Puy-Saint-Vincent

commune française du département des Hautes-Alpes

Puy-Saint-Vincent
Puy-Saint-Vincent
La station de ski à 1800 m.
Blason de Puy-Saint-Vincent
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Hautes-Alpes
Arrondissement Briançon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays des Écrins
Maire
Mandat
Marcel Chaud
2020-2026
Code postal 05290
Code commune 05110
Démographie
Gentilé traversouire
Population
municipale
280 hab. (2021 en diminution de 1,06 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 49′ 51″ nord, 6° 29′ 16″ est
Altitude Min. 1 155 m
Max. 3 303 m
Superficie 22,98 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de L'Argentière-la-Bessée
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Puy-Saint-Vincent
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Puy-Saint-Vincent
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Puy-Saint-Vincent
Liens
Site web mairie-puy-saint-vincent.fr

Puy Saint Vincent
Vue aérienne de la station.
Vue sur la station à 1 600 m.
Administration
Pays France
Subdivision administrative Provence-Alpes-Côte d'Azur
Localité Puy-Saint-Vincent
Site web www.paysdesecrins.com
Géographie
Coordonnées 44° 49′ 51″ nord, 6° 29′ 16″ est
Massif Massif des Écrins
Altitude maximum 2700 m
Altitude minimum 1400 m
Ski alpin
Remontées
Nombre de remontées 12
Téléphériques 0
Funitels et funiculaires 0
Télécabines 0
Télésièges 7
Téléskis 5
Pistes
Nombre de pistes 35
Noires 3
Rouges 11
Bleues 17
Vertes 4
Total des pistes 75 km
Installations
Nouvelles glisses
1
Ski de fond
Total des pistes 25 km

Puy-Saint-Vincent est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie modifier

Localisation modifier

Puy-Saint-Vincent est un village dominant la vallée de Vallouise, aux portes du parc national des Écrins.

  Vallouise  
N Les Vigneaux
O    Puy-Saint-Vincent    E
S
L'Argentière-la-Bessée

Géologie et relief modifier

Puy-Saint-Vincent est située à environ 1 400 mètres d'altitude. Il s'agit de la seule commune de la vallée située en hauteur à l'ubac.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 937 mm, avec 7,7 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pelvoux », sur la commune de Vallouise-Pelvoux à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 8,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 928,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 36,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,8 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports modifier

À proximité de Briançon (à une vingtaine de minutes), et proche de la gare de L'Argentière-la-Bessée à une dixaine de minutes.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Puy-Saint-Vincent est une commune rurale[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Puy-Saint-Vincent est constituée principalement de trois hameaux étirés et proches, dont Narreyroux. Ce hameau est entouré par la Pendine, la pointe des Neyzets et la pointe de l'Aiglière. Ce vallon est resté un peu à l'écart du développement de Puy-Saint-Vincent.

La station de ski de Puy-Saint-Vincent est construite sur trois niveaux. À 1 400 mètres d'altitude, en bordure du village, la partie basse ressemble à une station familiale. Un télésiège débrayable à six places permet d'accéder aux niveaux supérieurs de la station. À 1 600 mètres se trouve la partie principale de la station, avec de nombreuses résidences, de nombreux commerces et le front de neige. De là partent plusieurs télésièges permettant d'accéder à l'ensemble du domaine. Dernièrement un troisième niveau s'est construit à 1 800 mètres, constitué principalement de résidences. Le sommet de la station, la Pendine, culmine à 2 700 mètres.

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (25,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,2 %), zones urbanisées (4 %), prairies (4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement modifier

Projets d'aménagements modifier

Toponymie modifier

 
Vue globale de la station de Puy Saint Vincent depuis la Casse à Vallouise.

Le nom de la localité est attesté sous sa forme latine Podium en 1380, puis avec plus de précisions avec Podium Sanctii Vicentii en 1472[14].

Comme pour tous les autres Puys de la région et du département.

Auparavant, le village se nommait Puy-Saint-Romain, du nom de la première chapelle du village (article Saint Romain). Au XVe siècle, il devient Puy-Saint-Vincent en l’honneur de Vincent Ferrier, frère dominicain, venu combattre l’hérésie vaudoise dans la vallée de la Vallouise. Ayant réussi sa mission, les habitants l’auraient remercié en renommant le village en son nom (la chapelle Saint-Vincent, antérieure, était dédiée à saint Vincent de Saragosse et non à saint Vincent Ferrier).

Puei Sant Vincent en occitan.

Histoire modifier

 
Hameaux de Narreyroux avec vue sur la Tête des Lauzières en face.

1968 marque la création de la station de sports d’hiver au hameau des Prés (station - village 1 400 m). En 1974 est construite la station à 1 600 m et de nouvelles remontées mécaniques. Aujourd'hui la commune compte 33 pistes de ski alpin et 75 kilomètres de pistes.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Administration municipale modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Clément Authier DVG  
mars 2001 mars 2014 Marcel Chaud    
avril 2014 juillet 2020 Michel Engilberge[15]   Retraité des artisans, commerçants et chefs d'entreprise
juillet 2020 En cours Michel Chaud[15],[16]   Commerçant

Instances judiciaires et administratives modifier

Politique environnementale modifier

Jumelages modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[18].

En 2021, la commune comptait 280 habitants[Note 3], en diminution de 1,06 % par rapport à 2015 (Hautes-Alpes : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
789827769809817790813804817
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
782771735714685620586587591
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
523508405349315313199152142
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
117171298235267285292284280
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (29,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,5 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 153 hommes pour 143 femmes, soit un taux de 51,69 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,84 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[21]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
2,1 
5,2 
75-89 ans
7,6 
19,3 
60-74 ans
14,7 
24,2 
45-59 ans
25,1 
19,8 
30-44 ans
18,8 
14,5 
15-29 ans
10,2 
17,0 
0-14 ans
21,4 
Pyramide des âges du département des Hautes-Alpes en 2020 en pourcentage[22]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,4 
8,7 
75-89 ans
11,5 
20,7 
60-74 ans
21 
21,3 
45-59 ans
20,9 
17,3 
30-44 ans
17 
14,6 
15-29 ans
12,4 
16,4 
0-14 ans
14,9 

Enseignement modifier

Une école maternelle et primaire est ouverte à Puy Saint Vincent.

Manifestations culturelles et festivités modifier

Santé modifier

Sports modifier

Les 33 pistes sont assez variées, mais généralement nettement plus raides que dans la moyenne des autres stations. On peut admirer depuis les pistes des panoramas sur le massif des Écrins et en particulier le Pelvoux. Le domaine de la station offre aussi beaucoup de possibilités d'évolution en hors piste, que ce soit en bordure de pistes, dans les bois ou en s'éloignant plus de la station comme dans le vallon de Narreyroux. Dernièrement de nombreux changements ont été effectués sur les remontées mécaniques, permettant de les moderniser et de les fluidifier. Plusieurs nouveaux télésièges ont été construits ces dernières années, remplaçant chacun un ou plusieurs téléskis.

La pratique du ski de fond est très diverse. Les pistes s'éloignent très rapidement de la station et des pistes de ski alpin, se dirigeant souvent vers des lieux très sauvages, comme le col de la Pousterle. De nombreux itinéraires de ski nordique existent aussi au fond de la vallée, comme au départ de Vallouise par exemple avec la piste de la vallée de l'Onde.

En été, le domaine permet la pratique sur des pistes balisées du VTT et VTT de descente.

Médias modifier

Cultes modifier

Économie modifier

Revenus de la population et fiscalité modifier

Emploi modifier

Entreprises et commerces modifier

Remontées Mécaniques modifier

Télésièges modifier

Il y a trois télésièges débrayables et cinq télésièges fixes. La particularité du télésiège débrayable est qu'il va vite et qu'il ralentit au départ et à l'arrivée. Le télésiège le plus ancien était le télésiège de la Crête des Bans construit en 1985 par Montaz Mautino, c'était un télésiège débrayable 4 places. Celui-ci a été remplacé par un télésiège 6 places Doppelmayr, durant l’été 2018. Le tracé est quasiment identique, hormis le fait que le départ ait été déplacé plus en aval.

Deux nouveaux télésièges sont venus compléter celui-ci en 2000 avec le télésiège de la Bergerie qui remplace un télécabine du même nom construite au même endroit en 1975 (une construction de Weber). Et le télésiège des Près qui remplace quatre appareils de première génération a été construit en 2005. L'été, le télésiège des Prés est adapté pour permettre la remontée des VTT. Les deux appareils sont construits par la marque autrichienne Doppelmayr.

Au niveau des télésièges fixes, il reste un télésiège datant de 1980 construit par Montaz Mautino il s'agit du télésiège de l'escapade. Le secteur 2000 a été totalement réaménagé entre 2007 et 2014 permettant la mise en conformité des appareils. Pour la totalité des appareils le constructeur n'est autre que le Français Gimar Montaz Mautino.

Le télésiège des Lauzes remplace deux téléskis parallèles, il a été construit en 2007.

Le télésiège de la Pendine remplace le télésiège du même nom qui s'y trouvait depuis 1981, il a été raccourci par rapport à l'ancien appareil. Le télésiège du Rocher Noir remplace le téléski du même nom construit en 1974 et dont les pentes à plus de 60 % ne permettaient pas une forte fréquence. Ces deux télésièges ont été construits en 2010.

Le télésiège des Bruyères remplace le téléski du même nom de type Poma. Son arrêt a été fixé où se trouvait celui du premier télésiège de la Pendine. Il a été construit en 2014.

Téléskis modifier

Actuellement le téléski le plus ancien de la station est le téléski de la Draille construit en 1970. Il a été rénové et raccourci de plusieurs dizaines de mètres en 2012. Il a finalement été démonté lors de l'été 2021.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Les hameaux de Puy-Saint-Vincent sont parsemés d’éléments patrimoniaux civils et religieux. Certains bâtiments se visitent (chapelles, fours…), d’autres portent encore des traces de leur évolution (une roue de moulin, une poulie au balcon…). Le hameau de Narreyroux est composé de quelques chalets et de la chapelle Notre-Dame-de-Narreyroux, datant du XVIIe siècle et récemment restaurée.

Chapelle Saint-Romain (XIIe siècle, inscrit monument historique)[23] modifier

Édifiée sur un promontoire rocheux dominant toute la vallée, il s’agit d’une des plus anciennes chapelles de la Vallouise. Jusqu’au XVe siècle, cette chapelle fut sans doute l’unique église du village auquel elle donna son premier nom, Puy-Saint-Romain. Très remaniée au cours des siècles, la chapelle Saint-Romain fut restaurée en 1977/1978 et réhabilitée en Musée de la vie agricole d’autrefois et lieu d’expositions temporaires.

Sources : site Internet de la mairie de Puy-Saint-Vincent

Chapelle Saint-Vincent (XVe siècle, classée monument historique)[24] modifier

Dédiée à saint Vincent, cette petite chapelle de pèlerinage n'a pas été élevée après la venue de Vincent Ferrier (un missionnaire dominicain venu en Vallouise vers 1399/1403 afin de prêcher la bonne parole aux nombreux Vaudois, considérés alors comme des hérétiques par l’Église catholique). Elle n'est donc pas nommée d'après lui, contrairement à ce qui est souvent affirmé, (il n'a été canonisé qu'après sa construction). Cette chapelle liée à saint Vincent de Saragosse, dont la vie est reprise sur toute la partie nord, des superbes fresques du XVe siècle, dégagées et restaurées en 1978/1979. Par ailleurs, on retrouve divers personnages représentés sur les autres murs : saint Antoine (sa tentation), le Christ lors du repas chez Simon, avec Marie Madeleine qui lui oint les pieds sous la table.

Église Sainte-Marie-Madeleine (XVIe siècle)[25] modifier

Située sur un tertre rocheux dominant la vallée de la Vallouise, elle abrita la Confrérie des Pénitents noirs des Prés, qui y siégeait à la tribune. En 2000, la découverte de peintures murales de la fin du XVIIe siècle ayant servi de décor intérieur entraîna leur complète restauration. À l’extérieur, deux cadrans solaires datés de 1718 ont également été restaurés : ceux-ci comptent parmi les plus anciens des Hautes-Alpes.

Chapelle Saint-Roch (XVIIe siècle)[26] modifier

Située à l’entrée du hameau des Prés et surplombant l’ancienne unique route d’accès à Puy-Saint-Vincent, la chapelle Saint-Roch fut édifiée vers 1630, à l’époque d’une effroyable épidémie de peste qui ravageait les Hautes-Alpes. Placée sous le vocable du patron des pestiférés, elle était censée protéger le village des maladies contagieuses importées par les marchands et soldats venant de l’extérieur. À l’abandon depuis les années 1960, cette minuscule église (15 m²) est réhabilitée depuis 1998 en une exposition ayant pour thème « La Peste et les Pénitents ».

Église Sainte-Marthe (XIXe siècle)[27] modifier

Au cœur du vieux Puy-Saint-Vincent, l’église Sainte-Marthe dresse fièrement son clocher au-dessus des bâtisses qui l’entourent. C’est l’église la plus récente du village comme le prouve la date de 1817 inscrite au sommet de la façade d’entrée. À l’intérieur, des bannières, lanternes et autres bâtons de processions indiquent la présence d’une confrérie de Pénitents blancs, en activité jusqu’à l’entre-deux guerres.

Patrimoine culturel modifier

Personnalités liées à la commune modifier

  • Alain Darchy, grand reporter à TF1, connu notamment pour ses reportages sur la France « profonde » et les petits métiers, décédé le , était très attaché à Puy-Saint-Vincent, où il venait très fréquemment.
  • Pierre Vaultier, snowboardeur français, spécialiste du cross.
  • Elisabeth Chaud, skieuse de Puy-Saint-Vincent vainqueur d'une course en coupe du monde de slalom géant (1982).
  • Marianne Chaud, ethnologue, spécialiste de l'Inde et du Zanskar en particulier.

Héraldique, logotype et devise modifier

  Blason
D'argent au chamois de sable arrêté sur un mont de sinople issant de la pointe[28].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Puy-Saint-Vincent et Vallouise-Pelvoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Pelvoux », sur la commune de Vallouise-Pelvoux - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Pelvoux », sur la commune de Vallouise-Pelvoux - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1183 - (ISBN 2600001336).
  15. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le )
  16. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Puy-Saint-Vincent (05110) », (consulté le ).
  22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Hautes-Alpes (05) », (consulté le ).
  23. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00080598
  24. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00080599
  25. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/IA05000468
  26. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/IA05000466
  27. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/IA05000463
  28. « Site de la commune de Puy-Saint-Vincent », sur mairie-puy-saint-vincent.fr (consulté le ).