Saint-Amarin

commune française du département du Haut-Rhin

Saint-Amarin
Saint-Amarin
Hôtel de ville de Saint-Amarin.
Blason de Saint-Amarin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Thann-Guebwiller
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de Saint-Amarin
(siège)
Maire
Mandat
Charles Wehrlen
2020-2026
Code postal 68550
Code commune 68292
Démographie
Population
municipale
2 200 hab. (2021 en diminution de 4,1 % par rapport à 2015)
Densité 189 hab./km2
Population
agglomération
9 691 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 47° 52′ 23″ nord, 7° 01′ 54″ est
Altitude Min. 393 m
Max. 1 347 m
Superficie 11,61 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Amarin
(ville-centre)
Aire d'attraction Mulhouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cernay
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web ville-saint-amarin.fr

Saint-Amarin est une commune française située dans l'aire d'attraction de Mulhouse et faisant partie de la Collectivité européenne d'Alsace (circonscription administrative du Haut-Rhin), en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Ses habitants sont appelés les Saint-Amarinois et les Saint-Amarinoises.

Géographie modifier

Localisation modifier

Saint-Amarin (Sankt-Amàri en alsacien) est situé [Où ?] à 412,07 mètres au-dessus du niveau moyen de la mer à Marseille, l'altitude minimale étant de 395 mètres à la sortie de la Thur, en amont de l'église Saint-Joseph-Artisan de Malmerspach et l'altitude maximale étant de 1 345 mètres, en léger contrebas du sommet du Storkenkopf[1]. La petite ville se situe à 9 km au nord-ouest de Thann dans le département du Haut-Rhin (68). Elle se situe dans les Hautes Vosges cristallines, près du département des Vosges, dans la vallée de la Thur. Cette vallée est une ancestrale voie de passage entre la plaine d'Alsace (Mulhouse) et la haute vallée de la Moselle (Bussang, Remiremont), déjà utilisée du temps des Romains pour atteindre Trèves, mais aussi les vallées de la Moselotte (La Bresse) et la Vologne (Gérardmer). Néanmoins, de nos jours, la congestion de la route (N66) la traversant reste un problème conséquent.

Communes limitrophes de Saint-Amarin
Ranspach Lautenbachzell
  Geishouse
Mitzach Malmerspach Moosch

C'est une des 188 communes[2] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.

Lieux-dits et écarts modifier

  • Le Vogelbach et le Hintervogelbach sur la rive droite amont de la rivière Vogelbach. Le Hintervogelbach est une zone d'ancien peuplement de fermes isolées sur les pentes reculées du vallon.
  • Le Fistelhaeuser, en face du Vogelbach, dominant la rive gauche de la rivière Vogelbach d'une trentaine de mètres pour le moins.
  • Le Herrenwald dominant le village par l'est.
  • Le Stockenmatt, quartier au-delà de la carrière, vers le nord-ouest.
  • Le Meerbaechel, ferme-auberge dominant le vallon du Vogelbach et le village par le nord, à près de 700 mètres d'altitude[3].
  • La Vue des Alpes est un écart de la commune, regroupant quelques maisons agglomérées à la commune de Geishouse.
  • Le Hirschenbach, vallon boisé inhabité au pied du bûcher de la Saint-Jean (Fàckel en alsacien).
  • Le Mordfeldloch, arrière vallon inhabité de la rivière Vogelbach.
 
Panorama de la ville de Saint-Amarin dans la vallée de la Thur, vue vers l'aval. De gauche à droite, le cimetière, l'église, le musée Serret (au premier plan) et la voie ferrée. Au fond le massif du Thanner Hubel.

Hydrographie modifier

Le principal cours d'eau de la commune est la Thur, affluent de l'Ill, qui passe en bordure ouest de l'agglomération, avec un écoulement orienté de nord-ouest vers sud-est. Cette rivière a longtemps fourni l'énergie nécessaire aux usines locales, en particulier aux entreprises textiles, qui ont été aménagées de part et d'autre des berges.

Le Vogelbach est une rivière de quelques kilomètres qui prend sa source au pied du Hundskopf, à plus de mille mètres d'altitude. Il passe au cœur du village et se love autour du château, avant de s'écouler vers la Thur avec laquelle il conflue par la rive gauche. Le Vogelbach, comme la Thur, est soumis à des sautes de débit importantes, lors des fontes nivales de printemps, voire à l'occasion d'orages, aussi son cours est canalisé dans la partie aval et urbaine.

Le Hirschenbach est un ruisseau de quelques centaines de mètres qui prend sa source à 500 mètres d'altitude et se jette dans la Thur par la rive droite. Il tire sa notoriété locale par le bûcher de la Saint-Jean qui domine son vallon. La crémation des bûchers est une coutume ancestrale dans les villages de la vallée. Avec les festivités qui entourent l'embrasement du bûcher, on célèbre ainsi le solstice d'été.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 447 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 10,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bits.-lès-Thann », sur la commune de Bitschwiller-lès-Thann à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 10,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 309,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,5 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Amarin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Amarin, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[14] et 9 691 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (71,7 %), zones urbanisées (12,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,9 %), prairies (6,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

  • Doroangus en 668 (Cloroangus, du celtique tuar = maison), Sanctus Amarinus (vers 1135), Sand Heimmerin (1316), Saint Amarin (1793).

Histoire modifier

Cette vallée fut déjà visitée et occupée par les Romains. Au début du VIIe siècle, un pieux ermite nommé Marin avait bâti une cellule près de Doroangus. Étant tombé malade, il eut la visite de saint Prix, également appelé Project, évêque de Clermont qui, de la cour de Childéric II roi d'Austrasie, s'en retournait en Auvergne. Le saint prélat le guérit de la fièvre. Pour lui témoigner sa reconnaissance, Marin le reconduisit dans son diocèse. Mais arrivé à Volvic en Auvergne, les deux voyageurs furent assaillis par des brigands qui s'en prirent d'abord à l'ermite. Project, voyant l'erreur de ces gens, s'écria : je suis celui que vous cherchez. À ces mots, il tomba sous les coups du brigand nommé Radbert. Son ami et l'acolyte Elidus le suivirent de près. Rapportées à Doroangus, les reliques de Marin furent honorées en cet endroit, qui lui dut son nom. Ceci se passait en 676[20]. Le monastère de Saint-Amarin fut plus tard régularisé par les abbés de Murbach, transformé au XIIe siècle en un chapitre de chanoines dépendant de cette abbaye, qui possédait le village fondé autour du couvent et toute la vallée. Au XIIIe siècle, grâce à l'ouverture du col du Saint-Gothard, la route de la vallée de Saint-Amarin s'ouvrit au commerce international entre l'Italie et la Flandre. Pour en profiter, l'abbé de Murbach établit un péage, gardé par le château de Friedburg (avant 1255), et le défendit avec succès contre les convoitises des comtes de Ferrette et des seigneurs de Saint-Amarin. Saint-Amarin fut fortifié entre 1240 et 1260 mais déclina après que le chapitre eut été transféré à Thann en 1441.

Totalement dépeuplé par les guerres du XVIIe siècle, Saint-Amarin s'industrialisa au XIXe siècle grâce à d'anciennes mines d'argent, cuivre, plomb, cobalt, zinc.

Intégrée à l'Empire allemand après la guerre de 1870, Saint-Amarin fera partie des rares communes alsaciennes libérées par l'armée française dès .

La commune a été décorée le de la croix de guerre 1914-1918[21].

Politique et administration modifier

Budget et fiscalité 2014 modifier

 
Hôtel de ville de Saint-Amarin.

En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[22] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 908 000 , soit 792  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 1 571 000 , soit 652  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 308 000 , soit 128  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 296 000 , soit 123  par habitant.
  • endettement : 981 000 , soit 407  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 9,05 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,66 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 75,86 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1959 mars 1977 Adolphe Kern (1909-2003)[23] SE Chef de service, maire honoraire
mars 1977 mars 1983 André Biehler SE Professeur d'allemand
mars 1983 juin 1995 Germain Klingelschmidt[24]
(1925-2020)
SE Ancien secrétaire de mairie, 1er adjoint (1977 → 1983)
Maire honoraire (2001)
juin 1995 mars 2001 Jean-Paul Horny SE  
mars 2001 En cours
(au 26 mai 2020)
Charles Wehrlen [25]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVD Cadre retraité
1er vice-président de la CC de la Vallée de Saint-Amarin[26]
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 2 200 habitants[Note 4], en diminution de 4,1 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 6721 3981 3801 6521 9951 8941 8911 9152 166
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
2 2312 2962 3142 2432 0252 1492 1452 1792 196
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 2982 2672 2032 0712 1042 0822 0011 8481 996
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 0442 0132 0352 3052 4002 4402 4862 3532 278
2021 - - - - - - - -
2 200--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Collège public d'enseignement secondaire Robert Schuman.

Il compte plus de 600 élèves en 2013.

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

  • Usine DMC Concord (groupe Bernard Krief), anciennement SAIC Velcorex (textile)[31],[32].
  • Usine Garnier Ponsonnet Vuillard, anciennement les « Enveloppes Vuillard » (EVA) (papier à lettres)[33].
  • Restaurants et Fermes Auberges de la vallée de Saint Amarin :

Culture locale et patrimoine modifier

 
Saint-Amarin en 1917
 
Etang du Firmenweiher

Lieux et monuments modifier

  •  
    Aspect actuel de l'ancien château du Friedberg
    L'hôtel de ville XVIIIe siècle[36].
  • L'église Saint-Projet-Saint-Amarin[37],
    • son orgue de Martin Rinckenbach de 1897[38],[39],
    • et son presbytère[40].
  • Cimetière[41] et monuments commémoratifs[42],[43].
  • Château fort dit Château de Friedberg[44],[45].
  • Voie romaine (vestiges)[46].
  • Étang du Firmenweiher creusé au début des années 1970[47].
  • Musée Serret[48].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique, logotype et devise modifier


Les armes de Saint-Amarin se blasonnent ainsi :
« Coupé de gueules et d'azur, un croissant d'argent brochant sur sa partition. »[49]

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Gilles Sifferlen et docteur Garcin (en collaboration avec), « Livre I La ville », dans La Vallée de Saint-Amarin, notes historiques et descriptives, t. I, Strasbourg, F. X. Leroux & Cie libraires-éditeurs, , 2e éd. (lire en ligne), p. 1-98
  • Gilles Sifferlen et docteur Garcin (en collaboration avec), « Livre II Le baillage et de canton », dans La Vallée de Saint-Amarin, notes historiques et descriptives, t. I, Strasbourg, F. X. Leroux & Cie libraires-éditeurs, , 2e éd. (lire en ligne), p. 99-209

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Altitudes minimale et maximale estimées d'après « Carte IGN autour de Saint-Amarin », sur geoportail.fr (consulté le ).
  2. Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
  3. Auberge du mehrbächel
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Saint-Amarin et Bitschwiller-lès-Thann », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bits.-lès-Thann », sur la commune de Bitschwiller-lès-Thann - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Bits.-lès-Thann », sur la commune de Bitschwiller-lès-Thann - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Saint-Amarin », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur insee.fr (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « fortification d'agglomération », notice no IA68003183, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  21. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
  22. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  23. « KERN Adolphe Armand »  , sur deces.matchid.io (consulté le ).
  24. « L'ancien maire de Saint-Amarin, Germain Klingelschmidt, est décédé », Dernières Nouvelles d'Alsace,‎ (lire en ligne)
  25. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  26. « Saint-Amarin : Charles Wehrlen élu maire », L'Alsace,‎ (lire en ligne).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. DMC Tissus repris par Bernard Krief Consulting et un groupe pakistanais
  32. Le spécialiste du velours alsacien SAIC Velcorex repart de l'avant
  33. L'histoire de GPV France
  34. Hôtel Au Cheval Blanc
  35. Auberge du Meerbäechel
  36. « hôtel de ville », notice no IA68003181, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « église paroissiale Saint-Projet, Saint-Amarin », notice no IA68003179, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Notice no IM68006399, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue (grand orgue)
  39. Inventaire de l'orgue
  40. « presbytère », notice no IA68003185, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « cimetière », notice no IA68003180, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Monument aux Morts, Stèle commémorative du 152e R.I., Carré militaire 1914-1918 cimetière communal, Stèle commémorative entrée du musée Serret
  43. À la découverte des lieux de mémoire
  44. « Château fort dit Château de Friedberg », notice no IA68003184, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « Le château de Saint-Amarin : Une citadelle nommée "Friedburg" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  46. La Voie Romaine de Malmerspach
  47. Sentier découverte du Hirschenbach
  48. Musée Serret & de la Vallée de Saint-Amarin
  49. Archives Départementales du Haut-Rhin