Quend

commune française du département de la Somme

Quend
Quend
La mairie.
Blason de Quend
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CC Ponthieu-Marquenterre
Maire
Mandat
Marc Volant
2020-2026
Code postal 80120
Code commune 80649
Démographie
Gentilé Quennois
Population
municipale
1 269 hab. (2021 en diminution de 8,77 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 19′ 02″ nord, 1° 38′ 14″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 29 m
Superficie 37,78 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Rue
Législatives 3e circonscription de la Somme
Localisation
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Quend
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Quend
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Quend
Liens
Site web https://www.villedequend.fr

Quend (IPA : /kɛ̃/) est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France. En picard, elle se nomme Tchin.

Depuis , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

La commune fait partie des villages labellisés Pays d'art et d'histoire qui œuvrent à mettre en avant leur patrimoine[1],[2].

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

 
La plage de Quend.

Nature du sol et du sous-sol modifier

Le sol de la commune est composé pour une large part d'argile blanche mêlée au sable. On rencontre la tourbe dans les marais. On ne rencontre nulle part de craie si fréquente dans la région.

Au XVe siècle, le territoire était encore constitué de parties submergées. Les dépôts maritimes exhaussèrent le sol et l'Authie se retira vers le nord, bien loin de son lit primitif. De nombreuses digues sont élevées qui permettent alors de lutter contre l'envahissement des marées. La craie n'est présente nulle part[3].

Seul émerge du pays entièrement plat un îlot de sable roux et galets ronds qui culmine à 10 m : c'est la foraine, de « foras », dehors.

Relief, paysage, végétation modifier

Le relief de la commune est celui d'une plaine côtière dont l'altitude s'élève à une dizaine de mètres. Le littoral est composé de 15 km de plage de sable fin.

Le cordon dunaire a été planté d'oyat et de pin noir d'Autriche pour permettre aux dunes de résister aux assauts du vent.

Hydrographie modifier

La commune est bordée au nord par l'Authie. Un réseau de canaux draine les terres agricoles.

Au XIXe siècle, des fièvres de type paludéen atteignent encore un dixième de la population, à cause de l'humidité ambiante. Le creusement de canaux de dessèchement a permis d'assainir le territoire communal[3].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 791 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cayeux-sur-Mer à 18 km à vol d'oiseau[6], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 761,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Risques naturels modifier

La commune présente un risque de submersion marine[10].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Quend est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[17],[18].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,2 %), prairies (28,3 %), forêts (11,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,8 %), zones urbanisées (4,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), zones humides intérieures (2,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1 %), zones humides côtières (0,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat modifier

Le territoire communal est très étendu et comporte de nombreux hameaux (situation en 1899)[3], notamment :

  • le Vieux-Quend : certainement le berceau de l'agglomération, emplacement probable de Quentovic,
  • le Marais, à 1 km du chef-lieu,
  • le Fort Mahon, près de la baie d'Authie,
  • le Royon : tire son nom des digues qui y aboutissent : les royons,
  • Routhiauville, sur l'ancien lit de l'Authie, la mer y battait encore au XVe siècle,
  • Monchaux (Monceaux) : sur le bord des dunes, siège d'un ancien échevinage,
  • le Mureau (autrefois Murel, muraille), bâti près de la foraine,
  • Froise, dont le nom viendrait de Phrudis, ancien nom du fleuve Somme[20],
  • Herre, sur la route de Rue,
  • le Bout des Crocs, à la limite des crocs (dunes), d'où son nom,
  • Pont-à-Cailloux, ainsi nommé à cause du gué qui s'y trouvait avant la construction du pont,
  • les Mollières, maisons éparses dans les dernières renclôtures (polders),
  • le Pontgerville, terre seigneuriale d'où l'académicien Sanson de Pongerville tire son nom,
  • le Donvoix, emplacement d'anciens établissements romains,
  • le Château Neuf, tire son nom de M. de Châteauneuf qui en était propriétaire en 1740,
  • Château de la Motte, sur les ruines d'un château féodal,
  • la Grande Retz, ancienne maison seigneuriale du fief de la Retz...

Voies de communication et transports modifier

La commune est desservie par une entrée-sortie de l'autoroute A 16 Paris-Calais (sortie 24 à Forest-Montiers).

Transports en commun routiers : la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[21].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Quentovic (sans date), Quent en 1210, Quend en 1233[22].

Histoire modifier

Antiquité modifier

Poteries, médailles, pierres indiquent une présence romaine. Des travaux d'endiguement sont probablement réalisés, différenciant alors les baies de Somme et d'Authie[3].

Moyen Âge modifier

En 858, les Vikings, venus par la baie d'Authie, ne laissèrent que des ruines[3].

La commune du Marquenterre est créée par une charte communale de 1190[23]. Cette charte est accordée par Guillaume III, comte de Ponthieu.

Marquenterre signifierait mares kienterre, la mer qui rentre dans la terre[24].

Époque moderne modifier

En 1515, construction de nouvelles digues pour se protéger des assauts de la mer[3].

En 1640, Quend-le-Jeune est la résidence du maïeur du Marquenterre. On y compte huit échevins et neuf bourgeois[3].

Les renclôtures attirent les convoitises et cela entraîne des procès :

  • Procès (1699, 1717), avec le comte de Mailly, seigneur de la Motte et des dunes, qui réclame les mollières cédées à ses créateurs,
  • avec les religieux de Saint-Valery, propriétaires des mollières depuis 1190,
  • avec le comte de Boullainvillers,
  • avec le Guerrier de Lormoy,
  • avec le comte d'Artois...

La Révolution mit un terme à ces procès[3].

Époque contemporaine modifier

Quend est issu de la commune du Marquenterre dissoute en 1791. Cette dissolution donna aussi naissance à la commune de Saint-Quentin-en-Tourmont.

Le 23 germinal an IX (), deux compagnies sont créées pour lutter contre les vols et brigandages mais aussi se porter à la côte pour parer à un éventuel débarquement anglais. Deux batteries sont élevées en haut des dunes[3].

En 1815 et 1870, les Prussiens paraissent dans la commune mais seulement après les hostilités[3].

De 1872 à 1886, la commune perd plus de 200 habitants à la suite de la mise en herbages des fermes du Châteauneuf et du Trou-à-Mouches[3].

En 1923, une partie de la commune est soustraite pour créer la nouvelle commune de Fort-Mahon-Plage.

Quend-Plage a été aménagé en station balnéaire à la fin du XIXe siècle. D'importantes destructions sont subies pendant la Seconde Guerre mondiale. Une campagne de reconstruction est entreprise dans les années suivantes, en donnant la priorité à la construction de vastes campings[25].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
1793   Pierre-Crépin Duvauchelle    
1795   Jehan Aniquet    
1797   Louis Manier    
1800   Louis Manier    
1800 1801 M. Lefèvre Lahouplière    
1801 1804 M. Houbron    
1804 1810 Elluin Barbier    
1810 1816 Honoré Choquart    
1818 1830 Jean-François Harlé    
1830 1835 Charles Lefèvre de la Houplière    
1835 1844 Louis Manier    
1844 1848 Augustin-Edouard Elluin    
1848 1861 Charles Maillard    
1861 1867 Gaspard Rivet    
1867 1870 Jules Lefèvre de la Houplière    
1870 1876 Charles de la Houplière    
1876 1884 Alphonse de la Houplière    
1884 1888 Édouard Elluin    
1888 1902 Siméon Cazier    
1902 1904 Édouard Maillet    
1904 1919 Hilaire Volant    
1919 1929 Louis Pierrain    
1929 1930 Alfred Poupart    
1930 1941 Basile Capet    
1941 1944 Marcel Vasseur    
1944 1945 Hilaire Volant    
1945 1947 Fernand Bailleul    
1947 1965 Hilaire Volant    
1965 1967 Maurice Roussel    
1967 1983 Léon Capet    
1983 2001 Daniel Boudeville    
mars 2001 En cours
(au 8 octobre 2020)
Marc Volant   Agriculteur
Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28],[29]

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 1 269 habitants[Note 2], en diminution de 8,77 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Le maximum de la population a été atteint en 1872 avec 1 858 habitants.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6001 3201 5091 7851 6801 7461 7471 7931 712
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7451 8321 8481 8581 8271 7031 6481 6761 714
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6791 7251 8241 8391 2911 2311 4521 2331 352
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 3531 3451 3151 2431 2091 2051 3781 3761 381
2015 2020 2021 - - - - - -
1 3911 2721 269------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 40,6 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 681 hommes pour 674 femmes, soit un taux de 50,26 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,51 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,9 
11,3 
75-89 ans
11,2 
28,0 
60-74 ans
28,0 
19,9 
45-59 ans
20,5 
13,8 
30-44 ans
14,1 
12,1 
15-29 ans
10,1 
14,2 
0-14 ans
14,2 
Pyramide des âges du département de la Somme en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
6,4 
75-89 ans
9,2 
16,9 
60-74 ans
17,8 
19,9 
45-59 ans
19,1 
18,3 
30-44 ans
17,5 
19,4 
15-29 ans
18,1 
18,4 
0-14 ans
16,4 

Enseignement modifier

Monchaux et Quend-Plage ont possédé chacun leur école qui a fermé. La commune dispose d'une école primaire (maternelle et élémentaire)[36]. Le transport scolaire est assuré vers l'école de Quend-ville et le collège de Rue. La compétence scolaire est gérée par la communauté de communes.

Manifestations locales modifier

Le festival du film grolandais s'est tenu tous les ans de 2005 à 2009 à Quend-Plage-les-Pins[37], mais également à partir de 2007 le festival off, appelé le Off/Short, la face B du festival du film grolandais.

Économie modifier

Activités économiques et de services modifier

C'est le tourisme balnéaire qui constitue l'activité principale de la commune. Outre les activités de plage et de navigation, la randonnée, le char à voile, la pêche, la chasse participent au dynamisme économique avec les commerces de proximité, l'hôtellerie-restauration etc.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • La plage de cette commune, ainsi qu'une partie de celle de la commune voisine de Fort-Mahon-Plage, constituent la Réserve Authie-Somme (protection de la faune, la flore, l'environnement).
  • Le Pax : salle mythique du festival de Quend.
  • Église Saint-Vaast de Quend ; dans le vieux bourg de Quend, bâtie sur l'ancien îlot d'époque romaine. En 1797, elle servit de point de triangulation pour établir la carte de France. Son clocher, bien que limité à 35 mètres de haut, se voit de très loin.
  • Église Notre-Dame-des-Pins à Quend-Plage.
  • Chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours à Monchaux.
  • Oratoire à Routhiauville.
  • Oratoire Notre-Dame-de-Lourdes, en forme de guérite, à Quend-Ville.
  • Vieille chapelle sur la route de Rue à Berck, déclassée en remise pour matériel[38].

Héraldique modifier

Les armes de la commune ont été adoptées le 25 septembre 1970. Elles s'inspirent du scel aux causes (sceau aux jugements) de la « commune de Marquenterre », à laquelle le comte de Ponthieu, Guillaume II, octroya une charte de libertés communales aux habitants[39].

Blasonnement :

  • Parti d'or et de sinople, à deux poissons nageant l'un au-dessus de l'autre, de l'un en l'autre.[40]

Ornement extérieur :

  • Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze. Citation à l'ordre du régiment du 11 novembre 1948 : « courageuse commune, presque entièrement détruite au cours de la guerre 1939-1945, s'est remise avec foi et ardeur au travail[40]. »

Personnalités liées à la commune modifier

  • Pierre Moguez (1913-1982), résistant français, Compagnon de la Libération, est décédé au hameau de Monchaux. Il est inhumé dans la commune.
  • Roger Noyon (1934-2019), peintre aquarelliste, ancien instituteur de l'école de Monchaux-les-Quend ; une salle porte son nom au rez-de-chaussée du cinéma de Quend-Plage[41].

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • René Boyenval, René Debrie et René Vaillant, Répertoire des noms de famille de la Somme en 1849, éditions Éklitra, Amiens, 1972, 232 pages.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Création du Pays d'Art et d'Histoire Ponthieu-Baie de Somme » (consulté le ).
  2. Jade Desmaret, « 48 communes du Ponthieu et de la baie de Somme labellisées «Pays d’art et d’histoire» », Courrier picard,‎ (lire en ligne)
  3. a b c d e f g h i j et k Notice historique et géographique réalisée par l'instituteur M. Dufételle, vers 1899, Archives départementales, Amiens.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Quend et Cayeux-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cayeux-sur-mer » (commune de Cayeux-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Cayeux-sur-mer » (commune de Cayeux-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Dossier départemental des risques majeurs - Préfecture de la Somme » [PDF], (consulté le ), p. 13/85.
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  17. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. François-César Louandre, Histoire d'Abbeville et du comté de Ponthieu jusqu'en 1789, tome 1, Le livre d'Histoire, Paris, 1998, p. 6.
  21. « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
  22. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 190 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  23. Frédéric Zégierman, Le Guide des pays de France : Nord, Paris, Fayard, 1999, pages 599 à 600.
  24. Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 3 mars 2013, p. 2 et 3.
  25. « Quend Reconstruction d'une station balnéaire picarde », sur eterritoire.fr, .
  26. Tableau affiché à la mairie: « Les maires de Quend », sur francegenweb.org (consulté le ).
  27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 14 avril 2014, p. 12.
  28. « Quend : bilan, fin de mandat... et perspectives de campagne pour Marc Volant, maire sortant : Marc Volant candidat à un quatrième mandat afin notamment de finaliser les grands projets de Quend-Plage », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Quend (80649) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Somme (80) », (consulté le ).
  36. « L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  37. « Festival de Quend du Film Grolandais » (consulté le ).
  38. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, F Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 22.
  39. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  40. a et b Jean Estienne et Mireille Louis, Armorial du Département et des Communes de la Somme, Abbeville, F. Paillart, , p.63.
  41. « Roger Noyon, l'artiste-peintre de Quend, s'est éteint », Courrier picard,‎ , p. 15 (lire en ligne).