Saint-Dos

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Saint-Dos
Saint-Dos
L'église de l'Assomption-de-la-Vierge-Marie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Alexandre Cassou
2020-2026
Code postal 64270
Code commune 64474
Démographie
Gentilé Sendosiens
Population
municipale
158 hab. (2021 en augmentation de 0,64 % par rapport à 2015)
Densité 86 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 27″ nord, 1° 01′ 17″ ouest
Altitude Min. 12 m
Max. 48 m
Superficie 1,84 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.saint-dos.fr

Saint-Dos (prononcé [sɛ̃ dɔs] ; en béarnais Sendos) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Sendosien[1].

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Saint-Dos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 73 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 52 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture, et à 27 km d'Orthez[5], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-de-Béarn[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Auterrive (2,0 km), Carresse-Cassaber (2,3 km), Labastide-Villefranche (2,3 km), Saint-Pé-de-Léren (2,5 km), Castagnède (3,1 km), Escos (3,6 km), Léren (3,7 km), Arancou (4,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Saint-Dos fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[7].

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Dos.

La commune est drainée par le gave d'Oloron, un bras du gave d'Oloron, un bras du gave d'Oloron, L'Entran, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[9],[Carte 1].

Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[10].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 326 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bidache à 10 km à vol d'oiseau[14], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 455,6 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Réseau Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[19], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[20],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[21],[Carte 3] : les « lacs et marécages de Labastide-Villefranche » (109,89 ha), couvrant 3 communes du département[22] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[21],[Carte 4] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[23].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Dos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[24],[25],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[27],[28].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,1 %), zones agricoles hétérogènes (43,9 %), eaux continentales[Note 7] (7,3 %), forêts (1,6 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux modifier

Voies de communication et transports modifier

La commune est desservie par les routes départementales 28 et 277.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Saint-Dos est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009, 2014, 2018 et 2021[32],[30].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Dos.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[33]. 0,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[34].

Toponymie modifier

Attestations anciennes modifier

Le toponyme Saint-Dos est une mauvaise interprétation par l'administration française du nom gascon Sendòs qui apparaît sous les formes Sendos-Juson, Sendos-Suson et Sancta-Maria de Sendos (respectivement 1120[35] pour les deux premières formes, et XIIe siècle[35], cartulaire de Sorde[36]), Scendos (1151[35]), Nostre-Done de Sendos (1442[35], notaires de Labastide-Villefranche[37]), Sandoos, Sandos de la juridiction de France et Saint-Doz (respectivement 1538[35] pour les deux premières formes, et 1675[35], réformation de Béarn[38]).

Nom béarnais modifier

Son nom béarnais est Sendos.

Histoire modifier

Paul Raymond[35] note qu'en 1385, Saint-Dos comptait dix feux et dépendait du bailliage de Mu.

Comme nombre de villages de la vallée du gave d'Oloron, Saint-Dos à des origines gallo-romaines. Les origines du village seraient attribuables à un officier romain du nom de Sintus, qui reçut des terres à la fin de la conquête romaine.

L'originalité de Saint-Dos (Sendos) est que le village était situé de part et d'autre de la frontière Béarn/Gascogne depuis 1292. Sous l'Ancien Régime, la paroisse élisait d'ailleurs des jurats béarnais et des « députés » gascons.

En 1660, les habitants se rebellèrent contre la gabelle et plusieurs d'entre eux furent pendus sur la place du village. Les marais des « barthes de Branlès » furent asséchés en 1863 avec des aides de Napoléon III.

Politique et administration modifier

Situation administrative modifier

Saint-Dos a fait partie de l'arrondissement de Pau jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui d'Oloron-Sainte-Marie[39].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 mars 2001 Marcel Lafourcade    
mars 2001 avril 2012 Robert Claverie    
juin 2012 mai 2020 Jean-Pierre Carrau    
mai 2020 En cours Alexandre Cassou    

Intercommunalité modifier

Saint-Dos fait partie de sept structures intercommunales[40] :

  • la Communauté de communes du Béarn des Gaves ;
  • le SIGOM ;
  • le SIVU des cinq villages ;
  • le SIVU pour le regroupement pédagogique des communes de Léren, Saint-Pé-de-Léren, Saint-Dos et Auterrive ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable du Saleys et des gaves ;
  • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.

La commune accueille le siège du SIVU pour le regroupement pédagogique des communes de Léren, Saint-Pé-de-Léren, Saint-Dos et Auterrive.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

En 2021, la commune comptait 158 habitants[Note 9], en augmentation de 0,64 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
271278292302297294294296275
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
284275285274280271266252250
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
265245228202184193211212201
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
190180154139141140127125149
2017 2021 - - - - - - -
160158-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine modifier

Les fêtes du village ont lieu chaque année le troisième weekend d'août et donnent lieu à des bandas, jeux béarnais, dîner champêtre et soirées dansantes.

Patrimoine civil modifier

Le château des comtes de Béarn Sendos (Sintos) à l'architecture civile du XVIe siècle, a remplacé une motte féodale dont « Le Basque gentil », héros local, fut seigneur. Le château primitif se trouvait à la jonction entre les terres du roi d'Angleterre et celles du vicomte du Béarn durant la guerre de cent ans. Pillé en 1793, il fut restauré par le baron de Crouseilhes qui y venait parfois. Occupé par les autorités allemandes de 1940 à fin 1942, puis par des métayers, il est aujourd'hui transformé en remise agricole mais décèle encore de très beaux éléments d'architecture Renaissance.

Le château Mousseigne est une gentilhommière de la fin du XVIIe siècle qui porte le nom de la famille qui l'a construite. On y recense un Jean Mousseigne de Sendos en 1700. Les Mousseigne, grands propriétaires terriens, devaient leur fortune surtout au commerce maritime. Au XVIIe siècle, ils commerçaient au-delà des mers et avaient d'importants actifs aux Indes, à l'île Maurice et à Saint-Domingue.

Le moulin seigneurial fut construit en 1736, et est aujourd'hui au milieu des terres. Le canal de dérivation a été comblé en 1951. Le moulin seigneurial précédent a été détruit lors de la grande crue de 1732. Un crime y a été commis au début du XXe siècle.

Patrimoine religieux modifier

L'église actuelle dite de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie[45] date du XIXe siècle, remplaçant un édifice fort ancien emporté par une crue du gave à la fin du XVIIIe siècle. Elle a été financée en partie par le baron Marie Jean Pierre Pie Frédéric Dombidau de Crouseilhes, ministre de l'Instruction publique et des Cultes de la Deuxième république, et propriétaire du château de Saint-Dos. Il fut pair de France en 1845 et sénateur sous Napoléon III.

La chapelle d'Ordios, bien que dépendant aujourd'hui de Labastide-Villefranche, fut construite en 1150 sur ordre du curé de Saint-Dos de l'époque[réf. nécessaire].

Équipements modifier

Enseignement

Saint-Dos dispose d'une école primaire.

Personnalités liées à la commune modifier

Le baron Frédéric Dombidau de Crouseilhes qui, bien que né à Oloron en 1792 et décédé à Paris en 1861, a habité longtemps le château de Saint-Dos qu'il tenait de sa mère et de sa grand-mère. Le baron de Crouseilhes est célèbre pour avoir fait cesser les châtiments corporels à l'école quand il était ministre de l'Instruction publique de la Deuxième république en 1851.[réf. nécessaire] Prosper Mérimée a raconté les circonstances de sa mort in Lettre de Prosper Mérimée à la comtesse de Montijo - Mercure de France.

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Saint-Dos » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Saint-Dos », sur www.geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Saint-Dos », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Saint-Dos », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références modifier

  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. a b et c « Métadonnées de la commune de Saint-Dos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Dos et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Dos et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Dos et Orthez », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Saint-Dos », sur www.villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  8. Carte IGN sous Géoportail
  9. « Fiche communale de Saint-Dos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  10. Sandre, « le gave d'Oloron ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Saint-Dos et Bidache », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Bidache » (commune de Bidache) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Station Météo-France « Bidache » (commune de Bidache) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Dos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  22. « ZNIEFF les « lacs et marécages de Labastide-Villefranche » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  30. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Dos », sur Géorisques (consulté le )
  31. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
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  33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  34. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
  35. a b c d e f et g Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  36. Cartulaire de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  37. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  38. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  39. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de Pau, de Bayonne et d'Oloron-Sainte-Marie du département des Pyrénées-Atlantiques » [PDF], sur un site de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, (consulté le ).
  40. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Alexis Ichas, Historial de Saint-Dos
  • Alexis Ichas, Historial des gaves, Éditions Atlantica
  • Alexis Ichas, Chroniques béarnaises du Gave et du Saleys
  • Bulletin d'Information de la communauté de communes de Salies-de-Béarn (été 2008)

Alexis Ichas - Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Éditions Gascogne

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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