Salperwick

commune française du département du Pas-de-Calais

Salperwick
Salperwick
Blason de Salperwick
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Saint-Omer
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer
Maire
Mandat
Michel Martinot
2020-2026
Code postal 62500
Code commune 62772
Démographie
Gentilé Salperwickois
Population
municipale
505 hab. (2021 en augmentation de 1 % par rapport à 2015)
Densité 126 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 46′ 24″ nord, 2° 13′ 58″ est
Altitude Min. 1 m
Max. 71 m
Superficie km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Omer
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Omer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Omer
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Salperwick
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Salperwick
Liens
Site web salperwick.fr

Salperwick est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Cette commune a la particularité d'être construite sur un marais.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 105 142 habitants en 2019.

Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 830 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Watten à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 822,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7].

Dans ce cadre, la commune fait partie de plusieurs espaces protégés :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : le marais de Serques à Saint-Martin-au-Laërt, d’une superficie de 555 hectares et d'une altitude variant de 2 à 6 mètres. Cette ZNIEFF, site touristique, située à l'ouest du marais audomarois, présente des terres entourées d'un important réseau de watergangs[14].

Et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : le complexe écologique du marais Audomarois et de ses versants. Cette ZNIEFF est un élément de la dépression préartésienne, drainé par l’Aa, le marais Audomarois est un golfe de basses terres bordé à l’Ouest par la retombée crayeuse de l’Artois et à l’Est par les collines argileuses de la Flandre intérieure[15].

Site Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].

Sur la commune, un site Natura 2000 de type B est défini en site d'importance communautaire (SIC) : les prairies, marais tourbeux, forêts et bois de la cuvette audomaroise et de ses versants, d'une superficie de 563 ha[17].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Salperwick est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Omer, une agglomération inter-départementale regroupant 23 communes[21] et 74 682 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[22],[23].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[24],[25].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,2 %), zones humides intérieures (21,8 %), prairies (14 %), zones agricoles hétérogènes (8,2 %), zones urbanisées (1,7 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques modifier

Risque inondation modifier

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[27].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Salperwinc [lire : Salperwuic (1096) ; Salperwic (1175) ; Salprewiic (1175) ; Salperwing (1177) ; Salperwiic (1180) ; Saupruick (1251) ; Saubruicq (1282) ; Saupruic d’alès Saint Omer (1286) ; Sauperic (1299) ; Sauprehuic (1300) ; Salperwicus (XIIIe siècle) ; Saupervic (vers 1350) ; Saubruich (1372) ; Saulprewic (XIVe siècle) ; Salprewic (XIVe siècle) ; Salubric (1403) ; Saulpruic (1424) ; Saubruic (1445) ; Sopperwisque (1462) ; Sauperwicq (1464) ; Sapruich (1469) ; Saupprehuict (1479) ; Salpruicq (1480) ; Salbruca (vers 1512) ; Salperwycq (1539-1540) ; Sobruich (1559) ; Solpruike (1560) ; Salpruych (1637-1639) ; Saperwicq (1720) ; Soubruick (1731) ; Salperwich (1739) ; Salpéruick (1774)[28].

Du patronyme, Sahlbert ou Selbericus[29], d’un seigneur local, dont l’origine pourrait elle-même être sylvestre, en référence aux bois et du latin vicus[29], « camp ou village fortifié de Sahlbert ».

Salperwijk en flamand[30].

Histoire modifier

Avant 1789 modifier

Salpervick ou Salperwick est le siège d'une seigneurie dans la société d'ancien régime d'avant la Révolution française.

Le village a également donné son nom à plusieurs nobles qui font partie des personnalités de la localité.

Le , une sentence de noblesse est prise pour Jean Alexandre Vuldre, écuyer, seigneur de Salperwick, domicilié à Saint-Omer, fils d'Alexandre Vuldre, également écuyer, capitaine au service du roi d'Espagne[31].

Famille de Salperwick modifier

  • Hugues de Salperwick et son fils assistent, vers 1170-1174, à Guînes, à la lecture publique des lettres du comte de Guînes Baudouin II de Guînes, énonçant l'accord entre l'abbaye Saint-Médard d'Andres et Guillaume du pays de Bredenarde[32]. En 1174, Hugues assiste de nouveau à une assemblée des barons de Guînes pour la confirmation par Baudouin II de Guînes de donations à l'abbaye de Clairmarais[32].
  • Eustache de Salperwick est en 1217 un des douze pairs (pairie) de l'évêque de Thérouanne[33].
  • Noël de Salpervicq, seigneur de Crehon, est reconnu noble le . Ses armes sont « Aux 1 et 4 d'argent à une aigle de sinople à deux têtes, membrée de gueules, aux 2 et 3 d'argent à un char de sable »[34].
  • En 1702, Louis de Salperwick est l'époux d'Antoinette Philippe de Bassecourt, sœur de Jean-Baptiste de Bassecourt. N'ayant pas d'héritier, Jean-Baptiste de Bassecourt, fait marquis de Grigny en 1690 par le roi d'Espagne, donne la terre de Grigny et le titre de marquis, par acte passé à Naples le , à Antoinette Philippe de Bassecourt, sa sœur pour en jouir après sa mort et la laisser ensuite à François de Salperwick, son fils et neveu de Jean-Baptiste de Bassecourt[35]. En , par lettres données à Fontainebleau le roi de France Louis XIV confirme le titre et la donation, en incorporant dans le marquisat de Grigny, les terres de Fresnoy, Quisy, Marconnelle. François de Salperwick a épousé Marie Charlotte de Harchies, et en accord avec elle, en 1705, il consent à ce qu'Antoinette Philippe de Bassecourt, jouisse sa vie durant de la terre de Grigny. François est seigneur de Fresnoy, Crehem, Hestruval, Plumoison, Quichy, Ristade, Marconnelle, Héricourt et Leuzeux, mousquetaire de la seconde compagnie de la garde du roi, commandée par le sieur de Jouvelle et il a participé à la prise de Valenciennes, Cambrai, Saint-Omer, ainsi qu'à la bataille de Cassel (guerre de Hollande et traités de Nimègue)[36]. La famille de Salperwick a gardé le fief de Grigny jusqu'à la Révolution française.

Depuis 1789 modifier

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités modifier

La commune est membre de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer.

Circonscriptions administratives modifier

La commune est rattachée au canton de Saint-Omer.

Circonscriptions électorales modifier

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la huitième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983   Joseph Thomas    
mars 1989 2001 Jean Mesmacque    
mars 2001 2009[37] André Darques   Démissionnaire
10 septembre 2009[37] 2014[38] Jean-Pierre Geersen DVD Ancien maraîcher
mars 2014 En cours
(au 6 avril 2022)
Michel Martinot   Salarié d’Arc Holdings[39],[40],[41]
Réélu pour le mandat 2020-2026[42],[43]

Équipements et services publics modifier

Postes et télécommunications modifier

La commune, avec trois autres communes voisines que sont Saint-Omer, Tilques et Serques, a la particularité, unique en France, d'avoir le courrier distribué par un facteur en barque pour une partie des habitants demeurant dans le marais[44].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].

En 2021, la commune comptait 505 habitants[Note 5], en augmentation de 1 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
245240236266317321359340352
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
312394420423454448404431406
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
377333296304298287306308290
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
251261302291294486495506495
2021 - - - - - - - -
505--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 248 hommes pour 237 femmes, soit un taux de 51,13 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[49]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
2,3 
4,2 
75-89 ans
4,5 
17,7 
60-74 ans
16,0 
30,1 
45-59 ans
31,2 
15,6 
30-44 ans
17,1 
15,3 
15-29 ans
13,0 
17,1 
0-14 ans
15,9 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[50]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Monument historique modifier

  • Le château de Salperwick, également dénommé château de Saubruit. Les bâtiments du château en totalité, y compris les décors intérieurs ; le parc (cad. AD 2, 3, 5 à 10) : inscription au titre des monuments historiques par arrêté du .

Autres monuments modifier

  • Le monument aux morts des guerres 1914-1918 et 1939-1945.
  • L'église Notre Dame de la Bonne Fin.

Personnalités liées à la commune modifier

Passage à Salperwick modifier

  • Le roi Henri VIII d'Angleterre, qui a débarqué à Calais le , s’arrête à Salperwick et y dort le . Il loge dans ce qui s'appelait alors la cense de Saubruit, devenue depuis le château de Saubruit[51]. Il était en route pour le siège de Thérouanne, et la Journée des Éperons : bataille de Guinegatte, .
  • Lazare Carnot, "l'Organisateur de la Victoire" s'est marié à Salperwick le . Il y avait épousé Sophie Dupont de Moringhem, dont les parents habitaient le château de la Tour Blanche, situé sur la commune voisine[52]. Les jeunes mariés ont profité de la vente des biens nationaux au château de Saubruit, pour y acquérir l'essentiel de leur mobilier de ménage.
  • Napoléon 1er, après avoir quitté Boulogne, s'est arrêté et a logé au château de Salperwick du 26 au . Il mit à profit son séjour pour visiter la garnison de Saint-Omer. Après son départ, le château servit de quartier général pour le camp de Boulogne, au général Bertrand[53].
  • Le Duc d'Orléans, fils du Roi Louis-Philippe 1er, se rendit au château, le , pour visiter l'élevage expérimental de moutons Texel de M. Marescaux, propriétaire des lieux.

Héraldique modifier

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

de gueules à la fasce d’or surmonté d’un lambel de cinq pendants du même.

Pour approfondir modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Salperwick et Watten », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Watten » (commune de Watten) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Watten » (commune de Watten) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  8. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « espace protégé FR1100774 - Marais Audomarois - Conservatoire du Littoral », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « espace protégé FR6300012 - Marais Audomarois - zone centrale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « espace protégé FR6400012 - Marais Audomarois - zone tampon », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « espace protégé FR6500012 - Marais Audomarois - zone de transition », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « espace protégé FR7200030 - Marais Audomarois - zone humide », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310013356 - Marais de Serques à Saint-Martin-au-Laërt », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310013353 - Le complexe écologique du Marais Audomarois et de ses versants », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. (en) « The Natura 2000 protected areas network », sur European Environment Agency (consulté le ).
  17. « Natura 2000 FR3100495 - Prairies, marais tourbeux, forêts et bois de la cuvette audomaroise et de ses versants », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Unité urbaine 2020 de Saint-Omer », sur insee.fr (consulté le ).
  22. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Omer », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  27. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
  28. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 351.
  29. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 975.
  30. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  31. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 55, lire en ligne
  32. a et b André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 69, lire en ligne.
  33. P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 985, lire en ligne.
  34. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, (lire en ligne), p. 4.
  35. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 56, lire en ligne
  36. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 68, lire en ligne
  37. a et b Chr. D., « D'Ablain-Saint-Nazaire à Zutkerque : les maires du Pas-de-Calais jusqu'en mars 2014 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur echo62.com, (consulté le ).
  38. Marie Jansana, « Bilan des maires à Salperwick avec Jean-Pierre Geersen: le grand projet réalisé, il ne se représentera pas : Jean-Pierre Geersen l’a annoncé lors du dernier conseil municipal, il renoncera à son fauteuil, en mars 2014. « Il faut savoir laisser la place. » L’œuvre de son unique mandat aura été la réalisation du complexe en face de la mairie. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Salperwick : premier mandat en tant que maire pour Michel Martinot : Un seul tour aura suffi à Michel Martinot et sa liste, « Salperwick, notre village », pour former le conseil municipal. Dimanche, à l’école et devant une centaine d’habitants, il s’est réuni pour élire son maire et ses adjoints. Seul en lice pour le poste de premier magistrat, Michel Martinot a récolté quatorze voix sur quinze (un bulletin blanc) et s’est ainsi vu passer l’écharpe tricolore par son prédécesseur, Jean-Pierre Geersen. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  41. Marie Jansana, « Effacer les années mouvementées au conseil municipal de Salperwick, l’objectif du nouveau maire Michel Martinot : Le 30 mars, Michel Martinot, salarié d’Arc International, a pris la succession de Jean-Pierre Geersen, dont il était premier adjoint. Entré au conseil municipal en 1989, le nouveau maire, âgé de 48 ans, s’appuie sur une expérience de vingt-cinq ans de conseil municipal », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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