Ribemont

commune française du département de l'Aisne

Ribemont
Ribemont
Hôtel de ville et justice de paix.
Blason de Ribemont
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité CC du Val de l'Oise
Maire
Mandat
Vincent Cool
2021-2026
Code postal 02240
Code commune 02648
Démographie
Gentilé Ribemontois(es)
Population
municipale
1 904 hab. (2021 en diminution de 3,3 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 47′ 47″ nord, 3° 27′ 33″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 141 m
Superficie 26,91 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ribemont
(bureau centralisateur)
Législatives 3e circonscription de l'Aisne
Localisation
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Ribemont
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Ribemont
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Ribemont
Liens
Site web http://www.ribemont.fr/

Ribemont est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Description modifier

Cartographies de la commune
 
  La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
 
Avec les communes environnantes
 
Entrée du village
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes ; 5 : entrée du village.

Ribemont est un bourg rural picard du Vermandois situé dans la vallée de l'Oise.

Il se trouve à 15 km au sud-est de Saint-Quentin, 29 km au nord-ouest de Laon et 46 km au sud-ouest de Hirson. Desservi par la RD 13, il est facilement accessible depuis l'ancienne route nationale 29 à Origny-Sainte-Benoite.

La ligne du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise traverse la commune mais n'accueille qu'un faible trafic de fret et occasionnellement un train touristique.

Communes limitrophes modifier

Hydrographie modifier

La commune est drainée par les divers bras de l'Oise, un affluent de la Seine, ainsi que par le canal de la Sambre à l'Oise.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 726 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 17 km à vol d'oiseau[3], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Ribemont est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,9 %), prairies (9,7 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), zones urbanisées (5,8 %), cultures permanentes (2,2 %), forêts (0,9 %), eaux continentales[Note 3] (0,9 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom du bourg apparaît pour la première fois en 1083, sous la dénomination de Ribaudimons puis Ribotmons, Ribelmont, In teritorium de Ribemont, Ribomont en 1183 dans un cartulaire de l'abbaye de Saint-Michel. Le nom variera ensuite en fonction des différents transcripteurs Ribaudimont, Ribuaumont, Ribomont, Ribbemont, Ribeumont, Ribedimons, Rebemont, Riblemont et enfin l'orthographe actuelle Ribemont sur la carte de Cassini au milieu du XVIIIe siècle [13].

Plusieurs hypothèses sont avancées sur l'origine du nom de la commune. Parmi lesquelles :

  • Ribemont aurait été au VIIe siècle un établissement de Francs ripuaires (Francs rhénans) ;
  • la topographie de la commune, dont le centre ancien est situé sur une colline au bord de l'Oise, d'où l'ancien nom Ripemons signifiant « mont au bord d'une rive »[14].

Histoire modifier

Découvertes archéologiques modifier

La situation géographique stratégique de la ville laisse supposer que la ville dut être un oppidum gaulois. Aux XIXe et XXe siècles, des vestiges ont pu retracer une partie de l'histoire de Ribemont[14] :

  • des haches celtiques dont une en silex blanc attestent le séjour des Celtes[15] ;
  • des sépultures franques trouvées à la ferme de la Grande Cense ;
  • époque gallo-romaine : pièces de monnaie gauloises. Les cinq siècles d'occupation romaine sont certifiés par la découverte d'un vase de verre blanc (conservé au musée de Picardie) et un mur en petit appareil au niveau de l'ancien château de Ribemont.

Moyen Âge modifier

En 685, Constantin est le premier châtelain de Ribemont[16]. Ce seigneur avec son épouse Francigène donnent naissance à saint Rigobert qui deviendra archevêque de Reims.

 
Reliquaire de saint Germain dans l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.

Les reliques de saint Germain de la Bresle sont abritées dans un premier temps dans l'église du château en 882 lors d'une incursion normande. Au XVIIIe siècle la chapelle Saint-Germain fut édifiée pour accueillir les reliques.

En 880, les rois carolingiens Louis le Jeune, Louis III et Carloman II y signent le traité de Ribemont. Un second traité y sera signé en 1178 entre les fils du duc Mathieu Ier de Lorraine pour le partage de l'héritage.

Époque moderne modifier

 
Carte de Cassini du secteur
(vers 1750).

La carte de Cassini montre qu'au XVIIIe siècle, Ribemont est un bourg fortifié situé sur la rive gauche de l'Oise. Un moulin à eau est symbolisé par une roue dentée.
Le bourg était relié aux villages des environs par cinq routes empierrées.

Au sud, Saint-Denis était un hameau dont le nom est rappelé de nos jours par le lieu-dit Vallée Saint-Denis ; la Tuilerie est évoquée par la rue de la Briqueterie.
Le pont Basillot était un pont en pierre sur l'Oise.

Au nord, la chapelle Saint-Germain est intégrée actuellement à l'agglomération.

L'abbaye de Saint-Nicolas-des-Prés est une ancienne abbaye bénédictine fondée à la fin du XIe siècle; son appellation latine est citée en 1141 : Sanctus-Nicholaus-de-Prato[17]. Après la Révolution et jusqu'au XIXe siècle, elle fut transformée en filature de laine.

Le hameau de Lucy est cité en 1083 sous le nom de Luciacus[18].
Le château de Tournoison (écrit Fournoison) fut construit au début de XVIIIe siècle[19] ; on l'appelle de nos jours château de Lucy.

Époque contemporaine modifier

Passé ferroviaire de la commune modifier

De 1874 à 1968, Ribemont a été desservie en trafic voyageur par la ligne de chemin de fer de Saint-Quentin à Guise qui contournait la ville par l'ouest près de l'Oise qu'elle franchit par deux fois tout en se préservant de ses crues hivernales par des remblais et de nombreux ponceaux.

Le hameau de Lucy possédait également une gare, à proximité d'un bras de l'Oise , du château de Tournoison, et du Moulin de Lucy.

À une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises, qui a constitué jusqu'en 1892 le seul débouché des industries de Guise vers le grand réseau de la Compagnie des Chemins de fer du Nord.

De 1900 à 1958, une seconde ligne de chemin de fer, la Ligne de Ribemont à La Ferté-Chevresis partait de la gare en direction de Villers-le-Sec jusque La Ferté-Chevresis (voir les horaires en 1923[20] et 1956[21]) dont certains trains assuraient une liaison directe entre Saint-Quentin et Laon.

Avant la Grande Guerre huit aller-retours quotidiens[22] desservaient cette gare pour les passagers qui se rendaient vers Saint-Quentin ou Guise mais aussi 3 aller-retours quotidiens vers Laon. Cette desserte assurée après la Grande Guerre par la Compagnie des Chemins de fer Secondaires du Nord-Est se réduira progressivement avec le développement du trafic routier dès la Reconstruction (voir les horaires de 1923[23] avec 5 aller-retours quotidiens qui seront renforcés à partir de 1925 pour retrouver une desserte proche de l'avant guerre jusqu'en 1956 avant un déclin fatal).

Le bâtiment voyageurs de la gare à un seul étage à colombages de bois date de l'origine de la ligne en 1874, et a été complété en 1900 pour l'ouverture de la ligne de La Ferté-Chevresis par un bâtiment transversal en brique dans le style architectural des gares départementales de l'Aisne. Ces bâtiments n'ont pas été détruits par la Grande Guerre et sont les seuls témoins, avec la gare de Longchamps-Bohéries, de l'origine de la ligne qui n'est pas sans rappeler le style architectural caractéristique de la Compagnie du chemin de fer d'Orléans à Châlons. La gare de Lucy a été reconstruite en 1921 dans le style départemental, et reste bien en place de nos jours.

À partir de 1950, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a décru progressivement et la desserte voyageurs entre Saint-Quentin et Origny-Sainte-Benoîte a été abandonnée le .

Le trafic fret persiste encore à traverser la gare pour desservir les industries d'Origny-Sainte-Benoîte, mais les voies d'évitement et de desserte de la gare de Ribemont ont été déposées à partir de 1982.

En 2022, la ligne est ainsi toujours en service pour le fret, mais elle n'est plus parcourable par les visiteurs que les dimanches et fêtes à la belle saison par les trains du Chemin de fer touristique du Vermandois jusqu'à la gare d'Origny-Sainte-Benoîte. La gare étant désormais une propriété privée, un quai spécial a été aménagé entre le passage à niveau sur la D58 proche de la gare et le pont sur l'Oise pour cette desserte touristique.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne[24].

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Ribemont[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Ribemont[24]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Aisne[26].

Intercommunalité modifier

Ribemont était membre de la communauté de communes de la Vallée de l'Oise, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Val de l'Oise dont est désormais membre la commune. L'intercommunalité est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[27]

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs [28],[29]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1989 10 juillet 2020[31],[32],[33] Michel Potelet[34] PS puis DVG Retraité de l'éducation nationale
Conseiller général puis départemental de Ribemont (1998 → 2020)
Vice-président du conseil départemental de l'Aisne (2015 → 2020)
Vice-président de la CC du Val de l'Oise (2014 → 2020)
Décédé en fonction
22 juillet 2020[35] mai 2021[36] Vincent Paquet   Collaborateur d'élus
Décédé en fonction

Jumelages modifier

La municipalité de Ribemont a conclu jumelage avec :

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

En 2021, la commune comptait 1 904 habitants[Note 4], en diminution de 3,3 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 5002 3302 3162 5472 7262 7162 7913 0983 098
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 0283 1323 1263 1243 0963 1953 1292 9352 847
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 7692 6272 5842 1422 1862 0201 9761 8131 967
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
2 1872 1522 0142 1052 2272 0962 0592 0591 984
2015 2020 2021 - - - - - -
1 9691 9141 904------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture modifier

  • L'école municipale de musique. Fermée en 2016.
  • La bibliothèque municipale.

Manifestations culturelles et festivités modifier

Le Tour de France 2007 est passé dans la commune, de l'étape Waregem-Compiègne le mardi .

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Le musée Condorcet, installé dans la maison natale de ce dernier, est inscrit à la Fédération nationale des maisons d'écrivains et des patrimoines littéraires[40].
  • Le moulin de Lucy.
  • L'abbaye Saint-Nicolas-des-Prés, transformée en château après la Révolution.
  • Le château de Lucy, rue de Tournoison, ancienne ferme de Tournoison appartenant à l'abbaye.
  • Statue de Condorcet par le sculpteur Ernest Diosi, installée en face de l'hôtel de ville en 1947.
  • Motte, sur un promontoire crayeux dominant la vallée de l'Oise, dont le donjon était nommé « la Tour du Chin » ; cité en 1117[41].

Mémoriaux de guerre modifier

  • Le carré militaire français au cimetière avec son mémorial des soldats ribemontais.
  • La section militaire britannique au cimetière, entretenu par la Commonwealth War Graves Commission.
  • Le monument aux morts du bourg.
  • Le monument aux morts du cimetière.

Personnalités liées à la commune modifier

 
Statue de Condorcet sur la place de la mairie.

Héraldique modifier

  Blason
De gueules, à la montagne d'argent, surmontée d'un soleil d'or et accostée de deux gerbes de blé du même ; au chef cousu d'azur, chargé de trois fleurs de lis d'or[45].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Blason officiel
Alias
 
Alias du blason de Ribemont
Échiqueté d’or et d’azur[45].

Voir aussi modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Ribemont et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
  14. a et b Charles Gomart, Histoire de Ribemont, éd. Res Universalis, 240 p.
  15. Musée de Picardie, pièce no 698, catalogue de 1848.
  16. Dom Lelong, Histoire du diocèse de Laon, p. 95
  17. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
  18. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
  19. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
  20. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Horaire_La_Fert%C3%A9-Chevresis_Ribemont.jpg
  21. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:La_Fert%C3%A9_Chevresis_Ribemeont_Horaire_1956.jpg
  22. Claude villetaneuse, Français : Extrait du livret Chaix de mai 1914 : Horaires de la Compagnie du Chemin de fer de Saint-Quentin à Guise, (lire en ligne)
  23. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Ligne_Saint-Quentin-Guise-La_Fert%C3%A9-Chevresis_Horiare_1923_Horaire_1956.jpg
  24. a et b « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Ribemont », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  27. « communauté de communes du Val de l'Oise - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  28. maires de 1818 à 1842 : actes d'état-civil conservés aux archives départementales
  29. « Les maires de Ribemont », sur francegenweb.org (consulté le ).
  30. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
  31. Grégory Beuscart, « Décès brutal de Michel Potelet, maire de Ribemont et vice-président du conseil départemental de l’Aisne, ce vendredi matin », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L'élu axonais a été terrassé par une crise cardiaque, ce vendredi 10 juillet dans la matinée, alors qu'il était au volant de son véhicule. Il était âgé de 70 ans. [...] Retraité de l’Éducation nationale – il a notamment enseigné aux collèges de Moÿ-de-l’Aisne et Harly – Michel Potelet poursuivait une immense carrière politique d’élu local entamée il y a plusieurs décennies. Conseiller municipal de Ribemont depuis 1977 puis maire depuis 1989, réélu depuis sans interruption, il a entamé son dernier mandat en mai dernier ».
  32. « L'élu axonais Michel Potelet meurt brutalement au volant de sa voiture », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Décès brutal de Michel Potelet, maire de Ribemont », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Conseiller municipal de Ribemont depuis 1977 puis maire depuis 1989, réélu depuis sans interruption, il a entamé son dernier mandat en mai dernier. Il était également une figure de l’Aisne en représentant le canton de Ribemont depuis 1998 au sein de l’instance départementale. Depuis 2015, il était vice-président chargé des affaires budgétaires et de l’administration générale. En proie à des soucis de santé, il avait déclaré en novembre 2019 qu’il ne se représenterait pas aux prochaines élections départementales, préférant se consacrer entièrement à sa commune ».
  34. « Un très léger souffle de changement du côté de Ribemont, mais pas pour la place de maire », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Michel Potelet reste maire de Ribemont mais son équipe change... un peu ».
  35. Romain Denizart, « Vincent Paquet devient le nouveau maire de Ribemont », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Vincent Paquet, 50 ans, est membre du conseil depuis 2014. Il a tout d’abord été 2e adjoint, avant de devenir le premier adjoint de ce nouveau mandat. Il était l’un des proches de Michel Potelet. Les deux hommes travaillaient, notamment, ensemble au conseil départemental, puisque le nouveau maire était collaborateur du groupe politique dans lequel Michel Potelet siégeait ».
  36. « Vincent Paquet, maire de Ribemont, n’est plus : Il avait succédé à Michel Potelet à la mairie de la commune en juillet 2020. Il est décédé ce week-end à l’âge de 51 ans », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Vincent Paquet avait intégré le conseil depuis 2014, d’abord en tant que deuxième adjoint. Il avait été nommé premier adjoint pour ce nouveau mandat municipal, avant de succéder à Michel Potelet, dont il était proche. Les deux hommes travaillaient notamment ensemble au conseil départemental puisque Vincent Paquet était collaborateur du groupe politique dans lequel Michel Potelet siégeait ».
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Site officiel de la Fédération des maisons d'écrivains.
  41. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 40 (cf. Ribemont).
  42. « Chapelle Saint-Germain - Ribemont », sur intramuros.org (consulté le ).
  43. « Église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge (Lucy) - Églises et patrimoine religieux de France », sur patrimoine-religieux.fr (consulté le ).
  44. Paul Roche (maître d'école puis maire de Ribemont), Ma petite ville au grand renom, p. 123-131, imprimerie L'Espoir à Guise, dépôt légal 4e trimestre 1965.
  45. a et b « 02648 Ribemont (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Liens externes modifier

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