Tours-en-Vimeu

commune française du département de la Somme

Tours-en-Vimeu
Tours-en-Vimeu
La mairie.
Blason de Tours-en-Vimeu
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CC du Vimeu
Maire
Mandat
Olivier Blondel
2020-2026
Code postal 80210
Code commune 80765
Démographie
Population
municipale
806 hab. (2021 en diminution de 5,51 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 02′ 14″ nord, 1° 40′ 49″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 116 m
Superficie 13,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Abbeville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Abbeville-2
Législatives 3e circonscription de la Somme
Localisation
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Tours-en-Vimeu
Liens
Site web https://tours-en-vimeu.fr

Tours-en-Vimeu [tuʁs ɑ̃ vimø] est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Acheux-en-Vimeu, Aigneville, Ercourt, Grébault-Mesnil, Maisnières, Martainneville, Tœufles et Vismes.

 
Paysage de la commune.

Tours-en-Vimeu est un bourg picard du Vimeu, situé sur le plateau de la rive droite de la Bresle et à 19 km de la Manche, aisément accessible par l'ancienne RN 28 (actuelle RD 928) et l'autoroute A28.

Depuis , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 3 (Gamaches - Woincourt - Abbeville) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[1] et la ligne no 21 (Vismes - Abbeville), les jours du marché d'Abbeville, le samedi et le mercredi.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 859 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oisemont à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Tours-en-Vimeu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Abbeville, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,5 %), prairies (14,6 %), zones agricoles hétérogènes (8,4 %), zones urbanisées (4,8 %), forêts (0,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts modifier

La commune comporte quatre hameaux :

  • Corroy au développement important depuis quelques dizaines d'années ;
  • Houdent ;
  • Longuemort ;
  • Hamicourt.

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 391, alors qu'il était de 387 en 2013 et de 375 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 84,6 % étaient des résidences principales, 6,2 % des résidences secondaires et 9,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Tours-en-Vimeu en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,2 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Tours-en-Vimeu en 2018.
Typologie Tours-en-Vimeu[I 1] Somme[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 84,6 83,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6,2 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 9,2 8,4 8,2

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Turis (1136) ; de Turs (1138) ; Tors (1206)[14] ; Tours (1301.) ; Tours en Vimeu (XIIIe siècle) ; Tours en Vymeu (1492) ; Cours en Vimeux (1638) ; Tour-en-Vimeu (1778) ; Tours-en-Vimeux (1840)[15].
Le nom de Tours-en-Vimeu dériverait du latin « Turma » (escadron) : lieu probable du cantonnement d'un corps d'auxiliaires à l'époque romaine[16].
Le Vimeu est une région naturelle de France, située dans l'ouest de la Picardie et délimitée par deux vallées, celle de la Bresle au sud et celle de la Somme au nord.

Corroy est attesté sous les formes Cora (696) ; Colretum (1108) ; Cauroy (1121) ; Coldreium (1140) ; Colreium (1176) ; Caurroy (1205) ; Cauvroy (1657) ; Le Canoroy (1657)[17].
Un roi aurait été inhumé en cet endroit d'où le nom de Corpus régis, « corps du roi », devenu Corroy[18].

Histoire modifier

 
Buste de Cybèle trouvé en 1754 à Tours-en-Vimeu.

Vers 1754, un buste de Cybèle en bronze est découvert à Tours en Vimeu dans le parc du château de madame de Frières[19]. La statue entre dans la collection du comte de Caylus qui la prenant pour une statue d’Isis la commente dans son tome V d’un Recueil des Antiquités Égyptiennes (1762). À la mort du comte, le buste fut offert au Cabinet des médailles de la BnF de Paris où il est toujours conservé[20].

En 1853, la Société des antiquaires de Picardie délègue trois de ses membres, messieurs Bouthors, Dufour et Magdelaine pour observer le site, une petite élévation de terre couverte de gravats et de végétation, au château de Tours. Le rapport de monsieur Magdelaine sur le résultat des fouilles opérées par les soins de madame la comtesse de Frières fait état de plusieurs trouvailles[21]. Les trois archéologues amateurs ont repéré un premier quadrilatère de 18 mètres sur 11 correspondant au stylobate d’un fanum (temple romain) et à l’intérieur de ce quadrilatère un autre rectangle inscrit à environ 2 mètres 70 du premier. Ce rectangle correspond à la cella du petit temple. Les experts décrivent des fragments de poterie gallo-romaine, une médaille romaine en bronze peu lisible, des briques à rebord en terre jaunâtre (30 cm × 40 cm), des dalles circulaires minces en grès siliceux et de la faïence blanche.

Les cultes à mystère étaient fort appréciés dans l’empire romain et il n’est pas très étonnant de retrouver à Tours le buste d’une déesse phrygienne ayant initié Dyonysos à ses mystères. Le culte à Cybèle était associé chez les Gallo-romains à celui de Cérès et à des fêtes correspondant à des jeux du printemps.

À Corroy, dans un bois, deux monticules antiques suggèrent un château féodal[18].

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, une site de lancement de V1 est bombardé par les alliés[22].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Moyenneville[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Abbeville-2

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Somme.

Intercommunalité modifier

Tours-en-Vimeu était membre de la petite communauté de communes du Vimeu Vert, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1995 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec la communauté de communes du Vimeu Industriel pour former, le , la communauté de communes du Vimeu, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[24],[25]
Période Identité Étiquette Qualité
1793 1794 Nicolas Fauvel    
1794 1795 Adrien Cuvillier    
1795 1798 Jacques Godquin    
1798 1er octobre 1815 Pierre Armand Fauvel    
1er octobre 1815 29 juin 1825 Jean-Baptiste Antoine Joseph Danzel   chevalier de Boismont
25 août 1825 25 juillet 1852 Pierre Alexandre Delattre    
1852 1870 Gustave Édouard Danzel[26]   chevalier de Boismont
1870 1884 Augustin Pion    
1884 1894 Élie Cuvillier    
1894 1908 Augustin Pion    
1908 1910 Émile Blondel    
1910 1925 Albert Boinet    
1925 1940 Alphonse Morel    
1940 1944 Célestin Bos    
1944 1945 Édouard Delozière[27] SFIO Constructeur de machines agricoles
Conseiller municipal depuis 1925
1945 1947 Ernest Boclet    
1947 1959 Édouard Delozière[27],[Note 3] SFIO Constructeur de machines agricoles
Conseiller général de Moyenneville (1945 → 1961)
1959 1977 Marcel Boileau    
1977[28] mars 2008 Marceau Coeuilte[Note 4] PS  
mars 2008 En cours
(au 14 juin 2023[29])
Olivier Blondel   Vice-président de la CC du Vimeu (2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[30]

Distinctions et labels modifier

Au dévoilement du palmarès régional des villes et villages fleuris, le , le village obtient une deuxième fleur pour ses efforts en matière d'environnement[31].

Équipements et services publics modifier

Enseignement modifier

Les communes de Saint-Maxent, Tours-en-Vimeu et Grébault-Mesnil sont associées au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal pour la gestion de leurs écoles primaires[32].

Pour l'année scolaire 2016-2017, l'école élémentaire et maternelle compte 93 élèves. Elle est située en zone B pour les vacances scolaires, dans l'académie d'Amiens[33].

Postes et télécommunications modifier

En 2020, Tours-en-Vimeu dispose d'une agence postale communale[34].

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

En 2021, la commune comptait 806 habitants[Note 5], en diminution de 5,51 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9061 0041 0711 0751 1581 1641 1851 1291 168
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1861 1801 2001 1121 1251 0641 0791 0251 070
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 036991963896866841830801753
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
692660594622736722850869872
2017 2021 - - - - - - -
818806-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports et loisirs modifier

Le village a hébergé un club de football qui n'existe plus : le SC Tours-en-Vimeu. Il jouait ses matchs au stade Édouard-Delozière. Aujourd'hui, le stade de football est toujours en l'état mais sans équipe.

Le jeu de l'assiette est pratiqué à Tours-en-Vimeu, notamment contre les villages voisins comme Béhen, Valines ou encore Friville-Escarbotin.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église Saint-Maxent, du XVIIe siècle.
  • Chapelle avec clocher à campenard à Longuemort. Dès 1282, les seigneurs locaux, Jehan et Philippe de Longuemort la dotent de revenus. Elle est reconstruite après la Révolution, vers 1860, par Auguste Danzel de Boismont. À nouveau reconstruite en 1923 pour le culte local[38],[39].
  • Chapelle de l'Ecce Homo, devant une chapelle plus grande, à Longuemort, près du CD 929, des pèlerinages y étaient autrefois destinés à aider les enfants qui tardaient à marcher ou frappés de fièvres[18],[38].
  • Oratoire à la Vierge, de plan carré et couvert d'ardoises. Restauré en 1976[38].

Personnalités liées à la commune modifier

  • À Tours serait né Raoul de Houdenc (1165-1230), auteur du Songe d’Enfer, une histoire au thème similaire à celui utilisé plus tard par Dante Alighieri. La naissance picarde du trouvère est discutée aujourd’hui par les biographes de Raoul mais l’argument donné par les revues savantes du XIXe siècle est la découverte d’un document datant de 1752 ou le prêtre de Tours mentionne un obit en la mémoire de « Raoul de Houdenc, gentil conteur »[40].
  • En 1271, le seigneur de Cauroy est un des cinq pairs du comté de Ponthieu[41].
  • Le premier seigneur connu en 1325 aida Isabelle de France dans sa tentative de renversement de son mari Édouard II, roi d'Angleterre, au profit de son fils, futur Édouard III[18].
  • Tours est par ailleurs clairement la patrie de Hugues Quiéret, seigneur du village, sénéchal de Beaucaire et de Nîmes et surtout amiral de France[42]. Il réorganisa la flotte de Philippe VI et créa divers arsenaux dont le fameux Clos des galées à Rouen. Pendant la guerre de Cent Ans il combattit à la bataille d'Armenuiden en 1338 aux Pays Bas. Il commande la flotte française à la bataille de L'Écluse mais est pris par les Anglais qui ne lui pardonnent pas sa cruauté vis-à-vis des prisonniers à Armenuiden et le décapitent.
  • Hugues Quiéret dit « Hutin » trouve la mort à la bataille d'Azincourt en 1415[43].
  • Alexandre de Maïoc, seigneur d'Esmailleville, de Cauroy et de Tours demeure au château de Tours en 1690[44],[45].
  • En 1699, Henri du Maisniel était seigneur de Longuemort et y habitait. Avec Hamicourt, Longuemort a ensuite appartenu à la famille Danzel de Boismont[18].

Héraldique modifier

  Blason
D'hermine à trois fleurs de lis au pied nourri de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le stade de la commune, près de la salle des fêtes, porte le nom de Stade Édouard-Delozière en son honneur
  4. Un parc de la commune porte le nom de ce maire[29].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Tours-en-Vimeu et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Abbeville », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale dce, Genève, Droz, , p. 1477.
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 346 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  16. « Tours-en-Vimeu sur le site du Quid »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  17. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 261 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
  18. a b c d et e Christian Hanquier, Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 19 août 2014, p.12.
  19. François-César Louandre, Histoire d'Abbeville et du comté de Ponthieu jusqu'en 1789, vol. reprise de 1883, t. Tome 1, 67, rue Saint-Jacques - 75005 Paris, Lorisse éditeur-diffuseur, , 14e éd., 439 p. (ISBN 2-84435-013-5)2-84435-013-5.
  20. Recueil d'antiquités de M. de Caylus, T. V, pl. CXI.
  21. Bulletin de la Société des antiquaires de Picardie -Duval et Herment(Amiens), Société des antiquaires de Picardie (Amiens)-1853, p.14.
  22. Alain Lefebvre, Les sites V1 du sud-ouest amiénois – tome 1 – sites lourds/ski sites, autoédition, 560 p.
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. « Les maires de Tours-en-Vimeu », sur francegenweb.org (consulté le ).
  25. Plaque gravée à la mairie
  26. Ernest Prarond, Histoire de cinq villes..., p. 62
  27. a et b Jean-Pierre Besse, « Delozière, Édouard : Né le 24 mars 1894 à Tours-en-Vimeu (Somme), mort le 2 décembre 1977 à Abbeville (Somme) ; constructeur mécanicien de machines agricoles ; conseiller général SFIO de la Somme (1945-1961) », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
  28. « Avis de décès », Courrier picard,‎ , p. 19-E
  29. a et b Christian Anquie, « Tours-en-Vimeu inaugure le parc Marceau-Coeuilte », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il a été ainsi baptisé en hommage à cette figure de la commune et du Vimeu, décédé le 13 juillet 2021. Marceau Coeuilte a été maire de 1977 à 2008 et, durant toutes ces années, a également siégé dans les instances intercommunales : au Sivom puis à la communauté de communes de Moyenneville, et enfin à celle du Vimeu vert ».
  30. Blandine Thoreux, « Un troisième mandat de maire pour Olivier Blondel, dans la Somme : Seul candidat à sa succession, Olivier Blondel a été réélu maire de Tours-en-Vimeu le samedi 23 mai 2020. Quatre adjoints ont aussi été élus », L'Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Palmarès de villes et villages fleuris de Picardie maritime, le Courrier picard, édition Picardie maritime, 7 novembre 2015, p. 8.
  32. Xavier Toni, le Courrier picard, « Mers-les-Bains, les parents en colère occupent l'école », édition Picardie maritime, , p. 9.
  33. Lire sur le site de l'éducation nationale.
  34. « Tentative de cambriolage à l’agence postale de Tours-en-Vimeu », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. a b et c André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 108 (ASIN B000WR15W8).
  39. Abbé Joseph Hoin, « Longuemort et ses seigneurs », Mémoires de la Société d'Émulation d'Abbeville, 1889.
  40. Mémoires de l'Académie des sciences, agriculture, commerce, belles-lettres et arts du département de la Somme [\"puis\" de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts d'Amiens] -[s.n.?] (Amiens)-1900,p.82
  41. P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 974, lire en ligne.
  42. Collection des chroniques nationales françaises écrites en langue vulgaire du treizième au seizième siècle, avec notes et éclaircissements par J. A. Buchon, p.294.
  43. Lire en ligne.
  44. Ernest Prarond, Histoire de cinq villes..., Dumoulin, 1863, p. 48.
  45. Ernest Prarond, Histoire de cinq villes, , 520 p. (lire en ligne).