Queyrières

commune française du département de la Haute-Loire

Queyrières
Queyrières
Panorama général
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Le Puy-en-Velay
Intercommunalité Communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal
Maire
Mandat
Jean-Pierre Sabatier
2020-2026
Code postal 43260
Code commune 43158
Démographie
Population
municipale
354 hab. (2021 en augmentation de 15,31 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 04′ 23″ nord, 4° 05′ 56″ est
Altitude Min. 949 m
Max. 1 436 m
Superficie 13,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Puy-en-Velay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Emblavez-et-Meygal
Législatives Première circonscription
Localisation
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Queyrières
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Queyrières

Queyrières est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie modifier

Commune de moyenne montagne située au milieu du pays des Sucs et au pied du versant occidental du massif du Meygal, Queyrières héberge le mont Ranc (1 256 m d'altitude, dont elle partage les pentes et le sommet avec la commune limitrophe du Pertuis), la Mézère (1 203 m), le mont Chabrier (1 230 m), la roche Girard (1 233 m), le Montivernoux (1 371 m, second sommet de 1 364 m), et le Testavoyre, dont le flanc nord-ouest appartient à la commune et qui en constitue, avec ses 1 436 m d’altitude, le point culminant, et aussi celui du Meygal.

Localisation modifier

 
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Queyrières se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à 21 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à 8 km de Saint-Julien-Chapteuil[2], bureau centralisateur du canton d'Emblavez-et-Meygal dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Saint-Hostien (4,0 km), Le Pertuis (4,1 km), Saint-Julien-Chapteuil (5,1 km), Bessamorel (5,4 km), Saint-Pierre-Eynac (5,8 km), Araules (6,2 km), Montusclat (6,9 km), Saint-Étienne-Lardeyrol (7,6 km).

Communes limitrophes de Queyrières
Le Pertuis Yssingeaux
  Araules
Saint-Julien-Chapteuil Champclause

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 6,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 990 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Pertuis_sapc », sur la commune du Pertuis à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 8,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 918,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Hydrographie modifier

La rivière Sumène prend sa source aux Chalayes, un peu au nord-est de Monedeyres, au pied du mont Chabrier.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Queyrières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[10],[I 2],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,8 %), prairies (40,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 272, alors qu'il était de 265 en 2013 et de 259 en 2008[I 5].

Parmi ces logements, 50,4 % étaient des résidences principales, 38,2 % des résidences secondaires et 11,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,2 % des appartements[I 6].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Queyrières en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (38,2 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81,9 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].

Le logement à Queyrières en 2018.
Typologie Queyrières[I 5] Haute-Loire[I 8] France entière[I 9]
Résidences principales (en %) 50,4 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 38,2 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 11,4 12,4 8,2

Toponymie modifier

Histoire modifier

La singulière butte basaltique, autour de laquelle sont disposées les maisons du bourg de Queyrières, était surmonté dès le XIe siècle par un château, dont il ne subsiste aucun vestige.

Dans le haut Moyen Âge, des ateliers monétaires auraient été établis à Monedeyres, situé alors dans le mandement de Chapteuil, première capitale (capitole) du Velay.
En 1841, Monedeyres fut détaché de la commune de Saint-Julien-Chapteuil et incorporé à celle de Queyrières.

Lors de la Seconde guerre mondiale le Maquis Wodli, regroupant des FTPF auraient caché une partie des évadés de la prison du Puy de la nuit du 1er au 2 octobre 1943.

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune de Queyrières est membre de la communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal[I 10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Julien-Chapteuil. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[13].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 10].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Emblavez-et-Meygal pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 10], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[14].

Liste des maires modifier

 
Mairie de Queyrières
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1953 Jean Julien    
1953 1956 Firmin Chapuis    
1956 1983 Pierre Play    
Mars 1983 décembre 2007, puis adjoint et conseiller municipal jusqu'en 2014 Daniel Decot divers gauche Professeur, principal de collège; président de la Communauté de communes du Meygal de 2000 à 2014. Président du SIVOM du Meygal de 1994 à 2014
2007 2014 Raymonde Meynard   Enseignante
2014 2020 Philippe Piron[15]   Professeur des écoles
2020 En cours Jean-Pierre Sabatier    
Les données manquantes sont à compléter.

La commune englobe, outre le bourg-centre qui lui a donné son nom, les villages et hameaux suivants : Monedeyres (de loin la localité la plus importante en nombre de foyers), le Fournial, la Chaud, Raucoule, les Combes, le Coudert, les Hautes, Raffy, la Varenne, le Bouchit, les Drayes, etc.

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[17].

En 2021, la commune comptait 354 habitants[Note 5], en augmentation de 15,31 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4424425766256976998001 2291 109
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0971 1471 2901 2121 1521 1021 2151 0781 134
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0831 025934793748780686586463
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
404331261212232285311312310
2015 2020 2021 - - - - - -
307347354------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,1 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 162 hommes pour 157 femmes, soit un taux de 50,78 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (49,13 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 11]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,8 
9,7 
75-89 ans
7,0 
18,2 
60-74 ans
17,5 
21,0 
45-59 ans
22,2 
17,6 
30-44 ans
17,0 
10,8 
15-29 ans
15,2 
22,7 
0-14 ans
19,3 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2020 en pourcentage[I 12]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,4 
8,2 
75-89 ans
11,6 
20,2 
60-74 ans
20,2 
21,4 
45-59 ans
20,4 
16,9 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,3 
17,2 
0-14 ans
15,9 

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018, la commune compte 154 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 354 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 480 [I 13] (20 800  dans le département[I 14]).

Emploi modifier

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 15] 4,5 % 9,7 % 6,3 %
Département[I 16] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 17] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 190 personnes, parmi lesquelles on compte 76,3 % d'actifs (70 % ayant un emploi et 6,3 % de chômeurs) et 23,7 % d'inactifs[Note 7],[I 15]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 18]. Elle compte 41 emplois en 2018, contre 34 en 2013 et 44 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 136, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,8 %[I 19].

Sur ces 136 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 28 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 83,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,7 % les transports en commun, 8,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Église Saint-Jean-Baptiste

Église de Queyrières
La chapelle castrale de Queyrières fut remplacée en 1414 par une nouvelle chapelle, placée sous le vocable de saint Dompnin, et construite au pied du château, à peu près à l’emplacement du chevet de l’église actuelle. Dotée de fonts baptismaux, elle évitait aux habitants une partie de leurs déplacements vers l’église paroissiale de Saint-Hostien, distante du village d’environ cinq kilomètres. Après avoir été érigée en paroisse autonome en 1820, Queyrières fit alors construire une église à part entière, dédiée cette fois à Saint-Jean-Baptiste. l’église, se dégradant ensuite progressivement, dut subir en 1887 une importante réfection, qui lui donna son aspect actuel.

« Église » de Monedeyres
Le village de Monedeyres dépendait à l’origine, tant du point de vue administratif qu’ecclésiastique, de Saint-Julien-Chapteuil, mais les habitants, se plaignant de l’éloignement, obtinrent de dépendre d’abord de la paroisse, puis de la commune de Queyrières, respectivement en 1824 et en 1841. Jugeant Queyrières encore trop distante, les habitants, en dépit des réticences de l’évêché à élever le village en paroisse autonome, prirent eux-mêmes l’initiative en 1887 de faire construire une église. Celle-ci, achevée en 1914, ne fut cependant jamais consacrée et ne vit jamais un prêtre y célébrer la moindre messe ; elle fait actuellement office de salle des fêtes.

Personnalités liées à la commune modifier

Bibliographie modifier

Voir aussi modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a et b « Métadonnées de la commune de Queyrières » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Queyrières » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Queyrières - Section LOG T2 » (consulté le ).
  7. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Queyrières - Section LOG T7 » (consulté le ).
  8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Queyrières » (consulté le ).
  11. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Queyrières (43158) », (consulté le ).
  12. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  13. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Queyrières » (consulté le ).
  14. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  15. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Queyrières » (consulté le ).
  16. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  17. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  19. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Queyrières » (consulté le ).
  20. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  21. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. Stephan Georg, « Distance entre Queyrières et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Queyrières et Saint-Julien-Chapteuil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Queyrières », sur villorama.com (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Queyrières et Le Pertuis », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le Pertuis_sapc », sur la commune du Pertuis - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Le Pertuis_sapc », sur la commune du Pertuis - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  14. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  15. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 28 août 2014).
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Liens externes modifier

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