Péaule

commune française du département du Morbihan

Péaule
Péaule
Entrée du doyenné.
Blason de Péaule
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité Communauté de communes Arc Sud Bretagne
Maire
Mandat
Jean-François Bréger
2020-2026
Code postal 56130
Code commune 56153
Démographie
Gentilé Péaulais, Péaulaise
Population
municipale
2 782 hab. (2021 en augmentation de 6,22 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Population
agglomération
14 875 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 34′ 57″ nord, 2° 21′ 18″ ouest
Altitude 80 m
Min. 0 m
Max. 92 m
Superficie 39,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Muzillac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Péaule
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Péaule
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Voir sur la carte topographique du Morbihan
Péaule
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Voir sur la carte administrative de Bretagne
Péaule

Péaule [peol] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne. La commune de Péaule fait partie du canton de Questembert et dépend de l'arrondissement de Vannes.

Toponymie modifier

Les sources écrites mentionnent les formes anciennes suivantes : « Plebe que dicitur Gablah » ; Plebs Gablah ; Plebs Gavele dans la charte CCLX du cartulaire de Redon 876 et 1008 ; Pleaule dans un acte du Chapitre de Vannes en 1387 ; Plœaule ou Plaule dans le procès de canonisation de saint Vincent Ferrier en 1454[1] ; Plegauele, Pléausle en 1481 ; Ploeaulle en 1427 et en 1464 ; Peaulle en 1477 ; Pliaulle en 1536.

Pour Ernest Nègre, qui ne connaissait pas le breton, ce toponyme serait issu du vieux breton Ploiv-, Ploev- « église paroissiale » > toponymes en Pleu- / Plou- / Plé- / Plo-, etc. et du breton, gablau « fourche », Ce qui pourrait signifier « église paroissiale de la bifurcation »[2]. Pour Bernard Tanguy, le toponyme est formé du vieux breton Ploiv- et de l'hydronyme Gavale que l'on retrouve sous les formes Stergavale et Stergaul dans les actes du Cartulaire de Redon[3].

Le nom de la localité en gallo est Pyaule[4].

Géographie modifier

Localisation modifier

  Limerzel Caden  
Le Guerno N Béganne
O    Péaule    E
S
Marzan Nivillac

Péaule est une petite commune de 2 516 habitants qui se situe au sud-est du Morbihan (Bretagne). Son territoire est bordé en grande partie à l'est par le cours de la Vilaine. Au XIVe siècle, les seigneurs de Rochefort tentent d'établir un passage entre le village de Port-er-Gerbes en Nivillac et Peaule mais ils se heurtent à l'opposition des moines de l'abbaye de Prières qui craignent la concurrence pour leurs propres péages[5]. C'est à proximité de ce passage que le ruisseau de Trévelo se jette dans la Vilaine, il limite le territoire communal avec sa vallée en auge où il divague, bordé d'un escarpement qui crée des paysages pittoresques.

Communes les plus proches :

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[7]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est  », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 859 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Arzal à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 887,0 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Péaule est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,5 %), zones agricoles hétérogènes (30,4 %), forêts (20,3 %), prairies (13,3 %), zones urbanisées (3,4 %), eaux continentales[Note 2] (1,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire modifier

Plusieurs découvertes témoignent d'une occupation à l'époque laténienne et gallo-romaine. Un oppidum gaulois[19], près du village du Château, était relié au bourg actuel par une voie, passant à proximité de Kervidais, où ont été retrouvées des meules, et par Kermoué où les vestiges sont nombreux. Un peu au nord de cet axe, les fondations d'une construction avec hypocauste existaient au XIXe siècle[20]. Une autre voie traversait le bourg et reliait Limerzel au château de l'Isle en Marzan.

Cette ancienne paroisse primitive englobait, semble-t-il, le territoire de Limerzel. Jusqu'en 1790, elle a été le siège de l'un des neuf doyennés de l'évêché de Vannes qui regroupait quinze paroisses, puis seize avec le rattachement de Molac au XVIe siècle. Jusqu'au XVIIe siècle, au moins, elle abrite aussi une léproserie, appelée la Corderie, lieu d'habitation des lépreux, placé directement sous la dépendance de l'évêque de Vannes[21].

Depuis le XIIIe siècle, Péaule appartient à la seigneurie de Rochefort. Cependant, y sont enclavés plusieurs fiefs importants qui relèvent directement du duc de Bretagne, puis du roi[22]. Péaule dépend, en 1677, du fief de René Eustache de Lys. De 1790 à 1801, Péaule devient chef-lieu de canton avec Noyal, Marzan et Le Guerno comme dépendances. Après le débarquement manqué d'émigrés à Quiberon en , 22 chouans originaires de la paroisse de Péaule sont exécutés.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
~1947   M. Blino    
10 mai 1953 juin 1956 Pierre Seignard    
juin 1956 octobre 1973
(démission)
Pierre Penuizic[a]   Retraité, ancien combattant
octobre 1973 mars 1983 Henri Deux   Réélu en 1977
mars 1983 mars 1999[23]
(décès)
Joseph Deux
(frère du précédent)
SE Retraité de la Marine
Réélu en 1989 et 1995
mai 1999 mars 2001 Martine Jéhanno    
mars 2001 14 mars 2008 Gilbert Magrez DVD Chargé de formation
14 mars 2008[24] 27 mai 2020 Christian Droual[25] DVG Enseignant spécialisé retraité
Réélu en 2014
27 mai 2020 En cours Jean-François Bréger[26] DVG Cadre expert-comptable, ancien 1er adjoint
3e vice-président d'Arc Sud Bretagne (2020 → )

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 2 782 habitants[Note 3], en augmentation de 6,22 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2404 0002 3302 2872 2772 3292 2422 4532 463
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3332 3002 4002 4882 4852 4882 4832 4532 480
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 4472 4752 4572 3002 3252 2572 2472 2462 092
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 0341 9431 9172 1382 1882 2062 4262 4582 503
2017 2021 - - - - - - -
2 6822 782-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Culture et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église Saint-Gaudence ou Saint-Gaudens (XVIe siècle puis XIXe au XXe siècles), reconstruite par l'architecte Joseph Caubert en 1905 et consacrée par l’évêque de Vannes Alcime-Armand-Pierre-Henri Gouraud en 1906. Le clocher, commencé avant la Première Guerre mondiale, est achevé en 1919.
  • La chapelle Saint-Cornély (construite en 1872 avec les pierres de la chapelle Saint-Yves maudite[b], inaugurée le 16 septembre 1873), réédifiée par l'abbé Briand, doyen de la paroisse de Péaule.
  • La chapelle Saint-André, reconstruite au début du XIXe siècle près du pont de l'Etier.
  • La chapelle Saint-Michel (1860)
  • L'ancienne chapelle Saint-Leufroy.
  • L'ancienne chapelle Saint-Jean-Baptiste, édifiée au XVe siècle
  • La croix de Bellon (XVIe siècle)
  • La croix située au lieu-dit le Temple.
  • Le calvaire (XXe siècle) situé au carrefour des routes de Marzan et de Villeneuve.
  • Le château de Fescal (1760). L'abbé Berto y installa un orphelinat de 1939 jusqu'à la fin des années 1950 avant de pouvoir acheter la propriété de Pont-Callec en Cornouaille morbihannaise. Cette œuvre a donné naissance aux Dominicaines du Saint-Esprit.
  • Le Vieux Doyenné (XVe au XVIe siècles). Cet édifice sert de presbytère jusqu’en 1912. La cheminée, avec inscription de 1534, est inscrite aux monuments historiques par arrêté du . Les façades et toitures de l'ensemble des bâtiments, y compris la porte Nord de l'enceinte et le colombier sont inscrites par arrêté du [31] (propriété privée, ne se visite pas).
  • Le manoir de la Salle, situé dans un parc boisé sur la rive droite du Trévelo, près du lieu-dit le Poteau. Propriété du vicomte Guy de Mentque.
  • Le manoir de la Cour de Couéguel, situé route de Questembert.
  • Le manoir de Bellon (XVIe-XVIIe siècle), propriété de la famille Commelin (au XVIe siècle).
  • La fontaine Saint-André, dédiée à sainte Barbe.
  • La tombe de Carapibo (XVIIe siècle).
  • La maison de prêtre de Kerubeau (1623). Sur le linteau de la "bouline" on lit : "fait faire par Yves Martin prêtre". À l'étage riche lucarne sculptée Renaissance aux deux chérubins.
  • Les moulins à eau de Coëtguel, de Tilhouet, de Lescuit et le moulin à vent de Poulhos.

À signaler aussi :

  • Le camp romain situé au village du Château.
  • Le four à pain de Belon (1902).
  • La forge de Poulho.

Héraldique modifier

Personnalités liées à la commune modifier

  • Julien Guégan, prêtre catholique et homme politique, né le à Péaule et mort le à Osma.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. Pierre Marie Penuizic, né le à Péaule, décédé le à Péaule.
  2. « En effet, celle-ci dédiée à Saint Yves était située au village de Kerhuel, très à l’écart de la population. Les paysans y venaient donc sur des attelages tirés par des bœufs ou parfois des chevaux. Mais régulièrement, au retour, les bêtes étaient souvent malades ou décédaient. Le diable devait donc s’y cacher et la chapelle fut incendiée. Plus tard on s’aperçut que celle-ci était entourée d’ifs hautement toxiques et que l’explication de cette sorcellerie venait de là. Et c’est sans doute pour cela que la nouvelle fut dédiée à Saint-Cornély ». Cf « Nos dimanches patrimoines : La chapelle Saint Cornély à Péaule, protectrice du bétail », sur actu.fr, .

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Abbé Luco, Péaule, Bulletin de la Société polymathique du Morbihan, p. 96, 1879.
  2. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, 1996, vol. 2, p. 1042.
  3. Hubert Abbaye Saint-Sauveur, André Association des amis des archives historiques du diocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo et Bernard Tanguy, Cartulaire de l'Abbaye Saint-Sauveur de Redon: fac-similé du manuscrit, Association des amis des Archives historiques du Diocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo, (ISBN 978-2-9512967-0-1), p. 61
  4. (br) Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620, lire en ligne), p. 131
  5. J. André et P. Thomas Lacroix, Les grands itinéraires de la Bretagne méridionale
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Péaule et Arzal », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Arzal » (commune d'Arzal) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Arzal » (commune d'Arzal) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Yann Dufay-Garel, Sébastien Daré, Thibaut Peres et Alain Triste, « Recherches sur deux habitats groupés de la cité des Vénètes à la fin de l’âge du Fer (iie-ier siècle av. J.-C.) : les sites de Kerf », Revue archéologique de l'Ouest, no 35,‎ , p. 173–198 (ISSN 0767-709X et 1775-3732, DOI 10.4000/rao.5314, lire en ligne, consulté le )
  20. Louis Marsille, Répertoire archéologique du Morbihan gallo-romain, p. 30.
  21. ibid., p. 159;
  22. Louis Arthur Le Moyne de la Borderie, 1855, Mélanges d'histoire et d'archéologie bretonnes, p. 99.
  23. « Nécrologie. Mort de Joseph Deux, 63 ans, maire de Péaule », Ouest-France,‎ .
  24. « Christian Droual, nouveau maire depuis vendredi », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  25. « Nécrologie. À Péaule, Christian Droual, l’ancien maire tire sa révérence », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  26. « Peaule. Jean-François Bréger élu maire », sur Les Infos du pays gallo, (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Notice no PA00091471, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes modifier

Liens externes modifier