Le retailing mix est — en marketing opérationnel de la distribution — l'équivalent du concept de marketing mix au niveau d'une enseigne ou d'un point de vente (Walmart, Ikea, Carrefour, Apple Store, The Body Shop, Zara, H&M, etc.)

Il comporte 11 éléments de base alors que le marketing mix des services, dans sa version la plus répandue, en comporte 7.

Il se développe à deux niveaux : l'enseigne et le point-de-vente (le magasin, l'unité de commercialisation[1]) Il regroupe les décisions –– censées être pertinentes et cohérentes pour le point de vente –– en matière de :

  • Place (Emplacement)
  • Parking (« No parking, no business » de Trujillo)
  • Permanence (heures d'ouverture)
  • Positionnement
  • Palette des produits (assortiment)
  • Parcours consommateurs
  • Politique de prix
  • Politique de communication
  • Politique de services
    • Politesse du personnel
  • Politique de merchandising qui comprend ;
    • l'assortiment des produits proposés sur le point de vente,
    • ainsi que l'organisation de la surface de vente elle-même.
  • Politique de fidélisation
  • Etc.

Bibliographie modifier

  • Philip Kotler et Bernard Dubois, « Le marketing mix du distributeur », dans : Marketing Management, 8e édition, Publi-Union, 1994, p. 542-548.

2006

  • Gérard Cliquet, André Fady, Guy Basset, Management de la distribution, 2e éd., Dunod, 2006.

2010

  • Isabelle Calmé et autres, « Le marketing mix du point de vente », dans : Introduction à la gestion, 3e édition, Dunod, 2010, p. 128.

2013

  • (en) Charles Lamb, Joe Hair, MKTG 7, Cengage, 2013, p. 239-242.

Notes et références modifier

  1. Terminologie mercatique