Neuvy-sur-Barangeon

commune française du département du Cher

Neuvy-sur-Barangeon
Neuvy-sur-Barangeon
La mairie.
Blason de Neuvy-sur-Barangeon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Vierzon
Intercommunalité Communauté de communes Vierzon-Sologne-Berry et Villages de la Forêt
Maire
Mandat
Marie-Pierre Cassard
2020-2026
Code postal 18330
Code commune 18165
Démographie
Population
municipale
1 101 hab. (2021 en diminution de 11,42 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 18′ 58″ nord, 2° 15′ 17″ est
Altitude Min. 129 m
Max. 242 m
Superficie 67,34 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Vierzon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubigny-sur-Nère
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Neuvy-sur-Barangeon
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Neuvy-sur-Barangeon

Neuvy-sur-Barangeon est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Géographie modifier

Localisation modifier

Le village est situé dans la région naturelle de la Sologne Berrichonne puisqu'elle est sur le territoire de la Sologne (territoire aux frontières non administratives) et sur le territoire Berrichon (territoire aux frontières administratives, le Berry s'étalant sur deux départements : le Cher et l'Indre).

La commune est située à dix huit kilomètres au nord-est de Vierzon et à une trentaine de kilomètres de Bourges.

Communes limitrophes modifier

  Nançay Presly  
N Méry-ès-Bois
O    Neuvy-sur-Barangeon    E
S
Vouzeron Allogny

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 752 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 869,7 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].

Statistiques 1991-2020 et records NEUVY-SUR-BAR. (18) - alt : 154m, lat : 47°19'22"N, lon : 2°14'37"E
Records établis sur la période du 01-07-1988 au 31-01-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,5 −0,3 1,7 3,8 7,6 10,9 12,4 11,9 8,6 6,6 3,1 0,9 5,6
Température moyenne (°C) 4,1 4,5 7,8 10,5 14,3 17,7 19,6 19,3 15,7 12,2 7,4 4,5 11,5
Température maximale moyenne (°C) 7,8 9,3 13,9 17,1 21 24,6 26,9 26,8 22,7 17,7 11,6 8,2 17,3
Record de froid (°C)
date du record
−15,8
02.01.1997
−15,2
09.02.1991
−14,6
01.03.05
−6,8
04.04.1996
−2,3
18.05.1991
−1,1
05.06.1991
3,8
14.07.1998
0,9
29.08.1998
−2
25.09.02
−7,3
31.10.1997
−12,3
24.11.1998
−14,1
29.12.1996
−15,8
1997
Record de chaleur (°C)
date du record
18,3
05.01.1999
22
27.02.19
25,7
16.03.12
31,2
30.04.05
33,2
27.05.05
39,3
27.06.19
40,1
25.07.19
41,9
12.08.03
35,5
13.09.16
29,9
01.10.11
24,2
07.11.15
18,7
16.12.1989
41,9
2003
Précipitations (mm) 77,7 65,1 64,1 69,8 76,2 62 66 64,1 70,1 82,6 83,6 88,4 869,7
Source : « Fiche 18165001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Neuvy-sur-Barangeon est une commune rurale[Note 1],[6]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[7],[8].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vierzon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (77,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (78,7 %), prairies (9,1 %), terres arables (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %), zones urbanisées (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), eaux continentales[Note 3] (0,9 %), zones humides intérieures (0,4 %)[11].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Neuvy-sur-Barangeon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels modifier

Le département du Cher est moins exposé au risque de feux de forêts que le pourtour méditerranéen ou le golfe de Gascogne. Néanmoins la forêt occupe près du quart du département et certaines communes sont très vulnérables, notamment les communes de Sologne dont fait partie Neuvy-sur-Barangeon. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[14].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Neuvy-sur-Barangeon.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[15]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 777 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 777 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2002, 2006, 2011, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[12].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].

Toponymie modifier

Histoire modifier

Des ruines romaines existent à proximité. Son nom apparaît pour la première fois en 992. La paroisse est rattachée à plusieurs abbayes successives.

Seconde Guerre mondiale

En 1940, la Maison familiale pour enfants de Bourges, qui accueille entre autres des enfants espagnols réfugiés en France lors de la Retirada, est déplacée à Neuvy-sur-Barangeon pour la protéger des bombardements. Elle y reste pour la durée de la guerre[18].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune se trouve dans le département du Cher et, depuis 1984, dans l'arrondissement de Vierzon. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription du Cher.

Après avoir été le chef-lieu d'un fugace canton de Neuvy de 1793 à 1801, la commune faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Vierzon, année où celui-ci est scindé et la commune rattachée| au canton de Vierzon-2[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Neuvy fait désormais partie du canton d'Aubigny-sur-Nère.

Intercommunalité modifier

Neuvy-sur-Barangeon était le siège de la communauté de communes les Villages de la Forêt, créée en 1999.

Cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Vierzon-Sologne-Berry et Villages de la Forêt dont la commune est désormais membre.

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Hélène Grataroli    
mars 2008 mars 2014 Michel Bugada    
mars 2014 En cours Marie-Pierre Cassard[20],[21]   Ancienne employée

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

En 2021, la commune comptait 1 101 habitants[Note 4], en diminution de 11,42 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
809746775860841904877915985
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9289269801 0271 1931 3631 3821 3521 512
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4311 4911 4871 2791 3231 2111 0871 3491 244
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0481 2101 1071 2191 2211 1621 2321 2501 253
2018 2021 - - - - - - -
1 1141 101-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Le château de Saint-Hubert, ou château du Grand-Chavanon, bâti de 1895 à 1897 dans un style « néo-Louis XIII-Louis XIV » pour le vicomte Robert du Bourg de Bozas, « industriel métallurgiste nivernais passionné de chasse », qui le destinait à son fils qui ne l'a jamais occupé. Quatre statues de 1903 du sculpteur Émile Oscar Guillaume ornent les angles de la grande pièce d'eau du parc[25]. Les deux figures masculines représentent le Dieu fleuve, symbole de fertilité et de prospérité. Barbus, chevelus et couronnés de roseaux, ils sont torse nu et se tiennent à demi couchés selon le schéma classique de représentation de ces divinités. Le premier tient dans une main une corne d’abondance contenant des fruits et des épis de blé. Dans la mythologie grecque, la corne d'abondance est le symbole de la prospérité et de la richesse. Le Dieu-Fleuve est accompagné d’un enfant qui souffle dans une conque marine. À côté d’eux, se trouvent des roseaux ou des joncs, attributs habituels de ces divinités des eaux. Le second Dieu-Fleuve, le bras droit appuyé sur des roseaux, tient une large rame-gouvernail à large pale, signe de sa puissance et de sa domination sur l'eau. À ses côtés, un angelot tient la base de la rame.                  Les figures féminines représentent des Nymphes, elles aussi sont considérées comme des divinités bienfaisantes. Pour les réaliser, le sculpteur semble, là encore, s’être inspiré des sculptures qui décorent la margelle du parterre d’eau du château de Versailles. La première de ces Nymphes porte un diadème dans les cheveux. À demi couchée, son dos s’appuie sur des joncs ou des roseaux. De sa main droite, elle tient des fleurs – des roses ? - qui sortent d’une urne. Avec sa main gauche, elle enlace un enfant qui souffle dans une petite trompette. La seconde s’appuie, elle aussi, sur des joncs. Dans sa main gauche, elle semble tenir un collier de coquillages. L’enfant placé à ses côtés tient un poisson dans une de ses mains.
  • En 1923, le domaine devient la propriété de la princesse de Caraman-Chimay, qui fit moderniser partiellement le décor intérieur. Le fut prise, probablement en vue de sa mise en vente, une vue aérienne du château, de sa cour d'honneur et des bâtiments latéraux[26].
En 1935, Louis-Joseph Fillon, archevêque de Bourges, fit acheter le domaine afin d'y installer le Petit Séminaire du diocèse, puis en dom Bellot, bénédictin et architecte à Wisques (Pas-de-Calais), fit édifier une importante chapelle et un cloître en béton à parements de briques dans la cour d'honneur et dans l'axe central, interrompant ainsi une perspective de plus de 1500 mètres (de la conciergerie route de Vierzon à la route de Vouzeron).
Après différents propriétaires de 1970 à 1978, ce fut l'une des propriétés françaises du dictateur centrafricain Jean-Bedel Bokassa[27], qui fut louée et ensuite prêtée par le Cercle des Combattants de Roger Holeindre, un des dirigeants du Front national à l'époque[28] (qui y forme les jeunes militants FN[29]), puis rachetée en 2005 par un couple d'Australiens pour en faire un gîte de luxe, puis en 2010 par une société civile immobilière privée qui le gère depuis lors. En 2008, le château et son domaine sont inscrits au titre des monuments historiques[30],[31].
  • L'église Notre-Dame date du XIIIe siècle et a été restaurée au XIXe siècle[32].
  • Historimage, musée consacré aux guerres contemporaines.
  • Le site de la Maison de l'Eau, avec un ancien moulin à eau datant du XVe siècle aménagé à la visite, jouxtant un petit parc et la tourbière de la Guette, avec sentier d'interprétation et des panneaux pédagogiques[33].
  • L'étang de la Boulasse, lieu de rencontre de pétanque et de pêche, lieu de pique-nique et de balade.
  • L'étang de la Noue, son camping et la pratique de la pêche.
  • Le Barangeon, rivière qui traverse le village.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
Écartelé : au 1er de sinople au cerf contourné d'or, la tête de face, au 2e d'azur au chevron d'argent accompagné de trois quintefeuilles d'or, au 3e d'azur à deux poissons, le premier d'or, l'autre d'argent, au 4e de gueules à l'écot d'or.
Devise
Quantum sufficit (Quantité suffisante).
Détails
D'après les indications de Pascal Vagnat.

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Station Météo-France commune de Sancoins) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  4. « Station Météo-France commune de Neuvy-sur-Barangeon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  6. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  12. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Neuvy-sur-Barangeon », sur Géorisques (consulté le )
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  14. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risquefeux de forêts.
  15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  17. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  18. Alain Gardant, « L’enfance pendant les deux conflits mondiaux », L’enfance dans le Cher (1830-1945), consulté le 25 mars 2013, p. 4.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  21. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Michel Berger et Bernard Toulier, La Sologne à tire d'aile, 1995, p. 168.
  26. Archives privées - op.cit. pp. 252 et 253.
  27. B. Vasset, « Sur les traces de "papa Bok" », Le Journal de la Sologne, hiver 2010-211, p. 60-63.
  28. « Les vieux de la vieille », Les dossiers du Canard enchaîné - Les dégâts de la Marine, n°120, juillet 2011, pages 50-51.
  29. Caroline Fourest et Fiammetta Venner, Marine Le Pen démasquée, Grasset, Le Livre de Poche, 2011, p. 109 et 223-224.
  30. « Château de Saint-Hubert, devenu petit séminaire Saint-Louis », notice no PA18000043, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  31. Inventaire général du patrimoine culturel, « Château de Saint-Hubert », notice no IA00010944, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  32. Inventaire général du patrimoine culturel, « Eglise paroissiale Notre-Dame », notice no IA00010937, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  33. Site officiel
  34. Notice de Christophe Dechavanne dans le Dictionnaire des personnalités de Sologne et Environs, Le Petit Solognot, printemps 2011
  35. Centre France, « Émission - Lorànt Deutsch vit dans le Cher et tourne actuellement à Bourges son émission À toute berzingue », sur www.leberry.fr, (consulté le ).
  36. Centre France, « Économie - Éric Larchevêque, l'investisseur qui a envie d'investir », sur www.leberry.fr, (consulté le ).

Voir aussi modifier

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Article connexe modifier

Liens externes modifier