Saint-Geoirs

commune française du département de l'Isère

Saint-Geoirs
Saint-Geoirs
Entrée de la commune de Saint-Geoirs depuis la RD 154
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Vienne
Intercommunalité Communauté de communes Bièvre Isère
Maire
Mandat
Nadine Grangier
2020-2026
Code postal 38590
Code commune 38387
Démographie
Population
municipale
496 hab. (2021 en diminution de 5,16 % par rapport à 2015)
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 19′ 23″ nord, 5° 21′ 19″ est
Altitude 438 m
Min. 414 m
Max. 747 m
Superficie 6,93 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs
(banlieue)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Bièvre
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Saint-Geoirs

Saint-Geoirs est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La commune, située sur les pentes septentrionales de la partie orientale du plateau de Chambaran, est adhérente à la communauté de communes Bièvre Isère dont le siège est situé à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs.

Ses habitants sont dénommés les Saint-Geoirdeaux[1].

Géographie modifier

Localisation et description modifier

Située entre les agglomérations de Lyon, Grenoble, Valence et de Bourgoin-Jallieu, dans le secteur du Bas Dauphiné, en Isère, la commune s'est principalement développée sur les premières pentes d'un plateau boisé en lisère de la plaine de la Bièvre.

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

 
Paysage autour de Saint-Geoirs

Le territoire communal s'étend sur la partie orientale mais aussi la plus élevée du plateau de Chambaran, lequel est constitué d'une ossature en molasse miocène, recouverte en grande partie par un placage de terres argilo-limoneuses ou argilo-sableuses [2].

Saint-Geoirs se positionne dans un secteur de basse montagne à quelques kilomètres à l'est du point culminant de ce plateau qui atteint 789 m[3] au sommet de l'oppidum du Camp de César[4], sur la commune voisine de Plan. Le point culminant de la commune s'élève à 747 m en limite avec la commune de Quincieu, non loin du col de la Croix de Toutes Aures lequel s'élève à 626 mètres et dont la route traverse le territoire de la commune au niveau du hameau de Cours[5].

Hydrographie modifier

S'écoulant depuis le plateau de Chambaran, le Rival est le seul cours d'eau notable de la commune. Il s'agit d'un ruisseau au débit irrégulier s'écoulant dans un axe Sud-Est - Nord-Ouest sur le territoire communal[6]. Le ruisseau de Saint-Michel, un modeste affluent, le rejoint aux limites septentrionales de la commune.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 050 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à 1 km à vol d'oiseau[9], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 915,1 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Voies de communication et transports modifier

Accès routier modifier

Le bourg central de Saint-Geoirs est relié à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, siège de la communauté de communes par la RD154. Cette même route relie la commune à ses voisines jusqu'à Vinay par raccordement avec la RD22. La ville de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs se situe, quant à elle, au centre d'une triangle formé par les autoroutes A7, A48 et A49

Les hameaux de Cours et du Gillet sont traversés par la RD518 qui relie Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à Saint-Marcellin.

Saint-Geoirs se situe, par la route, à 4,6 kilomètres de l'Aéroport de Grenoble-Alpes-Isère [13].

Transports modifier

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Geoirs est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[17] et 3 741 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20],[21].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38 %), forêts (37 %), prairies (22,2 %), zones urbanisées (2,7 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine modifier

La commune est constitué d'un bourg, de dimension modeste entouré de quelques hameaux éparpillés dans les vallées. Cet ensemble est composé essentiellement de maison individuelles, de fermes souvent réaménagées en maisons de résidence.

Hameaux lieux-dits et écarts modifier

Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de Saint-Geoirs, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[23].

  • Cours
  • Cours le Veyron
  • le Frisat
  • Petit Berthier
  • le Gillet
  • les Abrenières
  • Tarmarin
  • le Billoux
  • Servas
  • les Fouillouses
  • Téney
  • Molézin
  • la Contamine
  • Château du Sublet
  • les Bresses
  • le Barboin
  • Bramafan
  • Combe Profonde
  • les Arêtes
  • le Devès (sommet)
  • Combe de Beaumont

Logement modifier

Risques naturels et technologiques majeurs modifier

Risques sismiques modifier

La totalité du territoire de la commune de Saint-Geoirs est située en zone de sismicité n°3 (modérée), comme la plupart des communes de son secteur géographique[24].

Terminologie des zones sismiques[25]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques modifier

Toponymie modifier

Le nom de « Saint-Geoire » peut faire référence à saint Georges (Georges de Lydda) un martyr chrétien légendaire qui aurait vécu au IVe siècle, connu pour avoir livré un combat acharné contre un dragon afin de sauver la fille d'un roi de la région de Beyrouth. Il existe cependant une deuxième hypothèse concernant cette première partie à l'instar du toponyme de Saint-Geoire-en-Valdaine, située dans le même département de l'Isère ou il serait question de Saint Georges de Vienne, évêque de Vienne qui vécut au cours du VIIIe siècle. L'église de la paroisse est dédiée à Saint-Georges sans autre précision.

Histoire modifier

 
Le village au début du XXe siècle

Préhistoire et Antiquité modifier

Au début de l'Antiquité, le territoire des Allobroges s'étendait sur la plus grande partie des pays qui seront nommés plus tard la Sapaudia (ce « pays des sapins » deviendra la Savoie) et au nord de l'Isère. Les Allobroges, comme bien d'autres peuples gaulois, sont une « confédération ». En fait, les Romains donnèrent, par commodité le nom d'Allobroges à l'ensemble des peuples gaulois vivant dans la civitate (cité) de Vienne, à l'ouest et au sud de la Sapaudia.

Moyen Âge et Temps Modernes modifier

Durant la période médiévale, la paroisse dépendait de la baronnie de Bressieux, famille issue d'un ancien lignage noble du Dauphiné de Viennois. La terre de Bressieux était un fief du comté de Salmorenc[26], et aurait pris son indépendance à la chute du royaume de Bourgogne quand le comté fut partagé entre l'évêque de Vienne et celui de Grenoble en 1107.

La terre de Bressieux fut érigée en marquisat en faveur de la Famille de Grolée en 1612.

Époque contemporaine modifier

Révolution française modifier

La commune de Saint-Geoirs est née du démembrement de la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs en 1790.

Durant la période de la Terreur lié à la prise du pouvoir par les montagnards à Paris, la municipalité donna le nom de Mont-Geoirs à sa commune [27].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 En cours Michel Champon UMP-LR Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Ville jumelée modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 496 habitants[Note 3], en diminution de 5,16 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
643444575750702702668742655
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
598620632602587602591543509
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
486515465395428437380384376
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
331281269314354410455469489
2014 2019 2021 - - - - - -
521506496------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La commune dépend de l'académie de Grenoble. Il n'existe qu'une école primaire située dans le bourg central (village) avec un effectif officiel de vingt-six élèves pour la rentrée 2018/2019[33].

Équipement culturel et sportif modifier

Manifestations culturelles et festivités modifier

Médias modifier

Presse régionale

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Chartreuse et Sud Grésivaudan, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton, quelquefois sur la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers se déroulant dans le secteur.

Cultes modifier

Culte catholique modifier

La communauté catholique et l'église de Saint-Geoirs (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Saint Paul de Toutes Aures, avec onze autres communes de la région. Cette paroisse est rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[34].

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Patrimoine architectural modifier

Patrimoine naturel modifier

  • La grotte de Mandrin est une cavité creusée par l'homme, située entre le village de Saint-Geoirs et le territoire de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, à proximité d'une zone humide intéressante pour sa faune et sa flore [36]

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 17 mars 2019
  2. Site geoglaciaire.net les paysages galaciaires, "Origine du plateau de Chambaran", consulté le 22 février 2019
  3. Géoportail : latitude 45.309708°, longitude 5.408331°
  4. « Le Camp de César », sur le site internet isere-tourisme.com (consulté le ).
  5. Site Isère Tourisme page sur le col de Toutes Aures, consulté le 17 mars 2019
  6. Site de la SIERM, page L'eau dans la commune de Saint-Geoirs, consulté le 17 mars 2019
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Saint-Geoirs et Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. Site air affaires, page "Villes à proximité de Aéroport Grenoble Isère", consulté le 17 mars 2019
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  23. carte Site géoportail, page des cartes IGN
  24. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  25. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  26. Recherches historiques sur le Voironnais, Hector Blanchet, 1864, p. 16.
  27. Livre "Histoire des communes de l'Isère", éditions Horvath, page 91 (ISBN 9-782717-10494-3).
  28. Saint-Etienne de Saint-Geoirs, « Jumelage avec Casorate Sempione » (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Site du journal des femmes, page sur l'école élémentaire de Saint-Geoirs, consulté le 23 février 2019
  34. Site du docièse de Grenoble-Vienne, page sur la paroisse Saint-Paul de Toutes Aures, consultée le 17 mars 2019
  35. Dictionnaire d'Amboise Dauphiné et Ardèche, éditions d'Amboise, page 297 (ISBN 2-903795-28-2).
  36. Site de Radio Brézins, page ballade "la grotte de Mandrin", consulté le 17 mars 2019

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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