Rosières-aux-Salines

commune française du département de Meurthe-et-Moselle

Rosières-aux-Salines
Rosières-aux-Salines
La mairie.
Blason de Rosières-aux-Salines
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes des Pays du Sel et du Vermois
Maire
Mandat
Philippe Jonquet
2020-2026
Code postal 54110
Code commune 54462
Démographie
Gentilé Rosiérois[réf. souhaitée]
Population
municipale
2 833 hab. (2021 en diminution de 1,12 % par rapport à 2015)
Densité 105 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 34″ nord, 6° 20′ 03″ est
Altitude Min. 202 m
Max. 336 m
Superficie 26,95 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Rosières-aux-Salines
(ville isolée)
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lunéville-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Rosières-aux-Salines
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Rosières-aux-Salines
Liens
Site web http://www.rosieres-aux-salines.fr

Rosières-aux-Salines est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.

Géographie modifier

Le ban communal s'établit dans la vallée de la Meurthe dont l’existence caractérise pour l'essentiel le paysage.

Cette rivière inscrit son cours en de larges méandres dans les marnes irisées inférieures entre le plateau calcaire de Haraucourt au Nord et la bordure orientale du plateau du Vermois marquée par la côte du grès rhétien au Sud de Saint-Nicolas-de-Port.

Dans la vallée, le gisement de sel gemme est présent à une profondeur comprise entre 70 et 200 m sous la forme de couches planes et étendues dont l'épaisseur permet une exploitation en galerie[1].

Particularisme modifier

La gare de Rosières est située sur le territoire de Dombasle-sur-Meurthe et la gare de Dombasle est située sur le territoire de Rosières.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 787 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Rosières-aux-Salines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rosières-aux-Salines, une unité urbaine monocommunale[12] de 2 858 habitants en 2017, constituant une ville isolée[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (33,7 %), forêts (20,9 %), terres arables (20,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,4 %), cultures permanentes (5,8 %), zones urbanisées (5,1 %), mines, décharges et chantiers (3,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Anciennement mentionné : Castrum et castellania Roseriæ salinitæ (1153 ou 1155), Roseriæ (1172), Rouzières (1282), Saline de Rozières (1285), Villa de Rosires (1288), Rozeriæ (1288), Sergenterie de la prévostei de Rozières (1369), Ronzières (1392), Rozeriæ ad Salinas (1402), Rousières-aux-Salinnes (1384), Rousières (1420), Rouzière et Rousière (1424), Rozierres et Rouzierres (1499), Rositum (1513), Rosières-au-Sel (1562), Ronzière (1563), Rousières-au-Sel (1568), Rosariæ (1675), Roziers (XVIIIe siècle)[18].

L'origine toponymique de la commune est peu documentée par les auteurs régionaux dans les dictionnaires topographiques ou autres sources qui mentionnent généralement une fondation au Moyen Âge.

Il est toutefois rapporté l'existence d'un acte d'échange passé, en 1153 ou 1155, entre Drogon Ier, prince souverain de Nancy et grand sénéchal de Lorraine, et le duc de la Lorraine Mosellanique dans lequel Rosières est désigné sous le nom de Roseria salinita, et il y est fait mention de son château[18].

M. Auguste Longnon évoque dans son ouvrage un lien avec le mot Roseau, du gotique raus (fiche toponymique numéro 3021)[19].

Histoire modifier

Une saline existait à Rosières depuis le XIIe siècle, au moins. En effet, Don Calmet mentionne un acte d'échange en 1153 ou 1155 entre Drogon 1er, prince souverain de Nancy et grand sénéchal de Lorraine, et le duc de Lorraine mosellanique. Le document cite Roseria salinita (Rosières-aux-Salines). Cet acte mentionne un château et sa châtellenie ce qui démontre une certaine importance pour la cité. Ces informations indiquent clairement l'appartenance de Rosières aux ducs de Lorraine à ce moment-là[20].

La saline était séparée de la ville et entouré d'un petit cours d'eau. Elle était défendue par des remparts et comprenait un château mentionné plus haut. Le sel était alors « l'or blanc » de l'Ancien Régime...

La saline de Rosières était constituée d'un puits profond contenant une eau légèrement chargée de sel. La technique de production du sel consistait à recueillir l'eau du puits et à l'évaporer pour séparer le précieux minerai. La trop faible salinité de l'eau conduisait à dépenser beaucoup d'énergie pour une trop faible production. L'exploitation cessa au XVIIIe siècle, et fut transférée dans la vallée de la Seille. Jusqu'à sa fermeture, la saline de Rosières, comme d'ailleurs la saline de Dieuze, a contribué à faire vivre et travailler tout un pan entier du secteur forestier dans le massif vosgien, à commencer par le flottage du bois dans la vallée de la Meurthe et tous les acteurs de la forêt comme les bûcherons, les schlitteurs et les charbonniers. La Chambre des comptes de Lorraine passait tous les ans avant le début du flottage du bois des marchés avec les négociants ou maîtres-flotteurs pour planifier l'approvisionnement des salines en bois de feu[21]. Elle a été remplacée sur le même site par un haras créé par Louis XV ; devenu haras national, il est toujours actif de nos jours et rayonne sur tout le grand Est.

Au XVIIIe siècle, Rosières est le chef-lieu d'un bailliage.

En 2009, une vaste nécropole gallo-romaine a été découverte et les archéologues suspectent l'existence d'une ville oubliée[22] ; les fouilles sont cependant menacées par manque de moyens et la découverte pourrait retomber dans l'oubli[23].

Elle est jumelée avec la commune de La Sagne (Suisse, canton de Neuchâtel).

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1971 mars 1989 Jean-Claude Demonté RI Inspecteur technique des Travaux publics
Député de la 2e circonscription de Meurthe-et-Moselle (1977-1978)
mars 1989 mars 2001 Denis Craus RPR Médecin
mars 2001 mars 2008 Jean Roj SE Professeur
mars 2008 juin 2017[24] Thibault Bazin LR Économiste urbain
Député de la 4e circonscription de Meurthe-et-Moselle (depuis 2017)
Conseiller départemental (depuis 2015)
juillet 2017 En cours
(au 28 mai 2020)
Philippe Jonquet [25]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVD Technicien en cautionnement bancaire

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

En 2021, la commune comptait 2 833 habitants[Note 4], en diminution de 1,12 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1272 5642 7542 2162 5122 4332 3052 2502 323
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
2 1362 1792 2102 2212 3952 3232 3292 3922 297
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
2 2812 2602 1382 2182 2582 2002 2042 3592 550
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
2 5842 6042 8302 9462 8392 8172 8862 8612 833
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

 
Beffroi
  Inscrit MH (1926)
 
Fontaine Saint-Pierre
  Inscrit MH (1995)

Lieux et monuments modifier

Édifices civils modifier

On voit dans les rues du centre historique nombre de vestiges modestes des XVe – XVIIe siècles (fenêtres gothiques, façades Renaissance, certaines nécessitant restauration). Des façades traditionnelles sont restées inchangées depuis les XVIIe – XVIIIe siècles, fait rare dans les bourgs lorrains.

  • Vestiges de l'ancien château fort de la Motte du XIIe siècle : tour ronde, les murs des remparts restent visibles à certains endroits[30]. Le château sur motte et la saline possession de Brunon et Frédéric de Bliesbruck, perd de son importance lors de l'abandon progressif de la saline (1484-1563)[31].
  • Château à Saint-Urbain existait au début du XVe appelé le Rayeux puis Saint-Urbain restauré au XIXe siècle de style XVIIIe.
  • Château Brun devenu propriété des hospices de Rosières le château a été rasé.
  • Hospice Sainte-Odile, quelques bâtiments XVIIIe siècle.
  • Beffroi (appelé le Ban-Ban), reconstruit vers 1720, inscrit aux monuments historiques par arrêté du [32].
  • Ancien hôtel de ville fin XVIe ; actuel hôtel de ville XVIIIe siècle.
  • Plusieurs demeures fin XVIe, XVIIe et XVIIIe siècle, dont l'édifice au 28-30 rue du Colonel-Thiébault classé au titre des monuments historiques par arrêté du [33] mais détruit depuis.
  • Fontaine monumentale Saint-Pierre construite en 1752, inscrite aux monuments historiques par arrêté du [34].
  • Haras national (XVIIIe – XXe siècle) sur l'emplacement de l'ancienne saline : écuries, manèges, sellerie d'honneur, collection de voitures hippomobiles.

Édifices religieux modifier

  • Église Saint-Pierre, construite en 1745 par l'architecte Mique (deux clochers, boiseries, stèles), inscrite aux monuments historiques par arrêté du [35].
  • Chapelle Sainte-Odile de l'ancien hospice civil. Elle est ornée d'un surprenant décor peint, formant une sorte de théâtre à l'italienne. Son avenir () est incertain.
  • À Cuite-Fève[36], vestiges de la chapelle des Hospitaliers (XIVe siècle).
  • Vestiges de l'ancien couvent des cordeliers (XVIIe siècle, remanié au XVIIIe).

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D'azur à une épée d'argent garnie d'or, côtoyée de deux roses de même.
Détails
Ce blason est utilisé par la ville de Rosières depuis le XVIIe siècle, avec cependant des variantes, tantôt l'épée est la pointe en bas, tantôt elle est environnée de quatre roses. Lapaix pense que les roses évoquent le nom de la localité, mais n'explique pas l'épée. Rosières aux Salines était le chef-lieu d'une prévôté qui fut supprimée en 1751.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Blason populaire modifier

Les habitants sont surnommés «les oua-oua»[37]. Selon la légende, ils doivent ce sobriquet à des cas sévères de goitre[38]. Dans quelques cas, cette maladie modifie l'élocution en empêchant la prononciation de certaines consonnes[39].

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « ANNEXE SCIENTIFIQUE – Le sel à l'intérieur des terres », sur Géologie de la lorraine - Roger CHALOT.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Rosières-aux-Salines et Tomblaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Rosières-aux-Salines », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
  19. Auguste Longnon (1844-1911), « Les noms de lieu de la France : leur origine, leur signification, leurs transformations ; publié par Paul Marichal,... Léon Mirot,... », sur Gallica, (consulté le ).
  20. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 2 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne)
  21. Arnaud Vauthier, « Le flottage du bois en Lorraine : Sa réglementation du XIVe au XVIIIe siècle », Le Pays Lorrain, Société d’Histoire de la Lorraine et du Musée lorrain, vol. 82,‎ , p. 15-22.
  22. Rapport d'Activité de l'INRAP, année 2009 - La nécropole gallo-romaine de Rosières-aux-Salines (p. 106)
  23. Communiqué de Thibault Bazin, maire de Rosières-aux-Salines
  24. Conformément à la loi sur le non-cumul des mandats et à la suite de son élection dans la 4e circonscription de Meurthe-et-Moselle, Thibault Bazin démissionne de son mandat de maire.
  25. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Rosières-aux-Salines, château de la Motte sur le site de l'Université de Lorraine
  31. Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 61.
  32. « Beffroi », notice no PA00106357, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Immeuble 28-30 rue du Colonel-Thiébault », notice no PA00106449, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Fontaine Saint-Pierre », notice no PA00135414, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Église Saint-Pierre », notice no PA00135413, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Archives départementales de Meurthe-et-Moselle, H. 3120 à 3150.
  37. Vital Collet et Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Le Pays lorrain : revue régionale mensuelle illustrée / dir. Charles Sadoul », sur Gallica, (consulté le ), p. 442.
  38. « blason populaire, Cartographie des blasons populaires (sobriquet par village, sobriquets) en Langue lorraine-romande », sur cherbe.free.fr (consulté le ).
  39. Jean Vartier, Le grand livre des sobriquets et quolibets de Lorraine et du Bassigny, Jarville-la-Malgrange, Édition de l'Est, , 217 p. (ISBN 2-86955-065-0, lire en ligne), p. 107

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :