Université de Perpignan

université située à Perpignan créée en 1979
Université de Perpignan
Via Domitia
Histoire
Fondation
1349-1793 (université historique) ;
1970-1979 (centre universitaire)
1979
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Président
Yvan Auguet (d) (depuis 2020)
Recteur
Membre de
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Chiffres-clés
Étudiants
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Pays
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L’université de Perpignan, dite université Via Domitia (UPVD), est un établissement d'enseignement supérieur français dont le siège est à Perpignan. Elle est une université pluridisciplinaire qui regroupe 8 945 étudiants (Source SISE, ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, au ), répartis dans quatre unités de formation et de recherche (UFR ou "facultés") et trois Instituts.

Elle comprend en son sein l'une des 204 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au à délivrer un diplôme d'ingénieur[1].

Historique modifier

Origines modifier

Le roi Pierre IV d'Aragon fonde une première université à Perpignan en 1349, alors nommée Estudi Major et située rue Petite la Monnaie[2] et une autre qui prolongeait la rue Derroja[3]. Il s'agit de la seconde université crée dans la principauté de Catalogne et la couronne d'Aragon, après Lérida, fondée en 1300. La ville de Perpignan est la capitale du royaume de Majorque jusqu'en 1344, date à laquelle la région est rattachée à la couronne d'Aragon. La création de l'université peut donc être interprétée comme une compensation de la perte d'importance de la ville. L'université de Perpignan, alors une des vingt cinq universités du monde, enseigne la médecine, le droit, la théologie et les arts à plus de 400 étudiants avec une aire de recrutement essentiellement catalane. Cette université n'arrive cependant jamais à s'imposer dans la région, concurrencée par les universités de Toulouse, Montpellier et Lérida, plus anciennes et plus prestigieuses.

Malgré sa relative obscurité, l'université continue de fonctionner tout au long du Moyen Âge et de l'époque moderne. Le rattachement de Perpignan au royaume de France par le traité des Pyrénées en 1659 affecte son recrutement en le limitant au Roussillon.

Reconstruction de la deuxième moitié du XVIIIe siècle modifier

 
L'université de Perpignan au XVIIIe siècle.

Les bâtiments subissent un incendie ravageur en 1648 ce qui n'empêchera pas l'Université de subsister jusqu'au début du XVIIIe siècle dans ses premiers locaux[3].

Dans les années 1760, les bâtiments de l'université sont reconstruits. En bon franc-maçon du XVIIIe siècle, vecteur de la pensée des Lumières, Augustin-Joseph de Mailly rénove l'université entre 1760 et 1763. Il fait construire de nouveaux bâtiments à Perpignan pour pallier la ruine de l'ancienne université.

Le , une déclaration du roi Louis XV précise les principes et les modalités de réalisation de la rénovation de l'université. Puis, une ordonnance du énumère les dispositions matérielles décidées pour financer les travaux. Enfin, la même année, la construction d'un nouveau bâtiment est décidée.

La façade du bâtiment, réalisée par un maître d'œuvre franc-maçon, est construite sur le modèle d'un temple maçonnique. Les travaux sont entièrement financés par le maréchal qui trouve là un bon moyen de s'attirer la sympathie des étudiants. Cet établissement est doté d'un jardin des plantes (bastion des Capucins), d'un jardin des arbustes (bastion de France), d'un cabinet d'histoire naturelle, cabinet de physique, d'un amphithéâtre d'anatomie et d'une bibliothèque publique. Car, par la même occasion il convertit l'ancienne bibliothèque en bibliothèque de l'école centrale. Elle est d'ailleurs en partie alimentée grâce aux dons du maréchal, qui lui lègue tous ses livres[4]. Elle s'enrichit de 3 000 ouvrages, dons particuliers d'Augustin-Joseph de Mailly, qui obtient en outre qu'un exemplaire de tous les ouvrages qui s'impriment au Louvre soit acheminé et déposé dans ce lieu[5]. Augustin-Joseph de Mailly, omnipotent et omniprésent, a donné l'impulsion nécessaire pour concrétiser de nouveaux foyers de sociabilité, n'hésitant pas à contribuer de ses propres deniers pour faciliter leur exécution[6].

Le recteur Louis Marigo-Vaquer exprime le , devant l'assemblée générale de l'université réunie pour l'inauguration du buste Augustin-Joseph de Mailly, la reconnaissance de l'institution à l'égard de son bienfaiteur et sa fierté de détenir d'importantes collections d'objets naturels, vifs ou conservés. L'université cesse de fonctionner en 1794. Après avoir accueilli la bibliothèque communale et le musée des Beaux-arts, l'édifice est affecté depuis 1980 aux Archives communales[7].

De la Révolution à la création de l'université Via Domitia modifier

En 1808, Perpignan n'est pas présente dans le décret napoléonien qui institue des facultés dans la plupart des villes ayant une université, ce qui est sans doute dû à la petite taille de la ville et de son université avant 1794. Elle n'est pas plus concernée par la loi du qui crée sous le nom d'« université » des établissements formés par la réunion des facultés d'une même ville. La permanence du souvenir de l'université perdue a joué un rôle essentiel dans le rétablissement de l'enseignement supérieur à Perpignan, dans les années 1950.

L'assemblée de la faculté des lettres de Montpellier accepte « un projet tendant à la création d'une annexe à Perpignan ». Durant cette période, le Conseil général assure un rôle moteur en décidant d'acquérir un terrain de vingt hectares et de le céder ensuite à l'État pour la construction d'un campus. L'actuel lieu d'enseignement supérieur et de recherche est créé en 1971 comme centre universitaire mais c'est à compter de 1979 que le centre universitaire devient une véritable université et accède à une autonomie à la fois financière, administrative et pédagogique. Depuis, elle est administrée par un Conseil d'administration et dirigée par le président élu.

L'université de Perpignan est implantée sur un site principal à Perpignan (52 avenue Paul Alduy), ainsi que sur six antennes délocalisées à Narbonne, Carcassonne, Tautavel, Mende, Le Barcarès et Font-Romeu.

L'université de Perpignan réinvestit son campus originel situé au cœur de la ville de Perpignan. Dès la rentrée 2017, 550 étudiants de la faculté de droit s'installeront sur le Campus Mailly[8].

Présidents de l'université modifier

 
Jean Sagnes, président de 1992 à 1997.

Le premier président de l'université de Perpignan est Yves Serra, professeur de droit privé et de sciences criminelles. Il exerce cette fonction du au , après avoir été élu président du centre universitaire le , succédant alors à Georges Riéra. C'est pendant le mandat d'Yves Serra que le centre universitaire est transformé en université, par le décret no 79-149 du [9], avec effet à compter du . Un laboratoire de recherche de l'université porte aujourd'hui son nom[10].

Liste des présidents successifs
Année d'élection Nom Qualité Discipline
1979-1980 Yves Serra Professeur des universités Droit privé et sciences criminelles
1981-1982 Louis Constant Professeur des universités Droit public
1982-1987 Daniel Bodiot Professeur des universités Physique
1987-1992 Henri Got Professeur des universités Géologie
1992-1997 Jean Sagnes Professeur des universités[11] Histoire
1997-2002 Jean-Michel Hoerner Professeur des universités Géographie
2002-2007 François Feral Professeur des universités Droit public
2007-2012 Jean Benkhelil Professeur des universités Sciences de la terre
2012-2019[12],[13] Fabrice Lorente Maître de conférences STAPS
06/2019[14] Nicolas Dorandeu Maître de conférences - Administrateur provisoire Droit privé et sciences criminelles
2019-2020[15] Xavier Py Professeur des universités Énergétique et génie des procédés
2020-[16],[17] Yvan Auguet Professeur des universités Droit privé et sciences criminelles

Composantes de l'Université Perpignan Via Domitia modifier

L'université est composée de quatre UFR et de trois instituts :

UFR des Sciences Juridiques et Économiques : "Faculté de droit et des sciences économiques" modifier

L'UFR des Sciences juridiques et économiques, plus connue sous l'appellation de faculté de droit et des sciences économiques, est principalement située à Perpignan (campus principal avenue Paul Alduy et dès la rentrée 2017, campus Mailly). Elle dispose d'une antenne importante à Narbonne (avenue Pierre de Coubertin) et d'une antenne à Mende. Par convention, la faculté de droit et des sciences économiques développe également ses activités à Paris et au Maroc.

  • Nombre d'étudiants : 2.200 au .
  • Directeur de l'UFR : Doyen Jacobo Rios[18], maître de conférences en droit public

Elle compte neuf départements :

  • Département sciences juridiques et politiques (1er cycle) ;
  • Département administration économique et sociale (1er cycle) ;
  • Département justice, procès et procédures (2e cycle) ;
  • Département droit des affaires (2e cycle) ;
  • Département droit comparé (2e cycle) ;
  • Département administration publique (2e cycle) ;
  • Département droit de l'immobilier (2e cycle) ;
  • Département droit de l'environnement et de l'urbanisme (2e cycle) ;
  • Département Institut d'études judiciaires (préparation CEJ, pré-CAPA et ENM).

Elle compte un laboratoire de recherche : le Centre de droit économiques et du développement (CDED, EA no 1943), composé de deux équipes, le Centre de droit de la concurrence Yves Serra (CDCYS) et le Centre d'études et de recherches sur les transformations de l'action publique (CERTAP).

UFR des Lettres et Sciences Humaines : "Faculté des lettres et des sciences humaines" modifier

L’UFR des Lettres et Sciences humaines est située à Perpignan (campus principal : avenue Paul Alduy).

  • Nombre d'étudiants : 2.398, au .
  • Directeur de l'UFR : Doyen Henry Tyne[19], enseignant-chercheur HDR en sciences du langage

Elle compte huit départements :

  • Lettres et Français Langue Etrangère
  • Études anglophones
  • Études hispaniques
  • Langues étrangères appliquées
  • Sociologie
  • Histoire
  • Histoire de l'art et archéologie
  • Géographie et aménagement

UFR des Sciences exactes et expérimentales : "Faculté des sciences" modifier

L'UFR des Sciences exactes et expérimentales est située à Perpignan (campus principal : avenue Paul Alduy)

  • Nombre d'étudiants : 1.404, au .
  • Directeur de l'UFR : Doyen Frédérick Thiery[20], maître de conférences en SPI (Sciences Pour l'Ingénieur)

Elle compte cinq départements :

  • Physique-chimie
  • Mathématiques-Informatique
  • Biologie-Écologie
  • Sciences de la Terre et de l'Environnement
  • Sciences pour l'ingénieur

UFR des Sciences et techniques des activités physiques et sportives : "STAPS" modifier

L'UFR des Sciences et techniques des activités physiques et sportives (antenne de Font-Romeu[21]) est plus connue sous l'appellation UFR STAPS.

  • Nombre d'étudiants : 492, au
  • Directeur de l'UFR : Doyen Anne-Fleur Gaston[22], maître de conférences en physiologie de l'exercice

Institut universitaire de technologie (IUT) modifier

L'Institut universitaire de technologie est situé à Perpignan (campus principal Chemin de la Passio Vella entrée secondaire), ainsi qu'une antenne à Narbonne (avenue Pierre de Coubertin) et à Carcassonne (Domaine Universitaire d'Auriac)

  • Nombre d'étudiants : 1293, au
  • Directeur de l'Institut : Maxime Estaben, maître de conférences en énergétique et génie des procédés

Il compte huit départements :

  • Génie biologique (site de Perpignan)
  • Gestion des entreprises et des administrations (site de Perpignan)
  • Gestion logistique et transport (site de Perpignan)
  • Génie industriel et maintenance (site de Perpignan)
  • Carrières juridiques (site de Narbonne)
  • Génie chimique, Génie des procédés (site de Narbonne)
  • Statistique et traitement informatique des données (site de Carcassonne)
  • Techniques de commercialisation (site de Carcassonne)

Institut d'administration des entreprises (IAE) modifier

L'Institut d'administration des entreprises (IAE) est situé à Perpignan (campus principal : chemin de la Passio Vella)

  • Nombre d'étudiants : 1.292, au
  • Directeur de l'Institut : Fabienne Villeseque-Dubus[23], professeure des universités en Sciences de Gestion

Institut franco-catalan transfrontalier IFCT) modifier

L'Institut franco-catalan transfrontalier (IFCT) est situé à Perpignan (campus principal Chemin de la Passio Vella entrée secondaire)

  • Nombre d'étudiants : 67, au
  • Directeur de l'Institut : Joan Peytaví Deixona[24], enseignant-chercheur en études catalanes

École d'ingénieurs sup'ENR modifier

Elle est spécialisée dans le domaine des énergies renouvelables[25]. Elle est membre du groupe INSA en tant qu'INSA Partenaire[26].

Recherche modifier

Écoles doctorales modifier

L'UPVD possède deux écoles doctorales[27].

Équipes de recherche modifier

  • Les équipes de recherche du domaine "Droit et Sciences Économiques" :
    • CDED - Centre du Droit Économique et du Développement (ÉA no 4216), composé de deux équipes, le Centre de droit de la concurrence Yves Serra (CDCYS) et le Centre d'études et de recherches sur les transformations de l'action publique (CERTAP).
    • GEREM - Groupe d'Étude et de Recherche en Économie et Management(Équipe d'Université)
    • IFDCM - Institut Français de Droit Comparé et de Droit Musulman (Équipe d'Université)
  • Les équipes de recherche du domaine "Lettres et des Sciences humaines" :
    • VECT - Mare Nostrum, - Voyages, Échanges, Confrontations, Transformations (Équipe d'Accueil)
    • CRILAUP - Centre de recherches ibériques et latino-américaines de l'Université de Perpignan (Équipe d'Accueil)
    • CRHiSM - Centre de recherches historiques sur les sociétés méditerranéennes (Équipe d'Accueil)
    • CREC - Centre de Recherches et Études Catalanes (Équipe d'Accueil)
    • MEDI-TERRA - Groupe d'études de géographie physique (Équipe d'Accueil)
    • MTE - Mutation des Territoires en Europe (Formation de Recherche en Évolution)
    • HNHP - Histoire Naturelle de L'Homme Préhistorique (UMR avec le CNRS) ([Tautavel - Caune de l'Arago])
  • Les équipes de recherche du domaine des "Sciences" :
    • PROMES - Laboratoire des PROcédés Matériaux Énergie Solaire (UPR du CNRS) avec une antenne à Font-Romeu (Four solaire d'Odeillo)
    • CEFREM - Centre de formation et de recherche sur l'environnement marin (UMR avec le CNRS)
    • IHPE- [28]Interactions Hôtes-Pathogènes-Interactions (UMR avec le CNRS)
    • CRIOBE - Centre de Recherches Insulaires et OBservatoire de l’Environnement (USR CNRS-EPHE)
    • LGDP - Laboratoire Génome et Développement des Plantes (UMR avec le CNRS et l'IRD)
    • LAMPS - Laboratoire Mathématiques Physique et Systèmes (Équipe d'Accueil)
    • IMAGES - Institut de Modélisation et d'Analyses en Géo-Environnements Marins et de Santé (Équipe d'Accueil)
    • LCBE - Laboratoire de Chimie des Biomolécules et de l'Environnement (Équipe d'Accueil)
    • LIRMM - Laboratoire d'Informatique, de Robotique et de Microélectronique de Montpellier (Équipe DALI)
    • LEPSA - Laboratoire Européen Performance Santé Altitude (Équipe d'Accueil) basé sur l'antenne de Font-Romeu

Vie étudiante modifier

Évolution démographique modifier

Évolution démographique de la population universitaire
1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004
8 357[29]8 313[29]8 537[29]8 554[30],[29]8 773[31],[29]9 109[32]9 785[33]10 283[34]
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 -
10 561[35]10 165[36]9 664[37]9 304[38]9 668[39]9 842[40]8 782[41]-

Vie associative modifier

L'Université de Perpignan Via Domitia possède une vie étudiante animée par un Bureau des étudiants et une multitude d'associations [1].

Personnalités liées à l'université modifier

Enseignants modifier

Étudiants modifier

Notes et références modifier

  1. Arrêté du 25 février 2021 fixant la liste des écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé.
  2. Jean Villanove, Histoire populaire des Catalans : des origines au XVe siècle, t. 1, J. Villanove, , XII-339 p. (BNF 34685697).
  3. a et b Roland Serres-Bria, Saint-Mathieu : quartier historique de Perpignan., Toulouse, Éditions de l'Ixcéa, , 233 p.-VIII p. de pl. (ISBN 2-84918-034-3), p. 63.
  4. La saga des francs-maçons de Perpignan, Marie Barbier, l'Express, .
  5. Archives nationales, série K1221, Mémoire sur les différents établissements que le maréchal de Mailly a fait en Roussillon. Il s'agit d'une description historique et géographique de la province du Roussillon réalisée en 1717, revue et corrigée en 1742 par l'abbé Xaupi, archidiacre de la cathédrale de Perpignan.
  6. Rosa mystica, L'espace maçonnique entre circulation fraternelle et frontières profanes.
  7. Mairie de Perpignan.
  8. « L’Université de Perpignan réinvestit le cœur de ville », sur Made In Perpignan, (consulté le ).
  9. Décret no 79-149 du sur le site legifrance.gouv.fr.
  10. Site du Centre du droit de la concurrence Yves Serra.
  11. Autorité BnF de Jean Sagnes.
  12. Laura Causanillas, « Fabrice Lorente réélu à la présidence de l'université de Perpignan », L'Indépendant,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. « Départ de Fabrice Lorente – Interview de celui qui a transformé l’Université de Perpignan », sur https://madeinperpignan.com, Journal en ligne, (consulté le ).
  14. « Départ de Fabrice Lorente – Interview de celui qui a transformé l’Université de Perpignan », sur https://madeinperpignan.com, Journal d'information politique et générale agrée par la CPPAP, (consulté le ).
  15. « Le chercheur Xavier Py élu nouveau président de l’Université de Perpignan », sur La Tribune (consulté le ).
  16. « Yvan Auguet, nouveau Président de l’Université de Perpignan », sur La Clau (consulté le ).
  17. Maïté Torres, « Université de Perpignan | Le retour d’un juriste à la présidence le 1er décembre ? », sur https://madeinperpignan.com, (consulté le ).
  18. « Contacts & organigrammes de l'UFR SJE », sur Sciences Juridiques et Economiques - SJE (consulté le )
  19. « Contacts & organigrammes de l'UFR LSH », sur Lettres et Sciences Humaines - LSH (consulté le )
  20. « Contacts & organigrammes de l'UFR SEE », sur Sciences Exactes et Expérimentales - SEE (consulté le )
  21. Elodie Varraine, « STAPS - L'UFR STAPS », sur staps.univ-perp.fr (consulté le ).
  22. « Contacts & organigrammes de l'UFR STAPS », sur Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives - STAPS (consulté le )
  23. « Contacts & organigrammes de l'IAE », sur Institut d'Administration des Entreprises - IAE (consulté le )
  24. « Contacts & organigrammes de l'IFCT », sur Institut Franco Catalan Transfrontalier - IFCT (consulté le )
  25. « L'INSA et l'Université de Perpignan unissent leurs forces », ladepeche.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Sup’ENR, la dernière née des écoles d’ingénieurs », L’Étudiant,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. https://www.univ-perp.fr/fr/menu/recherche/ecoles-doctorales/ecoles-doctorales-47.kjsp
  28. « Interactions Hôtes-Pathogènes-Environnements », sur ihpe.univ-perp.fr (consulté le ).
  29. a b c d et e Comité national d'évaluation 2003, p. 11.
  30. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
  31. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
  32. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
  33. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
  34. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
  35. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
  36. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
  37. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
  38. Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
  39. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010.
  40. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011.
  41. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

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