Saint-Sigismond (Maine-et-Loire)

ancienne commune française du département de Maine-et-Loire

Saint-Sigismond
Saint-Sigismond (Maine-et-Loire)
Le centre du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Segré
Statut commune déléguée
Code postal 49123
Code commune 49321
Démographie
Gentilé Saint-Sigismondais
Population 390 hab. (2021 en augmentation de 5,69 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 27′ 16″ nord, 0° 56′ 29″ ouest
Altitude 68 m
Min. 24 m
Max. 86 m
Superficie 12,72 km2
Élections
Départementales Canton de Chalonnes-sur-Loire
Législatives Septième circonscription
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Ingrandes-le-Fresne-sur-Loire
Localisation
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Saint-Sigismond
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Saint-Sigismond
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Saint-Sigismond

Saint-Sigismond est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Le , elle devient une commune déléguée d'Ingrandes-le-Fresne-sur-Loire.

Géographie modifier

Localisation modifier

Commune angevine du Segréen, Saint-Sigismond se situe au sud-ouest de Villemoisan en limite du département de la Loire-Atlantique, sur les routes D 102, Villemoisan, et D 25, Loireauxence[1].

Son territoire se situe sur les unités paysagères des marches du Segréen et du plateau du Segréen[2].

Évolution du territoire modifier

Le , la commune nouvelle d'Ingrandes-Le Fresne sur Loire est créée sous le régime de la commune nouvelle en lieu et place des communes d'Ingrandes (49160) et du Fresne-sur-Loire (49382)[3]. Cette opération a nécessité un décret en Conseil d'État () modifiant les limites départementales afin que la commune du Fresne-sur-Loire passe dans le ressort du département de Maine-et-Loire[4]. La fusion a été ensuite officialisée par un arrêté préfectoral du .

Le , la commune d'Ingrandes-le-Fresne-sur-Loire est créée sous le même régime par fusion des communes de Ingrandes-Le Fresne sur Loire et Saint-Sigismond par arrêté préfectoral du [5]. Les deux anciennes communes deviennent communes déléguées. Le chef-lieu est fixé à la mairie d'Ingrandes-Le Fresne sur Loire[5].

 
de 2016 à 2023.
 
Depuis le

Climat modifier

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

  • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 709 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Pommeraye », sur la commune de Mauges-sur-Loire, mise en service en 1980[12] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 670,9 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le département de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et à 60 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[16], à 12,5 °C pour 1981-2010[17], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[18].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Sigismond est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22],[23].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,2 %), prairies (37,8 %), zones agricoles hétérogènes (12,1 %), forêts (3,6 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Ecclesia Sancti Sigismundi en 1080-1096. Durant la Révolution, la commune porte le nom de Val-d'Auxance[25],[26].

Histoire modifier

Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépend du doyenné de Candé et de l'élection d'Angers[27].

À la suite de l'arrêté préfectoral no 2023-113 du portant création de la commune nouvelle d'Ingrandes-le-Fresne-sur-Loire, la commune de Saint-Sigismond fusionne avec Ingrandes-Le Fresne sur Loire et devient une commune déléguée d'Ingrandes-le-Fresne-sur-Loire au [28].

Politique et administration modifier

Administration municipale modifier

 
La mairie de Saint-Sigismond.
Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1908   Jean-Baptiste Barbarin    
juillet 1933   René Doucet    
mai 1935   Jean Babin    
octobre 1947   Julien Jamet    
décembre 1974   Antoine Chauvrière    
mars 1977 1995 Jean Boisneau    
1995   René Lore    
mars 2008 mai 2020 Jean Sotty[30]    
mai 2020 Jean-Pierre Boisneau[31]    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité modifier

La commune est membre de la communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou. Elle était précédemment membre de la communauté de communes Ouest-Anjou[32], elle-même membre du syndicat mixte Pays de l'Anjou bleu, Pays segréen.

Autres circonscriptions modifier

Jusqu'en 2014, Saint-Sigismond fait partie du canton du Louroux-Béconnais et de l'arrondissement d'Angers[33]. Ce canton compte alors dix communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Chalonnes-sur-Loire, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[34].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

En 2021, la commune comptait 390 habitants[Note 6], en augmentation de 5,69 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
518470435520480494524539560
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
601600568562543558586593563
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
538507453421403409394328315
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
306267256266312368376365381
2021 - - - - - - - -
390--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,5 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 177 hommes pour 207 femmes, soit un taux de 53,91 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,5 
1,1 
75-89 ans
3,8 
15,1 
60-74 ans
12,0 
19,8 
45-59 ans
21,8 
26,8 
30-44 ans
18,7 
14,8 
15-29 ans
17,6 
21,9 
0-14 ans
25,7 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
6,9 
75-89 ans
9,4 
16 
60-74 ans
16,8 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,3 
30-44 ans
17,5 
18,7 
15-29 ans
17,6 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Économie modifier

Sur 24 établissements présents sur la commune à fin 2010, 29 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 25 % du secteur de la construction, 25 % de celui du commerce et des services et 13 % du secteur de l'administration et de la santé[39]. Fin 2015, sur les 25 établissements actifs, 16 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 12 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 52 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[40].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'église de Saint-Sigismond.
  • Église de Saint-Sigismond.

Personnalités liées à la commune modifier

Noëlla Rouget, née Peaudeau (1919-2020), résistante et déportée a vécu à Saint-Sigismond de mars 1946 à août 1947, chez son frère Georges, alors curé de la paroisse. Le , elle épouse le Genevois André Rouget, à la mairie de Saint-Sigismond, avant de s'établir à Genève (Suisse), jusqu'à son décès en 2020[41],[42].

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : S-Z, t. 4, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376, lire en ligne), p. 238-240.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. IGN et BRGM, Géoportail Saint-Sigismond (49), consulté le 11 novembre 2012.
  2. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 56 — Données consultables sur WikiAnjou.
  3. « Métadonnées de la commune d'Ingrandes-Le Fresne sur Loire », sur insee.fr (consulté le ).
  4. Décret no 2015-1751 du 23 décembre 2015 portant modification des limites territoriales de cantons, d'arrondissements et de départements dans la Loire-Atlantique et le Maine-et-Loire
  5. a et b « Recueil des Actes Administratifs du Maine-et-Loire N°161 du 17 Novembre 2023 » [PDF].
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
  8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  11. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  12. « Station Météo-France La Pommeraye - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Orthodromie entre Saint-Sigismond et Mauges-sur-Loire », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France La Pommeraye - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Orthodromie entre Saint-Sigismond et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  17. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  18. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  25. Célestin Port 1996, p. 238, formes anciennes du nom.
  26. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 184.
  27. Célestin Port 1996, p. 238-240.
  28. Préfecture du Maine-et-Loire, « Recueil des actes administratifs no 161 du  » [PDF], p. 7-9
  29. Célestin Port 1996, p. 239, liste des maires jusqu'en 1995.
  30. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
  31. « Saint-Sigismond (49123). Premier conseil municipal pour les nouveaux élus », sur Ouest-France, (consulté le ).
  32. Insee, Composition de l'EPCI d'Ouest Anjou (244900858), consulté le 8 décembre 2013
  33. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Saint-Sigismond (49), consultée le 15 février 2015
  34. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Sigismond (49321) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  39. Insee, Statistiques locales du territoire de Saint-Sigismond (49), consultées le 20 mai 2013
  40. « Dossier complet - Commune de Saint-Sigismond (49321) », sur Insee, (consulté le ).
  41. Brigitte Exchaquet-Monnier & Eric Monnier, Noëlla Rouget la déportée qui a fait gracier son bourreau, Paris, Tallandier, , 253 p. (ISBN 979-10-210-4482-1), p. 128-132.
  42. « Maine-et-Loire. L’Angevine qui fit gracier son tortionnaire : la « belle vie » de Noëlla Rouget », sur Le Courrier de l'Ouest, .