Saint-Gaudent

commune française du département de la Vienne

Saint-Gaudent
Saint-Gaudent
L'église (fin XIXe).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Josette Colas
2020-2026
Code postal 86400
Code commune 86220
Démographie
Gentilé Saint-Gaudentais
Population
municipale
312 hab. (2021 en augmentation de 1,63 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 07′ 00″ nord, 0° 17′ 24″ est
Altitude Min. 113 m
Max. 153 m
Superficie 11,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Civray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Gaudent

Saint-Gaudent est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie modifier

Saint-Gaudent est une commune rurale.

La commune est proche du parc naturel régional Périgord Limousin.

Les citoyens de Saint-Gaudent sont nommés les Saint-Gaudentais et les Saint-Gaudentaises.

Localisation modifier

La grande ville la plus proche de Saint-Gaudent est Poitiers et se trouve à 52,33 km au nord, à vol d'oiseau.

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

La région de Saint-Gaudent présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose[1] pour 100 % de Terres Rouges plus ou moins profondes qui sont situées sur les plateaux. Ce sont des sols acajou, siliceux, dérivés d’argiles ferrugineuses à silex provenant d’épandages superficiels du Massif Central.

En 2006, 88,5 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 9,1 % par des forêts et des milieux semi-naturels et 2,4 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[2].

Hydrographie modifier

Le Ruisseau du Pas de la Mule est le principal cours d'eau qui traverse le territoire de la commune.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 866 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Civray à 3,59 km à vol d'oiseau[6], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 841,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports modifier

Les gares et les haltes ferroviaires proches de la commune :

Les aéroports les plus proches de Saint-Gaudin sont :

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Gaudent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), forêts (9,1 %), zones urbanisées (2,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Saint-Gaudent est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels modifier

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Gaudent.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2010 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[16].

Toponymie modifier

La commune s'est appelée jusqu'en 1793 : Gaudent, puis jusqu'en 1801 : Saint-Gaudant.

Histoire modifier

Le premier arbre de la liberté de la Révolution française est planté par le curé de Saint-Gaudent, Pressac de la Chassagnaye, en [21]. Norbert Pressac, curé proche de ses paroissiens et progressiste[22], fait un discours sur les bienfaits de la Révolution, et exhorte ses concitoyens à finir leurs procès par des arbitrages afin que la concorde et l’union fasse prospérer cet arbre[23]. En 1811, un autre arbre est planté en l’honneur de la naissance du fils de Napoléon Ier, Napoléon II le roi de Rome[24].

Politique et administration modifier

Saint-Gaudent dépend de la sous-préfecture de la Vienne à Montmorillon.

Intercommunalité modifier

Saint-Gaudent est rattachée à la communauté de communes du Civraisien.

Depuis 2015, Saint-Gaudent est dans le canton de Civray (n°6) du département Vienne. Avant la réforme des départements, Saint-Gaudent était dans le canton no 5 de Civray dans la 3e circonscription

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 André Cordeau    
mars 2008 mars 2014 Gabriel Ordonneau    
mars 2014 En cours Josette Colas    
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives modifier

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 312 habitants[Note 3], en augmentation de 1,63 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
367384333361385388401426407
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
412420418416423409412431415
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
395396377355344346356376376
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
320317327337341305285288294
2014 2019 2021 - - - - - -
302313312------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 25 hab./km2, contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Les dernières statistiques démographiques pour la commune de Saint-Gaudent ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 306 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (douze personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 294 habitants.

La répartition de la population par sexe était :

  • en 1999 : 48,9 % d'hommes et 51,1 % de femmes.
  • en 2004 : 50,9 % d'hommes et 49,1 % de femmes.
  • en 2010 : 45,7 % d'hommes pour 54,3 % de femmes.

En 2004, selon l'Insee :

  • le nombre de célibataires était de 22,9 % ;
  • les couples mariés représentaient 64,1 % de la population ;
  • les divorcés représentaient 4,5 % ;
  • le nombre de veuves et veufs était de 8,6 %.

Le nombre de naissances entre 1999 et 2009 est de 22 et celui des décès, durant cette décennie, de 35.

Enseignement modifier

La commune de Saint-Gaudent dépend de l'académie de Poitiers et les écoles primaires de la commune dépendent de l'Iinspection académique de la Vienne. L’école primaire publique de Saint-Gaudent est une classe unique de cycle 3 (CE2-CM1-CM2) de 22 élèves. L’école fait partie d’un regroupement pédagogique intercommunal. Ainsi, les maternelles sont localisées à Lizant puis les CP et CE1 à l’école de Voulême et enfin les CE2, CM1 et CM2 à l’école de Saint-Gaudent.

Santé modifier

L’association départementale de parents et amis des personnes handicapées mentales de la Vienne gère un établissement – un institut médico-éducatif (IME) - situé au lieu-dit le Roc. Cet établissement est agréé pour dispenser une éducation et un enseignement spécialisés pour des enfants et adolescents atteints de déficience à prédominance intellectuelle.

Économie modifier

Agriculture modifier

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[30], il n'y a plus que dix exploitations agricoles en 2010 contre 23 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 160 hectares en 2000 à 855 hectares en 2010. 43 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre pour 88 % des surfaces céréalières mais aussi d'orge), 32 % pour les oléagineux (colza et tournesol à parts égales), 8 % pour le fourrage et 15% restent en herbe[30].

Cinq exploitations en 2010 (contre neuf en 2000) abritent un élevage de bovins (586 têtes en 2010 contre 875 têtes en 2000). L'élevage d'ovins a disparu au cours de cette décennie[30]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7% de 1990 à 2007[31].

La transformation de la production agricole est de qualité et permet aux exploitants d’avoir droit, sous conditions, aux appellations et labels suivants :

  • Chabichou du Poitou (AOC)
  • Beurre Charente-Poitou (AOC)
  • Beurre des Charente (AOC)
  • Beurre des Deux-Sèvres (AOC)
  • Veau du Limousin (IGP)
  • Porc du Limousin (IGP)
  • Jambon de Bayonne (IGP)

Développement durable modifier

Sur le sol de la commune, un parc, regroupant douze éoliennes, devrait voir le jour en mai 2014 après neuf ans de procédure. Ce parc, le plus grand du département de la Vienne, est à cheval sur les communes de Saint-Macoux, de Saint-Gaudent, de Lizant et de Voulême. Ce parc représente une puissance totale de 24 MW pour une production estimée à 53 GWh, soit la consommation annuelle moyenne de 26 500 habitants. Les éoliennes sont composées d'un mât de 100 m de hauteur et de pales de 50 m. Cette énergie renouvelable devrait permettre d'économiser chaque année 17 000 tonnes de CO2.

Emplois modifier

Le taux de chômage en 2004 était de 5,8 % et en 1999 il était de 8,1 %.

Les retraités et les préretraités représentaient 30,5 % de la population en 2004 et 24,9 % en 1999.

Le taux d'activité était de 77,7 % en 2004 et de 68,9 % en 1999.

Le nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois de catégories A (personnes sans emploi et recherchant activement un emploi),B (personnes recherchant un emploi et ayant exercé une activité de 78 h ou moins au cours du mois), C (personnes recherchant un emploi et ayant exercé une activité de plus de 78 h au cours du mois) au était de 12.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine religieux modifier

  • Église de Saint-Gaudent : elle date du XIVe siècle. Elle a été transformée en foyer rural. De l’édifice primitif, seul demeure le campanile à une baie qui a été refait au XVIIIe siècle. Sa porte d’entrée qui est de style gothique ogival et date du XIVe siècle, a été placée dans la nouvelle église, à l’entrée du transept sud.
  • Église paroissiale : elle a été construite de 1880 à 1882 par les architectes Boutaud et Perlat. Elle est de style néo-gothique. Les trois cloches ont été bénies le .

Patrimoine civil modifier

  • Château de la Roche d’Orillac : du château d’origine, il ne reste de nos jours que la tour centrale, une porte en accolade et une fenêtre moulurée datant du XVe siècle. Le château est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1935 pour sa cheminée, son portail et son élévation.
  • Logis de Cornac qui date de la fin du XVIIe siècle.
  • Château du Roc : il date du XVIIIe siècle. Il se compose d’un long bâtiment à un étage qu’encadrent deux pavillons.

Patrimoine naturel modifier

Équipement culturel modifier

Une salle de spectacle d’une capacité de 150 personnes

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Sources modifier

Bibliographie modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références modifier

  1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
  2. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Gaudent et Civray », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Civray » (commune de Civray) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Civray » (commune de Civray) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Gaudent », sur Géorisques (consulté le )
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  20. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
  21. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 19-20.
  22. Robert Petit, op. cit., p. 22-23.
  23. Robert Petit, op. cit., p. 20-21.
  24. Robert Petit, op. cit., p. 22.
  25. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. a b et c Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  31. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
  32. Poitou-Charentes Nature, 2000