Saint-Étienne-Estréchoux

commune française du département de l'Hérault

Saint-Étienne-Estréchoux
Saint-Étienne-Estréchoux
Blason de Saint-Étienne-Estréchoux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes de Grand Orb
Maire
Mandat
Henri Mathieu
2020-2026
Code postal 34260
Code commune 34252
Démographie
Gentilé Estréchoussiens
Population
municipale
254 hab. (2021 en diminution de 6,96 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 40′ 07″ nord, 3° 06′ 16″ est
Altitude 280 m
Min. 255 m
Max. 594 m
Superficie 3,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bédarieux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Clermont-l'Hérault
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Étienne-Estréchoux
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Saint-Étienne-Estréchoux

Saint-Étienne-Estréchoux (en occitan : Sant Estève d'Estrechós) est une commune française située dans l'ouest du département de l'Hérault en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Mare, le Clédou, le ruisseau d'Espaze. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Étienne-Estréchoux est une commune rurale qui compte 254 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 952 habitants en 1911. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux.

Géographie modifier

 
Carte
 
Plan d'ensemble de la commune (1905)
Communes limitrophes de Saint-Étienne-Estréchoux
Graissessac
Saint-Gervais-sur-Mare   Camplong
Taussac-la-Billière La Tour-sur-Orb

Hameaux et lieux-dits modifier

  • Estréchoux : de la racine occitane « Estrech » + suffixe -« os »[1]. Voir le catalan « estret », du bas latin « strictum » : chemin resserré, passage étroit, détroit, défilé. Occitan parfois écrit « estrechour » (estrechor en graphie classique), roman-espagnol « estrechura », catalan « estretura ». La terminaison avec le x est purement conventionnelle en français.
  • Saint-Étienne de Mursan.
  • Vérénoux[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 054 mm, avec 8,6 jours de précipitations en janvier et 3,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bédarieux à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 982,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9],[10].

Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[11]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[12],[13].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

 
Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 1] est recensée sur la commune[14] : le « massif de l'Espinouse » (20 035 ha), couvrant 19 communes du département[15].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Étienne-Estréchoux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[16],[I 1],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (75,5 %), zones agricoles hétérogènes (19,1 %), zones urbanisées (4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Saint-Étienne-Estréchoux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques particuliers : le risque minier et le risque de radon[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Mare. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 1996 et 2014[21],[19].

Saint-Étienne-Estréchoux est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 4],[22].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Étienne-Estréchoux.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[23]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 68,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 159 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 158 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Risque particulier modifier

L’étude Scanning de Géodéris réalisée en 2008 a établi pour le département de l’Hérault une identification rapide des zones de risques miniers liés à l’instabilité des terrains[26]. Elle a été complétée en 2015 par une étude approfondie sur les anciennes exploitations minières du bassin houiller de Graissessac et du district polymétallique de Villecelle. La commune est ainsi concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[27].

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Étienne-Estréchoux est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].

Histoire modifier

  • 1323 Rector de Mursano.
  • Église Saint-Étienne-de-Mursan citée dès 1341.
  • Sous l'Ancien Régime, Saint-Étienne-de-Mursan et Estréchoux faisaient partie de la communauté de Boussagues (La Tour-sur-Orb).
  • En l'an II, elles sont rattachées à Camplong, commune nouvellement créée[29].
  • Le , la commune de Saint-Étienne-Estréchoux est créée par distraction de celle de Camplong[30].
  • En 2014, la commune a été rattachée au canton de Clermont-l'Hérault.
  • Selon Claude Seignolle, auteur de l'ouvrage « Le folklore du Languedoc »[31], les habitants Saint-Estréchoux étaient appelés « lous mangou cats » (les mange-chats) parce qu'ils appréciaient la viande de cet animal.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1953 Louis Gineste    
1953 1977 Eloi Chavernac    
1977 1983 André Ramplou Écologiste  
1983 1989 Éloi Chavernac    
1989 2004 Pierre Cuq   décédé durant son 4e mandat
2004 2014 Guy Bono    
2014 en cours Henri Mathieu SE-DVG Retraité

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1901. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2021, la commune comptait 254 habitants[Note 5], en diminution de 6,96 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
774808952847930720684686685
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
595502405354291262248244271
2018 2021 - - - - - - -
254254-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique
 
Vue générale.

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018, la commune compte 136 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 261 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 140 [I 4] (20 330  dans le département[I 5]).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 6,4 % 11,6 % 15,3 %
Département[I 7] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 137 personnes, parmi lesquelles on compte 70,1 % d'actifs (54,7 % ayant un emploi et 15,3 % de chômeurs) et 29,9 % d'inactifs[Note 7],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Bédarieux, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 21 emplois en 2018, contre 21 en 2013 et 27 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 76, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41,6 %[I 10].

Sur ces 76 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 5,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités modifier

Secteurs d'activités modifier

16 établissements[Note 8] sont implantés à Saint-Étienne-Estréchoux au [I 13]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 18,8 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 16 entreprises implantées à Saint-Étienne-Estréchoux), contre 14,2 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces modifier

L'économie ancienne de Saint-Étienne-Estréchoux était celle d'une agriculture de montagne, dans laquelle l'exploitation du châtaignier tenait une place de premier ordre. Aux XIXe et XXe siècles, la principale source d'emploi reposait sur les mines de charbon de Graissessac. Avec la fermeture de ces mines, la vallée a aujourd'hui une activité réduite.

 
L'église Saint-Étienne.

Aucune exploitation agricole ayant son siège dans la commune n'est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 9] (cinq en 1988)[38],[Carte 4].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église Saint Étienne de Mursan ou Saint-Étienne de Saint-Étienne-Estréchoux.
  • Vieille croix extérieure à l'église.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Les armes de Saint-Étienne-Estréchoux se blasonnent ainsi :

d'or au pal de sinople chargé d'une lampe de mineur de sable, adextré d'une grappe de raisin au naturel et sénestré d'une branche de châtaignier aussi au naturel[39]

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37]
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Étienne-Estréchoux » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Étienne-Estréchoux » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Étienne-Estréchoux » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Étienne-Estréchoux » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. Frank Hamlin, Les noms de lieux du département de l'Hérault, 1983.
  2. mansi de Burenos, 1500 dans Guy Bechtel, Pièces sur l'histoire de Colombières-sur-Orb; village de Burenoux, 1740 Bibliothèque Nationale, fonds Languedoc
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Étienne-Estréchoux et Bédarieux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bedarieux » (commune de Bédarieux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Bedarieux » (commune de Bédarieux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
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  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Étienne-Estréchoux », sur Géorisques (consulté le )
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  21. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  23. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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  28. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
  29. Claude Motte, Paroisses et communes de France - Dictionnaire d'histoire administrative et démographique - Hérault, Paris, Éditions du centre national de la recherche scientifique, , 490 p. (ISBN 2-222-04293-3), p. 385.
  30. Bulletin des lois, 1900, LXI-767
  31. Claude Seignolle, Le folklore du Languedoc : Gard, Hérault, Lozère, cérémonies familiales, sorcellerie et médecine populaire, folklore de la nature, t. VI (Mœurs et coutumes), Paris, Besson et Chantemerle / Maisonneuve, coll. « Contributions au folklore des provinces de France » (réimpr. 1977) (1re éd. 1960), 304 p., Gr. in-8° (BNF 36261847, présentation en ligne) (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  37. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[36].
  38. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Étienne-Estréchoux - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  39. Armorial des communes de l'Hérault, Didier Catarina, Jean-Paul Fernon, avec le concours de Jacky David, éd. Artistes en Languedoc, 2004, (ISSN 1264-5354), p. 58.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Albert Fabre, Histoire de Bédarieux et des communes du canton : Camplong, Carlencas et Levas, Graissessac, Faugères, Latour-sur-Orb, Pézènes, Le Pradal, Saint-Étienne-Estréchoux, Nîmes, éd. Lacour, , 123 p.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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