Saint-Julien-de-Lampon

commune française du département de la Dordogne

Saint-Julien-de-Lampon
Saint-Julien-de-Lampon
Le bourg de Saint-Julien-de-Lampon vu depuis le château de Fénelon.
Blason de Saint-Julien-de-Lampon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Fénelon (nouvelle)
Maire
Mandat
Huguette Villard
2020-2026
Code postal 24370
Code commune 24432
Démographie
Gentilé Lamponais
Population
municipale
650 hab. (2021 en augmentation de 5,01 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 51′ 36″ nord, 1° 21′ 51″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 252 ou 265 m
Superficie 13,24 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Sarlat-la-Canéda
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Terrasson-Lavilledieu
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Julien-de-Lampon
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Saint-Julien-de-Lampon
Liens
Site web www.saint-julien-de-lampon.fr

Saint-Julien-de-Lampon est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Généralités modifier

 
Le bourg vu depuis le nord-ouest.

Dans l'extrême sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune de Saint-Julien-de-Lampon est limitrophe du département du Lot. C'est une commune rurale[1] qui fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda[2]. Elle est située en rive gauche de la Dordogne qui la borde au nord avec ses bras secondaires et bras-morts, ici appelés « couasnes ». En rive droite, au lieu-dit Borgne de la Dame, une zone d'environ 34 hectares fait cependant partie du territoire communal.

À l'intersection des routes départementales (RD) 50 et 61, le bourg de Saint-Julien-de-Lampon se situe, en distances orthodromiques, dix kilomètres à l'ouest-sud-ouest de Souillac et douze kilomètres à l'est-sud-est de Sarlat-la-Canéda.

Communes limitrophes modifier

Saint-Julien-de-Lampon est limitrophe de huit autres communes dont la moitié dans le département du Lot. Au sud-est, son territoire est limitrophe de celui de Lamothe-Fénelon sur environ 180 mètres.


Géologie et relief modifier

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Julien-de-Lampon est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[3].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j4-5(Lz), date du Callovien à l'Oxfordien, composée de calcaires oolithiques roux (formation de Leyze), à crème parfois blanc graveleux en plaquettes, à oncolithes, spongiaires, polypiers, trocholines et grands foraminifères (chablaisia) et hydrozoaires (cladocoropsis). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 808 - Sarlat-la-Canéda » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et sa notice associée[6].

 
Carte géologique de Saint-Julien-de-Lampon.

Relief et paysages modifier

 
La Dordogne en période de crue, vue depuis le lieu-dit les Mondoux.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 62 mètres[7] à l'ouest, là où la Dordogne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Sainte-Mondane et Calviac-en-Périgord, et 252[7] ou 265 mètres[8] au nord-est, au lieu-dit Pech du Liège[9].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [10]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[11]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[12].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 13,24 km2[7],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 13,34 km2[5].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par la Dordogne, le ruisseau de Tournefeuille, le ruisseau des Prés des Lacs et par divers petits cours d'eau[Note 3], qui constituent un réseau hydrographique de 26 km de longueur totale[17],[Carte 1].

La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[18],[19]. Elle arrose la commune au nord sur six kilomètres et demi, dont cinq lui servent de limite naturelle en deux tronçons, face à Pechs-de-l'Espérance, Carlux et Calviac-en-Périgord.

Le Tournefeuille, d'une longueur totale de 14,59 km, prend sa source dans le Lot dans la commune de Payrac et se jette dans la Dordogne en rive gauche en limite de Saint-Julien-de-Lampon et Le Roc, face à Pechs-de-l'Espérance[20],[21]. Il borde la commune à l'est sur plus de trois kilomètres, face à Lamothe-Fénelon, Nadaillac-de-Rouge et Le Roc.

Autre affluent de rive gauche de la Dordogne, le ruisseau des Prés des Lacs arrose le sud-ouest de la commune.

Gestion et qualité des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[22]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [23].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[24]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[25].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 937 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[26]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Salignac-Eyvigues à 13 km à vol d'oiseau[27], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,1 mm[28],[29]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[30].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d'intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[31],[32].

La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en [33] et se situe dans à la fois dans sa « zone centrale »[34], sa « zone tampon »[35] et sa « zone de transition »[36].

Depuis 1991, l'ensemble des communes du département de la Dordogne baignées par la Dordogne sont concernées par un arrêté de protection du biotope afin de sauvegarder cinq espèces fluviales migratrices (Alose feinte (Alosa fallax), Grande alose (Alosa alosa), Lamproie fluviatile (Lampetra fluviatilis), Lamproie marine (Petromyzon marinus) et Saumon atlantique (Salmo salar)[37].

Natura 2000 modifier

La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les communes riveraines de la Dordogne, dont Saint-Julien-de-Lampon[38],[39]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[40].

ZNIEFF modifier

Saint-Julien-de-Lampon fait partie des communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 « La Dordogne »[41],[42], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[43].

Le site « Couasnes de Saint-Julien-de-Lampon » est une ZNIEFF de type 1 de 261,47 hectares correspondant au cours de la Dordogne, à ses rives proches et à ses couasnes (ses bras secondaires et ses bras morts) qui s'étend sur 261,47 hectares et dont environ les trois-quarts se situent sur le territoire de Saint-Julien-de-Lampon[44],[45].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Julien-de-Lampon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[46],[47],[48].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[49],[50].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,2 %), forêts (36 %), terres arables (6,8 %), eaux continentales[Note 6] (4 %), zones urbanisées (3,9 %), prairies (0,1 %)[51]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques modifier

Le territoire de la commune de Saint-Julien-de-Lampon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[52]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[53].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et le ruisseau de Tournefeuille. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993 et 1999[54],[52]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne amont » approuvé le , pour les crues de la Dordogne[55],[56]. Toutes les zones basses de la commune sont exposées, notamment une grande partie de celles situées en contrebas de la route départementale 50[57].

Saint-Julien-de-Lampon est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[58]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[59],[60].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Julien-de-Lampon.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[61]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[62]. 9,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[63].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[52].

Risque technologique modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 8] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[65],[66].

Toponymie modifier

La première mention écrite connue du lieu, Sti Juliani supra ripam Dordoniae, date de 1143 et se réfère à son église[67]. On relève ensuite Sanctus Julianus en 1326[68] et en 1526 apparaît la graphie « Sainct Jullien près Lampon »[67].

Le nom de la commune fait référence à saint Julien, martyr chrétien au début du IVe siècle[69], la seconde partie du nom pouvant correspondre à un personnage gallo-romain, Lamponius[70],[67], à un nom d'origine germanique « Appon » ou à celui d'un ruisseau, le Lampon[68].

En occitan, la commune porte le nom de Sent Julian de Lamponh[70],[67].

Histoire modifier

Au XIVe siècle, sur le territoire communal actuel sont édifiés le château de la Tourette et la voûte du chœur de l'église Saint-Julien qui dépendait du diocèse de Cahors[68].

Saint-Julien-de-Lampon fait partie des nombreuses communes créées à la Révolution française[7].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Dès 1790, la commune de Saint-Julien-de-Lampon est rattachée au canton de Carlux qui dépend du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton de Carlux dépend de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[7].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de [71]. La commune est alors rattachée électoralement au canton de Terrasson-Lavilledieu pour l'élection des conseillers départementaux.

Pour les élections législatives, la commune fait partie de la quatrième circonscription de la Dordogne.

Intercommunalité modifier

Saint-Julien-de-Lampon est l'une des quatre communes fondatrices de la communauté de communes du Pays de Fénelon qui, fin 2003, fusionne avec la communauté de communes du Carluxais, celle-ci devenant la communauté de communes du Carluxais Terre de Fénelon. Cette intercommunalité est dissoute au et remplacée au par la nouvelle communauté de communes du Pays de Fénelon.

Administration municipale modifier

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[72],[73].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 mars 2014 Gérard Garrigue Apparenté PS[74] Agriculteur
mars 2014[75]
(réélue en mai 2020)
En cours Huguette Villard    

Équipements et services publics modifier

Enseignement modifier

En 2022, la commune de Saint-Julien-de-Lampon est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Carlux, Pechs-de-l'Espérance et Sainte-Mondane au niveau des classes de primaire[76] :

Santé modifier

Début 2024, plusieurs professionnels de santé sont établis sur la commune : un médecin généraliste, un cabinet infirmier, un kinésithérapeute et une réflexologue[77]. L'hôpital le plus proche est l'hôpital Jean-Leclaire à Sarlat-la-Canéda[77].

Justice modifier

En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Julien-de-Lampon relève[78] :

Population et société modifier

Démographie modifier

Les habitants de Saint-Julien-de-Lampon se nomment les Lamponais[79].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[80]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[81].

En 2021, la commune comptait 650 habitants[Note 9], en augmentation de 5,01 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7736598347137297801 0281 0591 085
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0121 0841 0511 016975956976958910
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
860811768679657645608603557
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
538516522552586576586625618
2021 - - - - - - - -
650--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[82].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports modifier

Le Marathon Dordogne-Périgord est une épreuve de descente fluviale de la Dordogne en canoë-kayak, entre Saint-Julien-de-Lampon et Castelnaud-la-Chapelle sur 32 kilomètres. Pour les jeunes, elle s'effectue sur 12 kilomètres entre Vitrac et Castelnaud-la-Chapelle[83] (24e édition en 2023[84]).

Économie modifier

Emploi modifier

En 2020[85], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 223 personnes, soit 34,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-sept) a fortement diminué par rapport à 2014 (quarante-deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,3 %.

Activités hors agriculture modifier

70 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Julien-de-Lampon au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[86].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 70 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
6 8,6 % (10,2 %)
Construction 12 17,1 % (14,2 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
15 21,4 % (31,3 %)
Information et communication 1 1,4 % (1,7 %)
Activités financières et d'assurance 2 2,9 % (3,4 %)
Activités immobilières 5 7,1 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
11 15,7 % (14,5 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
15 21,4 % (11,5 %)
Autres activités de services 3 4,3 % (9,1 %)

Avec quinze établissements chacun, deux secteurs sont prépondérants sur le territoire communal : celui du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration, et celui de l'administration publique, de l'enseignement, de la santé humaine et de l'action sociale, représentant chacun 21,4 % du nombre total d'établissements de la commune.

Agriculture modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D’azur à la bande d’argent remplie de gueules chargée de trois besants d’or, accompagnée de deux étoiles aussi d’argent, l'une en chef et l’autre en pointe[90].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
  3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, la Borgne, affluent de rive droite rive droite de la Dordogne, n'arrose pas la commune de Saint-Julien-de-Lampon située en rive gauche à leur confluence.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[64].
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Julien-de-Lampon » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. [PDF] Arrêté fixant la liste des communes rurales 2023, Recueil des actes administratifs normal no 4, Préfecture de la Dordogne, , p. 126-140.
  2. Aire d'attraction des villes 2020 de Sarlat-la-Canéda (233), Insee, consulté le .
  3. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  4. « Carte géologique de Saint-Julien-de-Lampon » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  5. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Julien-de-Lampon », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  6. « Notice associée à la feuille no 808 - Sarlat-la-Canéda de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  7. a b c d e et f Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. « 265 » sur Géoportail (consulté le 3 juillet 2022)..
  9. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
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