Reilhanette

commune française du département de la Drôme

Reilhanette
Reilhanette
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale
Maire
Mandat
Martial Bonnefoy
2020-2026
Code postal 26570
Code commune 26263
Démographie
Gentilé Reilhanettois, Reilhanettoises
Population
municipale
133 hab. (2021 en diminution de 8,28 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 10′ 11″ nord, 5° 25′ 15″ est
Altitude Min. 512 m
Max. 1 313 m
Superficie 14,78 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Reilhanette
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Reilhanette
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Reilhanette

Reilhanette est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie modifier

Localisation modifier

Reilhanette est située à 18 km au sud-ouest de Séderon.

  Brantes (Vaucluse)
Montbrun-les-Bains
Montbrun-les-Bains Montbrun-les-Bains  
Savoillan (Vaucluse) N Montbrun-les-Bains
O    Reilhanette    E
S
Savoillan (Vaucluse)
Aurel (Vaucluse)
Aurel (Vaucluse) Montbrun-les-Bains
Aurel (Vaucluse)

Relief et géologie modifier

Sites particuliers[1] :

  • Adret de Vic
  • Col de Trémalaud (803 m)
  • Gros Défens (731 m)
  • la Tune (1213 m)
  • le Grépon (793 m)
  • le Griau (1019 m)
  • Petit Défens (743 m)
  • Ubac du Griau

Géologie modifier

Hydrographie modifier

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • Grand Ravin
  • l'Anary
  • la Gour-des-Heures[2] (source)
  • le Toulourenc
  • Ravin de Brame-Faim
  • Ravin de Briançon
  • Ravin de Combe Ferre
  • Ravin de la Robert
  • Ravin de la Tune
  • Ravin de Vic
  • Ravin du Maigre
  • Ruisseau de Champ d'Angros
  • Ruisseau de Trémalaud
  • Torrent de Fonsagne

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 976 mm, avec 6,8 jours de précipitations en janvier et 4,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Séderon », sur la commune de Séderon à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Reilhanette est une commune rurale (car elle fait partie des communes peu ou très peu denses) au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

La commune est hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), terres arables (5,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine modifier

Quartiers, hameaux et lieux-dits modifier

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Bois du Maigre
  • Briançon
  • Cabane Forestière du Mouflon
  • Champ Augier
  • Chantabri
  • Chanu
  • Combeau
  • Combe Ferre
  • Eyssaux
  • Faysses
  • Fonlongue
  • Forêt Domaniale de la Tune
  • Ginies
  • la Conche
  • la Meynière
  • la Molarde
  • la Retranche
  • le Garon
  • le Jas
  • le Petit Chavoul
  • les Coulanches
  • les Grands Marignons
  • les Marignons
  • les Poiriers
  • Olives
  • Plaine du Gondrin
  • Ray
  • Route Forestière de Bramefan
  • Saint-Pierre
  • Serambone
  • Source Fontegneux
  • Trémalaud
  • Vachonne
  • Vic

Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :

  • l'Aire-d'Essayes est un quartier attesté en 1891. Il avait été précédemment dénommé Lherre d'Essayes (plan cadastral [non daté]).

Logement modifier

Projets d'aménagement modifier

Voies de communication et transports modifier

La commune est desservie par les routes départementales D 72, D 159a et D 542[1].

Risques naturels et technologiques modifier

Risques sismiques modifier

Autres risques modifier

Toponymie modifier

Attestations modifier

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

  • 1300 : Relliana (Valbonnais, I, 56).
  • 1307 : Reyllaniae (Valbonnais, II, 128).
  • 1317 : Reyllania prope montem Brunum (Valbonnais, II, 167).
  • 1362 : Reglannes (compte de R. de Loupy, 66).
  • 1386 : Rillane (choix de documents, 200).
  • 1394 : Relania (archives de la Drôme, E, 3313).
  • 1442 : Relhanie (choix de documents, 283).
  • 1516 : mention du prieuré de la paroisse : prioratus cura de Relianeto (pouillé de Gap).
  • 1606 : mention du prieuré de la paroisse : le prieuré curé de Ralienete (rôle de décimes).
  • XVIIIe siècle : Relianette (inventaire de la chambre des comptes).
  • 1788 : Reillannete (alman. du Dauphiné).
  • 1891 : Reilhanette, commune du canton de Séderon.

Étymologie modifier

Histoire modifier

Du Moyen Âge à la Révolution modifier

La seigneurie[15] :

  • Au point de vue féodal, Reilhanette était une terre (ou seigneurie) de la baronnie de Mévouillon, premièrement possédée par les barons de ce nom.
  • 1332 : possession des Du Puy.
  • 1418 : la terre passe aux Adhémar.
  • 1429 : passe aux Agoult.
  • 1473 : passe (par mariage) aux Justas.
  • 1517 : passe (par héritage) aux Glandevés.
  • 1570 : passe (par mariage) aux Peyre.
  • 1605 : passe (par mariage) aux Rolland, derniers seigneurs.

Au XIIe siècle, l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait le prieuré Saint-Hippolyte et trois églises (dont l'église du château et l'église paroissiale) et percevait les revenus attachés à ces trois églises[16].

1560 : le château est détruit par les troupes royales[réf. nécessaire].

Avant 1790, Reilhanette était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation et du bailliage du Buis.
Elle formait une paroisse du diocèse de Gap dont l'église était dédiée à saint Michel et saint Hippolyte et dont les dîmes appartenaient au curé[15].

De la Révolution à nos jours modifier

En 1790, la commune est comprise dans le canton de Montbrun. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Séderon[15].

Politique et administration modifier

Tendance politique et résultats modifier

Administration municipale modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 Francis Aubert    
2008 2014 Jean-François Pierre PS retraité (fonction publique)
2014 2020 Jean-François Pierre   maire sortant
2020 En cours Martial Bonnefoy[17][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Pour les élections législatives, avant mars 2015, la commune faisait partie du Canton de Séderon ; elle fait désormais partie de la troisième circonscription de la Drôme.

Politique environnementale modifier

La commune dispose d'une station d'épuration des eaux[1].

Finances locales modifier

Jumelages modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[19].

En 2021, la commune comptait 133 habitants[Note 2], en diminution de 8,28 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
384371394462513498463470462
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
471470468448453395371338337
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
322335296235223171159132122
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
105101103114130119144147134
2017 2021 - - - - - - -
144133-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements modifier

Enseignement modifier

Santé modifier

Manifestations culturelles et festivités modifier

  • Fête : le dimanche suivant le [2].

Loisirs modifier

  • Randonnées : GR 91C - GR de Pays Massif du Ventoux[1].

Sports modifier

Médias modifier

Cultes modifier

Économie modifier

Agriculture modifier

En 1992 : céréales, vignes, ovins[2].

La commune est incluse dans la zone de production de plusieurs AOC ou AOP[réf. nécessaire] :

Une possible future IGP Abricot des Baronnies (dossier déposé à l'INAO au printemps 2017, pour une publication attendue en 2020)[réf. nécessaire].

Tourisme modifier

Revenus de la population et fiscalité modifier

Emploi modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Église paroissiale Saint-Michel.
  • Ruines du château[2] (XIIe siècle)[réf. nécessaire].
  • Les « calades » (en cours de réfection depuis une dizaine d’année). Ces calades mènent à l'esplanade du château aménagée en espace scénique et dotée d'une vue exceptionnelle sur les collines de la plaine de Montbrun-Reilhanette et sur les contreforts du mont Ventoux[réf. nécessaire].
  • Église paroissiale Saint-Michel-et-Saint-Hippolyte (XIIe siècle) : sa structure est romane avec une nef en berceau brisé. Sa hauteur au-dessus du maître autel est étonnante pour un édifice de ce type.
En 1599, elle décrite « en fort bon état, bien fermée et garnie de tout ce qui est nécessaire ».
Remaniée sous la Contre-Réforme, elle est dotée de trois autels baroques. Face à l'entrée : l'autel de Saint-Eutrope, patron des « estropiés », présente un reliquaire qui contiendrait un fragment de radius du saint. Il fut - dit-on - d'une grande efficacité et un registre (1698 à 1856) relate de très nombreux miracles[réf. nécessaire].
  • Église (XIXe siècle) : clocher antérieur[2].

Patrimoine culturel modifier

  • Reilhanette est mentionnée dans les livres de Paul-Jacques Bonzon, auteur de la série Les Six Compagnons : le personnage de Tidou est originaire de Reillanette, ancienne orthographe de la commune.

Patrimoine naturel modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique, logotype et devise modifier

Reilhanette possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b c d e et f https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. a b c d e et f Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Reilhanette.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Reilhanette et Séderon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Séderon », sur la commune de Séderon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Séderon », sur la commune de Séderon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 298 (Reilhanette).
  16. Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle, dans L'abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p 225-226.
  17. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Association loi 1901 CESAR (Cabinet d'études pour les Structures Agro-alimentaires Régionales), Demande d'Indication Géographique Protégée - Agneau de Sisteron, Maison Régionale de l'Elevage - Route de la Durance - 04100 Manosque, 100 p. (lire en ligne), p.11-p.12.
  23. CAHIER DES CHARGES DE L’INDICATION GEOGRAPHIQUE PROTEGEE « COTEAUX DES BARONNIES » homologué par l’arrêté du 2 novembre 2011, JORF du 17 novembre 2011, , 6 p., p2.
  24. CAHIER DES CHARGES - IGP - Miel de Provence, 12 p. (lire en ligne), p.8.