Saint-Marcel (Morbihan)

commune française du département du Morbihan

Saint-Marcel
Saint-Marcel (Morbihan)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité De l'Oust à Brocéliande Communauté
Maire
Mandat
Armelle Robert
2020-2026
Code postal 56140
Code commune 56228
Démographie
Gentilé Marcellais, Marcellaises[1]
Population
municipale
1 127 hab. (2021 en augmentation de 6,32 % par rapport à 2015)
Densité 88 hab./km2
Population
agglomération
4 675 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 48′ 18″ nord, 2° 25′ 03″ ouest
Altitude 55 m
Min. 12 m
Max. 112 m
Superficie 12,81 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Malestroit
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Moréac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Marcel
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Saint-Marcel
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Saint-Marcel
Liens
Site web https://www.saint-marcel.bzh/

Saint-Marcel Écouter [sɛ̃ maʁsɛl] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

Géographie modifier

Situation modifier

Communes limitrophes de Saint-Marcel
Serent Saint-Abraham Caro
  Missiriac
Malestroit
Bohal Pleucadeuc

Relief et hydrographie modifier

Les altitudes au sein du finage communal sont comprises entre 110 mètres (à la limite ouest de la commune, à l'ouest de la chapelle et du hameau Sainte-Geneviève ; c'est le prolongement oriental des Landes de Pinieux) et 15 mètres dans la vallée de l'Oust qui limite au nord-est la commune) ; le bourg, en situation centrale dans la commune, est vers 58 mètres d'altitude.

Saint-Marcel est compris entre deux cours d'eau : l'Oust, affluent de rive droite de la Vilaine (aménagé en canal de Nantes à Brest) au nord-est, et la Claie à sa limite sud, affluent de rive droite de l'Oust.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 839 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pleucadeuc à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Transports modifier

La commune de Saint-Marcel est longée à sa limite ouest par la voie expresse RN 166 allant de Vannes à Ploërmel et desservie par l'échangeur de Bellevue qui se trouve sur le territoire de la commune voisine de Bohal. On accède à Saint-Marcel en empruntant depuis cet échangeur la D 776 (ancienne RN 776), direction Malestroit, qui traverse la partie sud-est du territoire communal, le bourg étant accessible par le D 321.

La commune est longée par le canal de Nantes à Brest qui emprunte à cet endroit le cours de l'Oust (en recoupant toutefois l'un de ses méandres au niveau de la Née).

L'ancienne ligne ferroviaire de Questembert à Ploërmel traverse la partie orientale de la commune et a été aménagée en voie verte : c'est désormais un tronçon de la V3 allant de Saint-Malo à la Presqu'île de Rhuys[9]. La commune est aussi traversée par le sentier de grande randonnée 347 (GR 347) allant de Redon à Josselin.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Marcel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Malestroit, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[13] et 4 675 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42 %), prairies (23,5 %), forêts (13,3 %), zones agricoles hétérogènes (12,7 %), zones urbanisées (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6 %), mines, décharges et chantiers (1,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Marcel en 1793 ; Saint-Marcel en 1801[19].

Saint-Marcel tirerait son nom du pape martyr Saint Marcel[20]. Il est également possible que son nom vienne de « Marc'hell », nom féminin se retrouvant dans les lignées princières bretonnes[21].

Histoire modifier

Préhistoire et Antiquité modifier

La présence de plusieurs mégalithes atteste la présence humaine dans la région dès la Préhistoire.

Temps modernes modifier

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Saint-Marcel en 1778 :

« Saint-Marcel-Bohal ; dans un fond ; à 6 lieues à l'Est-Nord-Est de Vannes, son évêché ; à 14 lieues de Rennes et à 1 lieue de Malestroit, sa subdélégation. Cette paroisse ressortit à Ploërmel et compte 600 communiants[Note 2]. Ce territoire, borné au Sud par la rivière de Claye, renferme, de ce côté, beaucoup de terres en labeur et des prairies de bonne qualité ; au nord sont des landes[22]. »

Le XIXe siècle modifier

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Marcel en 1853 :

« Saint-Marcel ou Saint-Marcel-Bohal : commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, moins sa trève Bohal, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Lanée, Bennion, la Lande, le Verger, la Vaugace,le Haut et le Bas-Brouais, la Georgelais, les Grands et les Petits-Hardy. Maison notable : la Touche-Kervier. Saint-Marcel a été diminuée de Bohal devenue commune d'abord, puis succursale en 1820. Nous ignorons à quelle époque remonte l'église, mais une réparation, faite en 1608, porte le nom de « Julien Robert, trésorier ». Bohal, ou Bobel en breton, Bwyel ou Bwall en gallois, Beil ou Byl dans les dialectes germaniques, nous dit M. de Blois, signifie coignée, grande hache de bucheron (...). On traverse la Claie sur un pont à Bronais. Géologie : schiste argileux ; grès au sud-est. On parle le français. »

— [23]

En 1863 un décret distrait la commune de Saint-Marcel du canton de Questembert pour l'incorporer au canton de Malestroit[24].

Le XXe siècle modifier

La Belle Époque modifier

La Première Guerre mondiale modifier

Le monument aux morts de Saint-Marcel porte les noms de 22 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; 20 d'entre eux au moins sont morts sur le sol français (le lieu de décès des 2 autres reste inconnu) et 4 (Joseph Dubois, Joseph Le Brun, François Le Maître et Joseph Molac) ont été décorés à la fois de la Médaille militaire et de la Croix de guerre[25].

La Seconde Guerre mondiale modifier

Le monument aux morts de Saint-Marcel porte les noms de 9 personnes originaires de la commune mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles 2 sont des soldats tués le même jour () lors de la Débâcle (Félix Piquet à Leschelles (Aisne) et Firmin Rozé à Bussu (Somme) ; 6 sont tués lors des combats du maquis de Saint-Marcel entre le 18 et le dont 4 résistants (Yves Ayoul, Pierre Guil, Jean Morlas, Pierre Moussard) et deux victimes civiles (Suzanne Berthelot, laquelle gardait les vaches dans un champ, et Marie Pellerin, pourtant aveugle et grabataire) ; Émile Morel, résistant arrêté lors des combats, fut exécuté au Fort de Penthièvre le [25].

Saint-Marcel a été un haut lieu de la résistance bretonne durant la Seconde Guerre mondiale.

Le soir du , deux sticks (18 Français Libres) du 4e Bataillon d’infanterie de l’Air SAS français (4e B.I.A.) sont parachutés dans le cadre de l'opération Dingson près de Plumelec. Après avoir établi une base à Saint-Marcel, et mené une campagne de guérilla assistés par les résistants de la région, ils sont rejoints par plusieurs centaines d'autres SAS, qui continuent le travail commencé. Le , le village de Saint-Marcel est entre les mains des Allemands. Le commandant Chenailler et près de 3 000 soldats (des « Bretons résolus » selon les mots du général de Gaulle), accompagné par un détachement de 200 hommes du 2e régiment de chasseurs parachutistes (SAS soldats français), commandés par le commandant Pierre Bourgoin, résistent avec courage et détermination, mais évacuent la base dans la nuit.

 
Affiche de la commémoration du maquis de Saint-Marcel le en présence du général De Gaulle.

Les FFI encadrés y prennent part et subissent de sérieuses pertes : 116 morts dont 30 à Saint-Marcel. Mais ces maquis retinrent huit divisions allemandes qui manquèrent à la bataille lors du débarquement allié. Une partie des résistants forma, dès 1944, le 41e RI dont le drapeau porte l’inscription : "Saint Marcel 1944".

Les représailles allemandes furent terribles. Le bourg et les fermes avoisinantes furent pillées et incendiées, quelques habitants exécutés. La commune a été décorée de la Croix de guerre avec palme[26].

Le , le général de Gaulle rendit hommage aux combattants de Saint-Marcel devant le monument élevé à la mémoire des résistants et des parachutistes tombés dans le Morbihan (Charles de Gaulle, Discours et Messages, Tome II, Dans l'Attente, p. 94).

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1977 mars 2001 Gilles Possémé    
mars 2001 avril 2013 Henri Briand    
avril 2013 mars 2014 Armel Rousselot    
mars 2014 janvier 2017[27] Joël Leveau    
janvier 2017 24 mars 2017 Didier Thébaud (par intérim)[28]    
24 mars 2017 mai 2020[29] Marie-Hervé Jeffroy    
mai 2020 février 2022 Armel Rousselot[30]    
février 2022 En cours Armelle Robert    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

En 2021, la commune comptait 1 127 habitants[Note 3], en augmentation de 6,32 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
466418480402388448452456467
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
469432476468492505501524508
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
538562538503522503539523531
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
5815585607328458549519511 038
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0521 1061 127------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Monuments historiques modifier

La commune compte quatre monuments historiques :

Autres sites d'intérêt modifier

  • Musée de la Résistance en Bretagne : musée consacré à l'histoire du plus grand maquis breton, et plus généralement à l'histoire de la résistance en Bretagne, durant l'occupation allemande de 1940-1944[38].
  • Église paroissiale Saint-Marcel.
  • Manoir de Vaugace. Une restauration engagée dans les années 2000 a notamment porté sur la restitution de la coursière en bois qui court sur la façade qui avait disparu[39].

Héraldique modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Personnes en âge de communier.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Services publics Saint-Marcel », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Marcel et Pleucadeuc », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pleucadeuc » (commune de Pleucadeuc) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Pleucadeuc » (commune de Pleucadeuc) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. https://infolocale.ouest-france.fr/activites/activite-saint-malo-sport-v3-saint-malo-rhuys-156-6-km-305839891
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Malestroit », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. « Étymologie et Histoire de Saint-Marcel », sur infobretagne.com (consulté le ).
  21. « Saint-Marcel / Sant-Marc'hell »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Geobreizh (consulté le ).
  22. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 4, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), page 328.
  23. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 2, Rennes, Deniel, (lire en ligne), page 831.
  24. « Actes officiels », Journal La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. a et b « Saint-Marcel. Monument aux morts », sur MemorialGenWeb, (consulté le ).
  26. « Histoire », sur saint-marcel.bzh (consulté le ).
  27. « Saint-Marcel. Le maire Joël Leveau siffle la fin du match », sur Ouest-France, (consulté le ).
  28. « La parole au maire intérimaire de Saint-Marcel », sur Le Ploërmelais, (consulté le ).
  29. « Saint-Marcel. Marie-Hervé Jeffroy, première femme maire de la commune », sur Ouest-France, (consulté le ).
  30. « Armel Rousselot, maire de Saint-Marcel, est décédé à l’âge de 67 ans », sur Ouest France, (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Notice no PA00091691, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Notice no PA00091692, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Notice no PA00091693, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Notice no PA00091694, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Site officiel.
  39. Christel Douard et Jean Kerhervé, Manoirs : Une histoire en Bretagne, Châteaulin, Locus Solus, , 215 p. (ISBN 978-2-36833-338-9), p. 134.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier