Saint-Priest-en-Jarez

commune française du département de la Loire

Saint-Priest-en-Jarez
Saint-Priest-en-Jarez
L'Église Saint-Prix.
Blason de Saint-Priest-en-Jarez
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Saint-Étienne
Intercommunalité Saint-Etienne Métropole
Maire
Mandat
Christian Servant
2020-2026
Code postal 42270
Code commune 42275
Démographie
Gentilé Mounards
Population
municipale
6 164 hab. (2021 en diminution de 0,18 % par rapport à 2015)
Densité 2 008 hab./km2
Population
agglomération
374 643 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 28′ 30″ nord, 4° 22′ 44″ est
Altitude Min. 437 m
Max. 590 m
Superficie 3,07 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Étienne
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Étienne
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Étienne-5
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Priest-en-Jarez
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Saint-Priest-en-Jarez
Liens
Site web http://www.saint-priest-en-jarez.fr/

Saint-Priest-en-Jarez (prononcé [sɛ̃pʁijɛ ɑ̃ ʒaʁɛ]) est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ses habitants sont les Mounards.

Le nom de Saint-Priest-en-Jarez viendrait d'un ermite qui s'appelait Saint-Priest et qui a vécu dans une grotte, sur une colline en 666[1].

Géographie modifier

Saint-Priest est située à 5 km de Saint-Étienne[2].

Communes limitrophes modifier

Géologie modifier

La commune s'étend sur 307 hectares. Son altitude varie de 437 à 590 mètres[3].

Les niveaux siliceux du crêt de Saint-Priest-en-Jarez marquent des dépôts alternes renfermant des structures semblables à des geysérites[4]. Ces dépôts hydrothermaux, attribuables à un ancien geyser, témoignent de l'activité volcanique que connut la région au Stéphanien.

Le territoire communal est en grande partie situé sur une colline, ainsi le vieux bourg culmine à 605 mètres d'altitude[réf. nécessaire].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 735 mm, avec 8,7 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Étienne », sur la commune de Saint-Étienne à 5 km à vol d'oiseau[7], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 793,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Statistiques 1991-2020 et records SAINT-ETIENNE (42) - alt : 640m, lat : 45°26'07"N, lon : 4°22'05"E
Records établis sur la période du 01-06-2002 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,2 −0,1 2,5 5,8 9,1 13,1 14,7 14,2 11 8,3 4,2 1,1 7
Température moyenne (°C) 3 3,4 7,1 10,8 14,1 18,6 20,5 19,9 16,1 12,2 7,4 4,1 11,4
Température maximale moyenne (°C) 5,9 6,9 11,6 15,8 19,1 24 26,3 25,6 21,3 16,2 10,6 7,1 15,9
Record de froid (°C)
date du record
−12,9
13.01.03
−15,6
05.02.12
−16,5
01.03.05
−4,5
08.04.21
0,1
06.05.10
4,4
02.06.06
7,4
10.07.07
7,4
31.08.06
2,1
27.09.10
−5
26.10.03
−8,7
28.11.13
−11,1
26.12.10
−16,5
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
18,2
10.01.15
20,9
23.02.20
24
30.03.21
27,8
22.04.18
32
13.05.15
36,8
27.06.19
39
07.07.15
38,6
24.08.23
33,5
05.09.23
29,9
02.10.23
23,1
02.11.20
18,3
05.12.06
39
2015
Précipitations (mm) 41,8 38,7 39,7 62,7 83,7 80,6 78,7 79,4 65,1 81 87,1 55,4 793,9
Source : « Fiche 42218011 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Priest-en-Jarez est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne, une agglomération inter-départementale regroupant 32 communes[14] et 374 643 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (100,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (93 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (62,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (29,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (7,9 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire modifier

Période mérovingienne modifier

La tradition de la fondation de l'église de Saint-Priest-en-Jarez, avancée par l'abbé de Soleysel (1691), reprend les éléments hagiographiques du martyre de Priest de Clermont. Complice d'Ébroïn, il fut traqué puis assassiné à Volvic le en représailles à l'assassinat du patrice de Provence Hector[20].

Selon la tradition locale, Prix y aurait vécu en ermite, avant de devenir évêque de Clermont de 666 à 676. La construction de l'église est attribuée à l'un de ses assassins Ursion qui expia ainsi sa complicité dans le meurtre du saint auvergnat[21]. Cette tradition reprend ainsi les éléments de récit de la fondation de l'église de Vézézoux (Haute-Loire).

Moyen Âge classique modifier

Sous le règne du roi de Bourgogne Conrad, l'acte de donation à Cluny de l'église Saint-Priest daté de 966 pourrait se référer à Saint-Priest-en-Jarez[22].

Pierre de Saint-Priest est mentionné dans un acte rédigé entre 1130 et 1150[23].

Le château de Saint-Priest arborait les armes des comtes de Genève. Il est mentionné en 1167, parmi l'ensemble des places fortes remises par Guy II de Forez au roi Louis VII[24],[25],[26].

En 1173, la permutation entre le comte de Forez et l’Église de Lyon stipule que le serment de fidélité de Saint-Priest, ainsi que tout ce que Gaudemar de Jarez tenait au nom de l’Église, fut aussi remis au comte de sorte qu’il tienne de l’Église le château. Le texte indique également que quiconque aurait désormais le château de Saint-Priest devrait hommage lige et fidélité au comte[27]. Le seigneur de Saint-Priest vit ainsi ses possessions enclavées au milieu de celles "laissées à la liberté de l’Église de Lyon"[28] autour de la paroisse de Saint-Étienne placée sous son patronage.

Le fief apparaît dès lors rattaché à la famille dite Durgel (d'Urgel) de Saint-Priest. Peut-être issus d'une branche parente des comtes de Provence et de Barcelone[29] (on considère souvent de nos jours qu'il s'agit d'une légende, d'une fable[30],[31], ce que soutenait déjà Le Laboureur — contrairement aux auteurs anciens commeAntoine Verdier ou La Chesnaye des Bois[32], repris cependant par Louis de Châteauneuf en 1908[33], ou André Mutel en 1969 : cf. l'article Bertrand > note 2), ses membres entretenaient des liens de parenté aussi bien avec la première et que la seconde maison des comtes de Lyon et de Forez.

Vers 1180-1200, Jocerand Durgel vendit, avec l'accord du comte de Forez, ses terres de la Murette (la Fouillouse) aux Hospitaliers à la suite de l'implantation d'une commanderie[34].

Période moderne et contemporaine modifier

En 1641, Saint-Priest passe de la maison des Durgel à celle des Chalus de Cordais d'Orcival, une famille apparentée (cf.[30], p. 17).

En , François de Chalus vend pour 400 000 livres la seigneurie de Saint-Priest et de Saint-Étienne à Abraham Peyrenc de Moras. Son fils François-Marie décède sans héritier en 1771, la seigneurie revient à Gilbert des Voisins qui la vendit à Louis XVI le , pour la somme de 1 million 335 935 livres

Au cours de l'été 1911 a eu lieu le premier meeting aérien du département de la Loire, sur le terrain de Champirol (situé à cette époque sur les communes de Villars et de Saint-Priest-en-Jarez), à l'emplacement actuel de l'Hôpital Nord. Parmi les huit pilotes présents à cette manifestation se trouvait Roland Garros[35].

C'est en 1914 que la typographie "Jarez" est définitivement fixée[36].

La commune fait partie de la paroisse Bienheureux Antoine Chevrier, qui rassemble l'église Saint-Prix (Saint-Priest-en-Jarez), l'église Saint-Laurent (Villars) et l'église du Sacré-Cœur, La Terrasse (Saint-Étienne).

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 Antoine Badinand
1793 1794 Jean Palle
1794 1795 Jean-Marie Goujon
1800 1804 Jean Palle
1804 1807 Étienne Tronchon
1830 1840 Louis-Philibert Colcombet
1840 1846 Constant Balay
1846 1848 Jean-Louis Courbon
1848 1871 François Tessey
1871 1874 Mr Bonnefoy
1874 1875 Jean-Marie Seignol
1875 1878 Victor Duchamp
1878 1881 Mr Fayard
1881 1888 Barthélémy Picon
1888 1891 Mr Terrat
1891 1900 Jacques Cornet
1900 1901 Jacques Rey
1901 1908 ?
1908 1913 Jean Javelle
1913 1938 Jean-Baptiste Per
1938 1945 Louis Rousset
1945 1952 Albert Raimond
1952 1975 Claudius Cottier DVG
1975 Claude Chaboissier DVG
Jean Faverjon CNI
2020 Jean-Michel Pauze[37] DVG
2020 En cours Christian Servant SE  

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

En 2021, la commune comptait 6 164 habitants[Note 3], en diminution de 0,18 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
652693752657665742858900950
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0681 0061 0511 0841 4891 4671 4681 6371 652
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7361 9981 8772 3432 5442 6052 4732 6242 889
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
3 4853 7884 6284 5635 6735 8126 0226 0806 125
2018 2021 - - - - - - -
6 0926 164-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Malgré une population modeste, Saint-Priest-en-Jarez est la 4e commune la plus dense de la Loire derrière Roanne, Saint-Étienne et Rive-de-Gier. Avec une croissance continue de sa population, une dynamique de construction de logements importante et une activité soutenue, notamment dans les services de santé, on peut penser que la commune va se densifier encore plus à l'avenir.

Desserte modifier

 
La ligne 17 dessert Saint-Priest-en-Jarez.

La commune est desservie par le réseau STAS, grâce aux lignes de tramway T1 et T3 (en heures de pointe pour cette dernière) et aux lignes de bus 8, 16, 17, 25, 27, 37[42]. Sur le territoire de la commune se trouve, au niveau de la station Parc-Champirol (lignes T1 et T3) un parking-relais[43].

La commune est également desservie par la ligne L15 du réseau Cars Région Loire qui permet la liaison entre la métropole stéphanoise et Veauche, Rivas, Cuzieu, Montrond-les-Bains, Marclopt, Saint-Laurent-la-Conche, Feurs, Épercieux-Saint-Paul et Balbigny.

Saint-Priest-en-Jarez est séparée de Villars par l'A72. Il existe un accès incomplet depuis la commune (sortie 11 au niveau du MAM), permettant de rejoindre Roanne/Clermont ou, en sens inverse, sortir avant le tunnel de la Terrasse.

Culture locale et patrimoine modifier

Étymologie et gentilé modifier

Le nom de Saint-Priest-en-Jarez viendrait d'un ermite (religieux qui fait le choix de vivre dans la solitude) qui s'appelait Saint-Priest et qui a vécu dans une grotte, sur une colline en 666[44].

Pour le gentilé de "Mounard", plusieurs étymologies sont possibles :

  • en patois forézien, "Mounieri" veut dire "cabane" ou "tanière", ce qui en dérivant, aurait donné le nom "Mounard".
  • au Moyen Âge, pour moudre les grains, on disait "il mounait", ce qui aurait donc donné "Mounard".
  • ou encore, en patois, "Mounard" veut dire "monter". Ce nom aurait été donné aux habitants en raison des nombreuses côtes des collines.

Lieux et monuments modifier

Les parcs et les places modifier

La commune de Saint-Priest-En-Jarez comporte quelques parcs, quelques places et plusieurs endroits verts pour se balader.

Le jardin des Mélisses se situe à côté du CHU de Saint-Étienne, à la sortie de la ville, il a été conçu sur un mode participatif par les soignants de l'hôpital. Il est accessible aux patients, à leurs familles et aux professionnels. La conception de ce jardin améliore la qualité des soins et la vie à l'hôpital.

Le petit parc de la Villa Saint-Michel est un espace vert, arboré au cœur de la ville, il a été aménagé en 2002 par le Conseil Départemental.

Le clos Bayard est un grand parc arboré où il y a une immense maison bourgeoise et ses dépendances, dont une chapelle. Beaucoup d'arbres remarquables et très vieux y sont présents, ils sont classés, de façon à les protéger. Au clos Bayard on y trouve un observatoire suspendu, une serre à papillons, un hôtel à insectes, un labyrinthe fleuri, et également un compost.

Cette commune comporte aussi quelques places importantes comme :

La place Denis Ferreol qui se situe à l'adresse du même nom. C'est un parking.

La place Jean Baptiste Per qui se transforme en terrain de jeux et place du feu d'artifice pour le .

La place Victor Hugo qui se situe devant la mairie.

La place Massenet plus principalement appelée " La Terrasse", où l'on peut prendre des bus et des trams. Elle est partagée entre la commune de Saint-Priest-En-Jarez et la ville de Saint-Étienne.

Monument historique modifier

Saint-Priest-en-Jarez possède un pont subsistant de la première ligne de chemin de fer de France construite en 1827, et partagé avec la commune de Villars (Loire), inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [45],[46]. Le pont est visible depuis le 44 chemin des champs, mais on ne peut y accéder car il est sur une propriété privée.

Autres lieux et édifices modifier

Héraldique modifier

Les armoiries de Saint-Priest-en-Jarez se blasonnent ainsi :

Cinq points d’or équipolés à quatre de sinople.

Le château de Saint-Priest-en-Jarez arborait les armes des comtes de Genève[47].

Jumelages modifier

Personnalités liées à la commune modifier

En images modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Histoire / Découvrir / Accueil - Mairie de Saint Priest en Jarez », sur saint-priest-en-jarez.fr (consulté le ).
  2. « Distance par la route entre Saint-Priest-en-Jarez et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  3. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
  4. La Rotonde, Patrimoine géologique du département de la Loire, Le Crêt. Lire en ligne
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Saint-Priest-en-Jarez et Saint-Étienne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Étienne », sur la commune de Saint-Étienne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Saint-Étienne », sur la commune de Saint-Étienne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Saint-Étienne », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. "Saint Prix, évêque d'Auvergne, fut massacré à Volvic, le 25 janvier 676 ; il était allé célébrer avec Childéric II, roi d'Austrasie, les fêtes de Pâques à Autun l'année précédente. Son assassinat fut une vengeance provenant de ce que Childéric, peut-être sur l'avis de l’évêque, avait mis à mort Hector, son patrice de Provence (...) Saint Prix, évêque d'Auvergne, ayant été assassiné le 20 (25?) janvier 676, en représailles de la mort du patrice Hector"., Georges de Manteyer, La Provence du premier au douzième siècle : Études d'histoire et de géographie politique, Librairie Alphonse Picard & fils, Paris, 1908.
  21. Testenoire-Lafayette (1905) p. XV.
  22. Collection de 88 chartes originales, de l'abbaye de Cluni, la plupart du Xe ou du commencement du XIe siècle, acquises en 1875 par l'intermédiaire de M. Paillard. Acte de donation de l'église de Saint-Priest en Forez (Jarez?) (966). Lire en ligne
  23. Chart. du Forez, no 2, p. 4.
  24. Claude-François Menestrier, Histoire civile ou consulaire de la ville de Lyon, justifiée par chartes, titres, chroniques... avec la carte de la ville, comme elle était il y a environ deux siècles, N. et J.-B. de Ville (Lyon), 1696, p. 36. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k95210w/f721.image
  25. Castellum De Sancto Praejecto, 1167, vidimus du XVIIe siècle (La Mure-Chantelauze, t. III, p. 27)
  26. In nomine sanctae et individuae Trinitatis, amen. Ego, Ludovicus, Dei gratia Francorum rex... https://sites.google.com/site/agerjarensis/
  27. Bulle du Pape Alexandre III confirmant la permutation de 1173-1174 Lire en ligne
  28. "L'Église de Lyon s'était en outre réservé, dans les terres de Guy II, une enclave qui comprenait Saint-Victor-sur-Loire, Saint-Genest-Lerpt et Villars (n.d.r.: ainsi que Saint-Jean-Bonnefonds)." J.-E. Dufour, Dictionnaire topographique du département de la Loire, PUSE, 1946 (rééd. 2006), p. XXII.
  29. S. De Vajay, Comtesse d'origine occitane dans la marche d'Espagne aux 10e et 11e siècles, In : Hidalguía. 28 (1980), S. 585–616, 601–2 Lire en ligne
  30. a et b « Famille Durgel (d'Urgel) de Saint-Priest », sur Calaméo, par Marc Gauer, 2012/2013.
  31. « Château de Saint-Priest, p. 347-460, notamment p. 357-358 pour l'origine des d'Urgel, p. 357-448 pour leur généalogie, précédée par la généalogie des Jarez p. 305-346 », sur Etudes historiques sur le Forez : Chronique des châteaux et des abbayes, vol. II, par Jean-Antoine de La Tour-Varan, chez Montagny, à Saint-Etienne, 1857.
  32. « Saint-Priest, p. 144-145 », sur Dictionnaire de la Noblesse, t. XVIII, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, chez Schlesinger Frères, à Paris, 1874.
  33. « Liens entre les Durgel de St-Priest, les Jarez et les Forcalquier-d'Urgel (issus des comtes catalans) ; Généalogie des Durgel de St-Priest, p. 17-174, et Tableaux généalogiques, p. 68-106 », sur Degrés généalogiques des d'Urgel de Saint-Priest, par Louis de Châteauneuf, chez Alphonse Picard et Fils, à Paris, 1908, en ligne sur Gallica-BNF.
  34. E. Perroy, Les familles nobles du Forez au XIIIe siècle Essai de Filiation vol. 20, Université de Saint-Étienne, 1976, p. 284.
  35. À l'occasion de la commémoration de cet événement en octobre 2011 a été émis un timbre postal.
  36. Modifications territoriale et dénomination des communes de la Loire
  37. Saint-Priest-en-Jarez sur le site de l'association des maires de France, consulté le 30 juin 2015.
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. https://www.reseau-stas.fr/fr/horaires-de-ligne/6/RouteSchedules/searchlocalities?KeywordsLocality=ST+PRIEST+EN+JAREZ&LocalityId=42275
  43. https://www.reseau-stas.fr/fr/parking-relais-pr-velivert-consigne-citiz/1011
  44. « Histoire ».
  45. Notice no PA42000008, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Liste des monuments historiques de la commune de Saint-Priest-en-Jarez », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. Auguste Bernard, Histoire du Forez, Ed. Laffite Reprints, Marseille, 1979.

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

  • ADHAS et ATJ42, Saint-Priest-en-Jarez, coll. « Mémoire en images », Éditions Alan Sutton, 2015
  • Bulletin de couleur rouge du musée de la mine de Villars concernant Saint-Priest-en-Jarez de Jean-Marie Somet, ancien mineur et ancien conservateur du musée des Amis du Vieux Villars (demander à l'Association des amis du vieux Villars)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier