Saint-Souplet
Saint-Souplet | |||||
Vue de Saint-Souplet. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Cambrai | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Caudrésis - Catésis | ||||
Maire Mandat |
Henri Quoniou 2020-2026 |
||||
Code postal | 59360 | ||||
Code commune | 59545 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sulpiciens | ||||
Population municipale |
1 203 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 95 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 03′ 19″ nord, 3° 31′ 53″ est | ||||
Altitude | Min. 101 m Max. 161 m |
||||
Superficie | 12,66 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Le Cateau-Cambrésis (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Cateau-Cambrésis | ||||
Législatives | Dix-huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
modifier |
Saint-Souplet, également appelée Saint-Souplet-Escaufourt, est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Le gentilé de ses habitants est Sulpiciens. Le nom jeté en est les Minteux (menteurs en ch'ti).
Géographie modifier
Saint-Souplet-Escaufourt est située sur la route départementale 115. Elle fait partie du canton du Cateau-Cambrésis, à 6 km du Cateau, 30 km au sud-est de Cambrai et à 86 km de Lille.
Situé au sud du Cateau-Cambrésis et au seuil de l'Avesnois, le village de Saint-Souplet est entouré par les paysages naturels du Hainaut : prairies bordées de haies bocagères et vastes étendues de champs cultivés. Il s'étend le long de la Selle, rivière qui prend sa source à Molain dans l'Aisne et serpente sur près de 50 kilomètres dans le Département du Nord. De nombreuses espèces d'arbres sont présentes sur ses berges, que domine l'église de briques du village. Elle dispose également d'un hameau important sur son territoire, La-Haie-Menneresse.
Communes limitrophes modifier
Climat modifier
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 803 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 28 km à vol d'oiseau[3], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme modifier
Typologie modifier
Saint-Souplet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Cateau-Cambrésis, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols modifier
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,1 %), prairies (16,7 %), zones urbanisées (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), forêts (3,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie modifier
Le village est mentionné sous les noms de Sanctus Sulpicius en 1151 dans le cartulaire de l'abbaye de Vaucelles, Saint Souplec en 1155, Sanctus Supplicius en 1349[13]. Selon Boniface il porta d'abord le nom de Pomeriolæ ou Pomereuil[14]. Il doit son nom à Sulpice, son saint patron.
Histoire modifier
Saint-Souplet doit donc son nom à son patron saint Sulpice le Pieux archevêque de Bourges au VIIIe siècle dont il n'est qu'une corruption. Ce n'est pas le seul nom que la localité ait porté. Si l'on en croit le chroniqueur Baldéric, chantre de Thérouanne au XIe siècle, après son supplice en 670, sainte Maxellende de Caudry fut inhumée dans l'église du village, qui s'appelait alors Sanctus Sulpitius Pomeriolas, Saint-Sulpice-Pommereul[15].
Le bréviaire parle en ces termes du lieu de sépulture de sainte Maxellende : Sepulta primum in basilica beatorum Petri et Pauli et Sancti Sulpitii apud Villam cui nomen Pomeriolas - ensevelie en premier lieu dans la basilique des bienheureux Pierre et Paul et saint Sulpice près du domaine nommé Pomeriolas. Cette juxtaposition nous laisse supposer que le nom primitif de la localité était Pomeriolas.
Ce nom de Pomeriolas vient du latin pommorum brolium, qui signifie "la pommeraie". Selon Alexandre-Guillaume Chotin les villages du Pommereuil situé à 11 km de Saint Souplet et de Pommerœul dans le Hainaut belge ont la même étymologie[16]. Ceci permet de penser que la localité tient son origine de l'époque gallo-romaine. Cette hypothèse est renforcée par la mention du bréviaire ci-dessus qui parle d'une villa, c'est-à-dire d'un domaine foncier, en somme d'une ferme gallo-romaine.
Au VIIe siècle, du temps de Maxellende, ce domaine appartenait à une très riche veuve nommée Amaltrude qui finit par en faire don à l'évêque de Cambrai Vindicien[17].
Le nom de Saint-Souplet prévaut définitivement dès le XIIe siècle où nous le voyons porté par une illustre famille originaire de Saint-Souplet et à laquelle appartenait Guillaume, seigneur de Saint-Souplet en 1151.
Saint-Souplet eut son importance au début de l'histoire de France. Elle faisait la limite du Pays des Nerviens célèbres pour leurs luttes avec les armées romaines. Une chaussée gauloise la traverse dans toute son étendue, longeant la rivière la Selle jusqu'aux sources de l'Oise. Au VIIIe siècle, Charlemagne lui confirme ses immunités et ses privilèges. Saint-Souplet eut ses châteaux au Moyen Âge, dont deux châteaux forts qui furent assiégés, pris et détruits par Louis XIII en guerre avec l'Espagne. Il n'en reste aucune trace.
En 1272, Enguerrand de Coucy vendit la Seigneurie à Marguerite II Comtesse de Flandre.
En 1283, Guillaume II Comte de Flandre en fait hommage à l'évêque de Cambrai.
En 1336, Philippe de Valois Roi de France l'achète.
Au traité de Conflans le , Louis XI la céda à Charles comte de Charolais avec les villes de la Somme.
Après son retour au royaume Louis XII la donna au seigneur de la Grüthuse.
En 1566, un pasteur protestant fut arrêté à Saint-Souplet. Le Cambrésis et le Vermandois voisin ont accueilli la Réforme avec un certain enthousiasme. Notre village ne semble pas avoir fait exception. Le jour de la Pentecôte 1566, un ancien prêtre catholique nommé Jacques Grégoire, un des ministres de l'Église réformée de Tupigny, à 16 km de Saint-Souplet, était venu célébrer le culte chez un habitant pour les villageois professant la foi protestante. Le temps de la tolérance n'était pas encore venu, le mayeur et les échevins l'arrêtèrent et le conduisirent au Cateau-Cambrésis, où il fut emprisonné avant d'être transféré à Cambrai[18].
En 1789, au seuil de la Révolution française, le village appartenait au marquis de Wargnies de la famille d'Anneux.
En 1791, le curé Jean-François Dagneau, né à Iwuy en 1714 et installé à Saint-Souplet le , refusa de prêter le serment à la constitution civile du clergé. Il fut déposé de sa fonction, mais il passa une retraite paisible dans la paroisse, où il mourut le (15 fructidor an IV), âgé de 82 ans. Le dernier acte, un baptême, qu'il signa aux registres paroissiaux est daté du . Le curé constitutionnel Jacques Antoine Dollé fut rapidement nommé à la place de monsieur Dagneau, il signa l'acte d'une inhumation le . Une rue du village porte son nom jusqu'à nos jours[19].
Durant la Première Guerre mondiale, la bataille de la Selle eut lieu les 17 et à Saint-Souplet. La Selle, affluent de l'Escaut aux eaux vives et tumultueuses, long de 37 km, constitua un obstacle majeur pour les Alliés lors de leur offensive, faisant du Cateau un bastion difficile à enlever. Les dégâts et pertes en vies humaines sont lourds. Les cimetières du Catésis en portent aujourd'hui l'amer témoignage.
Durant la Seconde Guerre mondiale, Saint-Souplet fit partie, dès janvier 1943, du fameux maquis de Mazinghien, groupe très organisé de 300 résistants, qui depuis une dizaine de communes limitrophes du Nord et de l'Aisne menèrent la vie dure à l'ennemi jusqu'à la Libération. Beaucoup d'actions d'éclat sont à leur actif.
En 1973, elle absorbe Escaufourt, située auparavant dans l'Aisne. La commune prend le nom de Saint-Souplet-Escaufourt.
Héraldique modifier
Les armes de Saint-Souplet se blasonnent ainsi : D'or à trois croissants de gueules. Le blason de la commune est celui des d'Anneux, marquis de Wargnies-le-Petit et seigneurs de Saint-Souplet. |
Politique et administration modifier
Maire de 1802 à 1807 : Jacq. Rousseau[21],[22].
Maire en 1881 : Delay[23].
Population et société modifier
Démographie modifier
Évolution démographique modifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].
En 2021, la commune comptait 1 203 habitants[Note 3], en diminution de 2,98 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges modifier
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,5 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 631 hommes pour 597 femmes, soit un taux de 51,38 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Linguistique modifier
Il y a quelques dizaines d'années, les anciens du village parlaient encore un dialecte appartenant à l'aire linguistique du picard du Nord. Étant donné la situation géographique limitrophe de la localité, le parler local a subi des influences des parlers du Vermandois, du Hainaut et de la Thiérache. Les villages voisins de Saint-Martin-Rivière et de Saint-Benin parlaient le même dialecte sans variation. En revanche le parler d'Escaufourt connaissait des légères différences, comme l'imparfait en "eut" plutôt qu'en "ot" : i diseut / i disot.
Contrairement aux idées reçues, le picard n'est pas une déformation du français, mais bien une langue à part entière. De nos jours, bien peu de personnes sont capables de parler picard correctement et ceux qui croient s'exprimer en « ch'ti » dans le village, fabriquent un affreux mélange de français et de langue locale. On ne peut que le regretter, car lorsqu'une langue meurt, c'est une culture qui disparaît.
I falot qu'cha fuche dit !
Lieux et monuments modifier
- Église Saint-Sulpice
- Brasserie-malterie Macaigne Page[30]
- Saint-Souplet British Cemetery
Escaufourt modifier
Le nom d'Escaufourt viendrait de fours à chaux. Au XIIe siècle, Escaufourt était de la paroisse d'Honnechy. Avant la fusion avec la commune de Saint-Souplet en 1973, Escaufourt était une enclave de l'Aisne dans le Nord. Le nom jeté des habitants d'Escaufourt est les Grosses Tiètes (les grosses têtes)[31].
-
La place d'Escaufourt. -
L'église d'Escaufourt. -
Le monument aux morts d'Escaufourt. -
L'ancienne mairie d'Escaufourt aujourd'hui désaffectée. -
La chapelle Notre-Dame de la Paix et l'entrée du lieu-dit "Le Vent de Bise".
- Blason des seigneurs d'Escaufourt
Les armes des seigneurs d'Escaufourt se blasonnaient ainsi[32] : De gueules, à 3 chevrons d'or, au lambel de 4 pendants du même. |
Personnalités liées à la commune modifier
Escaufourt fut marqué par ses instituteurs, secrétaires de mairie. Tout d'abord M. Raimbaut, puis M. Amédée Soufflet (1920-1981) qui est resté, ainsi que son épouse, de 1945 à 1967 dans cette petite commune de l'Aisne.
Pour approfondir modifier
Bibliographie modifier
- Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne)
- Eugène Mannier, Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du département du Nord, Paris, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur, (lire en ligne).
Articles connexes modifier
Liens externes modifier
Notes et références modifier
Notes modifier
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes modifier
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références modifier
Insee modifier
- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
Autres références modifier
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Souplet et Saint-Hilaire-sur-Helpe », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Cateau-Cambrésis », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Mannier 1861, p. 306.
- Boniface 1866, p. 280.
- Chronique d'Arras et de Cambrai, par Balderic, chantre de Térouane au XIe siècle [1]. Une traduction française approximative peut être trouvée sur ce document, p.66 [2]
- Etudes étymologiques et archéologiques sur les noms de villes, bourgs ... Par Alexandre-Guillaume Chotin, 1858, p. 82 [3]
- Les sociétés européennes du milieu du VIe à la fin du IXe siècle, p.17-19 [4]
- Bulletin de la Société de l'Histoire du Protestantisme français, 1854, Numéros 5, 6 et 7, p. 258
- Monographie de Saint Souplet, abbé Duwez, 1900
- Source: Cambrésis terre d'histoire
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 275, lire en ligne.
- « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807. », p. 150-151 (images 180-181)..
- « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 2.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Souplet (59545) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Notice no IA59000123, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- J.-N. D., « Les Bafious de Saint-Benin, une histoire de bavardage », lavoixdunord.fr, (consulté le ).
- Dictionnaire historique du département de l'Aisne Par Maximilien Melleville - Publié par M. Melleville, 1865 - p. 362