondent DxE France[2], avec pour objectif de réaliser des enquêtes sur les conditions d’élevage des animaux en France et « de mettre en lumière un système de production intensif »[3].

DxE France se consacre principalement à la production de vidéos d'élevages et d'abattoirs à des fins de sensibilisation du grand public et comme moyen de pression sur les industriels, la grande distribution et la FNSEA[4], procédé qui irrite et inquiète Christiane Lambert, présidente du premier syndicat agricole français[2], qui dénonce le nombre croissant d’intrusions dans les exploitations et en appelle au premier ministre[5].

À travers ce travail d'information et de sensibilisation, DxE France espère à terme changer les législations françaises et européennes en faveur du bien-être animal, et responsabiliser le grand public quant à sa façon de consommer.

En , l'association change son nom pour « Red Pill »[6],[7].

Le , alors que le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner annonce la mise en place d'une cellule Demeter à la Direction générale de la gendarmerie nationale, dédiée au « suivi des atteintes au monde agricole », qui cible en priorité les militants pro-animaux qui s’introduisent dans les élevages, William Burkhardt, président de Red Pill, assure que l'association poursuivra ses enquêtes[7].

Enquêtes modifier

 
William Burkhardt et Hugo Clément en tournage dans un élevage intensif de cochons, dans l'Ain, en octobre 2019.

En , Red Pill revendique la publication de quarante enquêtes réalisées en élevages et abattoirs à travers la France et ayant généré environ 40 millions de vues sur internet[7],[8], dans lesquels elle dénonce les conditions déplorables dans lesquelles les animaux sont détenus[1]. L'association a également collaboré avec de nombreux journalistes et personnalités telles que Stomy Bugsy, Hugo Clément[9], et le député Bastien Lachaud[10].

Label Rouge et Carrefour modifier

En janvier 2018, William Burkhardt et Léa Dubost réalisent une vidéo dans un élevage de volailles bénéficiant du Label Rouge et fournisseur de l'enseigne Carrefour. Les images sont finalement diffusées en octobre 2018, en raison d'un long travail de coordination avec L214. L'éleveur conteste les images de poulets morts et évoque une « manipulation »[11].

McDonald’s modifier

Au mois d’avril 2019, DxE France organise une enquête au sein d’un élevage intensif de volailles dont la viande est notamment destinée à McDonald’s. L’association est accompagnée d’Hugo Clément qui réalise une enquête sur « La face cachée des nuggets ». Le journaliste et les activistes dénoncent les conditions de vie des « milliers de poulets mal en point, entassés dans un espace confiné, sans accès à l’extérieur »[12].

Fleury Michon modifier

 
Le député Bastien Lachaud a participé à une action de DxE France en mai 2019.

En mai 2019, les militants, accompagnés du député de La France Insoumise, Bastien Lachaud[10], filment l'intérieur d'un élevage fournisseur de Fleury Michon. Le parlementaire et les activistes antispécistes dénoncent la volonté de « produire moins cher, plus vite, dans n'importe quelles conditions au détriment des animaux, des hommes, de la nature et du climat »[3]. C'est la première fois en France qu'un homme politique s'engage dans une action militante illégale afin de montrer les réalités d'une industrie aussi opaque. L'affaire a été reprise par plusieurs journaux nationaux et régionaux[13]'[14]. À la suite de cette vidéo, le Ministre de l'Agriculture, furieux contre les antispécistes, prend la parole à l'Assemblée Nationale et déclare : « Soyez assurés que le gouvernement est très présent sur ce dossier et la sévérité sera de mise. »[15]'[16]. De son côté, DxE France déclare dans le journal l'Express : « Notre but n'est pas de montrer du doigt un éleveur en particulier mais de mettre en lumière un système de production intensif. »[17].

Une vidéo a également été tournée dans un autre élevage Fleury Michon[18], et cette fois-ci l'éleveur mayennais a été filmé en caméra cachée afin de démontrer le caractère mensonger du slogan « Venez vérifier » qu'utilise la marque[19]. Le slogan signifierait en fait : « Venez vérifier sur le site internet » selon les dires de l'éleveur ayant aussi participé à un spot publicitaire pour la marque [20],[21],[22]. Au sujet de cette enquête, l'association déclare à l'Actu : « Les industriels mentent aux consommateurs depuis des années et leurs mensonges deviennent de plus en plus gros. Ce sont eux qui exploitent les paysans et les poussent vers des systèmes de production de plus en plus nocifs pour l’environnement, les animaux et la santé des consommateurs. »[23].

Un abattoir certifié "bio" modifier

 
Stomy Bugsy a présenté et commenté la vidéo tournée dans l'abattoir bio d'Andrézieux-Bouthéon en juin 2019.

En juin 2019, DxE France diffuse une vidéo présentée et commentée par Stomy Bugsy, végan engagé[24], tournée dans l'abattoir bio d'Andrézieux-Bouthéon. Cette vidéo, qui suscite dès sa diffusion, de vives réactions du monde agricole[25], montre des moutons, agneaux, chèvres, porcs et porcelets égorgés, tandis que certains d'entre eux tentent de s'échapper en voyant leurs congénères tués. Selon Stomy Bugsy, « les procédures qui y sont appliquées sont des pratiques standard et en grande partie conformes à la réglementation »[24].

L'association 30 Millions d'Amis exprime son soutien à DxE France en publiant un article sur cette enquête et en demandant son avis à un professeur de l'école vétérinaire de Maison Alfort, à propos des images tournées. Celui-ci a déclare : « Le matériel de contention n'est pas adapté […] ; l'électronarcose est insuffisante puisque les animaux reprennent conscience pendant la saignée quand ils sont suspendus ; il y a manifestement mauvais traitement des animaux et des actes de cruauté en particulier sur les porcs. »[26].

De son côté, le président de l'abattoir déclare à Paris Match : « Je suis très surpris car il y a une semaine, j’ai été contacté par la FNAB (Fédération d’Agriculture Biologique) et l’IFIP (Institut du Porc Recherche et Expertise pour la filière porcine), ils me félicitaient pour nos procédés exemplaires. Nous n’avons jamais connu de problèmes : toutes les précautions sont renforcées avec notamment la mise en place du double étourdissement. De nombreux investissements ont été réalisés dans les pièges porcs et agneaux qui doivent fonctionner parfaitement, tout comme les pinces à électronarcose dont le montant s’élève à 20 000 € l’une. »[27].

Herta modifier

En juin 2019, Direct Action Everywhere France publie une vidéo tournée dans une exploitation porcine affiliée à Herta, avec le soutien de Franck Pierrot, ex-commandant d'un groupe opérationnel du GIGN. Les défenseurs des droits des animaux dénoncent les conditions d’élevage et tout particulièrement la castration à vif des porcelets, dont plusieurs souffrent de complications liées à cette opération, alors qu’ils sont engraissés au milieu de leurs déjections[28].

Commerce de la viande de chien en Chine modifier

 
Chien préparé pour la consommation, quelque part en Chine en 2008.

En , William Burkhardt et Léa Dubost enquêtent sur les conditions d’élevage et de vente de chiens destinés à la consommation en Chine. Ils participent à l’initiative de faire adopter en France neuf chiens sauvés du festival de Yulin où ils devaient être abattus et mangés.[29],[30],[31].

Cochonou modifier

Entre juin et août 2019, DxE France publie deux enquêtes menées dans deux élevages Cochonou [32],[33]. Les lanceurs d'alerte y dénoncent les conditions de vie des animaux (blessés, handicapés, et parfois morts) [34],[32],[35]. William Burkhardt déclare à Ouest France au sujet de l'élevage Cochonou de Vendée : « Contrairement à L214, on cible des marques connues pour dénoncer leur fausse transparence. »[36].

L'éleveur, quant à lui, dément et justifie les images par l'utilisation d'effets spéciaux : « Des images sont sorties de leur contexte et d’autres n’ont pas été tournées chez moi. C’est un trucage qui ne cherche qu’à choquer les gens. J’élève mes cochons en partie sur paille, conformément au cahier des charges Label rouge, souligne-t-il. Notre charte de qualité inclut le respect et le bien-être des animaux. Si l’un est blessé, on le déplace à l’infirmerie. On utilise des antidouleur quand on fait des soins, etc. Et les éleveurs de nos quatre coopératives associées continuent à avancer sur la question. »[36].

KFC modifier

En mars 2019, William Burkhardt et Léa Dubost enquêtent sur un élevage de poulets fournisseur de KFC. La vidéo qui dépasse le million de vues montre des poulets affaiblis, pouvant à peine se lever, et infestés d'insectes vecteurs de maladie[37].

Le Gaulois modifier

 
William Burkhardt présente un poulet mort, dans un élevage Le Gaulois, en septembre 2019.

Des lanceurs d'alerte DxE France tournent une vidéo en dans un élevage de dindes Le Gaulois[38] située à Allex dans la Drôme. Les dindes que l'on peut voir dans la vidéo sont tellement grosses qu'elles ne peuvent plus se tenir debout sur leurs pattes, certaines souffrent de malformations et d'autres sont retrouvées mortes[38]. William Burkhardt, président de DxE France, déclare à ce sujet : « On a habitué les consommateurs à acheter de la viande pas chère. Et c'est incompatible avec le bien-être des animaux. Pour produire de la viande pas chère, on est obligé d'entasser les animaux les uns sur les autres. »[39].

Le , DxE France publie une nouvelle vidéo dénonçant des mauvais traitements sur des poulets, tournée dans un élevage intensif qu'elle situe à Mâchelles, à 30 km au sud d’Angers. Cet élevage produirait des poulets à destination de Le Gaulois[40].

Le , DxE France publie à nouveau une vidéo tournée dans un élevage intensif de poulets destinés à Le Gaulois, qu'elle situe à Saint-Didier-sur-Chalaronne, ou l'on peut voir un amoncellement de cadavres dans l'élevage, qui est jonché d'excréments, et une benne remplie de poulets morts[41].

Jambon de Bayonne modifier

Le , l'association Welfarm, dans le cadre de sa campagne « Stop castration », diffuse une vidéo tournée en caméra cachée par DxE en août 2019 dans un élevage situé près de Bordeaux fournissant l’IGP Jambon de Bayonne, dans laquelle on peut voir des porcelets castrés sans anesthésie hurlant de douleur[42]. En diffusant ces images, les militants souhaitent dénoncer Jambon de Bayonne pour avoir rendu cette mutilation obligatoire dans son cahier des charges, maltraitance, qui selon l’Inra occasionne au porcelet des douleurs pouvant durer plusieurs jours[43],[44]. En réponse à la diffusion de cette vidéo, le consortium du Jambon de Bayonne se défend à travers un communiqué publié le même jour, dans lequel il affirme « qu'une partie des images filmées à l’insu des éleveurs ont été coupées au montage », et que « tous les porcelets ont reçu une injection d’analgésique avant la castration »[45].

"Claquage" des porcelets modifier

 
William Burkhardt présente un porcelet laissé pour mort dans un élevage de Bretagne, en septembre 2019.

Le , à la suite des images de claquage (méthode qui consiste à tuer les cochons tout juste nés en les attrapant par les pattes arrières pour frapper leur tête au sol ou contre un mur), tournées par DxE en caméras cachées en septembre 2019 dans un élevage de Polliat au Nord de Bourg-en-Bresse et diffusées par l'association Welfarm et le journaliste Hugo Clément, le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, déclare sur France Inter[46] vouloir interdire cette pratique « dans les mois qui viennent »[42],[47], au grand dam de la FDSEA[48].

William Burkhardt, président de DxE France, se félicite de cette « première victoire pour le bien-être animal »[48],[47].

Carte des élevages modifier

En janvier 2019, DxE France publie sur son site internet une carte de tous les élevages français[49],[50]. Cette carte recense les élevages de volailles, porcins, bovins, cunicoles, caprins, mais aussi canins, de gibier et d'autres animaux. Toutes ces adresses proviennent de sites gouvernementaux ainsi que du site internet societe.com, et elles sont regroupées dans un dossier que tout le monde peut télécharger et consulter avec Google Earth. Cette carte a pour but de faire prendre conscience aux français du nombre très important d'élevages, et notamment, d'élevages industriels.

Quelques mois après la diffusion de cette carte, la FNSEA porte plainte contre l'association et contraint l'hébergeur web à fermer son site. DxE France remet son site et sa carte en ligne chez un autre hébergeur, mais cette fois-ci en n'identifiant que les élevages classés ICPE[49].

Offre de stage en élevage modifier

En juin 2019, DxE France publie sur sa page Facebook une offre de stage dans un élevage. Il est proposé aux candidats de se faire embaucher dans des élevages prés de chez eux, afin d'y filmer en caméra cachée les pratiques de l'élevage intensif, et plus particulièrement les pratiques de mise à mort des porcelets les plus faibles. DxE explique au quotidien L'Actu le but de cette opération : « Ce qu’on dénonce surtout, ce sont les pratiques des industriels qui trompent les consommateurs en donnant une image bucolique, familiale des élevages de porcs alors qu’ils sont tous pareils où qu’on soit dans le monde. Les consommateurs ne se tourneront pas vers de la viande de qualité où les animaux sont respectés tant qu’on leur montrera ces images fausses. C’est ce que nous voulons changer. On ne montrera pas les éleveurs ni les salariés mais seulement ce qui se passe dans les élevages. C’est un peu comme les journalistes qui se font embaucher chez Amazon pour dénoncer les conditions de travail difficiles des salariés. Par contre, on citera les marques qui font de belles promesses aux consommateurs alors que la plupart ignorent que les porcs sont élevés de cette façon quand ils mangent leur viande. Il y a tromperie ».[51].

Cette opération provoque l'indignation des éleveurs et de la FNSEA, qui déplorent d'avoir à se méfier des salariés et regrettent le peu de moyens dont ils disposent pour savoir si les nouveaux salariés ont été recrutés par DxE, ou pas[52].

Critiques modifier

En octobre 2019, Michel Joux, président de la Chambre d’agriculture de l’Ain, dénonce l’intrusion de membres de l’association dans les élevages, ce qui selon lui alimente l'« agribashing », et réclame une loi plus dure pour sanctionner les antispécistes[53].

Dans un communiqué daté du et la suite de l’intrusion du d'une équipe de tournage de BFM TV et de William Burkhardt dans un élevage de porcs[54], la Fédération nationale porcine (FNP) déclare : « Nous en appelons à la responsabilité du gouvernement pour condamner avec fermeté les méthodes de ces individus et des organisations qui les soutiennent ; qu’ils soient poursuivis et sanctionnés sévèrement »[55].

En octobre 2019, pour répondre à la multiplication des actions menées par les groupes de défense de la cause animale et à l'inquiétude des éleveurs face à ce phénomène, les autorités de la Drôme placent des exploitations sous surveillance, des gendarmes référents sont nommés et un système d'alerte par SMS est mis en place pour contrer les actions « virulentes »[56] des militants que le préfet de la Drôme, Hugues Moutouh, n'hésite pas à qualifier de « terroristes »[57].

Suites judiciaires modifier

Les et , deux militants de l'association DxE France qui s’étaient introduits le , en compagnie d'autres activistes, dans l’élevage Linporc situé à Juvrecourt pour filmer clandestinement les animaux, sont reconnus coupables de violation de domicile par le tribunal de Nancy et condamnés à payer des jours amendes. Cette vidéo sur l'origine « des jambons des supermarchés » qui dénonce les conditions de l’élevage intensif[58],[59], a fait 1,6 million de vues sur internet[60],[61],[62].

Le , le tribunal de Saint-Brieuc rejette la demande d'un éleveur qui avait porté plainte contre DxE, qui le avait filmé son élevage de nuit sans autorisation, et le condamne à payer 3 000  à DxE au titre de l'Article 700 du code de procédure civile[63],[64]. En , la Cour d'appel de Rennes donne gain de cause à l'éleveur et condamne DxE/Red Pill à lui payer 1 euro symbolique ainsi que 3 000 euros au titre de l'Article 700 et à retirer la vidéo issue de l’intrusion de son site internet, ainsi que de l’ensemble des réseaux sociaux et des plateformes de vidéos en ligne. DxE/Red Pill a annoncé son intention de porter l’affaire en cassation[65]. Le député Bastien Lachaud faisant pour sa part l’objet d’une plainte séparée, avec demande de levée de son immunité parlementaire, pour sa participation à l’opération[65].

Le , le tribunal de Saint-Malo condamne en référé DXE (devenue Redpill) et le média Konbini, à payer chacun 500  d'amende et 800  au titre des frais de procédure, « pour avoir pénétré dans un élevage de poulets de chair destinés à McDonald’s et y avoir tourné un reportage volé », ainsi qu'à retirer les images, photos et vidéos, obtenues lors de l’intrusion par le journaliste Hugo Clément. C'est la première fois qu'un tribunal condamne un média pour la diffusion d’images issues d’une intrusion. Les avocats de Konbini et DXE ont annoncé faire appel[66],[67].

Notes et références modifier

  1. a et b « Comment “DxE France” dévoile la réalité qui se cache derrière les élevages intensifs », sur Les Inrocks.fr,
  2. a et b « Souffrance animale : Les vidéos chocs tournées dans les élevages, l'arme en vogue des défenseurs de la cause animale ? », sur 20 minutes.fr,
  3. a et b « Un député LFI s'introduit dans un élevage porcin intensif », sur Le Figaro.fr,
  4. « Maine-et-Loire La vidéo choc d'un élevage de volailles », sur Le Courrier de l'Ouest.fr,
  5. « Anjou Antispécisme : la présidente de la FNSEA Christiane Lambert se fâche contre les intrusions », sur Le Courrier de l'Ouest.fr,
  6. Walid Salem, « Observatoire de l’agribashing en Gironde : « Il faut arrêter de raconter des salades » », sur Rue 89.com,
  7. a b et c Sarah Finger, «Cette mesure est opportuniste et n’a qu’un but : calmer les agriculteurs. Ils ont été victimes d’environ 14 500 atteintes en 2019, dont seulement 41 intrusions dans des élevages !», sur Libération.fr,
  8. France 3, « Alsace : action de nuit dans un élevage par l'association Redpill, opposée à la maltraitance animale », sur Youtube.fr,
  9. Ivan Logvenoff, « Les conditions d’élevage des poulets sont-elles si effroyables ? », sur La France Agricole,
  10. a et b « Antispécisme : la petite bête qui monte », sur Libération.fr,
  11. « VIDÉO - Des images montrent des poulets malades ou morts dans un élevage en Ariège », sur France 3.fr,
  12. « La face cachée des nuggets », sur Kombini.com,
  13. « Vidéo - Un député LFI s'introduit dans un élevage porcin avec des militants : les agriculteurs en colère », sur La Dépêche.fr,
  14. « Politique. Un député LFI s’introduit dans un élevage porcin », sur Le Progrès.fr,
  15. « Le ministre de l’Agriculture furieux contre les antispécistes », sur Le Courrier picard.fr,
  16. « Brest - Antispécisme. Didier Guillaume réclame de la « sévérité » pour les intrusions dans les élevages », sur Le Télégramme.fr,
  17. « Un député LFI s'introduit dans un élevage porcin : indignation du monde agricole », sur L'Express.fr,
  18. Jean-François Vallée, « En Mayenne. Ce qu'il faut savoir sur les deux actions menées par des activistes végans », sur Ouest France.fr,
  19. « Mayenne : des militants animalistes prennent au mot le slogan de Fleury Michon », sur France 3,
  20. Antonin le Bris, « Mayenne. Une nouvelle vidéo tournée dans un élevage porcin dénonce la «publicité mensongère» de Fleury Michon », sur Ouest-France.fr,
  21. « Mayenne : des militants animalistes prennent au mot le slogan de Fleury Michon », sur France 3,
  22. « En Mayenne. La FDSEA dénonce l’intrusion de militants dans un élevage de Saint-Ouën-des-Vallons », sur Ouest-France.fr,
  23. « L'association DXE s'introduit dans un élevage porcin de Saint-Ouën-des-Vallons », sur L'Actu.fr
  24. a et b « VIDÉO - Le rappeur Stomy Bugsy dénonce la violence dans un abattoir d'Andrézieux-Bouthéon », sur France Bleu.fr,
  25. « Indignation après l’intrusion d’un député LFI dans un élevage porcin », sur La France Agricole.fr,
  26. « Cruauté et mauvais traitements dans un abattoir… bio ! », sur 30 Millions d'Amis.fr,
  27. « Abattoirs : une nouvelle vidéo insoutenable », sur Paris Match.fr,
  28. « DxE France s’infiltre dans un élevage porcin Herta d’Ille-et-Vilaine », sur L'Actu.fr,
  29. « Des chiens sauvés du festival de la viande de chien en Chine proposés à l'adoption en France », sur 20 minutes.fr,
  30. « Des chiens destinés au festival de la viande en Chine, sauvés de la mort dans un refuge de Normandie », sur L'Actu.fr,
  31. « Yulin : la viande de chien, son festival, ses opposants », sur Libération.fr,
  32. a et b « Cochonou mis en cause par une vidéo-choc sur les conditions d'élevage », sur Capital.fr,
  33. « Porc. Une nouvelle vidéo sur internet vise un élevage de Guimiliau », sur Le Télégramme.fr,
  34. « Bien-être animal. Une vidéo met en cause un élevage du Finistère, l’exploitant conteste », sur Ouest-France.fr,
  35. « Guimiliau - Porc. Une nouvelle vidéo sur internet vise un élevage de Guimiliau », sur Le Télégramme.fr,
  36. a et b Roselyne Séné, « Vendée. Vidéo dans un élevage de porcs : l’exploitant dénonce des images truquées et porte plainte », sur Ouest-France.fr,
  37. « Morbihan. Une vidéo clandestine tournée dans un poulailler », sur Ouest France.fr,
  38. a et b « Nouvelle vidéo choc tournée secrètement dans un élevage de dindes », sur Le Dauphiné.com,
  39. « Vidéo - Après les lapins et les cailles, les défenseurs des animaux s'attaquent aux conditions d'élevage des dindes », sur France Bleu.fr,
  40. « VIDEO. Mâchelles en Maine-et-Loire : DxE dénonce des mauvais traitements dans un élevage de poulets », sur France TV Info.fr,
  41. « Une vidéo accable un poulailler industriel de Saint-Didier-sur-Chalaronne », sur Le Progrès.fr,
  42. a et b « La castration sans anesthésie et le "claquage" des porcelets bientôt interdits », sur L'Express.fr,
  43. Sarah Finger, « Maltraitance animale : «Les porcelets hurlent de douleur» », sur Libération.fr,
  44. « L'association Welfarm diffuse des images de castration de porcs tournées en Gironde, et cible l'IGP jambon de Bayonne », sur France Info.fr,
  45. « Vidéo. Jambon de Bayonne et castration des porcs : des images chocs, le consortium se défend », sur Sud Ouest.fr,
  46. Alexandra Bensaid , Ali Baddou, « Didier Guillaume : "Quand vous poussez votre caddie, faites un choix patriotique" », sur France Inter.fr,
  47. a et b « Après le reportage, la fin du claquage des porcelets ? », sur Le Dauphiné.com,
  48. a et b « Après le reportage à Polliat, le claquage des porcelets en voie d'interdiction », sur Le Progrès.fr,
  49. a et b « Intrusions : Condamnée à retirer sa carte des élevages, DxE la republie ailleurs », sur La France Agricole.fr,
  50. « Une association anti-viande met en ligne les noms et les adresses des éleveurs, un agriculteur mayennais furieux », sur France Bleu.fr,
  51. « Des stagiaires espions pour filmer dans les élevages ? La petite annonce de DXE fait polémique », sur L'Actu.fr
  52. « Antispécistes : Comment faire face au stagiaire espion ? », sur La France Agricole.fr,
  53. « Le défilé des agriculteurs de l’Ain à Lyon pour défendre leurs conditions de travail et de leurs exploitations », sur Le Dauphiné.com,
  54. « Élevages de porcs: les associations continuent de pointer du doigt des conditions effrayantes », sur BFM TV.fr,
  55. « Demande de sanctions contre BFM TV », sur La France Agricole.fr,
  56. « Les agriculteurs informés sur l’exposition aux intrusions et vols », sur Le Télégramme.fr,
  57. France 3 , « VIDÉO. Intrusions, vidéos polémiques : des agriculteurs s'inquiètent face aux actions des militants animalistes », sur France TV Info.fr,
  58. « Élevage de porcs: une vidéo choc sur l'origine "des jambons des supermarchés" », sur France-Soir.fr,
  59. « Une association diffuse des images choc pour dénoncer la filière porcine », sur Le Figaro.fr,
  60. « Une amende pour le militant qui avait filmé l’élevage de porcs », sur l'Est Républicain,
  61. « Un activiste entré dans une porcherie pour y tourner des vidéos a été condamné à Nancy », sur France Bleu.fr,
  62. « Intrusion dans un élevage de porcs : amende pour la militante », sur L'Est Républicain.fr,
  63. « Élevage filmé en cachette par DXE : l’éleveur breton débouté par la justice… et condamné », sur L'Actu.fr,
  64. « Côtes-d’Armor. Élevage filmé en douce : l’agriculteur débouté par la justice et condamné à payer », sur Le Télégramme.fr,
  65. a et b Emmanuelle Ducros, « Intrusion dans un élevage: l’association antispéciste DxE-RedPill condamnée », sur L'Opinion.fr,
  66. Emmanuelle Ducros, « Intrusion dans un élevage: Konbini écope de la première condamnation d’un média », sur L'Opinion.fr,
  67. Tony Le Pennec et Loris Guémart, « Désobéissance civile : des journalistes confondus avec les militants », sur Arrêt sur images.fr,

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Lien externe modifier


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