Saultain

commune française du département du Nord

Saultain
Saultain
La mairie.
Blason de Saultain
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Valenciennes
Intercommunalité CA Valenciennes Métropole
Maire
Mandat
Joël Soigneux
2020-2026
Code postal 59990
Code commune 59557
Démographie
Population
municipale
2 553 hab. (2021 en augmentation de 11,92 % par rapport à 2015)
Densité 396 hab./km2
Population
agglomération
333 383 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 20′ 18″ nord, 3° 34′ 37″ est
Altitude Min. 50 m
Max. 95 m
Superficie 6,45 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Valenciennes (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marly
Législatives 20e circonscription du Nord
Localisation
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Saultain
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Saultain
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Saultain
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Saultain

Saultain est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Description modifier

 
L'autoroute A2.

Saultain est un village périurbain du Valenciennois situé à 5 km au sud-ouest de Valenciennes, à 6 km de la frontière franco-belge et à une cinquantaine de kilomètres de su sud-est de Lille.

Son territoire est limité à l'ouest par l'autoroute A2, et la commune est accessible par sa sortie no 23 et par la RD 649 qui relie Valenciennes à Maubeuge.

Saultain est traversé par la route de Valenciennes au Quesnoy et est limité vers l'ouest par un ancien chemin dit des postes qui conduisait en ligne droite d'Onnaing à Famars

.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Saultain
Marly Estreux
 
Aulnoy-lez-Valenciennes Préseau Curgies

Hydrographie modifier

Le village est arrosé par une source située derrière l'ancienne mairie qui détermina sans aucun doute les premiers habitants à s'y établir.

Il est situé entre l'Aunelle et la Rhonelle, tous deux affluents de l'Escaut.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 769 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valenciennes à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records VALENCIENNES (59) - alt : 50m, lat : 50°19'41"N, lon : 3°27'39"E
Records établis sur la période du 01-02-1987 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,4 3,3 5 8,4 11,4 13,5 13,2 10,7 8 4,4 2 6,9
Température moyenne (°C) 3,9 4,5 7,4 10,1 13,6 16,6 18,7 18,6 15,5 11,7 7,3 4,5 11
Température maximale moyenne (°C) 6,4 7,6 11,4 15,1 18,8 21,9 24 24 20,4 15,5 10,2 6,9 15,2
Record de froid (°C)
date du record
−14,9
07.01.09
−13,3
04.02.12
−11,9
13.03.13
−4,9
11.04.03
−1,1
06.05.19
1,1
02.06.06
5
31.07.15
5,6
20.08.14
−0,4
30.09.18
−6,2
24.10.03
−10,1
23.11.1998
−11,6
18.12.10
−14,9
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,3
09.01.15
19,2
26.02.19
23,9
31.03.21
28
20.04.18
31,2
29.05.17
35
28.06.11
40,9
25.07.19
37,2
12.08.03
34,8
15.09.20
28,6
01.10.11
21,8
12.11.1995
16,2
31.12.22
40,9
2019
Précipitations (mm) 54,3 47,3 50,8 41,8 57,9 63,1 66,4 67,6 52,1 60,1 63,9 68,8 694,1
Source : « Fiche 59606004 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saultain est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[10] et 333 383 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76 %), zones urbanisées (16,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports modifier

La commune est desservie par les lignes 1 et 133 du réseau urbain Transvilles et par les lignes 951 et 990 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 4.

Toponymie modifier

Salcem (847), Salcem (899), Saltem (1173), Saltein (1174), Saltaing (1198), Sautaing (1190).

Le suffixe germanique -em (hem, « habitation ») conduit Eugène Mannier à écarter l'origine latine saltus (« bois ») ou salix (« saule ») au profit du germanique *salta- (« sel »)[16],[17].

Le Hainaut, en germanique Hennegau : pays de la Haine, affluent de l'Escaut. Après le traité de Verdun en 843, il fait partie de l'empire Germanique.

Histoire modifier

Les origines modifier

En 1073, Bauduin de Mons réunit entre ses mains, par mariage, les comtés de Valenciennes, de Flandres et de Hainaut. Toujours par mariage, il passera :

– en 1299 dans la maison de Hollande et Zélande ;
– en 1345 dans celle de Bavière.

En 1433, il sera annexé par la maison de Bourgogne puis par les Habsbourg. En 1556, il passe sous la Souveraineté de Philippe II d'Espagne et des Pays Bas. En 1659, par le traité des Pyrénées, une partie du Hainaut (Le Quesnoy, Avesnes, Landrecies) est cédée à la France. En 1679, par le traité de Nimègue, les Espagnols cèdent à la France Valenciennes et Maubeuge.

Les pauvres de Saultain modifier

Les pauvres, les « communs pauvres », disposaient aussi d'un patrimoine foncier, distinct de celui de l'église et de celui du presbytère, et dont l'origine se perd dans la nuit des temps (un contrat de 1286 lui attribue déjà une part d'usufruit et, en 1316, Isabeau de Saultain lui réserva plusieurs legs). Les parcelles de terre en étaient données à bail par adjudication publique. Une bulle du du Souverain Pontife Eugène III fait une mention de l'existence de la paroisse de Saultain. Le village était sous le patronat religieux de Saint-Jean de Valenciennes. L'église paroissiale est vouée à saint Martin depuis le début du XVIe siècle. La paroisse avait :

– son clerc instituteur dès 1318. Il assistait le curé dans son ministère, tenait le lutrin aux messes des défunts, allait à la ville voisine pour le service de l'église. Il instruisait les enfants de la paroisse en lecture et en écriture - 20 élèves en 1761 et 41 en 1785 ;
– son égliseur, qui était un habitant de la paroisse changeant d'une année à l'autre à la Saint-André. Il était chargé de la tenue des comptes des revenus de l'église et des dépenses correspondantes ;
– son marnbourg des pauvres.

Jusqu'en 1789, les terres appartenant à l'église représentaient une superficie de 6 à 7 hectares. Le produit de leur location et celui des rentes provenant de divers legs des messes et des quêtes suffirent toujours à l'entretien de l'église et de son mobilier et même au remboursement d'un emprunt souscrit en 1760 pour la reconstruction de l'église (1759-1760). Cette église, rebâtie en 1759, qui remplaçait l'église primitive construite au même endroit par des moines, fut édifiée en briques façonnées sur place et cuites avec le charbon que le vicomte de Désandrouins venait de trouver à Fresnes. Elle fut vendue, comme bien national, le pour 81 000 francs à J.-B. Laboureau et Michel Derquenne mais fut conservée et rendue ensuite au culte. Le clocher fut reconstruit en 1880, ses 5 cloches ne survécurent pas à la guerre de 1914. Le presbytère actuel a été édifié en 1880.

La commune justice modifier

Le concours simultané des trois seigneurs à prééminenes – Saint Jean, Laidain et Cantain – ou de leurs officiers étaient d'obligation en maintes circonstances[pas clair].

Ils étaient les représentants de l'ordre, ils partageaient la responsabilité de l'ordre public et l'entente demeura traditionnelle entre eux pour la nomination d'un unique sergent. La répartition des tailles et des aides, ou impôts publics, ressortait encore de leur entente.

L'échevinage modifier

Un échevinage existe dès le XIIIe siècle, ses membres étaient au nombre de 7, nommés par les seigneurs à prééminence. Les échevins étaient à proprement parler la « Loy locale », ils étaient aussi juges en matière contentieux et en matière de police[réf. nécessaire].

La charte-loi de Saultain modifier

Le , Saultain est doté par ses seigneurs d'une charte-loi dont le but était de procurer aux habitants une sorte de code pénal.[réf. nécessaire]

En 1450, la superficie du village était de 712 hectares et 654 hectares en 1930 mais la surface cultivée ne dépassait pas, entre 1575 et 1625, une moyenne de 450 à 470 hectares. La population qui était de 219 habitants au début du XVIIIe siècle est passée à 1 170 en 1930, 1 438 en 1975, 1 669 en 1982 et 2 037 en 1990.[réf. nécessaire]

Temps modernes

Le village a disposé d'une gare sur l'ancienne ligne de Valenciennes-Faubourg-de-Paris à Hautmont

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs

La commune se trouve depuis 1824 dans l'arrondissement de Valenciennes du département du Nord.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Valenciennes-Est[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

La commune relève, dans l'ordre judiciaire, du tribunal judiciaire de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, et, dans l'ordre administratif, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur du canton de Marly[19]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la vingtième circonscription du Nord.

Intercommunalité modifier

La ville fait partie de la communauté d'agglomération Valenciennes Métropole, créée en 2000 par la fusion de la communauté de communes de la vallée de l'Escaut, de la communauté de communes du Pays de Condé et du syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVOM) de Trith-Saint-Léger et environs.

Liste des maires modifier

Maire de 1802 à 1807 : M. Carlier[20],[21]. Maire en 1881 : Hannoir[22].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1935 septembre 1939 Arthur Breucq[23] PCF Ouvrier métallurgiste
Conseil municipal suspendu par le gouvernement Daladier à la suite
de la signature du Pacte germano-soviétique
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1964 Arthur Breucq[23] PCF Ouvrier métallurgiste
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989 24 septembre 2007[24] Noël Malvache PS
puis DVG
Ingénieur et universitaire
Président de l'université de Valenciennes (1979 → 1986)
Décédé en fonction
2007 En cours
(au 11 juillet 2020)
Joël Soigneux DVG Retraité
Vice président de la CA Valenciennes Métropole (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[25],[26]

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 2 553 habitants[Note 3], en augmentation de 11,92 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
445555587665800874971953939
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 0531 0601 0181 0081 0431 0641 0141 1311 135
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 2161 2071 1461 1701 1631 1851 1931 1801 453
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
1 4231 4381 6692 0372 0771 9911 9792 1002 398
2021 - - - - - - - -
2 553--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 193 hommes pour 1 242 femmes, soit un taux de 51,01 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,7 
4,2 
75-89 ans
6,0 
15,1 
60-74 ans
15,5 
19,8 
45-59 ans
20,4 
22,2 
30-44 ans
22,6 
18,7 
15-29 ans
15,8 
19,5 
0-14 ans
18,9 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Principaux équipements modifier

 
La Poste.

Manifestations culturelles et festivités modifier

Des festivités ponctuent l'année : les Foulées Printanières en mars, la fête de la St Jean en juin, et le spectacle « Saultain s'illumine » en décembre[réf. nécessaire].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • pigeonnier de la ferme Danjou, classé monument historique ;
  • église Saint-Martin (XVIIIe siècle) ;
  • le calvaire à l'angle de la route de Valenciennes au Quesnoy et du chemin des Wuillons a été béni en 1890.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Les armes de Saultain se blasonnent ainsi : « Bandé d'argent et de gueules de six pièces. »

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saultain et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 891 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le )
  17. Eugène Mannier, Etudes étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du département du Nord, Auguste Aubry, (lire en ligne)
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Décret no 2014-167 du 17 février 2014
  20. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 279, lire en ligne.
  21. « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807. », p. 150-151 (images 180-181)..
  22. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 2-3..
  23. a et b Notice BREUCQ Arthur par Yves Le Maner, version mise en ligne le 20 octobre 2008, dernière modification le 20 octobre 2008
  24. [PDF] « Bulletin municipal d'informations - Décembre 2007 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur saultain.fr, Commune de Saultain,  : « ... Noël Malvache, sa disparition brutale le 24 septembre 2007 a laissé tout le monde sous le choc. ».
  25. M. Lo., « Joël Soigneux veut transformer l’essai, à la tête de Saultain : Le maire de Saultain arrive au terme de son deuxième mandat, qu’il juge marqué par un gros effort sur l’habitat et la création d’activités économiques. Il a d’ores et déjà annoncé sa candidature pour les prochaines municipales », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. P.Frizot, « Saultain: Joël Soigneux réélu avec une équipe renouvelée à moitié : Ce mercredi à Saultain, ni la salle du conseil, trop petite, ni la salle des fêtes, aménagée pour les activités scolaires, ne pouvaient accueillir la réunion du conseil municipal. C’est donc dans la salle des sports et à huis clos que Joël Soigneux, premier adjoint depuis 1989 et maire depuis 2007, a été réélu », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saultain (59557) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Bibliographie modifier

Liens externes modifier

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