Roue motrice

roue qui reçoit la puissance du moteur ou du système pour permettre au véhicule de se déplacer sur la voie terrestre ou ferrée.

Sur tout véhicule (vélo, automobile, camion, locomotive, train, etc.), une roue motrice désigne une roue qui reçoit la puissance du moteur ou du système pour permettre au véhicule de se déplacer sur la voie terrestre ou ferrée.

Types de transmission modifier

Vélo et moto modifier

Sur un vélo ou une moto la roue motrice est toujours la roue arrière, à l'exception de certains vélos électriques qui disposent de deux roues motrices. Sur un quad les deux roues arrière sont motrices pour les modèles routiers et sportifs mais la transmission est intégrale sur les modèles utilitaires.

Concernant le vélo, c'est K.J. Winslow qui avait développé début 1868, la première vélocipède avec roue motrice arrière[1].

Début 1868, Charles Dubos a développé un système de pédalage circulaire sur un tricycle avec pédalier classique, pignon arrière et chaine[2]. Charles Desnos combine ces deux inventions dans sa nouveauté, la Vélocipède perfectionné, qui possède entre les pédales et la roue motrice arrière une chaine à rouleaux[3].

Automobile modifier

  • Propulsion : les roues motrices sont les roues arrière.
  • Traction  : les roues motrices sont les roues avant.
  • Intégrale : toutes les roues sont motrices.

Camion modifier

Les roues arrière sont les roues motrices; cela peut être une paire de roues simples jusqu’à trois paires de roues jumelées, voire plus sur les convois exceptionnels.

Train modifier

 
Roues motrices sur une locomotive à vapeur.

Adhérence modifier

Il est évident que l’adhérence est un élément crucial pour la transmission de la puissance. Par ailleurs, le contact route-pneu ou rail-roue est déterminant pour que l’intégralité de la puissance puisse être transmise efficacement.

Notes et références modifier