Saint-Georges-sur-Cher

commune française du département de Loir-et-Cher

Saint-Georges-sur-Cher
Saint-Georges-sur-Cher
Les bords du Cher.
Blason de Saint-Georges-sur-Cher
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Arrondissement Romorantin-Lanthenay
Intercommunalité Communauté de communes Val-de-Cher-Controis
Maire
Mandat
Jacques Paoletti
2020-2026
Code postal 41400
Code commune 41211
Démographie
Population
municipale
2 723 hab. (2021 en augmentation de 2,95 % par rapport à 2015)
Densité 115 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 19′ 33″ nord, 1° 07′ 34″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 141 m
Superficie 23,78 km2
Unité urbaine Saint-Georges-sur-Cher
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montrichard Val de Cher
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Georges-sur-Cher
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Saint-Georges-sur-Cher
Liens
Site web www.saintgeorgessurcher.net

Saint-Georges-sur-Cher est une commune française de la Touraine (province) située dans le département de Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.

Localisée au sud-ouest du département, la commune fait partie de la petite région agricole « les Plateaux bocagers de la Touraine méridionale », regroupant des milieux très hétérogènes, plateau dénudé de Pontlevoy, vallée du Cher bordée de coteaux de vignes et aspects de gatine au-delà. Elle est drainée par le Cher, le Chézelles, le Senelles et par divers petits cours d'eau.

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Un espace naturel d'intérêt est présent sur la commune : un espace protégé, . En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 15 en 1988, à 67 en 2000, puis à 31 en 2010.

Le patrimoine architectural de la commune comprend quatre bâtiments portés à l'inventaire des monuments historiques : le prieuré de la Chaise, inscrit en 1963, le manoir des Couldraies, inscrit en 1987, l'église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-Cher, inscrite en 1926, et une maison à lucarne, inscrite en 1997.

Géographie modifier

Localisation et communes limitrophes modifier

La commune de Saint-Georges-sur-Cher se trouve au sud-ouest du département de Loir-et-Cher, dans la petite région agricole des Plateaux bocagers de la Touraine méridionale[1],[2]. À vol d'oiseau, elle se situe à 33 km de Blois[3], préfecture du département, à 46,8 km de Romorantin-Lanthenay[4], sous-préfecture, et à 5 km de Montrichard Val de Cher, chef-lieu du canton de Montrichard dont dépend la commune depuis 2015[5]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Montrichard[6].

Les communes les plus proches sont[7] : Chissay-en-Touraine (1,5 km) , Chisseaux (2,5 km) (Indre-et-Loire), Francueil (3,4 km) (Indre-et-Loire), Faverolles-sur-Cher (4,3 km) , Chenonceaux (4,5 km) (Indre-et-Loire), Épeigné-les-Bois (5 km) (Indre-et-Loire), Montrichard (5 km) , Civray-de-Touraine (5,9 km) (Indre-et-Loire) et Saint-Julien-de-Chédon (6,7 km).

Paysages et relief modifier

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage, adoptée le et entrée en vigueur en France le , un atlas des paysages de Loir-et-Cher a été élaboré en 2010 par le CAUE de Loir-et-Cher, en collaboration avec la DIREN Centre (devenue DREAL en 2011), partenaire financier[8]. Les paysages du département s'organisent ainsi en huit grands ensembles et 25 unités de paysage[Note 1],[9]. La commune fait partie de deux unités de paysage : les « coteaux du Cher » et « le Cher urbanisé de Montrichard », dans « la vallée du Cher »[10].

Les coteaux du Cher, plus vastes que la simple marge de la vallée, s'étendent sur une épaisseur de 4 à 8 kilomètres en moyenne pour une longueur totale de 25 kilomètres environ. Ils s'organisent en une succession de collines et de vallées qui prennent leurs sources sur la crête dessinée par la confluence de l'Indre et du Cher[11].

Autour de Montrichard Val de Cher, la vallée du Cher présente un fond relativement plat et régulier, ondulant légèrement en vis-à-vis de la ville. La rivière s'écoule lentement, formant quelques îles comme l'Île Picard ou l'Île de la Salle, toujours verdoyantes. Les berges restent assez difficiles à longer bien que quelques chemins donnent accès au bord de l'eau[12].

L'altitude du territoire communal varie de 56 mètres à 141 mètres[13],[14].

Hydrographie modifier

 
Réseau hydrographique de Saint-Georges-sur-Cher.

La commune est drainée par le Cher (3,975 km), le Chézelles (4,601 km), le Senelles et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 20,23 km de longueur totale[15].

Le Cher, d'une longueur totale de 365,5 km, prend sa source dans la commune de Mérinchal (Creuse) et se jette dans la Loire à Cinq-Mars-la-Pile (Indre-et-Loire), après avoir traversé 117 communes[16]. Sur le plan piscicole, ce cours d'eau est classé en deuxième catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[17].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 692 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Sublaines à 12 km à vol d'oiseau[20], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,3 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Inventaire patrimonial naturel modifier

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[24],[25],[26].

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d'intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[27].Un espace protégé est présent sur la commune : « Les Prés de la Limite », un terrain acquis par le Conservatoire d'espaces naturels Centre-Val de Loire. Il présente une superficie de 19,96 ha[28].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Saint-Georges-sur-Cher est une commune urbaine[Note 2]. Elle appartient en effet à l'unité urbaine de Saint-Georges-sur-Cher, une agglomération inter-départementale regroupant 3 communes[29] et 4 241 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].

 
Infrastructures et occupation des sols de la commune de Saint-Georges-sur-Cher.

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (89,6 %). La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 est la suivante : terres arables (6,8 %), cultures permanentes (34 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), prairies (4,9 %), forêts (23,3 %), zones urbanisées (8,8 %), mines, décharges et chantiers (1,6 %), eaux continentales (1,2 %)[15].

Planification modifier

En matière de planification, la commune disposait en 2017 d'un plan d'occupation des sols approuvé, un plan local d'urbanisme était en révision[34]. Par ailleurs, à la suite de la loi ALUR (loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové) de , un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes Val-de-Cher-Controis a été prescrit le [35].

Habitat et logement modifier

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Georges-sur-Cher en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (2,9 %) par rapport au département (18 %) et à la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81,7 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.

Le logement à Saint-Georges-sur-Cher en 2016.
Saint-Georges-sur-Cher[36] Loir-et-Cher[37] France entière[38]
Résidences principales (en %) 90,6 74,5 82,3
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,9 18 9,6
Logements vacants (en %) 6,6 7,5 8,1

Risques majeurs modifier

Le territoire communal de Saint-Georges-sur-Cher est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement du Cher), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains ou sismique (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique : le transport de matières dangereuses[39],[40].

Risques naturels modifier

 
Zones inondables de la commune de Saint-Georges-sur-Cher.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit liés au retrait-gonflement des argiles, soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[39]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[41]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[42]. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune[43].

Les crues du Cher sont moins importantes que celles de la Loire, mais elles peuvent générer des dégâts importants. Les crues historiques sont celles de 1856 (5 m à l'échelle de Noyers-sur-Cher), 1940 (4,03 m) et 1977 (3,58 m). Le débit maximal historique est de 1 560 m3/s et caractérise une crue de retour supérieur à cent ans pour Montrichard Val de Cher[44]. Le risque d'inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du Cher[45].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de marchandises dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d'avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu'à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d'urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[46].

Toponymie modifier

Nom actuel modifier

La commune doit la première partie de son nom à Georges de Lydda, saint et patron important de la chrétienté qui a vécu à la fin du IIe siècle de notre ère. Par souci de différenciation avec les nombreuses communes homonymes[Note 3], la seconde partie porte le nom de la rivière constituant la bordure nord de la commune, le Cher.

Évolution du nom de la ville modifier

Sous la Révolution, la volonté de déchristianiser la société française requiert un changement du toponyme : par délibération du conseil général de la commune, et en application du décret du 25 vendémiaire an II (), la commune nouvellement créée de Saint-Georges fut temporairement renommée Albion-sur-Cher[47]. Ce changement n'est pas anodin : Saint Georges est le patron du royaume d'Angleterre depuis l'an 800, et Albion un ancien nom pour désigner la Grande-Bretagne.

La commune reprit son nom traditionnel à la Restauration[48].

C'est en 1890 que la commune adopta, pour se différencier des nombreux autres villages homonymes[Note 3], le nom unique de Saint-Georges-sur-Cher, en vertu du décret du de la même année[49].

Histoire modifier

Origines modifier

Avant 1144, la paroisse dépendait de l'abbaye de Pontlevoy.

Révolution française et Empire modifier

Nouvelle organisation territoriale modifier

Le décret de l'Assemblée nationale du décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[50], mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () que la paroisse de Saint-Georges-sur-Cher devient formellement « commune de Saint-Georges-sur-Cher »[50],[51].

En 1790, dans le cadre de la création des départements, la municipalité est rattachée au canton de Montrichard et au district de Saint Aignan[51]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l'élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[52],[53]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[52]. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons en Loir-et-Cher de 33 à 24[54]. Saint-Georges-sur-Cher est alors rattachée au canton de Montrichard et à l'Arrondissement de Blois par arrêté du 5 vendémiaire an X ()[55],[51],[56]. Cette organisation va rester inchangée pendant près de 150 ans.

Époque contemporaine modifier

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Découpage territorial modifier

La commune de Saint-Georges-sur-Cher est membre de la communauté de communes Val-de-Cher-Controis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le [57].

Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Romorantin-Lanthenay, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire[6], en tant que circonscriptions administratives[6]. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton de Montrichard depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux[58] et à la première circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives[59].

Politique et administration municipale modifier

Conseil municipal et maire modifier

Le conseil municipal de Saint-Georges-sur-Cher, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel plurinominal avec prime majoritaire[60]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges au conseil municipal est de 23. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[61].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1959 mars 1977 Kléber Richard    
mars 1977 mars 1983 René Boistard    
mars 1983 mars 2001 Jean Auvray    
mars 2001 mars 2014 Jean Lhoste DVD puis NC  
mars 2014 En cours Jacques Paoletti[62],[63]   1er Vice Président de la Communauté de communes Val de Cher Controis ; Président du Syndicat Nouvel Espace du Cher ; 1er Vice Président du Pays de la Vallée du Cher et du Romorantinais
Les données manquantes sont à compléter.

Équipements et services modifier

Eau et assainissement modifier

L'organisation de la distribution de l'eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La compétence eau et assainissement des communes est un service public industriel et commercial (SPIC)[64].

Alimentation en eau potable modifier

Le service d'eau potable comporte trois grandes étapes : le captage, la potabilisation et la distribution d'une eau potable conforme aux normes de qualité fixées pour protéger la santé humaine[65]. Depuis le , la commune de Saint-Georges-sur-Cher est adhérente du Syndicat d'Adduction d'Eau Potable le SIAEP Val de Cher.

Assainissement des eaux usées modifier

Depuis le , la commune de Saint-Georges-sur-Cher est adhérente au Syndicat Intercommunal d'Assainissement de l'Agglomération de Montrichard SIAAM.

Sécurité, justice et secours modifier

La sécurité de la commune est assurée par la brigade de gendarmerie de Montrichard-Val-de-Cher qui dépend du groupement de gendarmerie départementale de Loir-et-Cher installé à Blois[66].

En matière de justice, Saint-Georges-sur-Cher relève du conseil de prud'hommes de Blois, de la Cour d'appel d'Orléans (juridiction de Blois)[67], de la Cour d'assises de Loir-et-Cher, du tribunal administratif de Blois, du tribunal de commerce de Blois et du tribunal judiciaire de Blois[68].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[69]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[70].

En 2021, la commune comptait 2 723 habitants[Note 4], en augmentation de 2,95 % par rapport à 2015 (Loir-et-Cher : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3121 6011 5461 6811 9762 0252 0842 1152 158
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1642 2902 3452 3502 4352 5182 5052 2332 244
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1392 1342 0311 9061 8951 7391 6801 6881 736
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 6471 6731 7832 0212 0472 1552 2682 5032 667
2021 - - - - - - - -
2 723--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[71].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,7 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 327 hommes pour 1 377 femmes, soit un taux de 50,92 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,45 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[72]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,7 
90 ou +
3,9 
11,4 
75-89 ans
14,6 
17,0 
60-74 ans
18,7 
17,5 
45-59 ans
15,0 
18,9 
30-44 ans
18,1 
12,4 
15-29 ans
12,5 
21,0 
0-14 ans
17,3 
Pyramide des âges du département de Loir-et-Cher en 2020 en pourcentage[73]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
9,1 
75-89 ans
11,8 
19,4 
60-74 ans
20,1 
21 
45-59 ans
20,2 
16,6 
30-44 ans
16,2 
15,3 
15-29 ans
13,2 
17,5 
0-14 ans
16 

Économie modifier

Secteurs d'activité modifier

Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Saint-Georges-sur-Cher selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[74] :

Établissements actifs par secteur d'activité au .
total % com (% dep[75]) 0 salarié 1 à 9 salarié(s) 10 à 19 salariés 20 à 49 salariés 50 salariés ou plus
Ensemble (100)
Agriculture, sylviculture et pêche (11,8)
Industrie (6,5)
Construction (10,3)
Commerce, transports, services divers (57,9)
dont commerce et réparation automobile (17,5)
Administration publique, enseignement, santé, action sociale (13,5)
Champ : ensemble des activités.

Au , la commune est classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également[76]

Agriculture modifier

En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la viticulture (appellation et autre)[77]. Le département a perdu près d'un quart de ses exploitations en 10 ans, entre 2000 et 2010 (c'est le département de la région Centre-Val de Loire qui en compte le moins)[78]. Cette tendance se retrouve également au niveau de la commune où le nombre d'exploitations est passé de 100 en 1988 à 67 en 2000 puis à 31 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 13 ha en 1988 à 31 ha en 2010[77]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Saint-Georges-sur-Cher, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l'agriculture à Saint-Georges-sur-Cher (41) entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[77]
Nombre d'exploitations (u) 100 67 31
Travail (UTA) 143 91 64
Surface agricole utilisée (ha) 1 260 1 176 973
Cultures[79]
Terres labourables (ha) 554 477 475
Céréales (ha) 366 289 295
dont blé tendre (ha) 184 113 174
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 55 52 53
Tournesol (ha) 43 s
Colza et navette (ha) 42 s 63
Élevage[77]
Cheptel (UGBTA[Note 5]) 297 76 20

.

Produits labellisés modifier

La commune de Saint-Georges-sur-Cher est située dans l'aire de l'appellation d'origine protégée (AOP)[Note 6] de cinq produits[80] : deux fromages (le sainte-maure-de-touraine[81] et le selles-sur-cher[82]) et trois vins (le crémant-de-loire[83], le rosé-de-loire[84] et le touraine[85]).

Le territoire de la commune est également intégré aux aires de productions de divers produits bénéficiant d'une indication géographique protégée (IGP) : les rillettes de Tours[86], le vin Val-de-loire[87] et les volailles de l’Orléanais[88],[80].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Héraldique modifier

Les armoiries de Saint-Georges-sur-Cher se blasonnent ainsi :

D'argent à l'épée abaissée de gueules en chef soutenue d'un dragon contourné de sinople mouvant de la pointe ; mantelé de gueules, au chef-retrait ondé du champ.

Création Cl. Chevy (1991).

Personnalités liées à la commune modifier

  • Pierre Bretonneau, grand clinicien français, est né à Saint-Georges-sur-Cher le .

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Une unité de paysage est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
  3. a et b Voir Saint-Georges  .
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d'espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  6. Nomenclature européenne, appellation d'origine contrôlée (AOC) dans la nomenclature française.

Références modifier

  1. « Petites régions agricoles (PRA) par commune », sur https://geo.data.gouv.fr/ (consulté le )
  2. [PDF]« Carte des petites régions agricoles de Loir-et-Cher », sur la plateforme de l'information territoriale de Loir-et-Cher (consulté le )
  3. « Orthodromie entre "Saint-Georges-sur-Cher" et "Blois" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre "Saint-Georges-sur-Cher" et "Romorantin-Lanthenay" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre "Saint-Georges-sur-Cher" et "Montrichard Val de Cher" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  6. a b et c « Métadonnées de la commune de Saint-Georges-sur-Cher », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

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  • Christian Poitou, Paroisses et communes de France : Loir-et-Cher, Paris, CNRS Editions, , 591 p. (ISBN 2-271-05482-6)
  • Stéphane Gendron, Les noms de lieux du Centre, Paris, éditions Bonneton, , 232 p. (ISBN 978-2-86253-226-4).
  • Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d'histoire administrative, Paris, Institut National d'Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier