Saint-Georges (Pas-de-Calais)

commune française du département du Pas-de-Calais

Saint-Georges
Saint-Georges (Pas-de-Calais)
L'église.
Blason de Saint-Georges
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité Communauté de communes des 7 Vallées
Maire
Mandat
Bruno Leveque
2020-2026
Code postal 62770
Code commune 62749
Démographie
Gentilé Saint-Georgeois
Population
municipale
331 hab. (2021 en augmentation de 2,16 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 21′ 32″ nord, 2° 05′ 06″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 134 m
Superficie 9,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Hesdin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Georges
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Saint-Georges
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Saint-Georges
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Saint-Georges

Saint-Georges est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 602 habitants en 2019.

Géographie modifier

Localisation modifier

Saint-Georges est située dans le pays des Sept Vallées, et est traversée par le fleuve côtier la Canche. Saint-Georges est située à 5 km de Hesdin et jouxte Vieil-Hesdin. Ce village possède une pisciculture, qui fut l'une des plus grandes d'Europe dans les années 1950. Cet édifice a été rénové pour accueillir des touristes, et pêcheurs et aménagé en gîte rural. Le circuit du Ravin, circuit de quads et motos se situe également à l'extérieur du village, entre Le Quesnoy-en-Artois et Saint-Georges. On trouve également un parcours de chasse, qui sert à accueillir les futurs chasseurs dans le cadre de la formation au permis de chasse.

 
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Hydrographie modifier

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par la Canche, un cours d'eau naturel de 100,22 km, qui prend sa source dans la commune de Gouy-en-Ternois et se jette dans la Manche entre Étaples et Le Touquet-Paris-Plage[1].

Paysages modifier

La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[2].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[3].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 863 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe qui se situe dans le pays du Ternois. Il offre un relief de coteau abrupt au Nord et des pentes douces au Sud. Le fond de vallée est constitué de pâturages et de zones de cultures. Les versants les plus pentus et inaccessibles accueillent des boisements[10].

 
Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme modifier

 
Une entrée de la commune.

Typologie modifier

Saint-Georges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Hesdin, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66 %), prairies (22,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,1 %), zones urbanisées (4 %), forêts (3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Georgiusjuxta castrum Hesdin (1094) ; Saint Jorge de Hesdin (1266-1267) ; Saint Jore (1291) ; Saint Joire (1296) ; Saint-Jeorge (1345) ; Saint-Jore de Héding (XIVe siècle) ; Saint-George (1374) ; Georges-lès-Hesdin (1793)[17], Saint Georges (1793) et Saint-Georges depuis 1801[18].

Saint-Georges est un hagiotoponyme qui fait référence à Georges de Lydda.

Durant la Révolution, la commune porte les noms de Georges-lès-Hesdin et de Georges-sur-Canche[18].

Histoire modifier

Politique et administration modifier

 
La mairie.

Découpage territorial modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités modifier

La commune est membre de la communauté de communes des 7 Vallées.

Circonscriptions administratives modifier

La commune est rattachée au canton d'Auxi-le-Château.

Circonscriptions électorales modifier

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2014[19] Jacques Truelle    
mars 2014[20],[21],[22] février 2020 Bernard Lemoine   Retraité de la banque
Mort en fonction
février 2020 En cours
(au 5 avril 2022)
Bruno Lévêque   Contremaître, agent de maîtrise
Réélu pour le mandat 2020-2026[23],[24]

Population et société modifier

Démographie modifier

Les habitants de la commune sont appelés les Saint-GeorgeoisLes habitants de la commune sont appelés les Richebourgeois'[25].

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 331 habitants[Note 5], en augmentation de 2,16 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
409300388400424414474485451
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
431428436385349354363380341
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
340338322342308293290270269
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
272271293305305266296300321
2017 2021 - - - - - - -
326331-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 164 hommes pour 167 femmes, soit un taux de 50,45 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
4,9 
75-89 ans
5,3 
20,3 
60-74 ans
22,8 
21,0 
45-59 ans
19,3 
18,7 
30-44 ans
19,0 
14,3 
15-29 ans
16,4 
20,8 
0-14 ans
17,3 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église : son clocher est inscrit monument historique par arrêté du et son porche par arrêté du [31].
  • Prieuré de Saint-Georges dépendait de 1535 à 1789 de l'abbaye d'Anchin[32].
  • Le monument aux morts.
  • Le château Watteville.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

D'argent à la croix de gueules.

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canche (E54-003-) » (consulté le )
  2. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Georges et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « ZNIEFF 310007267 - La haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Hesdin », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 341.
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Camille Gaubert, « À Saint-Georges, la salle des fêtes et l’école sont au centre du bilan du maire Jacques Truelle : Le maire de Saint-Georges Jacques Truelle participe à la vie du conseil municipal depuis 25 ans. Il est devenu maire pour la première fois en 2001. À 74 ans, il décide de raccrocher pour « laisser la place aux jeunes ». », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Saint-Georges : Bernard Lemoine est élu pour un premier mandat de maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  22. « Saint-Georges – Pour ce premier mandat, « le remplacement du chauffage de l’église va s’imposer » : Comme avec le bilan des maires avant les élections, votre journal lance une nouvelle série consacrée aux projets des maires. À Saint-Georges, Bernard Lemoine entame son premier mandat. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  24. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  25. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Georges (62749) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  31. « Inscription MH de l'église », notice no PA00108394, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Tableau général numérique par fonds des archives départementales antérieures à 1790,Impr. Nationale, 1848,[1]