Ribemont-sur-Ancre

commune française du département de la Somme

Ribemont-sur-Ancre
Ribemont-sur-Ancre
L'église Saint-Vaast.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Somme
Maire
Mandat
Hervé Léger
2020-2026
Code postal 80800
Code commune 80672
Démographie
Gentilé Ribemontois
Population
municipale
625 hab. (2021 en diminution de 3,85 % par rapport à 2015)
Densité 68 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 57′ 39″ nord, 2° 33′ 59″ est
Altitude Min. 32 m
Max. 115 m
Superficie 9,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Corbie
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Ribemont-sur-Ancre

Ribemont-sur-Ancre est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Ribemont-sur-Ancre
Baizieux Bresle Laviéville
  Buire-sur-l'Ancre
Heilly Méricourt-l'Abbé

Nature du sol et du sous-sol modifier

Le sol de la commune est pour l'essentiel composé du limon des plateaux argilo-sableux reposant sur une formation crayeuse. Sur les pentes, à l'ouest, la craie blanche à silex affleure. Il s'agit de la craie à Micraster tandis qu'à l'est, il s'agit de la craie à Bélemnites. Les fonds de vallons et les pentes avoisinantes sont formés de dépôts meubles de couleur rouge (terre à brique). Dans la vallée de l'Ancre, on rencontre des dépôts alluviaux et de la tourbe là où le sol est perméable[1].

Relief, paysage, végétation modifier

Le relief de la commune est celui d'une vallée et de vallons secs venant de Baizieux et de Bresle qui contournent le plateau. Le point culminant de la commune se situe à 91 mètres d'altitude[1].

Hydrographie modifier

La commune est traversée par la rivière Ancre, un affluent de la rive droite de la Somme et par plusieurs petits ruisseaux affluents de l'Ancre. La nappe phréatique se situe à une dizaine de mètres au-dessous du sol[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 670 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Ribemont-sur-Ancre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,1 %), zones humides intérieures (7,3 %), zones urbanisées (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat modifier

La commune offre un habitat groupé le long de la vallée de l'Ancre et n'est séparée du village voisin de Méricourt-l'Abbé que par la rivière.

Toponymie modifier

On trouve plusieurs formes pour désigner Ribemont-sur-Ancre dans les textes anciens. Nous avons Ribotmons 1133[14], Ribeumont 1148[14], Ribemont 1148[14], Ribodimons 1175[14], Ribemond 1224[14], Ribaumont, Ribumont, Riboumont (1224)[1], Ribemont v.1757[15], v. 1850[16], Ribemont-sur-Ancre vers le milieu du XXe siècle.

Selon E. Nègre le toponyme serait un mot composé du NP germ. Ricbodus + lat. montem "mont"[14]. D'où "Mont de Ribot ou Ribaut"[1]. RicBodus est également un nom composé du germ. Ric "puissant" + Bodus "envoyé, messager"[17], qui pourrait signifier "le Messager du Puissant(e)" à rapprocher du temple gallo-romain retrouvé sur les fouilles des années 1980, dédié à Mercure, messager des dieux.

L'Ancre est une rivière du nord du département de la Somme et du Pas-de-Calais, dans la nouvelle région Hauts-de-France, affluent droit du fleuve la Somme.

Histoire modifier

Il semble qu'au IIIe siècle av. J.-C., sur le territoire de Ribemont, des belges (ambiens) affrontèrent victorieusement des gaulois armoricains puis fondèrent ensuite un premier sanctuaire sur les lieux de la bataille. Celui-ci comporte plusieurs charniers. Il fut remplacé au Ier siècle av. J.-C. par les romains.

  • Au XIe siècle on comptait plusieurs fiefs sur le territoire de Ribemont : Villecourt, Gomicourt, Hauteville, Carentan…
  • Au XIIe siècle un prieuré "Saint-Laurent-au-Bois" existait avant 1168, qui dépendait de l'abbaye de Corbie. La chapelle qui figurait encore sur le plan de Cassini a disparu en 1780[19]. Elle était située sur la voie antique reliant Amiens à Albert (D929), dans la commune de Ribemont à sa limite ouest, formant une enclave carrée.
  • En 1830 des fouilles archéologiques au lieu-dit la Maldrerie, ont mis au jour une vingtaine de sarcophages avec squelette et coutelas en fer et vases de terre. Selon la tradition orale, il s'agirait d'un cimetière de templiers.
  • Les Anglais saccagèrent Ribemont pendant la guerre de Cent Ans en 1359, 1369 et 1373.
  • En 1578 le village fut pillé et brulé par les Espagnols, et à nouveau en 1636.
  • Ribemont était jusqu'à la fin de l'Ancien Régime domaine du seigneur d'Heilly.
  • Au cours de la guerre franco-prussienne de 1870-1871, onze jeunes gens de la commune ont combattu et un fut tué[1].
  • Pendant la Grande Guerre, en mars 1918, les soldats australiens se retranchèrent derrière des barricades dans le village.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1881 1923 Paul Hourdequin   Industriel
1923   Stéphane Camus    
  1977 Robert Léger    
1977 1995 Christian Lecomte    
juin 1995[20] mai 2020 Henri Gérard   Vice-président de la CC de Val de Somme ( ? → 2020)
Président de l’association des maires et élus du Val de Somme
mai 2020[21],[22] mars 2022 Daniel Duquenoy   Démission
mai 2022[23] En cours Hervé Léger    

Population et société modifier

Démographie modifier

Les habitants de Ribemont-sur-Ancre, comme ceux de Ribemont (département de l'Aisne, commune homonyme) s'appellent des Ribemontois[24]. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 625 habitants[Note 3], en diminution de 3,85 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
320375415464517527538533530
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
495489474487500532481514478
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
447439441449472494482498466
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
470476545577566616642650611
2015 2020 2021 - - - - - -
650633625------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

L'enseignement élémentaire local est assuré dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal qui comprend les communes d'Heilly, Ribemont-sur-Ancre, Bresle et Méricourt-l'Abbé. L'école Jacques-Prévert de Méricourt accueille 57 élèves pour l'année scolaire 2014-2015. Cantine et garderie complètent le dispositif[29].

Culture, fêtes, sport et loisirs modifier

Foyer rural de Ribemont-sur-Ancre modifier

Depuis 2002, le Foyer rural de Ribemont-sur-Ancre organise chaque année, en avril-mai, une exposition d’œuvres d'art ouverte aux artistes contemporains, régionaux, nationaux et internationaux qui s'intitule : L'Art du temps.

Sports modifier

  • Une équipe de football défend les couleurs locales.
  • L'équipe de ballon au poing a été championne de France plusieurs fois, notamment en 2015.

Économie modifier

Activités économiques et de services modifier

La commune dispose :

  • d'une école maternelle (regroupement avec les communes voisines : Heilly, Méricourt-l'Abbé et Bresle) avec une cantine scolaire (150 repas par jour + 50 petits déjeuners) ;
  • d'un accueil périscolaire et centre de loisirs ;
  • d'un lycée agricole ;
  • d'un bureau de poste ;
  • d'un foyer rural : établissement de prestation et de location ainsi qu'un centre équestre ;
  • d'une bibliothèque ;
  • d'un camping ;
  • de professionnels de santé de proximité : médecin (qui a rejoint la maison médicale de Warloy Baillon en ), pharmacien ;
  • d'un café-tabac (maintenant fermé depuis 2014).

Transports et voies de communications modifier

  • Chemin de fer : Ribemont-sur-Ancre est desservie par la gare sur la ligne Paris - Lille.
  • Transports en commun routiers : la localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France (ligne no 37)[30].

Culture locale et patrimoine modifier

Site archéologique modifier

Le sanctuaire gallo-romain de Ribemont-sur-Ancre est situé sur la rive droite de l'Ancre, affluent de la Somme, et a fait l'objet de nombreuses publications dès les années 1960 (Centre de recherches archéologiques de l'université de Picardie) avant celles concernant le sanctuaire gaulois. Le site gallo-romain apparaît d'autant plus important qu'il succède à un remarquable sanctuaire celtique.

Le site a été découvert par prospection aérienne en 1962 par Roger Agache[31],[32],[33].

En 1982, furent trouvées les premières traces du fossé celtique. La poursuite des fouilles a été menée par Jean-Louis Brunaux[34].

  • Le sanctuaire rural gaulois, sanctuaire de Ribemont-sur-Ancre dit à « enclos belge ou picard[35],[36] ».
  • Le sanctuaire gallo-romain : sur 800 m de long, les bâtiments se répartissent le long de trois cours étagées en terrasses et selon un axe orienté vers le sud-est, du centre du temple, au sommet du plateau crayeux, jusqu'au centre des thermes, en bordure du marais. L'orientation du fossé celtique de La Tène II et III est la même, grossièrement selon le soleil levant du solstice d'hiver.
    • le fanum : les fouilles de 1968 à 1970 ont mis au jour un abondant ensemble de fragments sculptés (décor architectonique, végétaux, animaux et humains). Ces sculptures présentent des dimensions exceptionnelles et une ordonnance symétrique[37];
    • le théâtre de 3 000 places ;
    • les thermes ;
    • l'habitat.

Une partie des découvertes sont présentées au musée de Picardie (Amiens).

Un Centre de conservation et d'étude archéologique financé par le conseil départemental de la Somme est installé au centre du village de Ribemont-sur-Ancre.

Autres sites et monuments modifier

  • Oratoire dédié à la Vierge. Tout en brique, il est protégé par une grille au dessin original[40].
  • Chapelle funéraire de la famille Vadier-Demosy, sur le fronton on peut voir une mitre d'évêque sur une coquille Saint-Jacques[40].
  • Médiathèque « La Filature » installée dans l'ancienne filature Hourdequin-Dhaille.
  • Cimetière militaire britannique (498 soldats de plusieurs nationalités inhumés).
  • Cimetière d'animaux.

Personnages liés à la commune modifier

  • Timoléon de Rély, prêtre mort à Ribemont en 1728.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b c d e et f Notice historique et géographique sur la commune de Ribemont-sur-Ancre, rédigée par M. Dobelle, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Ribemont-sur-Ancre et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. a b c d e et f NEGRE (E.) Toponymie générale de la France (1996), t. 2, p. 919.
  15. IGN, Plan de Cassini.
  16. IGN, carte d'État-Major 1820-1866.
  17. FERGUSON (Robert) The Teutonic Name-system, Applied to the Family Names of France, England and … (1864), p. 343, 454.
  18. Documentaire sur YouTube "Le pire événement de l'histoire celte ?", de Thomas Laurent, édité le 25 février 2024.
  19. Beauvillé (Victor de) Recueil de documents inédits concernant la Picardie (1860), p. 5, n. 5.
  20. « Le maire de Ribemont-sur-Ancre, Henri Gérard, fait le point avant de se décider : Lors de ses vœux, qui ont réuni de nombreux Ribemontois et élus du territoire, samedi soir, dans la salle du château, Henri Gérard a promis d’annoncer prochainement sa décision en ce qui concerne les prochaines municipales », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après 37 ans de présence au sein du conseil municipal, dont 12 en tant que conseiller municipal sous les mandats de Christian Lecomte, puis 25 dans le fauteuil de maire, Henri Gérard a fait le point samedi sur son implication personnelle dans la vie communale et communautaire ».
  21. « Pas de second tour finalement, à Ribemont-sur-Ancre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « une erreur matérielle n’avait pas permis à Solène Leban de faire partie des personnes élues alors qu’elle avait obtenu, en voix, le quart des inscrits et la majorité absolue des suffrages exprimés. Le tribunal administratif a confirmé son élection par jugement, mercredi 27 mai. Les quinze membres de la liste emmenée par Daniel Duquenoy sont donc élus ».
  22. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  23. « Le conseil municipal de Ribemont-sur-Ancre est au complet », Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. habitants.fr, « Somme > Ribemont (80800) » (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Site communal de Méricourt-l'Abbé.
  30. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  31. Agache R., 1962 - Vues aériennes de la Somme et recherche du passé. Bulletin de la Société Préhistorique du Nord, Amiens, n° spécial 5, 73 p.
  32. Agache R., 1964 - La prospection aérienne sur sols nus et l'inventaire archéologique de la Somme. Actes du colloque international d'archéologie aérienne, du 31/08 au 3/09/1963, SEVPEN, Paris, 49-58
  33. Agache R., 1964 - Archéologie aérienne de la Somme. Bulletin de la Société préhistorique du Nord, n° spécial 6, 67 p.
  34. Brunaux J.-L., 2000 - Les religions gauloises. Nouvelles approches sur les rituels celtiques de la Gaule indépendante. Ed. Errance, Paris, 272p. (ENS, Paris)
  35. Site du Centre archéologique départemental de Ribemont-sur-Ancre
  36. Culture.gouv
  37. Cadoux J.-L. et Delaunay F., 1995 - Les sculptures du temple gallo-romain de Ribemont-sur-Ancre : une retractatio. Revue archéologique de Picardie 1/2
  38. Clochers.org
  39. 40000clochers.com
  40. a et b André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 191 (ASIN B000WR15W8).