Quand la mer se retire
Cet article est une ébauche concernant la littérature française.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
| Quand la mer se retire | |
| Auteur | Armand Lanoux |
|---|---|
| Pays | France |
| Genre | roman |
| Éditeur | Julliard |
| Date de parution | |
| Nombre de pages | 293 |
modifier  |
|
Quand la mer se retire est un roman d'Armand Lanoux publié en aux éditions Julliard et ayant obtenu le prix Goncourt la même année.
Historique modifier
Quand la mer se retire constitue le dernier volet d'une trilogie thématique informelle – intitulée Margot l'Enragée –, avec Le Commandant Watrin (prix Interallié en 1956) et Le Rendez-vous de Bruges (paru en 1958), constituant « une mise en procès de la guerre »[1].
Le roman reçoit, mi-, le prix Goncourt, à égalité de voix avec Le Procès-verbal de Jean-Marie Le Clézio, mais avec la voix du président du jury comptant cependant double[2].
Résumé modifier
Abel Leclerc, un Canadien qui a participé au Débarquement de Normandie le , y revient en pour tenter de retrouver les lieux où il a combattu, en particulier l'un d'eux qu'il ne retrouve finalement que par l'effet d'une circonstance fortuite. Il est accompagné de la fiancée, veuve, d'un camarade mort dans ces combats. Le roman alterne le récit de cette quête, dans un Cotentin de début d'été, avec au fil des lieux visités des analepses des combats meurtriers d'alors.
Éditions modifier
- Quand la mer se retire, éditions Julliard, Paris, 1963.
Notes et références modifier
- Pierre-Henri Simon, « Quand la mer se retire, d'Armand Lanoux ; La Chatte rouge, de Jean-Pierre Chabrol ; Le Grand Meaulnes d'Alain Fournier, de Fernand Desonay », Le Monde, 4 septembre 1963.
- Du côté de chez Drouant : Le Goncourt de 1962 à 1978 émission de Pierre Assouline sur France Culture le 17 août 2013.
