Megalneusaurus

genre de sauropsides

Megalneusaurus rex

Megalneusaurus
Description de cette image, également commentée ci-après
Croquis représentant certains éléments du spécimen holotype de Megalneusaurus rex.
160–150 Ma
Classification
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Classe Sauropsida
Super-ordre  Sauropterygia
Ordre  Plesiosauria
Famille  Pliosauridae

Genre

 Megalneusaurus
Knight, 1898

Espèce

 Megalneusaurus rex
(Knight, 1895)

Synonymes

Megalneusaurus est un genre éteint de grands pliosaures ayant vécu durant les étages Oxfordien et Kimméridgien du Jurassique supérieur dans ce qui est aujourd'hui l'Amérique du Nord. Le taxon fut décrit provisoirement comme une espèce de Cimoliosaurus par le géologue Wilbur Clinton Knight en 1895, avant de se voir attribuer son propre genre par le même auteur trois ans plus tard, en 1898. L'unique espèce identifié à ce jour est Megalneusaurus rex, connue à partir de plusieurs fossiles découvert dans le membre de Redwater Shale, au sein de la formation de Sundance, au Wyoming, aux États-Unis. Un spécimen découvert dans la formation de Naknek (en), au sud de l'Alaska, est référé au genre en 1994. En grec ancien, le nom générique se traduit littéralement par « grand lézard nageur », en raison de la mensuration des fossiles du spécimen holotype.

D'une taille estimé d'environ 7 à 9 m de long, Megalneusaurus est le plus grand pliosaure nord-américain connue datant du Jurassique. Comme l'indique son nom, le genre était vue comme le plus grand sauroptérygien identifié avant la découverte de certains fossiles de Kronosaurus en 1930. Sur la base de comparaisons faites avec d'autres pliosaures, Megalneusaurus est généralement vue comme étant un pliosauridé. D'après le contenu fossilisé de son estomac, l'animal se nourrissait de céphalopodes et de poissons, bien qu'il n'est pas exclu qu'il se serait attaqué et nourrit des plésiosaures contemporains.

Historique des recherches modifier

En 1895, le géologue Wilbur Clinton Knight découvre et exhume des fossiles d'un squelette partiellement articulé mais incomplet d'un pliosaure près de la petite ville d'Ervey, au Wyoming, aux États-Unis. La découverte consiste en un spécimen, catalogué UW 4602, qui conserve des côtes, des vertèbres, deux palettes natatoires plus ou moins partiels et une partie de la ceinture scapulaire[1], provenant d'un spécimen qui aurait atteint l'âge adulte[2]. La même année, Knight officialise sa découverte via une annonce qui est publiée dans la revue scientifique Science, où il décrit brièvement certains fossiles. Les fossiles n'étant alors pas exhumés de leur matrice géologique au moment de la publication de son annonce, Knight se montre incertain quand au positionnement générique du spécimen. Il érige donc une nouvelle espèce du genre Cimoliosaurus, C. rex, auquel il le classe provisoirement en attendant une description plus approfondie[3],[4],[5]. C'est donc trois ans plus tard, en 1898, que Knight décrit plus en détail le spécimen et érige le genre distinct Megalneusaurus pour inclure ce dernier, l'espèce devenant ainsi M. rex[6]. Le nom générique est formé des mots en grec ancien μέγας / mégas, « grand », νηκτός / nêktós, « plongeur » ou « nageur », et σαῦρος / saûros, « lézard », pour donner « grand lézard nageur ». L'épithète spécifique rex signifie « roi » en latin[7],[8]. Bien qu'aucune description du sens de cet étymologie n'ait été donnée dans sa description de 1898, Knight aurait vraisemblablement nommé le taxon ainsi en raison des mensurations assez considérables de ce spécimen pour l'époque[7], qu'il juge selon ses dires comme « le plus grand animal connu de l'ordre des Sauropterygia »[6],[4].

 
 
 
Diverses localités d'où les fossiles de Megalneusaurus ont été découverts. Le point rouge montre l'emplacement de la localité type du taxon, tandis que le point gris montre celui du spécimen référé.

En raison de la découverte d'autres grands pliosaures trouvées ailleurs dans le monde[9], l'attention de Megalneusaurus par les paléontologues à généralement été « oubliée »[1], n'étant que très brièvement mentionné dans la littérature scientifique du XXe siècle et du début du XXIe siècle[10],[11],[12],[2]. En 1995, le Tate Geological Museum (en) de la ville de Casper envisage de créer une exposition présentant les reptiles marins ayant été découverts dans la formation de Sundance. Au cours des collectes, les chercheurs tombent sur un moulage du membre antérieur original découvert initialement par Knight, le véritable fossile étant préservée au musée géologique de l'université du Wyoming. Sur la base de ce même moulage, le paléontologue William Wahl du Wyoming Dinosaur Center, commence à présenter un intérêt particulier pour ce taxon, ce qui l'amène à ouvrir une enquête afin de retrouver l'emplacement de la localité type originale de Megalneusaurus, jusqu'alors non mentionnée dans les travaux de Knight. Cependant, Knight ayant écrit un nombre considérable de lettres pour de nombreux paléontologues de son époque, ces derniers sont alors utilisées par les chercheurs comme éléments d'indice pour effectuer la retrouvaille. C'est donc au cours de l'été 1996 que la localité type est finalement retrouvée, correspondant au membre de Redwater Shale, situé dans la partie supérieure de la formation de Sundance, dans les montagnes Rocheuses orientales. Cette partie précise de la formation date de l'étage Oxfordien du Jurassique supérieur. Après la redécouverte de ce lieu, de nouvelles fouilles sont lancées sur le terrain et des fossiles supplémentaires sont trouvées[1],[2],[8]. À environ 20 m de la zone d'où furent découverts les premiers fossiles connues de Megalneusaurus, un gros fragment osseux provenant probablement de la ceinture scapulaire ou pelvienne y est exhumé et décrit dans un article publiée en 2007[2]. En 2008, c'est cette fois-ci un membre postérieur entièrement articulé et presque complet provenant de l'holotype qui est exhumé[1], et est décrit en détail en 2010[13]. Des fossiles provenant possiblement de deux autres spécimens ont également été signalées. Le premier est un arc neural isolée, catalogué UW 24238, tandis que le second est un propodium (os du membre supérieur), catalogué WDC SS019[2],[13],[8]. D'autres trouvailles de fossiles référées à Megalneusaurus sont faites dans cette zone sur une période supplémentaire allant de 2009 jusqu'en 2011, mais ceux-ci n'ont pas encore été officiellement décrits[1].

Megalneusaurus n'était alors historiquement connu que du Wyoming, mais un autre spécimen référé au genre est découvert au sud de l'Alaska. C'est en que W. R. Smith de l'Institut d'études géologiques des États-Unis reçoit deux fragments d'os de la part d'un certain Jack Mason. Ces deux fragments d'os ont été récoltés dans la rivière Kejulik, situé dans la péninsule d'Alaska, et consistent aux extrémités proximale et distale d'un même grand humérus, qui sera par la suite catalogué USNM 418489. L'unité stratigraphique auquel le spécimen à été découvert correspond au membre Snug Harbor Siltstone de la formation de Naknek (en), datant d'entre les étages Oxfordien et Kimméridgien du Jurassique supérieur. C'est seulement en 1994 que Robert E. Weems et Robert B. Blodgett décrivent en détail ce fossile auquel ils le réfèrent au genre sur la base de comparaison faites avec le spécimen holotype. Cependant, comme leur description et comparaison est uniquement basée sur un humérus isolée, il le réfèrent alors sous le nom de Megalneusaurus sp., les auteurs étants incertains quand à savoir si le spécimen appartiendrait à une autre espèce ou à l'espèce type[14].

Description modifier

 
Reconstitution par Dimitri Bogdanov de Megalneusaurus rex.

Taille modifier

Megalneusaurus est le plus grand pliosauridé datant du Jurassique ayant été identifié en Amérique du Nord[1],[2],[9]. La plupart des études et descriptions qualifie Megalneusaurus comme étant le plus grand pliosaure ayant été identifié dans le continent nord-américain toute période confondue[1],[2], mais certains genres apparentés comme Megacephalosaurus, datant du Crétacé supérieur, sont de taille comparables[15]. Le taxon a même été vue comme le plus grand pliosaure connu au monde jusqu'à ce que des fossiles du pliosauridé australien Kronosaurus soient décrit en 1930[7],[16],[17]. Plusieurs estimations quand à la taille de Megalneusaurus ont été donnée aux fil des recherches. En 2006, Wahl donne une longueur d'environ 13 m à l'animal[12], avant que le même auteur et ses collègues ne réduisent sa taille à seulement 10 m l'année suivante[2]. Dans sa thèse publiée en 2009, le paléontologue australien Colin McHenry estime la taille de l'animal à entre 11 et 12 m de long sur la base des mensurations des fémurs données par Knight en 1898[18]. Cependant, les estimations les plus récentes réduisent la taille de Megalneusaurus à entre 7,6 à 9,2 m de long[1],[5]. Le spécimen référé connu d'Alaska est de mensuration inférieure à celui du spécimen holotype, bien qu'aucune estimation de sa taille n'ai été donné[14].

Morphologie modifier

L'anatomie de Megalneusaurus n'est majoritairement connue que de la part du spécimen holotype et concernent uniquement les parties postcrâniennes de l'animal[2],[13], aucuns matériaux crâniens n'étants connues[1]. De plus, des parties supplémentaires incluant des vertèbres cervicales, dorsales et caudales, une grande partie de la ceinture scapulaire et des côtes, ont d'ailleurs été perdues[13], les seuls descriptions restantes les concernants ayant été faites par Knight en 1898[6].

Classification modifier

Lors de l'officialisation par Knight en 1895 de la découverte des premiers fossiles connus de Megalneusaurus, ces derniers furent classées dans le genre Cimoliosaurus[3], un plésiosauroïde actuellement classé dans la famille des élasmosauridés[19]. Cependant, cette classification fut volontairement provisoire, car les fossiles étaient à ce moment là non préparées pour permettre à ce que le spécimen puisse avoir une clarification taxonomique[3]. C'est en 1898 que Knight découvre qu'il s'agit en fait d'un pliosaure, n'hésitant d'ailleurs pas à le comparer aux pliosauridés Pliosaurus et Peloneustes[N 1]. Cependant, Knight ne donne aucune classification plus précise du genre[6]. Les études publiées à partir de la seconde moitié du XXe siècle s'accordent à dire que Megalneusaurus serait très probablement un pliosauridé[20],[11],[14],[2],[1],[5]. En 2009, McHenry remet en question la validité de Megalneusaurus, jugeant le spécimen holotype comme non diagnostique et pouvant possiblement représenter un taxon mieux connu dans d'autres localités du monde[21]. Néanmoins, le nom Megalneusaurus est toujours préservé dans les études ayant été publiées ultérieurement, sans mentionner l'avis de McHenry[13],[5],[22].

Paléobiologie modifier

Alimentation modifier

Le contenu stomacal du spécimen holotype de M. rex contient de nombreux crochets de céphalopodes coléoïdes ainsi que quelques rares fragments d'os de poissons. Du contenu gastrique similaire ont également été répertoriées chez d'autres plésiosaures contemporains, tels que Tatenectes et Pantosaurus, prouvant que ce furent des sources de nourritures courantes pour les reptiles marins de la formation de Sundance[2],[13],[5]. Étant un pliosauridé de grande taille, Megalneusaurus se serait vraisemblablement nourrit d'autres plésiosaures contemporains, et plus particulièrement des juvéniles ou des subadultes[5]. Un fossile de plésiosaure juvénile identifié dans cette formation présente d'ailleurs des traces de morsures au niveau des os d'une de ses palettes natatoires[12], bien que leurs origines n'ait pas formellement été déterminées[5].

Paléopathologie modifier

Les deux humérus du spécimen holotype de M. rex sont atteints d'ostéonécrose[8],[23]. Un grand nombre d'autres fossiles de plésiosaures plus ou moins apparentés présentent également cette maladie aussi bien au niveaux des humérus que du fémur. Cela est le résultat d'une remontée trop rapide après une plongée profonde. Il est néanmoins incertain de déduire la profondeur auquel l'animal aurait descendu car il est également possible que l'ostéonécrose aurait été causés par quelques plongées très profondes, ou bien par un grand nombre de descentes relativement peu profondes. Les vertèbres ne présentent cependant pas de tel dommage, étants, au cours du vivants des plésiosaures, probablement protégées par un apport sanguin supérieur, rendu possible par les artères pénétrant dans l'os par les deux foramina subcentralia, de grandes ouvertures dans leur face inférieure[23].

Paléoécologie modifier

Wyoming modifier

Les fossiles de Megalneusaurus rex proviennent des roches datant de l'âge Oxfordien du Jurassique supérieur du membre de Redwater Shale de la formation de Sundance, situé au Wyoming, aux États-Unis[1],[2]. Ce membre mesure environ 30 à 60 m d'épaisseur. Bien que principalement composé de schiste vert grisâtre, il possède également des couches de calcaire jaune et de grès, les premières couches contenant de nombreux fossiles marins[24]. La formation de Sundance représentait une mer intérieure peu profonde connue sous le nom de mer de Sundance[19]. Du Yukon et des Territoires du Nord-Ouest au Canada, où elle était reliée à l'océan arctique, cette mer s'étendait vers le sud jusqu'au Nouveau-Mexique et vers l'est jusqu'aux actuelles Dakota du Nord et du Sud[24],[22]. Durant cette période, la majeure partie de la mer de Sundance mesurait moins de 40 m de profondeur[25]. Sur la base des rapports isotopiques δ18O dans les fossiles de bélemnite, la température dans la mer de Sundance aurait été de 13 à 17 °C en dessous, et de 16 à 20 °C au-dessus de la thermocline[24].

Le paléobiote de la formation de Sundance comprend des foraminifères et des algues, en plus d'une variété d'animaux. De nombreux invertébrés sont connus de la formation de Sundance, représentés par les crinoïdes, les échinoïdes, les vers serpulidés, les ostracodes, les malacostracés et les mollusques. Les mollusques comprennent les céphalopodes tels que les ammonites et les bélemnites, les bivalves tels que les huîtres et les pétoncles, et les gastéropodes. Les poissons de la formation sont représentés par divers chondrichthyiens tels que des hybodontes[25], ainsi que des téléostéens (dont Pholidophorus). Les reptiles marins sont rares, mais sont représentés par quatre genres[22]. De tout les plésiosaures, Megalneusaurus est le seul pliosauridé ayant été identifié dans la formation de Sundance[12],[1],[5]. Les autres plésiosaures connues de cette formation sont les cryptoclididés Tatenectes et Pantosaurus[22]. Outre les plésiosaures, le reptile marin le plus abondant de la formation de Sundance est représenté par l'ichtyosaure Ophthalmosaurus natans[26],[2],[12].

Alaska modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon Knight, certains éléments anatomiques de Megalneusaurus sont comparables à celui de Plesiosaurus[6].

Références modifier

  1. a b c d e f g h i j k et l (en) Dean R. Lomax, « The Largest Pliosaurid from North America », sur PaleoNature
  2. a b c d e f g h i j k l et m (en) William R. Wahl, Mike Ross et Judy A. Massare, « Rediscovery of Wilbur Knight’s Megalneusaurus rex site: new material from an old pit », Paludicola, vol. 6, no 2,‎ , p. 94-104 (lire en ligne [PDF])
  3. a b et c (en) Wilbur C. Knight, « A new Jurassic plesiosaur from Wyoming », Science, vol. 2, no 40,‎ , p. 449 (PMID 17759917, DOI 10.1126/science.2.40.449.a, S2CID 30137246)
  4. a et b McHenry 2009, p. 358.
  5. a b c d e f g et h (en) Judy A. Massare, William R. Wahl, Mike Ross et Melissa V. Connely, « Palaeoecology of the marine reptiles of the Redwater Shale Member of the Sundance Formation (Jurassic) of central Wyoming, USA », Geological Magazine, vol. 151, no 1,‎ , p. 167-182 (DOI 10.1017/S0016756813000472, S2CID 129170002, lire en ligne)
  6. a b c d et e (en) Wilbur C. Knight, « Some new Jurassic vertebrates from Wyoming », American Journal of Science, vol. 5, no 27,‎ , p. 378-381 (lire en ligne)
  7. a b et c (en) Ben Creisler, « Ben Creisler's Plesiosaur Pronunciation Guide », sur Oceans of Kansas, (consulté le )
  8. a b c et d (en) « Megalneusaurus », sur Paleofile
  9. a et b (en) F. Robin O’Keefe et William Wahl Jr., « Current taxonomic status of the plesiosaur Pantosaurus striatus from the Upper Jurassic Sundance Formation, Wyoming », Paludicola, vol. 4, no 2,‎ , p. 37-46 (lire en ligne [PDF])
  10. Persson 1963, p. 37, 45.
  11. a et b Brown 1981, p. 341.
  12. a b c d et e (en) William R. Wahl, « A juvenile plesiosaur (Reptilia: Sauropterygia) assemblage from the Sundance Formation (Jurassic), Natrona County, Wyoming », Paludicola, vol. 5, no 4,‎ , p. 255-261 (lire en ligne)
  13. a b c d e et f (en) William R. Wahl, Judy A. Massare et Mike Ross, « New material from the type specimen of Megalneusaurus rex (Reptilia: Sauropterygia) from the Jurassic Sundance Formation, Wyoming », Paludicola, vol. 7, no 4,‎ , p. 170-180 (lire en ligne)
  14. a b et c (en) Robert E. Weems et Robert B. Blodgett, « The pliosaurid Megalneusaurus: a newly recognized occurrence in the Upper Jurassic Naknek Formation of the Alaska Peninsula », U.S. Geological Survey Bulletin, vol. 2152,‎ , p. 169-175 (lire en ligne [PDF])
  15. (en) Bruce A. Schumacher, Kenneth Carpenter et Michael J. Everhart, « A new Cretaceous Pliosaurid (Reptilia, Plesiosauria) from the Carlile Shale (middle Turonian) of Russell County, Kansas », Journal of Vertebrate Paleontology, vol. 33, no 3,‎ , p. 613-628 (DOI 10.1080/02724634.2013.722576, JSTOR 42568544, S2CID 130165209, lire en ligne)
  16. (en) Albert H. Longman, « Kronosaurus queenslandicus : A Gigantic Cretaceous Pliosaur », Memoirs of the Queensland Museum, vol. 10,‎ , p. 1-7 (lire en ligne)
  17. McHenry 2009, p. 25, 358.
  18. McHenry 2009, p. 419, 436.
  19. a et b (en) F. Robin O'Keefe et Hallie P. Street, « Osteology Of The cryptoclidoid plesiosaur Tatenectes laramiensis, with comments on the taxonomic status of the Cimoliasauridae », Journal of Vertebrate Paleontology, vol. 29, no 1,‎ , p. 48-57 (DOI 10.1671/039.029.0118, S2CID 31924376, lire en ligne [PDF])
  20. Persson 1963, p. 37.
  21. McHenry 2009, p. 444, 451.
  22. a b c et d (en) Sharon K. McMullen, Steven M. Holland et F. Robin O'Keefe, « The occurrence of vertebrate and invertebrate fossils in a sequence stratigraphic context: The Jurassic Sundance Formation, Bighorn Basin, Wyoming, USA », PALAIOS, vol. 29, no 6,‎ , p. 277-294 (DOI 10.2110/pal.2013.132, Bibcode 2014Palai..29..277M, S2CID 126843460, lire en ligne [PDF])
  23. a et b (en) Bruce M. Rothschild et Glenn W. Storrs, « Decompression syndrome in plesiosaurs (Sauropterygia: Reptilia) », Journal of Vertebrate Paleontology, vol. 23, no 2,‎ (DOI 10.1671/0272-4634(2003)023[0324:DSIPSR]2.0.CO;2, JSTOR 4524320, Bibcode 2003JVPal..23..324R, S2CID 86226384, lire en ligne)
  24. a b et c (en) Amanda Adams, « Oxygen Isotopic Analysis of Belemnites: Implications for Water Temperature and Life Habits in the Jurassic Sundance Sea », Gustavus Adolphus College,‎ (S2CID 132913195, lire en ligne [archive du ] [PDF])
  25. a et b (en) F. Robin O'Keefe, Hallie P. Street, Benjamin C. Wilhelm, Courtney D. Richards et Helen Zhu, « A new skeleton of the cryptoclidid plesiosaur Tatenectes laramiensis reveals a novel body shape among plesiosaurs », Journal of Vertebrate Paleontology, vol. 31, no 2,‎ , p. 330-339 (DOI 10.1080/02724634.2011.550365, S2CID 54662150, lire en ligne)
  26. (en) Valentin Fischer, Michael W. Maisch, Darren Naish, Ralf Kosma, Jeff Liston, Ulrich Joger, Fritz J. Krüger, Judith Pardo Pérez, Jessica Tainsh et Robert M. Appleby, « New Ophthalmosaurid Ichthyosaurs from the European Lower Cretaceous Demonstrate Extensive Ichthyosaur Survival across the Jurassic–Cretaceous Boundary », PLOS ONE, vol. 7, no 1,‎ , e29234 (PMID 22235274, PMCID 3250416, DOI 10.1371/journal.pone.0029234  , Bibcode 2012PLoSO...729234F)

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes modifier

Bibliographie modifier

  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • (en) Colin R. McHenry, « Devourer of Gods: The palaeoecology of the Cretaceous pliosaur Kronosaurus queenslandicus », The University of Newcastle,‎ (hdl 1959.13/935911  , S2CID 132852950).  
  • (en) David S. Brown, « The English Late Jurassic Plesiosauroidea (Reptilia) and a review of the phylogeny and classification of the Plesiosauria », Bulletin of the British Museum (Natural History), Geology, vol. 35, no 4,‎ , p. 253-347 (lire en ligne).  
  • (en) Per Ove Persson, « A revision of the classification of the Plesiosauria with a synopsis of the stratigraphical and geographical distribution of the group », Lunds Universitets Arsskrift, vol. 59, no 1,‎ , p. 1-59 (lire en ligne [PDF]).  

Liens externes modifier