Puymirol

commune française du département de Lot-et-Garonne

Puymirol
Puymirol
La mairie.
Blason de Puymirol
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Agglomération d'Agen
Maire
Mandat
Bernard Durruty
2023-2026
Code postal 47270
Code commune 47217
Démographie
Gentilé Puymirolais
Population
municipale
905 hab. (2021 en diminution de 3,52 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 11′ 16″ nord, 0° 47′ 54″ est
Altitude 144 m
Min. 57 m
Max. 191 m
Superficie 19,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Est agenais
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Puymirol
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Puymirol
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Voir sur la carte topographique de Lot-et-Garonne
Puymirol
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Puymirol
Liens
Site web mairie-puymirol.fr

Puymirol est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Puymirolais.

Géographie modifier

Localisation modifier

Ancienne bastide située dans l'aire d'attraction d'Agen, sur la Séoune. La commune est limitrophe du département de Tarn-et-Garonne.

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont La Sauvetat-de-Savères, Perville, Saint-Caprais-de-Lerm, Saint-Martin-de-Beauville, Saint-Pierre-de-Clairac, Saint-Romain-le-Noble, Saint-Urcisse et Tayrac.

Hydrographie modifier

La Séoune, le Ruisseau de Combe d'Auvergne et le Ruisseau de Montanaud sont les principaux cours d'eau traversant la commune.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 802 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Laroque-Timbaut à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 821,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Puymirol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (61,2 %), terres arables (31,4 %), prairies (4,2 %), forêts (2 %), zones urbanisées (1,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Puymirol est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Séoune, le Ruisseau de Gandaille et la Petite Séoune. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2007, 2009 et 2021[17],[15].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[18]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[19].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Puymirol.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque technologique modifier

La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Golfech, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 4]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 5],[22],[23].

Toponymie modifier

Histoire modifier

Moyen-Âge modifier

Assise sur un plateau escarpé à 153 mètres d'altitude, la ville de Puymirol est une ancienne bastide du treizième créée par Raymond VII, comte de Toulouse, sur un terrain cédé par Pierre de Reims, évêque d'Agen. La date de 1246 est donnée comme celle de la fondation de cette place réputée imprenable.

Cependant, les mots agrandissement, transformation et aménagement sembleraient plus équitables parce qu'un centre de population s'y trouvait déjà, près d'une église dédiée à saint Seurin. Ce bourg primitif devait avoir une origine ancienne puisque ses foires sont citées dans un acte de l'année 1100. Connu sous différents noms, Puymirol, appelé Podium ad Mirandum à la fin de l'Antiquité (le mont d'où l'on voit), est rebaptisé Grand Castel, ou Grande Castellum par Raymond VII, celui-ci voulant faire du pech, une place stratégique, un poste avancé à la limite du Toulousain et de l'Agenais, afin de garder un certain contrôle des terres que lui avait laissé le traité de Paris de 1229.

Néanmoins, le nom de Grand Castel ne s'impose pas durablement, et l'appellation plus ancienne de Puymirol ressurgit. Une église nouvelle, construite en même temps que la bastide, fut placée sous le vocable de Notre-Dame-de-l'Assomption, dont la matrice était encore au XIIIe siècle l'église préexistante de Saint-Seurin.

La fondation de Puymirol/Grand Castel par Raymond VII, ne peut, comme l'accuse sa dénomination, être dissociée d'un château, d'un castel dès son origine. Établi par le comte de Toulouse, il organise et définit la fonction de la ville. Première née d'un phénomène de construction des bastides en Agenais, Puymirol se présente sous un jour singulier : ville médiévale aux allures de bastides, aux fonctions originellement militaires qui la rapprocherait alors d'un bourg castral. Si Raymond VII choisit pour cette nouvelle colonie le nom Grand Castel, il entend bien donner au lieu une dimension militaire et imposante. C'est en cela que Puymirol se distingue des bastides agenaises érigées dans la seconde moitié du XIIIe siècle, une création motivée par des critères qui lui sont propres.

En 1286, Édouard Ier, roi d'Angleterre, octroya de nouvelles coutumes aux habitants de la cité. Ces privilèges étaient considérables car, pendant les alternatives d'occupation anglaise ou française, chaque parti avait intérêt à renchérir sur les faveurs et concessions pour s'assurer le concours et l'obéissance des habitants d'une place aussi importante. Toutes les villes de l'Agenais ont été assiégées, prises et reprises bien des fois depuis la guerre des Albigeois jusqu'à celles de la Fronde. Cependant, Puymirol eut à subir moins d'assauts que la plupart des autres, sans doute parce qu'elle semblait inexpugnable. Elle fut assiégée sans succès, en 1324, par les troupes françaises ; elle était alors défendue par l'un des meilleurs capitaines du parti anglais, Amanieu du Fossat, seigneur de Madaillan.

Cette ville représente le type parfait des cités médiévales. L'enceinte qui suivait le contour du plateau avait une longueur de 790 mètres sur une largeur de 90 à 250 mètres. Quatre portes d'inégales dimensions étaient percées dans cette enceinte : la porte de Saint-Seurin au sud, la porte de la Citadelle à l'est, la porte de la Rause au nord et la porte de la Comtale à l'ouest, elles représentent de nos jours des rues permettant d'accéder aux remparts. Puymirol a, dans le sens de sa longueur, plusieurs rues qui sont coupées par d'autres perpendiculaires et la place des Cornières est presque au centre. Trois puits, régulièrement espacés dans la rue centrale, servaient à approvisionner la population.

En 1337, la ville et le château de Puymirol sont assiégés par Étienne Le Galois de la Baume, grand-maître des arbalétriers commandant les troupes françaises. La capitulation se fait en date du . Ce siège marque le début des hostilités de la Guerre de Cent-Ans "sur le terrain" entre les rois de France et d'Angleterre.

Temps modernes modifier

Pendant les guerres du XVIe siècle, Puymirol, attaquée par les protestants en novembre 1569, fut défendue victorieusement par François de Montpezat. Mais, en 1574, les protestants réussirent à l'occuper, peut-être par trahison, et s'y maintinrent jusqu'à l'avènement d'Henri IV. Ce prince, alors qu'il guerroyait en Guyenne, avait fait de Puymirol une des places de sûreté à laquelle il semblait avoir tenu tout particulièrement. Henri IV apporte également de nouvelles fortifications, plus robustes, au château de Puymirol. Il subsiste de nos jours la tour Fica(r)t sur la pointe sud-est du rempart.

Au XVIe siècle, l'église Saint-Seurin, sise hors des murs, et l'église urbaine Notre-Dame furent détruites par les protestants qui employèrent les matériaux aux fortifications. La première n'a jamais été relevée. De la deuxième, le beau porche et le clocher furent seuls épargnés.

Héraldique modifier

  Blason
D'or au mont de gueules posé en abîme, accosté de deux arbres de sinople[24].
Détails
  Armes parlantes (Puymirol : puy ⇒ mont).
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1966 juin 1995 Michel Fauré DVD puis RPR Conseiller général (1970-1994)
juin 1995 mars 2001 André Cabrol    
mars 2001 janvier 2023 (démission) Jean-Louis Coureau PS-DVG Fonctionnaire
Président de la Communauté de Communes
mars 2023 En cours Bernard Durruty    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 905 habitants[Note 6], en diminution de 3,52 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4 6471 3321 5761 6221 5941 6131 6351 6021 601
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5501 4821 5081 4871 4301 3871 3131 2191 140
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0621 0129448127887118287841 108
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
820758742794777864920923965
2015 2020 2021 - - - - - -
938913905------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Culture et festivités modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine naturel modifier

Le coteau de Combe-Galdou est un site naturel remarquable géré par le conservatoire d'espaces naturels d'Aquitaine[29]. Ce site abrite une grande diversité d'orchidées sauvages ainsi que des espèces rares et protégées de papillons de jour comme le Damier de la succise ou encore l'Azuré du serpolet, inventorié en 2009 et dont il s'agit ici d'une des plus importantes populations connues en Lot-et-Garonne.

Traditions modifier

 
L'église Notre-Dame du Grand-Castel et les bâtiments de la rue Royale et de la place Maréchal-Leclerc.
  • L'église Notre-Dame du Grand-Castel actuelle de Puymirol, qui fut rebâtie au XVIIe siècle, sous la direction de l'architecte La Barberette, est une véritable nécropole. Sous ses dalles sont couchés un très grand nombre d'anciens bourgeois de la ville. Pour la période de 1701 à 1781, on y a relevé près de quatre cents sépultures. D'une façon générale, les tombes sont alignées en bordure entre les murs et le chemin de pierre qui les longe vers le grand axe de la nef. En affirmant le droit de banc, on achetait le droit de sépulture sous le même banc. En principe, les fidèles investis d'une fonction étaient enterrés sous le banc réservé à leur charge, les juges sous le banc de la justice, devant le balustre, côté évangile, les consuls sous le banc consulaire, à la hauteur du précédent, côté épître, les curés dans les chœurs, les vicaires à la sacristie, les régents sous la chaire, les notaires en face, etc.
  • Église Saint-Julien de Puymirol.
  • Église Saint-Pierre-ès-Liens de Fraysses.

Sous l'Ancien Régime, la halle au blé de Puymirol était l'une des plus importantes de Guyenne. Les transactions y atteignaient un chiffre d'autant plus élevé que les négociants de la juridiction apportaient d'énormes quantités de grains à destination des colonies. Embarquées soit à Lafox, soit à Laspeyre, ces denrées descendaient la Garonne jusqu'à Bordeaux où elles empruntaient la voie maritime. Le marché aux céréales était régulièrement tenu le mardi et le vendredi de chaque semaine et le greffier communal était chargé d'enregistrer les cours sur le fourleau ou livre des mercuriales. Ces documents soigneusement conservés permettent de constater au jour le jour, pendant trois siècles, les variations du prix du froment, du millet ou des fèves. Parfois cependant on trouve la mention suivante: "…marché nul à cause des foires du Gravier, à Agen" ou encore "Le marché n'a pas été tenu parce qu'il coïncidait avec la fête de Notre-Dame de septembre".

La mention suivante qui figure à la date de 1752 ("Point de marché par suite de la feste de Crocotaro dans la présente ville") s'explique par la procession instituée après la terrible épidémie de peste qui ravagea Puymirol en 1363. En partant de l'église Notre-Dame de Grand-Castel, on portait le saint sacrement à travers les rues de la ville puis autour des cornières et on allait jusqu'à la citadelle des prisons. Cette cérémonie religieuse s'est déroulée pendant plusieurs siècles, chaque année, le troisième vendredi de mars, en exécution des vœux des aïeux puymirolais: "Si les gens bien pensants parviennent par leurs prières à conjurer le fléau, une procession annuelle sera faite en mémoire de cette catastrophe et de la délivrance."

Des remparts de Puymirol, construits (ou restaurés) en 1283 par le gendre de Raymond VII, Alphonse de Poitiers et démolis sous Louis XIV, il subsiste quelques fractions appliquées, çà et là, dans le vide des rochers. De la citadelle, élevée à l'est pour défendre le point le plus accessible, il n'y a plus que l'emplacement d'où l'on découvre une vue superbe. Dans la ville, un certain nombre de maisons qui ont des arcatures en cintre brisé, remontant peut-être au XIIIe siècle, voisinent avec d'autres, fort belles, des XVe, XVIe et XVIIe siècles.

Guerre 39/45 modifier

 
A la mémoire du résistant Puymirolais.

Place du forail, stèle à la mémoire d'Armand Casse, Résistant, membre du Corps Franc Pommiès assassiné par les nazis à Caudecoste. Un groupe de résistants, dont Parat, greffier de justice à l'époque, était en liaison avec celui de Saint-Pierre-de-Clairac, village voisin et lieu d'un massacre perpétré par les nazis l'après-midi du [30].

Personnalités liées à la commune modifier

Divers modifier

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Pierre Simon, Puymirol et la naissance des bastides en agenais, vol. 134, Revue de l’Agenais, , p. 449-468 ;
  • H-Émile Rébouis, Coutumes de Puymirol en Agenais, Paris, Larose et Forcel, ( lire en ligne );
  • Ernest Lafon, Une villa Gallo-Romaine, Cap del Rat, à Puymirol, vol. 49, Revue de l’Agenais, , p. 379-387 ;
  • Ernest Lafont, Les budgets consulaires de Puymirol au XVIIIe siècle, p. 88-108, Revue de l'Agenais, 1936, tome 63 ( lire en ligne )

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  5. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Puymirol et Laroque-Timbaut », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Laroque-timbaut » (commune de Laroque-Timbaut) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Laroque-timbaut » (commune de Laroque-Timbaut) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Puymirol », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Puymirol », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Golfech - plaquette de présentation. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur edf.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  24. Cercle Héraldique, Généalogique, Historique du 47
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Le site du CEN Aquitaine
  30. site du Collectif des Orphelins de Saint Pierre de Clairac
  31. lettres et arts (Agen) Auteur du texte Académie des sciences et lettres et arts (Agen) Auteur du texte Académie des sciences, « Revue de l'Agenais et des anciennes provinces du Sud-Ouest : historique, littéraire, scientifique & artistique / publiée à Agen sous la direction de M. Fernand Lamy,... », sur Gallica, (consulté le ).