Quevauvillers

commune française du département de la Somme

Quevauvillers
Quevauvillers
Le château
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité Communauté de communes Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Dominique Dussuelle
2020-2026
Code postal 80710
Code commune 80656
Démographie
Gentilé Quevauvillois
Population
municipale
1 102 hab. (2021 en diminution de 1,17 % par rapport à 2015)
Densité 125 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 27″ nord, 2° 05′ 05″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 157 m
Superficie 8,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Somme
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Quevauvillers
Liens
Site web http://www.quevauvillers.fr

Quevauvillers [kəvovile] est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

Quevauvillers est un bourg rural picard situé sur l'ex-route nationale 29 (actuelle RD 1029) et le long de l'autoroute A29 (sans pour autant qu'un échangeur ne desserve directement la commune), au sud-ouest d'Amiens (15 km) entre celle-ci et Poix-de-Picardie (10 km).

En 2019, le bourg est desservi par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés[1].

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 739 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 23 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Quevauvillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,2 %), forêts (37,6 %), zones urbanisées (7,6 %), prairies (4,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Kevalviler (1181) ; Kevaviler (1219) ; Kevalvalviller (1225) ; Equivillaris (1252) ; Chevalviller (12..) ; Quevalviler (1300-1323) ; Kevauviler (1301) ; Kevauviller (1329) ; Kevauville (1337) ; Quevauviller (1432) ; Quevauvillers (1507) ; Equevauviller (1567) ; Quevauvilliers (1638) ; Quouavillers (1657) ; Quevauvillier (1697) ; Quevauvillé (1701) ; Quevemvillers (1758)[14].

Il s'agit d'une formation médiévale dont le premier élément Quevau- représente le mot picard queval « cheval », mot issu du bas latin d'origine gauloise caballus, suivi de l'ancien français vil[l]er, mot issu du bas latin villare « ferme »[15],[16].

Histoire modifier

Antiquité modifier

Le village de Quevauvillers est apparu à l‘époque gallo romaine. Son premier nom fut Equitum villa (résidence des cavaliers), c'était en fait un relais de cavalerie dont la création était rendue nécessaire par l'apparition d'une voie romaine reliant Amiens à Rouen.

Moyen Âge modifier

À l'époque des invasions normandes, le village fut détruit, mais s'en releva.

Époque contemporaine modifier

À la Révolution, le comte de Gomer, seigneur du lieu, connaît la prison. Le curé part en exil, ne voulant en aucune manière prêter serment à la constitution civile du clergé. L’église est transformée en salpêtrière, le mobilier et les ornements vendus[17].

Au XXe siècle existait une briqueterie, dont le site est utilisé en 2017 pour édifier un lotissement d'une quinzaine de pavillons[18].

En 1968, le topographe, flâneur et critique d'architecture anglais, Ian Nairn, décrit le village ainsi[19].

« D’un premier abord (Quevauvillers) donne l’impression de quelques bâtiments épars – parmi lesquels de bons cafés - longeant une route nationale, en l’occurrence la N 29 entre Amiens et Rouen. Mais en face de la mairie se trouve une avenue qui mène, sur trois-cents mètres, au Quevauvillers bis – et à une deuxième mairie, plus ancienne, avec un rez-de-chaussée ouvert en bois comme un marché de beurre anglais. Ses chevrons servent également à séchoir et à support pour tuyaux d’incendie. À côté traînent l’église, le château, un étang et une chèvre attachée, tous attendant que rien ne se passe. Les exigences de la vie moderne sont dissipées, y laissant l’ambiance du lieu suspendue comme un arrêt sur image tiré d’un vieux film ».

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Molliens-Dreuil[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton d'Ailly-sur-Somme.

Intercommunalité modifier

La commune était membre de la communauté de communes du Sud-Ouest Amiénois, créée en 2004.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[21],[22]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [23], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[24].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [25]. Poix-de-Picardie en est le siège.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1836   Joachim Desgroux    
Les données manquantes sont à compléter.
En fonction en 1972 1977 M. Geoffroy[26]    
mars 1977[27] 2008 Guy Debureaux    
mars 2008 En cours
(au 8 octobre 2020)
M. Dominique Dussuelle   Réélu pour le mandat 2020-2026[28],[29],[30]

Équipements et services publics modifier

Eau et déchets modifier

Espaces publics modifier

Postes et communications modifier

Un bureau de poste est installé dans la commune, ouvert uniquement le matin[31].

Le café du village offre un service de point relais pour les colis[32].

Enseignement modifier

La commune compte une école primaire qui scolarise 137 élèves en élémentaire et maternelle à la rentrée 2017-2018[33].

Quevauvillers, Fresnoy-au-Val et Courcelles-sous-Moyencourt sont associées au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[34].

Santé modifier

En 2023, Quevauvillers dispose d'une maison médicale avec 4 médecins généralistes, 2 infirmières , 1 orthophoniste et 1 orthoptiste.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

En 2021, la commune comptait 1 102 habitants[Note 3], en diminution de 1,17 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0631 1501 1701 1201 2481 1981 1881 1921 187
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1451 1461 1689961 0041 0291 024942906
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
912828816612580600604651649
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
6487157839211 0461 0541 0371 0071 075
2014 2019 2021 - - - - - -
1 1251 0851 102------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture modifier

L’Harmonie de Quevauvillers est, en 2019, un ensemble de trente-cinq musiciens amateurs âgés de 14 ans à près de 80 ans, dirigés par Louis Tavernier, et qui fête ses 115 années d'existence[38].

Manifestations culturelles et festivités modifier

Sports modifier

La Jeunesse Sportive de Quevauvillers est l'équipe de football locale. En 2015, l'équipe est montée pour la 1re fois de son histoire en Ligue de Picardie.

Économie modifier

Revenus de la population et fiscalité modifier

Emploi modifier

Entreprises et commerces modifier

De nombreuses entreprises sont implantées dans la commune, tant dans le secteur agricole, que dans le commerce et l'artisanat, ou le secteur tertiaire[39].

Culture locale et patrimoine modifier

 
L'église Notre-Dame.

Lieux et monuments modifier

Plusieurs sites notables sont signalés dans le bourg[40] :

  • Château de Quevauvillers[41] ;
  • Halles de Quevauvillers[42], reconstruites en 1840 et rénovées en 2020[43].
    En 2018, le maire indiquait « L’origine précise de ce bâtiment reste mal connue. C’est en 1840, alors qu’elles étaient entièrement délabrées, que le conseil municipal de l’époque décide de les faire reconstruire. Entre 1850 et le début des années 1900, les locaux sont aménagés pour devenir la mairie. Une grosse horloge installée dans le toit, face à la rue de Sainneville, donne l’heure aux passagers. L’étage est aménagé pour accueillir la société de musique. Quelques menus travaux d’entretien et de réfection sont réalisés entre 1956 et le , date à laquelle un incendie détruit partiellement le bâtiment. Reconstruite à l’identique, les Halles redeviennent un lieu de rencontre festif et culturel dédié aux associations[44] » ;
  • Église Notre-Dame-de-la-Nativité[45], du XVIIIe siècle[46] ;
  • Un tilleul vénérable, qui pourrait être un tilleul de Sully, arbre creux déjà en 1936 et qui, en 2015, a une circonférence de 6,30 m ;
  • Anciens locaux industriels construits en 1868 et 1885 de la manufacture de bretelles, jarretières, et jarretelles fondée en 1868 par Elie Paillart[47] ;
  • Chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours. Construite en 1809, reconstruite en 1877, toute en brique et tuile, elle est située en sortie de village, vers Poix[48].

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Trans80, Hauts-de-France », sur trans80.hautsdefrance.fr.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Quevauvillers et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p.198 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. Stéphane Gendron, Animaux et noms de lieux, , p. 159.
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Genève, Droz, , p. 369.
  17. « Le village de Quevauvillers (80) », Site personnel de M. Dominique Triaud-Richard (consulté le ).
  18. Régis Sinoquet, « Quevauvillers : quinze pavillons vont sortir de terre : Un lotissement est en cours de création tout près de la Maison de santé. Le déboisement de la parcelle a commencé et la voirie va rapidement suivre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. (en) Ian Nairn, Nairn's Paris, Baltimore, Penguin Books, , 220 p. (ASIN B0006BTKFY), p. 187.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  22. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  23. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  24. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  25. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  26. « Rétrospective d’hier à aujourd’hui : Voici le témoignage d’un habitant de Quevauvillers qui est arrivé en 1972 et qui a bien voulu nous décrire les changements qui s'y sont opérés », Quevauvillers, journal d'informations municipales, no 7,‎ , p. 46 (lire en ligne [PDF], consulté le ) « En octobre 1972, le village comptait environ 750 âmes et le maire était Monsieur Geoffroy (...) En 1977 Monsieur Debureaux commença une série de 4 mandats successifs, qui changèrent le visage du village ».
  27. « Abstention, piège Macron? », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Guy Desbureaux, 85 ans, est toujours aux aguets dans « son » village, dont il fut maire pendant 31 ans ».
  28. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 8 avril 2014, p. 18.
  29. « Le maire sortant de Quevauvillers prêt à affronter ses adjoints dans les urnes », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Dominique Dussuelle, actuel maire de Quevauvillers, ne cache pas avoir été surpris par l’annonce de son adjointe Laurence Nougein. Mi-janvier, elle constituait une liste avec plusieurs adjoints et conseillers sortants pour lui faire face ».
  30. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  31. Bureau de poste de la commune
  32. Point relais colis
  33. L'école sur le site du ministère de l'éducation nationale.
  34. « La kermesse », Journal d'information municipal, no 5,‎ , p. 18 (lire en ligne [PDF])
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Benoit Delespierre, « L’Harmonie de Quevauvillers fête ses 115 ans dimanche 15 septembre : Cent quinze musiciens seront réunis dimanche à 15 heures à la salle des fêtes pour les fêter les 115 ans de la l’Harmonie de Quevauvillers. Tout un programme ! », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Héritière des orphéons du 19e siècle – qui formaient les classes populaires à la pratique musicale, les éloignant à la fois du vice et de la lutte des classes –, l’harmonie de Quevauvillers est aujourd’hui une sympathique alchimie entre son ancrage rural historique et les musiciens urbains qui la rejoignent. Elle compte aujourd’hui trente-cinq musiciens âgés de 14 ans à près de 80 ans, dirigés par Louis Tavernier ; « dont près des deux tiers viennent d’autres communes, certaines relativement éloignées : Camon, Amiens, Revelles, Aumale ».
  39. économie dans la commune
  40. « Histoire et patrimoine », sur quevauvillers.fr, (consulté le ).
  41. « Château (Vieux et Grand) », notice no PA80000062, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Entrée du château et halle de Quevauvillers, d'après nature, 1877 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  43. Régis Sinoquet, « La rénovation des halles de Quevauvillers se poursuit : Près de 130 000 € sont injectés dans le vaste chantier de rénovation des halles du 19e siècle », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. « Des fonds pour la restauration des halles de Quevauvillers : Il n’y aura pas de loto mais une souscription publique avec la Fondation du patrimoine pour restaurer les halles municipales. Une convention a été signée à cet effet », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Quevauvillers, d'après nature, 4 juin 1877 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  46. Claude Deroletz - Clochers de France, « Quevauvillers » (consulté le ).
  47. « Usine de tissus élastiques dite usine textile Paillart, puis Cattaert, puis A. Favory et Cie, puis A. Favory et Thuasne, puis Ets Deneux Frères », notice no IA00076556, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 141 (ASIN B000WR15W8).

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier