Un récit africain est une forme littéraire consistant en la mise dans un ordre arbitraire et spécifique des faits d'une histoire purement Africain. Un récit peut être rapporté sous différents formes à savoir un conte, une fable, un roman ou un épopée[1].

Récits oraux et écrits subsahariens modifier

Le récit oral qui est également un conte oral est le plus vieux forme artistique et littéraire que l'Afrique avait connu. Le récit est souvent transmis par les griots ou les gardiens traditionnels des us et coutumes. Les contes du griots sont important au sein du peuple noir car il rapporte l'histoire passé de leur peuple[2].

Les récits du peuple noir sont des histoires oraux initialement transmis oralement. Le récit Africain est lié à sa culture et sa tradition. La tradition avant les temps modernes est transmise sous forme de conte au génération suivante; c'est la tradition orale[3].

Par la parole, tout est créé selon Jean 1. Donc avant la rédaction de la bible le peuple Africain savait déjà que le créateur qui n'est ni déesse femme ni dieu homme a fait un don précieux à l'humanité qui est la puissance de la parole.

Récit ou conte écrit modifier

Le récit africain (en langue française) est né pendant la colonisation française dans divers pays et surtout à la fin du 20e siècle qu'il a pris son essor avec les indépendances. Ce sont les écrivains Africains comme Amadou Hampate Ba, Léopold Sedar, etc. qui ont contribué à l'évolution de la littérature Africaine par des récits fondés sur l'histoire Africaines . Avant cela l'Afrique est d'abord sujet de récit de voyage et exploration au 19e siècle[4].

Poésie africaine modifier

Références modifier

  1. « le vocabulaire des genres littéraires ( conte, récit) », sur www.assistancescolaire.com
  2. « les contes du griots: les contes des veillées Africaines », sur www.takalirsa.fr
  3. Alexis Ndembele dans Hermès, « parlé comme un conte », sur www.cairn.info, p. 243 à 249
  4. Isabelle surun, « l'exploration de l'Afrique au xixe siècle », sur www.journals.openedition.org, p. 11-19