Saint-Séverin-d'Estissac

commune française du département de la Dordogne

Saint-Séverin-d'Estissac
Saint-Séverin-d'Estissac
Le village de Saint-Séverin-d'Estissac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord
Maire
Mandat
Sébastien Schaller
2020-2026
Code postal 24190
Code commune 24502
Démographie
Population
municipale
90 hab. (2021 en diminution de 14,29 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 03′ 04″ nord, 0° 28′ 35″ est
Altitude Min. 111 m
Max. 202 m
Superficie 5,31 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Isle
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Séverin-d'Estissac
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Saint-Séverin-d'Estissac
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Saint-Séverin-d'Estissac
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Saint-Séverin-d'Estissac

Saint-Séverin-d'Estissac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Généralités modifier

La commune de Saint-Séverin-d'Estissac est située dans le Landais, une des régions naturelles du Périgord. Elle est arrosée par la Crempsoulie, un mince sous-affluent de l'Isle.

Environ 600 mètres à l'est de l'intersection des routes départementales 39 et 39E, le bourg de Saint-Séverin-d'Estissac est établi sur une hauteur en rive gauche de la Crempsoulie. Il est situé, en distances orthodromiques, cinq kilomètres au sud de Neuvic et six kilomètres à l'ouest de Villamblard.

Communes limitrophes modifier

 
Carte de Saint-Séverin-d'Estissac et des communes avoisinantes.

Saint-Séverin-d'Estissac est limitrophe de cinq autres communes.

Communes limitrophes de Saint-Séverin-d'Estissac
Neuvic Vallereuil
Sourzac  
Issac Saint-Jean-d'Estissac

Géologie et relief modifier

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Séverin-d'Estissac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5d, date du Campanien 4, des calcaires crayo-marneux grisâtres et des calcaires graveleux bioclastiques à orbitoides. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

 
Carte géologique de Saint-Séverin-d'Estissac.

Relief et paysages modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 111 mètres[5] à l'ouest, là ou la Crempsoulie quitte la commune et entre sur celle de Sourzac, près du lieu-dit Fonmoure, et 202 mètres[5],[6] à l'est, au lieu-dit les Brendes[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 5,31 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 5,26 km2[3].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Séverin-d'Estissac.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Crempsoulie et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 5,5 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Crempsoulie, d'une longueur totale de 9,91 km, prend sa source à Saint-Jean-d'Estissac et se jette dans la Crempse en rive droite en limite de Bourgnac et d'Issac[16],[17]. Elle arrose la commune sur quatre kilomètres, dont plus d'un kilomètre sert de limite naturelle au nord-est face à Vallereuil.

Gestion et qualité des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 911 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bergerac à 22 km à vol d'oiseau[23], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,9 mm[24],[25]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[26].

Milieux naturels et biodiversité modifier

L'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) indique que le site « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »[27] concerne la commune mais dans les faits, Saint-Séverin-d'Estissac n'a rien à voir avec lui. Étant située à plus de trente kilomètres du point le plus proche de cette zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), il s'agit d'une confusion avec la commune de Saint-Séverin, en Charente.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Séverin-d'Estissac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[28],[29],[30]. La commune est en outre hors attraction des villes[31],[32].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,3 %), zones agricoles hétérogènes (13,5 %), prairies (12,2 %)[33]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits modifier

Outre le petit bourg de Saint-Séverin-d'Estissac proprement dit, la commune se compose de quelques autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[34] :

  • les Brendes
  • les Farges
  • le Fournet
  • les Jonies
  • Lannégré
  • le Nègre
  • les Petits Clauds
  • Raysses
  • le Terme
  • Vert de Bost.

Prévention des risques modifier

Le territoire de la commune de Saint-Séverin-d'Estissac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].

Saint-Séverin-d'Estissac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[37]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[38],[39].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Séverin-d'Estissac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[40]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[41]. 94 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[42].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2018, par la sécheresse en 1992 et par des mouvements de terrain en 1999[35].

Toponymie modifier

Le nom de la commune se réfère à saint Séverin, évêque de Bordeaux au Ve siècle[43]. La seconde partie du nom correspond à l'ancienne châtellenie d'Estissac[43].

En occitan limousin[44], la commune porte le nom de Sent Sieurin d'Estiçac[45].

Histoire modifier

La première mention écrite connue du lieu figure dans un pouillé du XIIIe siècle et concerne son église (disparue) sous la forme Sanctus Severinus, archip. de Novovico[43],[46].

Le 9 thermidor de l'an II, le curé de Saint-Séverin-d'Estissac est guillotiné à Périgueux[47].

Lors de la Première Guerre mondiale, deux hommes de la commune sont morts pour la France[48].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Dès 1790, la commune de Saint-Séverin-d'Estissac a été rattachée au canton de Neuvic qui dépendait du district de Mussidan jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Ribérac qui disparaît en 1926, puis à l'arrondissement de Périgueux[5].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , le canton de Neuvic disparaît aux élections départementales de mars 2015[49]. La commune est alors rattachée au canton de la Vallée de l'Isle, dont le bureau centralisateur reste fixé à Neuvic.

Intercommunalité modifier

Fin 2003, Saint-Séverin-d'Estissac intègre la communauté de communes de la Moyenne Vallée de l'Isle créée sept ans auparavant. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord.

Administration municipale modifier

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[50],[51].

Liste des maires modifier

 
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1959 1995 Roger Adrien Bordier    
1995 mars 2014 Daniel Delord DVG[52] Employé du BTP
mars 2014[53]
(réélu en mai 2020)
En cours Sébastien Schaller    

Équipements et services publics modifier

Justice modifier

En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Séverin-d'Estissac relève[54] :

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[56].

En 2021, la commune comptait 90 habitants[Note 5], en diminution de 14,29 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
138144177147175166173155158
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
174160170148158146133144144
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
132116111110105102976177
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
776551565551636580
2014 2019 2021 - - - - - -
1019090------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Emploi modifier

En 2015[58], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent cinquante-deux personnes, soit 49,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (cinq) a augmenté par rapport à 2010 (un) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,0 %.

Établissements modifier

Au , la commune compte huit établissements[59], dont trois au niveau des commerces, transports ou services, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et un dans la construction[60].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'église Saint-Séverin.

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Séverin-d'Estissac » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références modifier

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Saint-Séverin-d'Estissac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Séverin-d'Estissac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
  4. « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
  5. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. « Les Brendes » sur Géoportail (consulté le 6 juillet 2022)..
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Séverin-d'Estissac », sur le site de l'Insee (consulté le )
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
  15. « Fiche communale de Saint-Séverin-d'Estissac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
  16. « Confluence Crempsoulie-Crempse au nord de Peyrifol » sur Géoportail (consulté le 17 octobre 2022)..
  17. Sandre, « la Crempsoulie »
  18. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
  20. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  21. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  22. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  36. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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  43. a b et c Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 369.
  44. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 15.
  45. Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Sieurin d'Estiçac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
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  47. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome I, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-341-3), p. 186.
  48. Grégoire Morizet, « Un monument pour ceux qui sont morts », Sud Ouest édition Périgueux, 11 novembre 2015, p. 17.
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