Saint-Louis-de-Kent

municipalité du Canada

Saint-Louis-de-Kent
Saint-Louis-de-Kent
Administration
Pays Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau du Nouveau-Brunswick Nouveau-Brunswick
Municipalité Beaurivage
Fondateur Joseph Babineau
Date de fondation 1797
Démographie
Population 981 hab. (2021 en augmentation)
Densité 495 hab./km2
Langue(s) parlée(s) Français (officielle)
Géographie
Coordonnées 46° 44′ 19″ nord, 64° 58′ 31″ ouest
Superficie 198 ha = 1,98 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouveau-Brunswick
Voir sur la carte administrative du Nouveau-Brunswick
Saint-Louis-de-Kent
Liens
Site web http://www.st-louis-de-kent.ca/

Saint-Louis-de-Kent, ou simplement Saint-Louis, est un village canadien et une ancienne municipalité du comté de Kent, situé dans le Nouveau-Brunswick. Il fait partie de la municipalité de Beaurivage depuis le .

Panneau routier de bienvenue à Saint-Louis-de-Kent, berceau du drapeau acadien.

Le village est surnommé le « berceau du drapeau acadien » car celui-ci a été créé en 1884 par Marcel-François Richard et brodé par Marie Babineau, tous deux originaires du village.

Toponymie modifier

Le village porta le nom de Kouchibouguacsis ou de Petit-Kagibougouette jusque vers 1870, d'après sa position sur la rivière Kouchibouguasis ou Saint-Louis. Le nom actuel est en l'honneur de Louis IX de France[1].

Géographie modifier

 
La rivière Kouchibouguacsis à Saint-Louis-de-Kent

Situation modifier

Saint-Louis-de-Kent s'étend sur 1,98 km2 dans le sud-est de la province, et est situé à 50 km au sud de Miramichi.

Saint-Louis-de-Kent est limitrophe de Chemin-Canisto à l'est, de la paroisse de Saint-Charles au sud-est et de la paroisse de Saint-Louis à l'ouest et au nord.

le village est généralement considéré comme faisant partie de l'Acadie[2].

Municipalités limitrophes modifier

  Saint-Louis  
Saint-Louis N Chemin Canisto
O    Saint-Louis-de-Kent    E
S
Saint-Charles

Géologie modifier

Saint-Louis-de-Kent est situé dans les Appalaches. Le substrat rocheux est composé de conglomérat, d'argilite et de grès gris et rouge datant du Pennsylvanien (il y a 318 à 299 millions d'années)[3]. La totalité du territoire est compris dans une seule formation, la formation de Richibucto[4].

Les dépôts de surface sont généralement composés de tourbe dans les régions ayant un mauvais drainage et de sable, de silt de gravier et d'argile provenant de dépôts laissés par une régression marine. Ils ont une épaisseur de 0,5 à 5 mètres en moyenne[5],[3].

Climat modifier

Saint-Louis-de-Kent a un climat de type continental humide, caractérisé par des étés chauds et des précipitations uniformément réparties sur l'année[6]. Le mois le plus chaud a une température moyenne de 19,3 °C et le plus froid une température de −10 °C. Le parc reçoit 1 200 mm de précipitations dont 300 cm de neige.

La vitesse moyenne des vents est de 22 km/h dans les endroits abrités et de 27 km/h dans les endroits exposés. Ceux-ci proviennent généralement du sud-ouest à l'exception des mois de mars et avril où ils viennent du nord-ouest[6].

Relevé météorologique de Kouchibouguac
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −15,3 −14,3 −8,4 −2 4 9,4 13,2 12,3 7,4 2,3 −3 −10,6 −0,4
Température moyenne (°C) −10 −8,7 −3,2 2,9 10 15,7 19,3 18,3 13 7,4 1,1 −6,3 5
Température maximale moyenne (°C) −4,6 −3,1 2,1 7,7 15,9 21,8 25,2 24,3 18,6 12,2 5,3 −1,6 10,3
Précipitations (mm) 140,5 89,8 111,2 99,5 103,8 84,7 110,8 81,3 84,2 96,2 111,7 126,1 1 239,9
dont neige (cm) 83,1 54,6 52 29,4 2,5 0 0 0 0 1,9 19,8 65,7 309,1
Source : Environnement Canada[7]


Logement modifier

Le village comptait 405 logements privés en 2006, dont 380 occupés par des résidents habituels. Parmi ces logements, 78,9 % sont individuels, 0,0 % sont jumelés, 0,0 % sont en rangée, 2,6 % sont des appartements ou duplex, 13,2 % sont des immeubles de moins de cinq étages et 2,6 % sont des immeubles de plus de cinq étages. Enfin, 2,6 % des logements entrent dans la catégorie autres, tels que les maisons-mobiles. 64,5 % des logements sont possédés alors que 35,5 % sont loués. 76,3 % ont été construits avant 1986 et 15,8 % ont besoin de réparations majeures. Les logements comptent en moyenne 5,9 pièces et 0,0 % des logements comptent plus d'une personne habitant par pièce. Les logements possédés ont une valeur moyenne de 105 976 $, comparativement à 119 549 $ pour la province[8].

Histoire modifier

Puissances historiques:


Saint-Louis-de-Kent est situé dans le territoire historique des Micmacs, plus précisément dans le district de Sigenigteoag, qui comprend l'actuel côte Est du Nouveau-Brunswick, jusqu'à la baie de Fundy[9].

Le village est fondé vers 1800 et les terres sont concédées en 1805[10]. L'agglomération s'agrandit ensuite vers l'amont de la rivière et, notamment, la paroisse de Saint-Louis[10].

En 1825, le territoire est touché par les Grands feux de la Miramichi, qui dévastent entre 10 000 km2 et 20 000 km2 dans le centre et le nord-est de la province et tuent en tout plus de 280 personnes[11],[12].

L'académie Saint-Louis est fondée en 1874 par le curé Marcel-François Richard[13]. La Congrégation de Notre-Dame de Montréal fonde un couvent en 1874[14]. L'académie devient un collège en 1876[13]. L'établissement abrite également un relais de la ligne télégraphique entre Québec et Halifax[13]. Le collège est fermé en 1882 par l'évêque James Rogers[13].

La Caisse populaire Saint-Louis est fondée en 1938[15]. L'école Monseigneur Marcel-François-Richard ouvre ses portes en 1978[16]. L'école Marée-Montante est inaugurée en 1996[17]. Le clocher de l'église Saint-Louis-des-Français est réparé en [18].

Érigé en municipalité le , Saint-Louis est fusionné le avec Richibouctou pour former la municipalité de Beaurivage, dans le cadre de la réforme territoriale de la province[19].

Démographie modifier

Évolution démographique de Saint-Louis-de-Kent depuis 1981
1981 1986 1991 1996 2001 2006 2011
1 1661 1011 0091 015991960930
2016 2021 - - - - -
856981-----
(Sources : [20],[21],[22],[23])
Évolution des langues maternelles (en %) Légende
  • Français
  • Anglais
  • Anglais et français
  • Autre(s) langue(s)
Sources[24],[25],[26]:

Politique et administration modifier

Conseil municipal modifier

Le conseil municipal était formé d'un maire et de quatre conseillers, élus pour un mandat de quatre ans[27]. Lors des élections du [27], une égalité de 218 voix entre deux candidats force la tenue d'un second dépouillement le , qui accorde une voix de majorité au conseiller Roland Gallant face à Carmen Daigle[27].

Anciens conseils municipaux

Mandat Fonctions Nom(s)
2012 - 2016 Maire Daniel Andrée Dugas
Conseillers Roland Gallant, Christine Johnson, Oswald Mazerolle et Howard Vautour.
Mandat Fonctions Nom(s)
2008 - 2012 Maire Louis J. Arsenault
Conseillers Carmen Daigle, Roland Gallant, Anthony (Tony) Hébert, Howard Vautour.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1966 1971 Edmond Bordage[28]    
1971 1998 Louis J. Arsenault[29],[30],[31]    
1998 2004 Arnold Vautour    
2004 2012 Louis J. Arsenault    
2012 2022 Daniel Andrée Dugas    

Commission de services régionaux modifier

Saint-Louis-de-Kent faisait partie de la commission de services régionaux (CSR) 6, créé en 2013[32],[33]. Saint-Louis-de-Kent était représenté au conseil par son maire[34]. Les services obligatoirement offerts par les CSR sont l'aménagement régional, la gestion des déchets solides, la planification des mesures d'urgence ainsi que la collaboration en matière de services de police, la planification et le partage des coûts des infrastructures régionales de sport, de loisirs et de culture[35].

Économie modifier

Entreprise Kent, membre du Réseau Entreprise, a la responsabilité du développement économique[36].

Le siège-social de la Caisse populaire Kent-Nord, membre des Caisses populaires acadiennes, est situé au village. La caisse possède trois succursales, a un actif de 42 millions $ et compte plus de 4 400 membres[15].

Vie locale modifier

Éducation modifier

Saint-Louis-de-Kent compte deux écoles francophones faisant partie du district scolaire #11. L'élémentaire Marée Montante accueille les élèves de la maternelle à la 8e puis l'école secondaire Mgr-Marcel-François-Richard accueille les élèves de la 9e à la 12e année. Plusieurs établissements supérieurs se trouvent dans le Grand Moncton.

Santé modifier

Le village bénéficie de deux médecins, d'un foyer de soins et de deux foyers pour personnes âgées. Un centre de santé ainsi qu'un poste d'Ambulance Nouveau-Brunswick se trouvent à Rexton (17 km) et l'hôpital le plus proche est l'hôpital Stella-Maris-de-Kent, à Sainte-Anne-de-Kent (30 km). Saint-Louis-de-Kent possède un foyer de soins agréés, la Villa Maria.

Eau, communications et énergie modifier

Le village est alimenté en eau au moyen de deux puits possédant chacun un réservoir. 150 usagers sont ainsi desservis, les autres utilisent leur propre pompe électrique. La municipalité prépare un plan de protection des champs de captage des puits[37]. Les commerces, les institutions et la plupart des résidences du village et à l'extérieur sont reliées à l'égout municipal. L'eau est traitée dans 2 bassins de sédimentation avant d'être rejetée dans la rivière Saint-Louis. Le système a été rénové en 2005[38].

Le village compte un bureau de poste.

Sports modifier

Le village bénéficie du Centre AquaKent. La piscine intérieure, fondée en 1978, est la seule du comté[39]. Saint-Louis-de-Kent organisera la XXXIVe finale des Jeux de l'Acadie, en 2013, conjointement avec Richibouctou[40].

Religion modifier

L'église Saint-Louis-des-Français est une église catholique romaine faisant partie de l'archidiocèse de Moncton.

Médias modifier

Les francophones bénéficient du quotidien L'Acadie nouvelle, publié à Caraquet, ainsi que de l'hebdomadaire L'Étoile, de Dieppe. Les anglophones bénéficient quant à eux des quotidiens Telegraph-Journal, publié à Saint-Jean et Times & Transcript, de Moncton.

Autres services publics modifier

Le village possède aussi une caserne de pompiers et une brigade composée de 22 volontaires, dont le chef est Maurice Guimond[41]. La Commission des déchets solides Westmorland-Albert collecte les déchets une fois par semaine[42]. Le détachement de la Gendarmerie royale du Canada le plus proche est situé à Richibouctou.

Les déchets humides sont placés dans des sacs verts et les déchets secs dans des sacs bleus mais il n'y a pas de recyclage. Il y a deux collectes annuelles de déchets dangereux. L'urbanisme est de la responsabilité de la Commission d’aménagement du district de Kent, située à Richibouctou.

Culture modifier

Personnalités modifier

Architecture et monuments modifier

Sur la rive nord, au coin de la rue principale et du chemin Desherbiers, se trouve le Berceau du drapeau acadien. Il comprend plusieurs monuments. Une plaque de bronze posée par Parcs Canada commémore Mgr Richard à titre de personnage historique national. Une croix en ciment installée en 1940 commémore l'ancienne église et le Collège Saint-Louis fondé par Mg Richard. Un monument de pierre construit en 1987 rend hommage à Joseph Babineau, fondateur de Saint-Louis-de-Kent. Une plaque rendant hommage à Marie Babineau a été rajoutée à ce monument en 1994. Un banc de pierre et un mât de drapeau sont dédiés à la famille de François et Laurence Babineau. Le site a une importance archéologique car des dépressions dans le sol indiqueraient l'emplacement de l'ancienne église et du premier presbytère[43].

Le parc des Forgerons est en face du Berceau du drapeau acadien, du côté sud du chemin Desherbiers. Il commémore l'emplacement de l'ancienne forge.

Le parc de la grotte et du calvaire est située sur la rive sud, en bordure du pont. C'est un lieu de pèlerinage, où des processions ou des messes sont organisées à chaque année. C'est à cet endroit qu'a eu lieu la levée du drapeau acadien lors du premier congrès mondial acadien en 1994, événement à lequel assistèrent 3000 personnes. Le parc est délimité par un muret en pierres des champs. La grotte construite en 1878 se veut une réplique de la grotte de Massabielle, à Lourdes, et comprend une statue de Sainte-Bernadette agenouillée devant une statue en bronze de la Vierge Marie. Le calvaire, construit en 1882, a un socle de béton recouvert de pierres et comprend trois statues, Jésus sur la croix, Marie et Saint Jean[44]. La maison Brideau est située au 10 542 rue Principale et a été habitée par l'historien Cyriaque Daigle. C'est une maison construite de 1904 à 1905 par Augustin Brideau, illustrant bien l'adaptation du style Foursquare américain dans le style acadien[45]. La forme cubique originale a été agrandi par un second volume aux proportions semblables. La maison a un lambris extérieur en planches à clins, un toit en croupe, une grande lucarne et une galerie.

L'ancienne gare est située au 10 617 rue Principale. L'édifice de deux étages a été construit vers 1885 et a servi jusqu'en 1900, où il a été déplacé sur la glace jusqu'à son emplacement actuel. La gare, maintenant une résidence, conserve certains éléments de l'époque ou le Kent Northern Railway reliait le village à Richibouctou. C'est un édifice de deux étages à charpente de bois, au lambris non peint, aux planches cornières blanches et au toit à pignons.

Le parc des Grands pique-niques est situé au coin de la rue principale et du chemin du Cap. Il commémore un lieu de rencontre communautaire utilisé entre 1870 et le milieu du XXe siècle.

Le pont en bois de Saint-Louis a été construit en 1941 au-dessus de la rivière Kouchibouguasis. Il est lourdement endommagé et le gouvernement provincial propose de le remplacer par une structure en béton. Le maire et une partie de la population s'oppose à ce projet, prétextant qu'il fera perdre son cachet au village et que les travaux détruiront la grotte de Lourdes[46].

Cuisine modifier

Langue modifier

Selon la Loi sur les langues officielles, Bouctouche est officiellement francophone[47] puisque moins de 20 % de la population parle l'anglais.

Fêtes, traditions et folklore modifier

Arts modifier

Le village est mentionné dans le recueil de poésie La terre tressée, de Claude Le Bouthillier[48].

Notes et références modifier

Notes modifier

Références modifier

  1. Rayburn 1975, p. 244
  2. Murielle K. Roy et Jean Daigle (dir.), Démographie et démolinguistique en Acadie, 1871-1991, L'Acadie des Maritimes, Moncton, Centre d'études acadiennes, Université de Moncton, , 908 p. (ISBN 2-921166-06-2), p. 141.
  3. a et b Vincent F. Zelazny, Notre patrimoine du paysage : L’histoire de la classification écologique des terres au Nouveau-Brunswick, Fredericton, Ministère des Ressources naturelles du Nouveau-Brunswick, , 2e éd., 404 p. (ISBN 978-1-55396-204-5, lire en ligne), p. 334–335
  4. (en) E.A. Smith, Bedrock geology of central New Brunswick (NTS 21 I and part of 11 L), New Brunswick Department of Natural Resources; Minerals, Policy and Planning Division, (lire en ligne)
  5. AA. Seaman, « Carte géologique généralisée des dépôt superficiels du Nouveau-Brunswick », sur Ministère des Ressources naturelles et de l'Énergie, (consulté le ).
  6. a et b « Climat », sur Parcs Canada (consulté le ).
  7. « Normales climatiques au Canada 1971-2000: Kouchibouguac », sur Archives nationales d'information et de données climatologiques (consulté le ).
  8. « Profils des communautés de 2006 - Saint-Louis-de-Kent - Familles et ménages », sur Statistique Canada (consulté le ).
  9. (en) Philip K. Bock et William C. Sturtevant (dir.), Handbook of North American Indians, vol. 13, t. 1, Government Printing Office, , 777 p., p. 109-110
  10. a et b Ganong 1904, p. 144
  11. (en) J. Clarence Webster, Historical Guide to New Brunswick, Fredericton, New Brunswick Government Bureau of Information and Tourist Travel, , 119 p., p. 61-62.
  12. (en)« Great Miramichi Fire », sur gnb.ca (consulté le ).
  13. a b c et d « Site du Collège Saint-Louis », sur Lieux patrimoniaux du Canada (consulté le ).
  14. Nicolas Landry et Nicole Lang, Histoire de l'Acadie, Québec, Éditions du Septentrion, , p. 165.
  15. a et b « Caisse populaire Kent-Nord », sur Caisses populaires acadiennes (consulté le ).
  16. (en) John Leroux, Building New Brunswick : An Architectural History, Fredericton, Goose Lane Editions, , 310 p. (ISBN 978-0-86492-504-6), p. 238.
  17. [PDF] « Francophone Sud », sur Ministère de l'Éducation du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
  18. « Il y a déjà 10 ans... », L'Acadie Nouvelle,‎ , p. 40
  19. « Règlement du Nouveau-Brunswick 2022-50 pris en vertu de la Loi sur la gouvernance locale », sur Lois et réglements du Nouveau-Brunswick, .
  20. « 1986 (2A) questionnaire abrégé des provinces aux municipalités », sur Statistique Canada (consulté le ).
  21. « Profils des communautés de 1996 - Saint-Louis-de-Kent - Population », sur Statistique Canada (consulté le ).
  22. « Profils des communautés de 2006 - Saint-Louis-de-Kent - Population », sur Statistique Canada (consulté le ).
  23. « Statistique Canada - Profils des communautés de 2016 - Saint-Louis-de-Kent » (consulté le ).
  24. « Profils des communautés de 1996 - Saint-Louis-de-Kent - Population page 1 », sur Statistique Canada (consulté le ).
  25. « Profils des communautés de 2001 - Saint-Louis-de-Kent - Population », sur Statistique Canada (consulté le ).
  26. « Profils des communautés de 2006 - Saint-Louis-de-Kent - Langue », sur Statistique Canada (consulté le ).
  27. a b et c « Élections quadriennales municipales, le 14 mai 2012, Rapport du directeur général des élections municipales », sur Élections N.-B. (consulté le ).
  28. « Les résultats des élections municipales », L'Évangéline,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  29. « Résultats des élections municipales et scolaires dans les régions francophones », L'Évangéline,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  30. « Résultats des élections municipales », L'Évangéline,‎ , p. 16 (lire en ligne)
  31. « Résultats des élections municipales », L'Évangéline,‎ , p. 16 (lire en ligne)
  32. « Les communautés dans chacune des 12 Commissions de services régionaux (CSR) », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
  33. « Conseils d'administration des commissions de services régionaux annoncés », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
  34. « Gouvernance des nouvelles commissions de services régionaux », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
  35. « Services obligatoires », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
  36. « Carte », sur Entreprise Kent (consulté le ).
  37. (fr) Saint-Louis-de-Kent - Services municipaux : Distribution d'eau potable
  38. (fr) Saint-Louis-de-Kent - Services municipaux : Épuration des eaux usées
  39. (fr) Bruno Richard, « D’importantes dépenses attendent le Centre AquaKent », dans L'Acadie Nouvelle, 12 décembre 2008 [lire en ligne (page consultée le 12 décembre 2008)].
  40. Stéphane Paquette, « Rendez-vous dans Kent », L'Acadie Nouvelle,‎ (lire en ligne)
  41. (fr) Saint-Louis-de-Kent - Services municipaux : Protection des incendies
  42. (fr) Saint-Louis-de-Kent - Services municipaux : Déchets ménagers
  43. (fr) Lieux patrimoniaux du Canada - Berceau du drapeau acadien
  44. (fr) Lieux patrimoniaux du Canada - La Grotte et le Calvaire
  45. (fr) Lieux patrimoniaux du Canada - Maison Brideau
  46. (fr) Bruno Richard, « Mobilisation pour sauver le pont de Saint-Louis-de-Kent », dans L'Acadie Nouvelle, 26 février 2009 [lire en ligne (page consultée le 26 février 2009)].
  47. Canada, Nouveau-Brunswick. « Loi sur les langues officielles », art. 35, 36, 37, 38 [lire en ligne (page consultée le 15 mars 2011)].
  48. Claude Le Bouthillier, La terre tressée : poésie, Tracadie-Sheila, La Grande Marrée, , 109 p. (ISBN 978-2-349-72276-8), p. 50

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Maurice Basque et André Duguay, Histoire du drapeau Acadien, Lévis, Éditions de la Francophonie, , 152 p. (ISBN 978-2-89627-363-8)
    Section sur l'histoire du village
  • (en) William F. Ganong, A Monograph of the Origins of the Settlements in New Brunswick, Ottawa, J. Hope, , 185 p.
  • (en) Alan Rayburn, Geographical Names of New Brunswick, Ottawa, Énergie, Mines et Ressources Canada,