Pecqueuse

commune française du département de l'Essonne

Pecqueuse
Pecqueuse
L’hôtel de ville.
Image illustrative de l’article Pecqueuse
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Palaiseau
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Limours
Maire
Mandat
Jean-Marc Delaitre
2020-2026
Code postal 91470
Code commune 91482
Démographie
Gentilé Pescusiens
Population
municipale
558 hab. (2021 en diminution de 2,62 % par rapport à 2015)
Densité 75 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 38′ 48″ nord, 2° 02′ 55″ est
Altitude Min. 133 m
Max. 178 m
Superficie 7,4 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gif-sur-Yvette
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Pecqueuse
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Pecqueuse
Liens
Site web mairie-pecqueuse.com

Pecqueuse (prononcé [pɛkøz] Écouter) est une commune française située à trente-deux kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Pescusiens[1].

Géographie modifier

Situation modifier

À vol d'oiseau, Pecqueuse est située à 32 km au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[2], point zéro des routes de France, 29 km à l'ouest d'Évry[3], 16 km au sud-ouest de Palaiseau[4], 13 km au nord-est de Dourdan[5], 16 km au nord-ouest d'Arpajon[6], 17 km à l'ouest de Montlhéry[7], 25 km au nord-ouest d'Étampes[8], 29 km au nord-ouest de La Ferté-Alais[9], 32 km au nord-ouest de Corbeil-Essonnes[10], 41 km au nord-ouest de Milly-la-Forêt[11].

Hydrographie modifier

Pecqueuse est arrosée par la Prédecelle, un affluent de la Rémarde, ainsi que par le Blin.

Relief et géologie modifier

 
Champs près de Pecqueuse.

La commune fait partie de vastes plaines, limitrophe de la Beauce, dont le Hurepoix marque la « porte d'entrée » en provenance de Paris. Sa situation limitrophe, et la présence de deux ruisseaux, le paysage est non uniformément plat, avec les coteaux vallonnés des cours d'eau.

Lieux-dits, écarts et quartiers modifier

La commune, d'une superficie de sept cent quarante hectares, est composée de deux quartiers principaux : le village et le hameau de Villevert, au sud de la commune. Le territoire communal compte également plusieurs lieux de vie, autour de fermes, comme celle de Fromenteau, ainsi qu'un quartier récent limitrophe de Limours, les Pommiers.

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 676 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Choisel à 5 km à vol d'oiseau[14], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,1 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Statistiques 1991-2020 et records CHOISEL (78) - alt : 176m, lat : 48°41'04"N, lon : 2°00'01"E
Records établis sur la période du 01-01-1974 au 31-08-2019
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1 3,1 5 8,4 11,4 13,2 13 10,1 7,4 4,1 1,6 6,6
Température moyenne (°C) 4 4,4 7,5 10,1 13,8 17 19,2 19 15,4 11,6 7,2 4,2 11,1
Température maximale moyenne (°C) 6,7 7,7 11,9 15,3 19,2 22,6 25,1 25 20,8 15,8 10,4 6,9 15,6
Record de froid (°C)
date du record
−14,2
14.01.1979
−13,5
07.02.1991
−10,4
13.03.13
−4,5
15.04.19
−1
07.05.1997
2,2
04.06.1991
4,9
19.07.1974
4,3
21.08.14
1,8
30.09.12
−4
30.10.1997
−9,5
24.11.1998
−10,6
29.12.1996
−14,2
1979
Record de chaleur (°C)
date du record
15,5
27.01.03
18,5
24.02.1990
24
29.03.1989
28
21.04.18
31,6
28.05.17
36,4
27.06.11
37,5
01.07.15
39,5
06.08.03
33
05.09.13
28,5
03.10.11
21
08.11.15
16,5
07.12.00
39,5
2003
Précipitations (mm) 61,4 51,7 51,5 48,9 67,8 61,5 52,4 56,3 51,6 65,8 64,7 75,5 709,1
Source : « Fiche 78162001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Voies de communication et transports modifier

Logement modifier

Occupation des sols.
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 3,5 % 26,28
Espace urbain non construit 1,6 % 11,63
Espace rural 94,9 % 710,87
Source : MOS-Iaurif 2008[18]

En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 252. Parmi ces logements, 94,1 % étaient des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 3,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour une part de 81,5 % des maisons et de 17,8 % des appartements[19].

Toujours sur l'ensemble des logements de la commune, 4 % étaient des logements d'une pièce, 9 % de deux pièces, 10 % de trois pièces, 16 % de quatre pièces, et 61 % des logements de cinq pièces ou plus[20].

La proportion de ménages propriétaires de leur logement était de 85,1 % et celle des locataires était de 13,7 %. On peut également noter que 1,2 % des logements étaient occupés gratuitement[21].

L'ancienneté d'emménagement dans la résidence principale, rapporté au nombre de ménages, était de 8 % depuis moins de deux ans, 19 % entre deux et quatre ans, 16 % entre cinq et neuf ans, et 57 % de dix ans et plus[22].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Pecqueuse est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[23],[24],[25].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[26],[27].

Toponymie modifier

Attestée sous les formes De Piscosis vers 1105[28], Piscosæ au XIIe siècle[29], valle Pecosa en 1203[28], De Pescusa vers 1205[28], Pescusa au XIIIe siècle, Pecosa[29].

L'office de tourisme du pays de Limours indique que le toponyme trouve son origine dans le mot latin piscis, signifiant endroit humide, poissonneux complété du suffixe -osa-. L'élevage, autrefois si répandu, du poisson dans des viviers est à l'origine de ce type de toponyme[30] . Dans le cartulaire du prieuré de Longpont, les terres sont appelées piscosae car marécageuses ; on y trouve des lieux-dits l’Oseraie, la Grenouillère, la Prédecelle (c'est-à-dire rivière poissonneuse)[31].

La commune fut créée en 1793 avec son nom actuel[32].

Histoire modifier

La création du village de Pecqueuse daterait du début du XIIe siècle, à la suite de la donation par deux frères, Pierre et Simon Castel, de tous leurs droits sur les terres, au prieuré de Longpont-sur-Orge. Ses dons prévoient la création d'une ville neuve, sur ses terres, regroupée l'église.

Au XIIIe siècle, le village devient la propriété de la famille Cousteau de la Barrère, puis à Jacques de Chavannes, conseiller du roi, et seigneurs de Limours.

Le développement de la population au XIXe siècle est lié l'accroissement de l'agriculture dans le Hurepoix et la Beauce. Une distillerie d'alcool de betterave est alors créée, qui fonctionnera jusqu'en 1967.

Politique et administration modifier

 
Position de Pecqueuse en Essonne.

Politique locale modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Antérieurement à la loi du [33], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement de Palaiseau, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Essonne,

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Limours[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Gif-sur-Yvette

Intercommunalité modifier

Pecqueuse est membre de la communauté de communes du pays de Limours, créée fin 2001, et qui succède au district rural du canton de Limours créé le [34].

Tendances et résultats politiques modifier

Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales et départementales

Résultats des deuxièmes tours :

Référendums

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[48].
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 mars 2018 Serge Caro RPR puis UMP
puis DVD
Cadre de production[49]
Démissionnaire
mars 2018[50] En cours Jean-Marc Delaître SE  

Jumelages modifier

En 2013, Pecqueuse n'a développé aucune association de jumelage[51].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[53].

En 2021, la commune comptait 558 habitants[Note 3], en diminution de 2,62 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
170187194182162166178194220
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
207211222249251272264303256
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
243263247212230204201176159
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
216222279329474587583580623
2015 2020 2021 - - - - - -
573547558------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,4 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 286 hommes pour 262 femmes, soit un taux de 52,19 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,98 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[55]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
8,1 
75-89 ans
6,9 
20,7 
60-74 ans
25,2 
25,3 
45-59 ans
22,5 
13,3 
30-44 ans
20,6 
14,4 
15-29 ans
10,3 
18,2 
0-14 ans
14,5 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2020 en pourcentage[56]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,3 
75-89 ans
7,1 
12,9 
60-74 ans
13,8 
20,1 
45-59 ans
19,6 
19,9 
30-44 ans
20,1 
19,9 
15-29 ans
18,3 
21,4 
0-14 ans
19,8 

Enseignement modifier

 
L'ancienne école communale.

La commune dépend de l'académie de Versailles. *

Elle dispose d'une école élémentaire publique construite en 2003[50] et scolarisant, en 2013, 37 élèves[57].

Culture modifier

En 2013, une école municipale de musique est à la disposition des habitants de la commune, ainsi qu'un espace de lecture[58].

En 2022, la salle polyvalente Claude-Daragon a été revue et permet dès à présent d'accueillir toute sorte d'évènement culturel nécessitant de la sonorisation et/ou de l'éclairage (concerts, théâtre, etc...).

Sports modifier

Le stade municipal Claude-Daragon est, en 2013, le lieu d'activité de la section football de l'Association sportive de Pecqueuse depuis 1985. Cette association dispose également d'une section tennis. Une association de remise en forme et gymnastique, l'ACA, est également basée au stade[58].

Santé modifier

En 2013, aucun cabinet médical n'est installé à Pecqueuse, les médecins les plus proches se trouvent dans la ville voisine de Limours[59].

Autres services publics modifier

Le bureau de poste et services des impôts les plus proches sont ceux de Limours. Concernant les services de Pôle emploi les bureaux les plus proches se situent à Dourdan et Les Ulis[réf. nécessaire].

Manifestations culturelles et festivités modifier

En , puis en , la Fête de l'agriculture a été organisée par le centre d'initiatives pour valoriser l'agriculture et le milieu rural du Hurepoix (CIVAM)[60].

Lieux de culte modifier

 
L'église Saint-Médard.

La paroisse catholique de Pecqueuse est rattachée à au secteur pastoral de Limours et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Médard[61].

Médias modifier

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Économie modifier

Emplois, revenus et niveau de vie modifier

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 47 435 , ce qui plaçait Pecqueuse au 507e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[62].

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 408 personnes, parmi lesquelles on comptait 79,5 % d'actifs dont 73,5 % ayant un emploi et 6,0 % de chômeurs[63].

On comptait 75 emplois dans la commune, contre 95 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune étant de 302, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 4] est de 24,9 %, ce qui signifie que la commune offre un emploi pour quatre Pescusiens actifs[64].

La commune de Pecqueuse partage avec sa voisine Limours, une zone d'activité économique.

Au , Pecqueuse comptait 52 établissements : quatre dans l'agriculture-sylviculture-pêche, deux dans l'industrie, sept dans la construction, trente-trois dans le commerce-transports-services divers et six étaient relatifs au secteur administratif[65].

En 2011, six entreprises ont été créées à Pecqueuse dont cinq par des auto-entrepreneurs[66].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Pecqueuse - - - - - -
Zone d’emploi d’Orsay 0,2 % 3,7 % 36,2 % 26,2 % 21,4 % 12,3 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Pecqueuse - - - - - -
Zone d’emploi d’Orsay 1,0 % 13,4 % 3,8 % 18,1 % 30,5 % 5,4 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[67],[68],[69]

Culture locale et patrimoine modifier

Patrimoine environnemental modifier

Les bosquets boisés et certains champs ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil départemental de l'Essonne[70].

Patrimoine architectural modifier

  • L'église Saint-Médard-et-Sainte-Radegonde, date du XIIe siècle. Les peintures d'ornement sont plus tardives, du XVe siècle.
La cloche nommée Magdeleine en l'honneur de l'épouse du seigneur du lieu, valet ordinaire de la chambre du roi fut bénite en 1736[71].

Personnalités liées à la commune modifier

Pecqueuse est la commune de naissance de Jacques François Cousteau de Labarrère (1729-1802). Général de brigade dans le génie, il servit en Allemagne, à Belle-Isle-en-Mer (1787), à Cambrai puis au Havre (1792). Il était en 1794 inspecteur général des fortifications à l'armée du Nord[72],[73].

Héraldique et logotype modifier

La commune de Pecqueuse ne dispose pas de blason. Elle s'est dotée d'un logotype.

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Pecqueuse », p. 549–551
  • Yvette Bluteau, Il était une fois... Pecqueuse en Hurepoix,
  • Simone Lefèvre, Une villeneuve en Hurepoix au début du XIIe siècle : Pecqueuse, Klincksieck,

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.

Références modifier

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 08/04/2009.
  2. « Orthodromie entre Pecqueuse et Paris », sur le site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
  3. Orthodromie entre Pecqueuse et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
  4. Orthodromie entre Pecqueuse et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
  5. Orthodromie entre Pecqueuse et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
  6. Orthodromie entre Pecqueuse et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
  7. Orthodromie entre Pecqueuse et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
  8. Orthodromie entre Pecqueuse et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
  9. Orthodromie entre Pecqueuse et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
  10. Orthodromie entre Pecqueuse et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
  11. Orthodromie entre Pecqueuse et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  14. « Orthodromie entre Pecqueuse et Choisel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Choisel » (commune de Choisel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Station Météo-France « Choisel » (commune de Choisel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  18. « Occupation du sol simplifiée en 2008 - Pecqueuse », sur le site de l'Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région d'Île-de-France, (consulté le ).
  19. LOG T2 - Catégories et types de logements, dossier de la commune sur le site de l'Insee, [lire en ligne].
  20. LOG T3 - Résidences principales selon le nombre de pièces, dossier de la commune sur le site de l'Insee, [lire en ligne].
  21. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation, dossier de la commune sur le site de l'Insee, [lire en ligne].
  22. LOG T6 - Ancienneté d'emménagement dans la résidence principale en 2009, dossier de la commune sur le site de l'Insee, [lire en ligne].
  23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  29. a et b Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  30. M. Mulon, «Le Suffixe -euse dans les noms de lieux du domaine d'oïl », XVI Congres internacional de linguistica i filologia romàniques. Actes, II, p. 282.
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