Maurs

commune française du département du Cantal

Maurs
Maurs
La mairie.
Blason de Maurs
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Arrondissement Aurillac
Intercommunalité Communauté de communes de la Châtaigneraie Cantalienne
Maire
Mandat
Florian Morelle
2020-2026
Code postal 15600
Code commune 15122
Démographie
Gentilé Maursois, Maursoises
Population
municipale
2 110 hab. (2021 en diminution de 2,76 % par rapport à 2015)
Densité 68 hab./km2
Population
agglomération
2 890 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 44° 42′ 41″ nord, 2° 11′ 56″ est
Altitude Min. 237 m
Max. 551 m
Superficie 30,84 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Maurs
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Maurs
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Maurs
Liens
Site web ville-maurs.fr

Maurs [mɔʁs] est une commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes. La ville est aussi appelée Maurs-la-Jolie.

Géographie modifier

La commune est située dans le Massif central sur la Rance dans le département du Cantal, entre l'Aveyron et le Lot.

Elle s'insère dans le bassin de Maurs qui fait partie du territoire de la Châtaigneraie. Le paysage offre un relief de plaine collineuse à la topographie très douce, dans laquelle l’érosion a dégagé un chapelet de buttes témoins, au sommet arrondi ou tabulaire. Le relief peu contraignant, associé à un climat clément, a permis une colonisation précoce par l’homme. L’activité agricole est tournée vers la polyculture et se caractérise encore aujourd’hui par son dynamisme, parmi les plus importants du Cantal. Dans ces paysages agricoles très humanisés, abondamment mis en valeur par une polyculture traditionnelle, alternent prairies et parcelles cultivées (maïs, céréales)[1].

Communes limitrophes modifier

La commune est limitrophe du département du Lot. Les communes limitrophes sont Quézac, Saint-Étienne-de-Maurs, Le Trioulou, Bagnac-sur-Célé, Linac, Saint-Cirgues, Saint-Constant-Fournoulès et Saint-Constant.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 053 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 157,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records MAURS (15) - alt : 480m, lat : 44°44'03"N, lon : 2°09'57"E
Records établis sur la période du 01-02-1992 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,5 4 6,2 9,5 12,8 14,5 14,4 11,3 8,9 4,7 2,4 7,7
Température moyenne (°C) 4,6 5,2 8,4 10,9 14,6 18,3 20,3 20,2 16,5 13,1 8 5,3 12,1
Température maximale moyenne (°C) 7,6 8,9 12,8 15,7 19,8 23,7 26,1 26 21,8 17,3 11,4 8,3 16,6
Record de froid (°C)
date du record
−11,4
13.01.03
−13,2
09.02.12
−11,2
01.03.05
−2,9
07.04.08
−0,1
06.05.10
4,8
13.06.1998
6,1
11.07.1993
5,4
29.08.1998
3
18.09.01
−4,7
25.10.03
−8
24.11.1998
−10,4
16.12.01
−13,2
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18,1
05.01.1999
22,7
27.02.19
24,8
29.03.23
28,5
29.04.05
32,7
21.05.22
39
27.06.19
38
24.07.19
39,9
04.08.03
35,3
12.09.22
32
01.10.23
23
07.11.15
17,9
31.12.21
39,9
2003
Précipitations (mm) 113,4 87,8 88,2 110,8 106,5 75,6 58,9 79,2 91 98,4 122 126 1 157,8
Source : « Fiche 15122002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Maurs est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Maurs, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 1] et 2 890 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[I 2],[I 3]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 4],[I 5].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,3 %), forêts (25,9 %), prairies (24,3 %), zones urbanisées (4,3 %), terres arables (1,2 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 410, alors qu'il était de 1 375 en 2013 et de 1 364 en 2008[I 6].

Parmi ces logements, 74,1 % étaient des résidences principales, 14 % des résidences secondaires et 12 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 71,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 28,4 % des appartements[I 7].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Maurs en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (14 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 63,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (63,9 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 8].

Le logement à Maurs en 2018.
Typologie Maurs[I 6] Cantal[I 9] France entière[I 10]
Résidences principales (en %) 74,1 67,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 14 20,4 9,7
Logements vacants (en %) 12 11,9 8,2

Toponymie modifier

Attestée sous les formes Sanctus Petrus Mauricis, donnant ad Mauros en 941, un ancien poste romain occupé par des mercenaires maures.

Histoire modifier

 
Le clocher de l'abbatiale au tout début du XXe siècle.

Le nom de Maurs est mentionné pour la première fois en 941, ce qui en fait une des villes les plus anciennes du Cantal. Une abbaye y est alors située, peut-être antérieure à la création de la ville. Maurs devient « Bonne ville » en 1260. Ce titre accordé par le roi Saint Louis signifie que Maurs était dotée d'une municipalité. Cela démontre également son importance, qui en fait un objet de rivalités entre plusieurs seigneurs tout au long du Moyen Âge.

Serrée autour de son clocher trapu, la cité a conservé la forme d'un cercle presque parfait que lui avaient donné ses remparts, et qu'emprunte aujourd'hui le Tour de Ville, un boulevard établi sur des douves qui furent comblées en 1774.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1956
(décès)
Auguste Causse
(1890-1956)
  Pharmacien
1956 1962 Jean Belaubre
(1905-1986)
  Vétérinaire
1962 mars 1971 Roger Jalenques
(1905-2009)
CNIP Notaire
Conseiller général de Maurs (1949 → 1967)
mars 1971 mars 1977 Georges Tourrilhes
(1920-2003)
  Notaire
mars 1977 mars 1989 Pierre Cabrespine
(1932-1989)
   
mars 1989 mars 2001 Maurice Visinoni[12] PS Professeur retraité
Adjoint au maire (1977 → 1989)
Président de la CC du Pays de Maurs (2008 → 2014)
mars 2001 mars 2008 Roger Estival DVD
puis UMP
 
mars 2008 septembre 2009
(démission)
François Bounie PS Médecin généraliste
septembre 2009 mai 2020 Christian Rouzières PS Agriculteur
mai 2020 En cours Florian Morelle[13] DVD Chargé de mission d'une collectivité territoriale
Conseiller départemental de Maurs (depuis 2021)

Jumelages modifier

Maurs est jumelée avec :

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[15].

En 2021, la commune comptait 2 110 habitants[Note 2], en diminution de 2,76 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0452 0802 1852 2962 4232 8803 0043 0833 081
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 0333 0023 1723 0023 0462 9642 9752 9982 924
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 8162 7662 9242 3932 4832 4752 5112 6922 552
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 4852 5352 5662 4262 3502 2532 2652 2822 213
2014 2019 2021 - - - - - -
2 1702 1112 110------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2020, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24,1 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (26,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (43,7 %) est supérieur au taux départemental (36,3 %).

En 2020, la commune comptait 997 hommes pour 1 110 femmes, soit un taux de 52.68 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,16 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2020 en pourcentage[I 11]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,3 
90 ou +
5,4 
15,3 
75-89 ans
19,3 
22,7 
60-74 ans
22,1 
19,3 
45-59 ans
17,6 
15,1 
30-44 ans
12,5 
13 
15-29 ans
11,5 
12,3 
0-14 ans
11,5 
Pyramide des âges du département du Cantal en 2020 en pourcentage[18]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
10 
75-89 ans
13,7 
22,5 
60-74 ans
22,1 
22,1 
45-59 ans
20,6 
16,2 
30-44 ans
15,3 
13,7 
15-29 ans
11,9 
14,4 
0-14 ans
13,5 

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Le château de La Borie de Maurs.
  • Le manoir de L'Estrade.

Église Saint-Sulpice modifier

 
La façade de l'église.

L'église Saint-Sulpice est appelée couramment église Saint-Césaire[19],[20],[21], étant le patron de la ville, évêque d'Avignon. L'église est à nef unique de trois travées avec un chœur se terminant sur une abside pentagonale. On entre dans l'église par un portail suivi d'un pseudo-narthex surmonté du clocher.
Dimensions principales :

longueur de la nef : 44 mètres ;
largeur de la nef : 12 mètres ;
hauteur sous voûtes : 11 mètres.

L'église a été classée Monument historique par arrêté du .

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D'or à une fasce de sable.
Détails
  Armes parlantes (Maure).
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
 
Alias du blason de Maurs
D'or à la tête de Maure de sable tortillée d'argent.
 
Alias du blason de Maurs
D'or au Maure de sable.
Armes attribuées par Charles d'Hozier en 1696.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Unité urbaine 2020 de Maurs », sur insee.fr (consulté le ).
  2. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  3. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  6. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Maurs » (consulté le ).
  7. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Maurs - Section LOG T2 » (consulté le ).
  8. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Maurs - Section LOG T7 » (consulté le ).
  9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
  10. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Évolution et structure de la population en 2020 - Commune de Maurs (15122) », (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. « Schéma de cohérence territoriale du Bassin d'Aurillac, du Carladès et de la Châtaigneraie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur scotbacc.fr, .
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Maurs » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Maurs » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. https://www.lamontagne.fr/maurs-15600/actualites/pays-de-maurs-les-hauts-et-les-bas-de-la-vie-politique-de-maurice-visinoni_1910183/
  13. « Florian Morelle est le nouveau maire », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  18. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Cantal (15) », (consulté le ).
  19. « Église Saint-Césaire ou Saint-Sulpice », notice no PA00093547, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  20. Anne Courtillé, Auvergne, Bourbonnais, Velay gothiques. Les édifices religieux, Paris, Éditions A. et J. Picard, , 453 p. (ISBN 2-7084-0683-3), p. 292-296
  21. Dictionnaire des églises de France, Belgique, Luxembourg, Suisse- Auvergne. Limousin. Bourbonnais, t. II-B, Paris, Robert Laffont, p. 85-86
  22. Notice no PM15000267, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture : clôture de chœur (table de communion), stalles, statues
  23. Notice no PM15000264, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture : buste-reliquaire : saint Césaire