Richwiller

commune française du département du Haut-Rhin

Richwiller
Richwiller
Mairie de Richwiller.
Blason de Richwiller
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Mulhouse
Intercommunalité Mulhouse Alsace Agglomération
Maire
Mandat
Vincent Hagenbach
2020-2026
Code postal 68120
Code commune 68270
Démographie
Gentilé Richwillerois, Richwilleroises
Population
municipale
3 704 hab. (2021 en augmentation de 3,18 % par rapport à 2015)
Densité 667 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 46′ 47″ nord, 7° 16′ 53″ est
Altitude Min. 239 m
Max. 259 m
Superficie 5,55 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Mulhouse
(banlieue)
Aire d'attraction Mulhouse
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Kingersheim
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Richwiller

Richwiller [ʁiʃvilɛʁ] Écouter est une commune de la banlieue de Mulhouse[1] située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace. Elle est membre de Mulhouse Alsace Agglomération et fait partie des 20 communes de l'agglomération mulhousienne[2] ayant l'obligation de mettre en place une ZFE-m avant le 31 décembre 2024[3].

C'est une petite commune de 3 500 habitants à proximité de laquelle fut découverte la potasse en 1904.

Géographie modifier

Richwiller est une commune urbaine d'origine rurale. Elle se trouve dans la partie nord-ouest de la banlieue de Mulhouse, à l'entrée du bassin potassique entre Pfastatt et Wittelsheim. La particularité de Richwiller réside dans sa configuration longitudinale « est-ouest ». Son ban de 555 hectares s'étend sur 4 kilomètres de long pour 1,5 km de large. Il est sectionné perpendiculairement par la voie ferrée Strasbourg-Mulhouse (nord-sud).

Hydrographie modifier

Le Hagelbach (Dollerbaechlein) longe la commune et alimentait autrefois son moulin.

Géologie modifier

Richwiller est une commune du bassin potassique. Son sol est composé de lœss, de son sous-sol on a extrait de la potasse tout au long du XXe siècle.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Richwiller
Wittelsheim Bois du Nonnenbruch Kingersheim
Wittelsheim Cité Amélie   Kingersheim
Bois du Nonnenbruch et Lutterbach Pfastatt Pfastatt

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 710 mm, avec 8,6 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 747,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,5 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Richwiller est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mulhouse, une agglomération intra-départementale regroupant 20 communes[14] et 246 692 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (48,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (41,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (31,9 %), terres arables (30,5 %), forêts (20,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12,3 %), mines, décharges et chantiers (4,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire modifier

Les origines de l'ancien village modifier

Des découvertes archéologiques prouvent que Richwiller est un lieu d’habitat très ancien. Dans la partie septentrionale (nord) de la commune sur le lieu-dit Neumatt se trouve une nécropole composée de douze tumuli de l’époque hallstattienne. En 1865 et en 1917, on y découvre des tombes contenant des bracelets, des torques (colliers), des fibules (sorte d’épingles de sûreté) en bronze et un plat gravé datant de cette époque. Ces objets sont exposés, actuellement, au Musée des Antiquités Nationales de Saint-Germain-en-Laye.

L’histoire mouvementée des seigneurs de Richwiller modifier

C’est au XIVe siècle que les pièces d'archive mentionnent pour la première fois le nom de “Reichweiler” Les documents nous apprennent que le couvent de Lucelle acquiert en 1301 et en 1304 les biens que l’abbaye de Murbach y possède. À cette époque Reichweiler appartient aux Habsbourg. En 1326 ceux-ci cèdent le village et ses dépendances en fief aux seigneurs de Reichweiler. Ces derniers le conservent jusqu’en 1539, date à laquelle Hans Friedrich vom Haus meurt sans laisser d’héritier mâle. Le fief échoit alors à son gendre Wolf Dietrich von Brunighoffen, l’époux de sa fille Ursula, qui fait rénover le château avant de mourir prématurément.

Ces terres changeant encore de mains vont au second mari d’Ursula Theobald Waldner von Freundstein. Le fils de ce dernier décède en 1599 sans héritier. Le fief retourne à la Maison d'Autriche. C’est dans le proche entourage de l’empereur que sont choisis ses nouveaux bénéficiaires, Johann Pistonus et Hieronymus von Manicor. Ils ne tardent pas à entrer en conflit avec les bourgeois de Mulhouse qui ont, sans autorisation, fait procéder à des coupes de bois dans la forêt. Bientôt un procès les oppose au sujet d’une chapelle ! Manicor, qui s’est installé à Reichweiller fait sortir intentionnellement du pâturage des vaches appartenant aux habitants de Cernay. Ceux-ci s'arment et investissent le château. Le pire est évité grâce à l’intervention de la femme du seigneur.

Les Manicor quittent Reichweiler pendant la guerre de Trente Ans (1618 1648). La paix de Munster et d‘Osnabrück met fin à cette guerre meurtrière qui fit souffrir le village et ses habitants.

Le Royaume de France récupère Richwiller avec les autres possessions autrichiennes. Seul le château ou ce qui en subsiste encore, reste la propriété de Pistorius après un long procès qui se déroule à Ensisheim. En 1662 Pistorius fort querelleur semble-t-il, meurt assassiné par l’un de ses domestiques Ses biens retournent à la Couronne de France. Après le Traité de Westphalie, Louis XIV confie le fief à Charles Colbert de Croissy, neveu de l’Intendant d'Alsace. Nicolas de Diesbach, d'ascendance suisse, lui succède en 1665. Il s’installe au château à la mort de la veuve de Pistorius. Comme il est protestant, il ne peut se maintenir et doit céder sa place au maréchal Nicolas Hubert de Reinach Montreux. Ce dernier s’illustre à la bataille de Gérone où il trouve la mort en 1696.

Le fief passe alors au Marquis du Blé d’Huxelles qui gouverne l’Alsace jusqu'à son décès en 1730. Le roi Louis XV transmet alors le domaine à Joseph Balthazar de Bergeret, capitaine au régiment d'Enghien. Le fief comprend aussi Reiningue, les trois quarts de Morschwiller, Ensisheim, Rumersheim. Le capitaine perçoit également des revenus provenant de Rantzwiller. La Révolution met fin aux droits seigneuriaux. Les frères de Bergeret (le chanoine Prosper de Lautenbach et Henri capitaine dans un régiment royal suédois) émigrent. Leurs biens sont vendus à Colmar. Un certain Brustlein agissant pour le compte de Pierre Thierry de Mulhouse les achète pour 66 778 livres. Wittelsheim acquiert une partie des forêts.

Les deux « Bergeret » qui sont restés au service de la République (Gilbert général de brigade et Antoine Prosper, colonel) conservent leurs parts d'héritage. Elles ne tardent pas à être morcelées. Le château fut rasé vers 1810 ; il en reste le moulin seigneurial.

La construction de l'église Sainte-Catherine modifier

La construction de l'église Sainte-Caterine remonte aux années 1870 sous la maîtrise d'œuvre des curés du village. Les premières cloches furent fondues en 1878 grâce à un canon et à une roue en bronze offerts en 1878 par Augusta de Saxe, impératrice de Prusse. Ces éléments avait été pris aux Français lors de la guerre de 1870. En , ces cloches sont réquisitionnées et se transforment à nouveau en canons allemands.

En 1923, de nouvelles cloches sont fondues par un bronzier de Colmar, dans un métal de mauvaise qualité et la sonorité du carillon en pâtit[20]. Début 2015, le Conseil de fabrique s'adresse au financement participatif pour y remédier, ce qui est réalisé une année plus tard[21].

Le village a été bombardé en 1914.

L'ère de la potasse modifier

Seconde Guerre mondiale modifier

Comme beaucoup de communes alsaciennes, Richwiller eut son lot de malgré-nous. Tout comme en 1914, la commune fut bombardé en 1944. Elle doit sa libération au 2e bataillon de choc de la 1re armée en .

Héraldique modifier


Les armes de Richwiller se blasonnent ainsi :
« D'azur à la fasce d'or, accompagnée de trois étoiles à cinq rais d'argent, deux et une. »[22]

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1957 Émile Egler    
1957 1965 Eugène Fassnacht    
mars 1965 1970 Louis Zimmermann    
1971 mars 1983 Victor Ganter   Instituteur et directeur d'école
mars 1983 mars 1989 Henri Hagenbach    
mars 1989 mars 2008 Philippe Schenini PS Maire honoraire
mars 2008 En cours
(au 24 mai 2020)
Vincent Hagenbach [23]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVD puis UDI Pharmacien
Conseiller départemental du canton de Kingersheim (2015 → )
Les données manquantes sont à compléter.

La commune de Richwiller fait partie de Mulhouse Alsace Agglomération.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2021, la commune comptait 3 704 habitants[Note 4], en augmentation de 3,18 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
196196263332414437468465453
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
498556559577568578526532541
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
5606067508781 2011 1661 0661 0261 227
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 3142 3572 6552 9383 1503 3253 3513 3673 389
2014 2019 2021 - - - - - -
3 5073 6923 704------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie locale modifier

Accès et transports modifier

La commune est reliée au réseau de bus de l'agglomération de Mulhouse exploité par l'entreprise Soléa. En semaine, la ligne 12 traverse la commune d'ouest en est et permet de rejoindre la ligne 1 du tramway (Kingersheim / Gare centrale de Mulhouse). La ligne 23 dessert partiellement la zone artisanale. Les dimanches et jours férié, la ligne 72 reprend le trajet de la ligne 12. En soirée, un service de taxis desservant les mêmes arrêts que le bus no 12 permet d'assurer la continuité du trafic.

La gare de Richwiller ayant été fermée au transport des passagers depuis le , et ne disposant plus que d'un service de fret, les habitants de la commune doivent se rendre à Wittelsheim-Graffenwald située à 4 km, ou à Lutterbach à 4,4 km pour utiliser les transports ferroviaires.

Équipements de santé modifier

La commune abrite deux médecins généralistes, deux dentistes et une pharmacie. Le service d'urgences le plus proche est l'hôpital de Pfastatt. Les hôpitaux mulhousiens assurent les services spécialisés.

Économie modifier

Lieux et monuments modifier

 
Bassin d'orage la Roselière.
  • La Carotte : le , à l'entrée de la cité Amélie II est inauguré un monument érigé pour célébrer le cinquantième anniversaire de la découverte de la potasse par Amélie Zurcher, Joseph Vogt et Jean-Baptiste Grisey. Ce monument représente une « carotte » (échantillon cylindrique de roches prélevées dans le sous-sol par carottage pour en connaître sa composition). Cet endroit n'est que symbolique. En fait, la potasse a été découverte plus au sud, vers la mine Joseph Else à Wittelsheim.
  • La Roselière est le nom donné au bassin d'orage de la commune. En fait de roseaux, ce sont essentiellement des massettes à larges feuilles (Typha latifolia) qui envahissement ce plan d'eau. Situé au milieu des champs, cet étang artificiel bordé de pruneliers, de saules et d'acacias sert de refuge à la faune sauvage (hérons, canards colverts, batraciens, couleuvres vipérines, tircis, demoiselles ...).
  • L'église Sainte-Catherine dans laquelle on trouve un orgue construit par le facteur d'orgue Martin Rinkenbach d’Ammerschwihr en 1898[28].
 
L'église Sainte-Catherine.
 
L'église Christ-Roi à Cité Amélie II.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Eugène Wacker (1878-1943), fils de Meinrad Wacker et Françoise Sturchler, né à Knœringue le , mort à Richwiller le . Il élève une famille nombreuse de huit enfants, son fils Joseph est aveugle. Eugène Wacker est très actif à Richwiller. Passionné d'histoire, membre de la Société d'Histoire du Sundgau, vice-Président de la Société d'Histoire Sundgauvienne, il écrit de nombreux articles dans l'annuaire de cette dernière ainsi que dans diverses revues régionales et rédige avec Paul Stintzi les « Pages Sundgoviennes » en deux volumes. Il consacre une brochure aux Seigneurs de Richwiller.
    La commune de Richwiller honora sa mémoire en 1988 (à l'occasion du 110e anniversaire de sa naissance) en baptisant de son nom le groupe scolaire du centre.
  • Denise Ferrier (-1945) : l'aspirant Denise Ferrier était ambulancière de la 2e Compagnie de ramassage du 25e Bataillon médical (bataillon qui s'était déjà fait remarquer à l'île d'Elbe pour son sang-froid). Depuis le début de la campagne de France, elle a été volontaire pour toutes les missions et a évacué de nombreux blessés. Elle a participé avec le régiment d'infanterie coloniale du Maroc à la percée sur Mulhouse.
    Elle a été tuée par un obus le à Richwiller, à 7 heures du matin, devant un poste de secours du bataillon de choc.
    Un parc lui est consacré à Pfastatt.
  • Paul Drumm, écrivain, se fixe à Richwiller après la Libération.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Communes constituant l'agglomération mulhousienne (Mulhouse + Banlieue) sur le site de l'INSEE
  2. Legifrance - Arrêté du 22 décembre 2021 établissant les listes d'agglomérations de plus de 100 000, 150 000 et 250 000 habitants conformément à l'article R. 221-2 du code de l'environnement et à l'article L. 2213-4-1 du code général des collectivités territoriales : « Baldersheim, Bollwiller, Brunstatt-Didenheim, Feldkirch, Habsheim, Illzach, Kingersheim, Lutterbach, Morschwiller-le-Bas, Mulhouse, Pfastatt, Pulversheim, Reiningue, Richwiller, Riedisheim, Rixheim, Sausheim, Staffelfelden, Wittelsheim, Wittenheim. »
  3. Legifrance - Article L. 2213-4-1 du code général des collectivités territoriales
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Richwiller et Mulhouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Mulhouse », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « Eglise sainte-catherine de Richwiller », sur Fondation patrimoine.
  21. « Ce ne sera plus le même son de cloche », sur l'Alsace.fr, .
  22. Archives Départementales du Haut-Rhin
  23. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Notice no IM68000680, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.