Saint-Dionisy

commune française du département du Gard

Saint-Dionisy
Saint-Dionisy
Saint-Dionisy vu depuis l'oppidum Roque de Viou
Blason de Saint-Dionisy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Nîmes Métropole
Maire
Mandat
Jean-Christophe Gregoire
2020-2026
Code postal 30980
Code commune 30249
Démographie
Gentilé Saint-Dionisyens[1]
Population
municipale
1 085 hab. (2021 en augmentation de 8,07 % par rapport à 2015)
Densité 317 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 48′ 20″ nord, 4° 13′ 46″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 181 m
Superficie 3,42 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Langlade
(banlieue)
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Gilles
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Dionisy
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Saint-Dionisy

Saint-Dionisy (précédemment Saint-Dionizy[2]) est une commune française située dans le sud du département du Gard en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Rhony et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Dionisy est une commune urbaine qui compte 1 085 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle est dans l'agglomération de Langlade et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Saint-Dionisyens ou Saint-Dionisyennes.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'oppidum de Nages, inscrit en 1980 puis classé en 2006.

Toponymie modifier

Dionisy qui renvoie à Dionysius est le même nom que Denis, premier évêque de Paris, martyrisé à Montmartre sous l'empereur Dèce, vers 250. Enseveli sous la basilique éponyme, il est représenté décapité, se relevant pour porter sa tête. Nom issu du grec Dionysos (fils de Zeus). Patron des oiseaux, il est invoqué contre les maux de tête.

Géographie modifier

Communes limitrophes de Saint-Dionisy
Saint-Côme-et-Maruéjols Clarensac
Calvisson   Langlade
Nages-et-Solorgues

Les communes de Saint-Côme-et-Maruéjols, Clarensac, Langlade, Nages-et-Solorgues et Calvisson sont limitrophes de la commune de Saint-Dionisy. Ses habitants s'appellent des Saint-Dionisyens et Saint-Dionisyennes.

Saint-Dionisy, commune de la communauté d'agglomération de Nîmes Métropole, est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale SCOT du Sud du Gard (voir lien) et fait également partie des 41 communes du Pays Garrigues Costières.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 787 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 2,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gallargues-le-Montueux à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 674,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité modifier

 
Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[9] : la « Cuvette de Clarensac et Calvisson » (2 641 ha), couvrant 8 communes du département[10].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Dionisy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[I 1],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Langlade, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[I 2] et 4 965 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 5],[I 6].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (30,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,8 %), cultures permanentes (21,7 %), zones urbanisées (18,5 %), forêts (3,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Saint-Dionisy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Rhony. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 2002, 2005 et 2021[16],[14].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Dionisy.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 386 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 386 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

Histoire modifier

Oppidum de Roque de Viou, fondé par les Volques Acéromiques. Cet oppidum a ensuite été délaissé par les Volques pour l'Oppidum de Nages.

Locus de Sancto-Dyonisio (dénombrement de la Sénéchaussée) 1384.

La commune élit un maire PCF en 1935. La signature du pacte germano-soviétique suivie du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale ont des répercussions rapides sur la vie des communes communistes ; le maire de Saint-Dionisy est suspendu en application du décret du 18 octobre 1939[20].

Héraldique modifier

  Blason
D'argent à l'olivier arraché de sinople.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1935 octobre 1939   PCF suspendu
        président de la délégation spéciale
1945 mars 1965 René Brunel    
1965 mars 1977 Aimé Boissier    
1977 1986 André Marotte    
1986 mars 1995 William Poirier    
1995 mars 2008 Bernard Sérafini    
mars 2008 juil 2020 Michel Gabach ECO Retraité - V-P de Nîmes Métropole 2008-2014
juil 2020 en cours J.C. Grégoire    

Canton modifier

La commune fait partie du canton de Saint-Gilles, qui dépend de l'arrondissement de Nîmes et de la deuxième circonscription du Gard.

Intercommunalité modifier

La commune fait partie de la communauté d'agglomération Nîmes Métropole (CANM), dont le siège se trouve à Nîmes et dont le président est Franck PROUST (LR).

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 1 085 habitants[Note 4], en augmentation de 8,07 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
252259260330293280270262260
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
268273333315254236187200203
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
216222199244204226204190194
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
191160216370401633818871978
2018 2021 - - - - - - -
1 0561 085-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 408 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 1 043 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 24 460 [I 7] (20 020  dans le département[I 8]).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 9] 6,5 % 7,8 % 9 %
Département[I 10] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 677 personnes, parmi lesquelles on compte 77,5 % d'actifs (68,5 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs) et 22,5 % d'inactifs[Note 6],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 209 emplois en 2018, contre 180 en 2013 et 154 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 469, soit un indicateur de concentration d'emploi de 44,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,7 %[I 13].

Sur ces 469 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 38 travaillent dans la commune, soit 8 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 92,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3 % les transports en commun, 3,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Activités hors agriculture modifier

Secteurs d'activités modifier

99 établissements[Note 7] sont implantés à Saint-Dionisy au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 16].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 99 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
5 5,1 % (7,9 %)
Construction 20 20,2 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
19 19,2 % (30 %)
Information et communication 3 3 % (2,2 %)
Activités financières et d'assurance 4 4 % (3 %)
Activités immobilières 5 5,1 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
16 16,2 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
13 13,1 % (13,5 %)
Autres activités de services 14 14,1 % (8,8 %)

Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 20,2 % du nombre total d'établissements de la commune (20 sur les 99 entreprises implantées à Saint-Dionisy), contre 15,5 % au niveau départemental[I 17].

Entreprises et commerces modifier

Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[25] :

  • Negauto, commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (7 042 k€)
  • IP Investissement Patrimonial, agences immobilières (251 k€)
  • Les Chapes Du Sud, travaux de revêtement des sols et des murs (138 k€)

Agriculture modifier

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est de 8 lors du recensement agricole de 2020[Note 9] et la surface agricole utilisée de 174 ha[Carte 4],[Carte 5].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Oppidum de Roque de Viou (également sur commune de Nages-et-Solorgues). Site archéologique (Âge du fer 2 ; Antiquité). L'oppidum (cad. Saint-Dionizy B 758 à 791, lieu-dit Roque-de-Vif, Nages-et-Solorgues A 346, lieu-dit les Combes, 348 à 357, lieu-dit les Castels, 977, lieu-dit les Belardes) : inscription par arrêté du 3 avril 1980 - Les parcelles AC 5, 7 à 9, 11, 12, 14 à 16, 18, 23, 24, 27 à 32, 36 à 38, partie de l'oppidum, en totalité : classement par arrêté du 23 octobre 2006. Une première phase d'habitat s'étend du VIIIe au début du VIe siècle av. J.-C., caractérisée par des cabanes en matériaux périssables et une base creusée dans le rocher. Les foyers sont établis sur un sol en terre battue. Des vases à provision ont été mis au jour. Après un abandon de deux cents ans, une nouvelle ville est édifiée à l'emplacement des cabanes, vers 380-360 av. J.-C. La ville est entourée d'un rempart en pierres sèches jalonné de tours quadrangulaires. Vers 290-280, cette ville est abandonnée au profit du site voisin de Nages. Le site est partiellement réoccupé à l'époque gallo-romaine, entre 25 apr. J.-C. et 50 apr. J.-C. Propriété de la commune.
  • Temple protestant : ancienne église d'origine romane contre laquelle fut accolée en 1876 une tour d'horloge surmontée d'un gracieux campanile en forme de bulbe.
  • Deux anciens lavoirs
  • Pittoresque et ancien cimetière protestant au milieu d'une superbe forêt de cyprès dominant le village sur la face nord de la Roque de Viou.

Nota : avec Boissières, il s'agit du seul village de Vaunage à ne pas posséder d'église pour le culte catholique.

À noter également qu'au milieu des années 1940, des prospections géologiques systématiques accompagnées de forages très profonds (près de 3000 m) en vue de trouver d'éventuelles nappes de pétrole ont été effectués sur le territoire communal et dans la plaine de la Vaunage. Ces recherches se sont néanmoins révélées infructueuses. En février et mars 2011, la société Total procède au rebouchage de l'un de ces puits à Saint Dionizy mais avec une suspicion forte d'essais et de procédés de recherche de gaz de schiste...

Personnalités liées à la commune modifier

  • Maurice Agulhon, professeur au Collège de France.
  • Pierre Baux, médecin français.
  • Raoul Stéphan, auteur de l'ouvrage régionaliste « Bécagrun » retraçant l'histoire et la vie d'un berger et agriculteur en Vaunage à la fin du XIXe et au début du XXe siècle.

Galeries modifier

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Voir aussi modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[26].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Langlade » (consulté le ).
  3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Dionisy » (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Dionisy » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Dionisy » (consulté le ).
  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Dionisy » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. « Services publics Saint-Dionisy », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Changement du nom de la commune par le décret no 2011-311 du 22 mars 2011, consulté le 25 mars 2011.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Dionisy et Gallargues-le-Montueux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Gallargues-le-Montueux » (commune de Gallargues-le-Montueux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Dionisy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « ZNIEFF la « Cuvette de Clarensac et Calvisson » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Dionisy », sur Géorisques (consulté le )
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  16. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Dionisy », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  19. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. Armand Cosson, « La Francisque et l’écharpe tricolore : Vichy et le pouvoir municipal en Languedoc », Annales du Midi, 1992, no 104-199-200, p. 292.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Entreprises à Saint-Dionisy », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  26. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021

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