Saint-André-de-Lancize

commune française du département de la Lozère

Saint-André-de-Lancize
Saint-André-de-Lancize
L'ancien temple du Rouve Bas abrite un lieu de mémoire consacré à l'insurrection des Camisards dans le massif du Bougès.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Florac
Intercommunalité Communauté de communes des Cévennes au Mont Lozère
Maire
Mandat
Florence Baï
2020-2026
Code postal 48240
Code commune 48136
Démographie
Gentilé Andrélancizois
Population
municipale
159 hab. (2021 en augmentation de 24,22 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 15′ 32″ nord, 3° 48′ 40″ est
Altitude Min. 376 m
Max. 1 351 m
Superficie 22,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Collet-de-Dèze
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
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Saint-André-de-Lancize

Saint-André-de-Lancize est une commune française, située dans le sud-est du département de la Lozère en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Mimente, le Gardon de Saint-Germain, l'Arbone et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « vallée du Gardon de Mialet » et « les Cévennes »), un espace protégé (le « Bougès ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-André-de-Lancize est une commune rurale qui compte 159 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 704 habitants en 1841. Ses habitants sont appelés les Andrélancizois ou Andrélancizoises.

Géographie modifier

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Sud-est du Massif Central »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 557 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Collet-de-Dèze à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 612,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[10].

La commune fait également partie des Cévennes, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[11],[12].

Un autre espace protégé est présent sur la commune : le « Bougès », une réserve biologique dirigée, d'une superficie de 377,4 ha[13].

Réseau Natura 2000 modifier

 
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[15] :

et un au titre de la directive oiseaux[15] :

  • « les Cévennes », d'une superficie de 92 044 ha, correspondant précisément à la zone centrale du parc national des Cévennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversité des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiée : au total, 135 espèces d'oiseaux, dont 22 inscrites à l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensées dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espèces de rapaces diurnes et sept nocturnes[17].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[18] :

  • les « montagnes du Cayla et des Ayres » (1 046 ha), couvrant 4 communes du département[19] ;
  • la « vallée du Gardon de Saint-Germain à la Broussarède » (49 ha), couvrant 2 communes du département[20] ;
  • la « vallée du Gardon de Saint-Germain à Saint-Germain-de-Calberte » (217 ha), couvrant 3 communes du département[21] ;

et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[18] :

  • les « Hautes vallées des Gardons » (73 898 ha), couvrant 48 communes dont 27 dans le Gard et 21 dans la Lozère[22] ;
  • la « montagne du Bougès » (13 110 ha), couvrant 13 communes dont une dans le Gard et 12 dans la Lozère[23].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-André-de-Lancize est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[24],[I 1],[25]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (98,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Saint-André-de-Lancize est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

Risques naturels modifier

Saint-André-de-Lancize est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[29]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 5],[29],[30].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-André-de-Lancize.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[31].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 164 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1994, 2014, 2015 et 2020.

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-André-de-Lancize est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[35].

Toponymie modifier

Lancize : « fente, brèche dans le rocher qui sert de lieu de passage ».

Histoire modifier

L'histoire de la commune est fortement marquée par la révolte des Camisards, dont elle fut le foyer de départ le , à Vieljouves, un hameau situé au-dessus du village du Rouve[36],[37]. Ce soir-là, invité par Salomon et David Couderc, deux habitants du Rouve, un groupe se réunit autour du prophète Abraham Mazel, qui reçoit une inspiration divine [38] lui enjoignant de délivrer les huguenots faits prisonniers et soumis à la question par l'abbé du Chayla au Pont-de-Montvert. Le dimanche suivant fut consacré à mobiliser ceux qui allèrent libérer les prisonniers. Le , une cinquantaine d'hommes, avec quelques fusils, haches et faux, se retrouvèrent au sommet du Bougès au lieu-dit les Treis Faus ou les Trois Fayards. Le même soir, vers dix heures, ils entrèrent dans le Pont-de-Montvert en chantant un psaume. Ils demandèrent comme seule revendication la libération des prisonniers. Ne l'obtenant pas, ils les libérèrent par la force, au cours d'un affrontement où l'abbé du Chayla trouva la mort[39]. Ainsi commença la guerre des Camisards, qui s'étendit ensuite à l'ensemble des Cévennes[40].

Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Côte-de-Lancize[41].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2014 En cours Florence Baï PS Cadre de santé
2008 2014 Violaine Martin[42]    
2001 2008 Alain Couderc    
avant 1988 ? Xavier Chapuisat PS  

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44]. En 2021, la commune comptait 159 habitants[Note 6], en augmentation de 24,22 % par rapport à 2015 (Lozère : +0,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
528600509524704663704673691
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
663656673643584612591530492
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
524485475407358331293279225
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
183142116122106112110112126
2014 2019 2021 - - - - - -
128150159------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 4] 7,5 % 6,7 % 12,5 %
Département[I 5] 5 % 6,4 % 7,1 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 91 personnes, parmi lesquelles on compte 75 % d'actifs (62,5 % ayant un emploi et 12,5 % de chômeurs) et 25 % d'inactifs[Note 7],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 7]. Elle compte 18 emplois en 2018, contre 24 en 2013 et 17 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 58, soit un indicateur de concentration d'emploi de 31,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,7 %[I 8].

Sur ces 58 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 13 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 80,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Temple du Rouve Bas modifier

Le temple du Rouve-Bas, aujourd'hui désaffecté et rénové par la commune, abrite un lieu de mémoire consacré à l'insurrection camisarde dans le massif du Bougès (Cévennes).

Le lieu de mémoire est accessible aux visiteurs (en raison de la configuration du terrain, le lieu de mémoire n'est cependant pas accessible aux personnes à mobilité réduite) les mardis et samedis de 15 h à 18 h du 15 juin au 15 septembre.

Le visiteur trouvera :

  • la projection d’un montage audio-visuel consacré à la guerre des Camisards ;
  • une exposition de documents (fac-similés) sériés en trois catégories :
    • des documents reprenant la thématique de la projection, retraçant les difficultés alors encourues par les protestants et la guerre des camisards elle-même,
    • des documents consacrés aux implications très locales de ces événements,
    • des documents évoquant quelques situations récentes ou actuelles de résistance à l'oppression,
    • une bibliothèque de prêt d'ouvrages historiques et de romans autour des thèmes de liberté de conscience, tolérance, ouverture d'esprit, avec un rayon jeunesse.

Les personnes d'accueil sont à la disposition du public et des ouvrages en rapport avec la guerre des Camisards sont proposés à la vente.

Des animations en soirée et des randonnées-lectures ont lieu chaque année au cours de l'été.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-André-de-Lancize » (consulté le ).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-André-de-Lancize » (consulté le ).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Saint-André-de-Lancize et Le Collet-de-Dèze », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Le Collet-Sauveplane » (commune du Le Collet-de-Dèze) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le Collet-Sauveplane » (commune du Le Collet-de-Dèze) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le ).
  11. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le ).
  12. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « le « Bougès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  15. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-André-de-Lancize », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « site Natura 2000 FR9101367 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « site Natura 2000 FR9110033 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  21. « ZNIEFF la « vallée du Gardon de Saint-Germain à Saint-Germain-de-Calberte » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « ZNIEFF les « Hautes vallées des Gardons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF la « montagne du Bougès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  30. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
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  32. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  33. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-André-de-Lancize », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  34. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  35. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  36. Pierre-Jean Ruff, 2008. Le Temple du Rouve: lieu de mémoire des Camisards. Éditions Lacour-Ollé, Nîmes.
  37. Henry Mouysset, 2010. Les premiers Camisards: juillet 1702. Nouvelles Presses du Languedoc, Sète.
  38. Abraham Mazel, Élie Marion, Jacques Bonbonnoux, 1983. Mémoires sur la guerre des Camisards. Les Presses du Languedoc, Montpellier.
  39. Robert Poujol, 1986. Bourreau ou martyr? L'abbé du Chaila (1648-1702): du Siam aux Cévennes. Nouvelles Presses du Languedoc, Sète.
  40. Antoine Court de Gébelin, 2009. Histoire des troubles des Cévennes ou de la guerre des camisards sous le règne de Louis le Grand, réédition de l'œuvre originale imprimée en 1760. Éditions Lacour-Ollé, Nîmes.[1]
  41. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Site du conseil général de la Lozère
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.