Marsac (Charente)

commune française du département de la Charente

Marsac
Marsac (Charente)
La mairie de Marsac.
Blason de Marsac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Jean-Luc Fouchier
2020-2026
Code postal 16570
Code commune 16210
Démographie
Gentilé Marsacois
Population
municipale
790 hab. (2021 en diminution de 5,5 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 44′ 32″ nord, 0° 04′ 45″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 143 m
Superficie 13,34 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val de Nouère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Marsac
Géolocalisation sur la carte : France
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Marsac
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Marsac
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Marsac

Marsac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Marsacois et les Marsacoises[1].

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

Marsac est une commune située 12 km au nord-ouest d'Angoulême, au bord de la Charente.

Le bourg de Marsac est aussi à 4 km à l'ouest de Vars, 8 km de Saint-Amant-de-Boixe, chef-lieu de son canton et 12 km au sud-est de Rouillac[2].

La D 939, route d'Angoulême à Rouillac et Saint-Jean-d'Angély, traverse le sud-ouest de la commune et passe en haut du bourg. La D 96 relie cette dernière au bourg et va en direction de Montignac et Saint-Amant-de-Boixe[3]. La D 115 qui relie Marsac à Vars traverse la Charente par une série de six ponts construits en 1906.

Hameaux et lieux-dits modifier

Outre le bourg, Marsac compte un village important : Lagroux au nord. Les autres hameaux et fermes se concentrent autour du bourg et au sud : Ladoux, la Faye, les Guérinauds, Chez Bertit, etc.[3].

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

Le sol de la commune est composé de calcaire datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien et Portlandien). Le Portlandien occupe l'ouest de la commune et forme une cuesta qui correspond aussi au versant ouest de la vallée de la Charente, très large au nord d'Angoulême.

On trouve quelques zones de grèzes datant du quaternaire, sur le flanc de cet escarpement entre Grosbot et Ladoux. La vallée même de la Charente est composée d'alluvions, formant parfois une terrasse alluviale plus ancienne comme entre Lagroux et le bourg (sables, graviers siliceux et calcaires). La vallée dans sa partie inondable est constituée d'alluvions plus récentes (limons, argile sableuse, présence de tourbe)[5],[6],[7].

La commune de Marsac occupe la rive occidentale et extérieure d'un méandre de la Charente, et est entourée de plateaux relativement hauts, principalement à l'ouest. En aval du bourg, la Charente a creusé dans la rive concave un escarpement nommé Côte de Châtelar.

Le point culminant de la commune est à une altitude de 143 m, situé en limite nord-ouest près de Grosbot. Le point le plus bas est à 35 m, situé le long de la Charente en limite sud-est. Le bourg, situé au pied du coteau, est à environ 45 m d'altitude[3].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Charente, la Doux, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[9],[Carte 1].

La Charente entre Mansle et Angoulême coule dans une large vallée en développant de large méandres. Marsac est limitée à l'est par une de ces boucles. Dans la commune, la Charente se divise en de nombreux bras.

Près de Ladoux, à 0,7 km au nord-ouest du bourg, une résurgence est à l'origine d'un ruisseau, la Doux, qui rejoint la Charente[3] et qui alimentait jadis un moulin.

Gestion des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat modifier

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Marsac est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,5 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %), prairies (8,9 %), cultures permanentes (7,2 %), forêts (5,5 %), zones urbanisées (3,6 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Marsac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2011, 2012 et 2021[20],[18].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Marsac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 89,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 385 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 350 sont en aléa moyen ou fort, soit 91 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].

Toponymie modifier

Les formes anciennes sont villa Marciaco en 879[24], Marciaco, Marchiaco au XIVe siècle[25].

L'origine du nom de Marsac remonterait à un nom de personne gallo-romain Marcius ou Martius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Marciacum, « domaine de Marcius »[26],[Note 3].

Histoire modifier

La terre de Marsac a relevé de l'évêché d'Angoulême du IXe siècle jusqu'à la Révolution.

L'évêché d'Angoulême avait édifié un château fort sur l'une des îles de la Charente, mais, au cours de la guerre de Cent Ans, il fut endommagé et en 1424, le roi de France s'opposa à sa reconstruction, de peur qu'il ne fût repris par les Anglais. Il n'en reste que le nom de Port du Château conservé par une petite anse du fleuve située en face de cette île.

Les évêques avaient à Marsac un prévôt, dont la charge était conférée en fief. À la fin du XIIe siècle, il y eut un conflit entre les évêques et les prévôts, qui en prenaient trop à leur aise, et un traité conclu en 1212 laissa en fief le nord de la paroisse à ces prévôts, Itier Jourdain et Foucaud de Marsac.

L'évêque d’Angoulême avait eu une maison de campagne dans le bourg. Ces bâtiments, appelés encore l'Évêché, datent en partie du XIVe siècle, mais ont été délaissés dès le XVIe siècle et occupés par une ferme dès le XVIIIe siècle[27]. Ce bâtiment servait aussi à percevoir la dîme due au clergé[28].

En mai 1626, un régiment logé au bourg et à Lagroux se livra envers la population à des excès de toutes sortes[27].

En 1686 il y avait 145 feux, des pacages, des noyers et des céréales[29].

Administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1809 1813 Jean Dupinie   Meunier
1813 1823 Antoine Aîné Barbot Depeudry   Propriétaire
1823 1828 Jean Henry Favraud   Propriétaire et avocat
1828 1833 Jean Lussaud   Cultivateur
1833 1842 Jean Henry Favraud   Propriétaire et avocat
1842 1848 François Guyot   Propriétaire exploitant
1848 1871 François Boilevin   Propriétaire exploitant
1871 1888 François le jeune Boilevin   Propriétaire exploitant
1888 1899 Léonide François Anatole Boilevin   Cultivateur
1899 1908 Toussaint Bonnetau   Propriétaire
1908 1913 François Alcide Boilevin   Propriétaire exploitant
1913 1925 François Chaton   Propriétaire exploitant
1925 1932 Mexens Chaton   Propriétaire exploitant
1932 1935 Ader Pierre Charbonnaud   Propriétaire exploitant
1935 1942 François Robert Boilevin[30]   Cultivateur
1942 1944 Denis Amédé Camille Mousset   Propriétaire exploitant
1944 1952 Jean Alcide Alliat[31]   Propriétaire exploitant
1952 1953 Roger Fouchier   Cultivateur
1953 1977 Edmond Lacouture   Cultivateur
1977 2001 Jean-Paul Seguin DVG Cultivateur
2001 2020 Jean-Marie Acquier SE Viticulteur
2020 en cours Jean-Luc Fouchier SE Viticulteur

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 790 habitants[Note 4], en diminution de 5,5 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
756602695817822783800777808
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
823812790770726695617600571
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
540513548456467486468502515
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
505484600708720769777834827
2021 - - - - - - - -
790--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 402 hommes pour 420 femmes, soit un taux de 51,09 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,5 
7,5 
75-89 ans
8,4 
21,2 
60-74 ans
22,5 
21,7 
45-59 ans
21,8 
19,2 
30-44 ans
18,2 
15,0 
15-29 ans
12,3 
15,2 
0-14 ans
16,4 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie modifier

Marsac est une commune rurale agricole avec 130 ha de vignes classées en région délimitée d'appellation d'origine contrôlée cognac, cru Fins Bois[38], des céréales surtout du maïs irrigué et des élevages de vaches laitières et de porcs.

Quelques producteurs proposent la vente directe de leurs produits, comme le cognac et le pineau des Charentes.

Certains proposent vins de pays et légumes issus de l’agriculture biologique. D'autres se diversifient en proposant de l’accueil paysan.

Équipements, services et vie locale modifier

Enseignement modifier

L'école est un RPI entre Marsac et Montignac. Marsac accueille l'école maternelle avec deux classes et Montignac l'école élémentaire. Le secteur du collège est Saint-Amant-de-Boixe[39].

Vie locale modifier

Le bric-à-brac annuel qui a lieu le premier week-end de septembre sur les berges de la Charente autour de la baignade est de renommée nationale, c'est le plus couru de la région et il rassemble une foule d'amateurs sur deux jours. Il réunit un millier d'exposants en moyenne.

Une frairie annuelle a lieu le dernier dimanche de juillet.

Lieux et monuments modifier

Patrimoine religieux modifier

L'église paroissiale Saint-Gervais-Saint-Protais date du XIIe siècle. Sa nef unique de trois travées est éclairée par d'étroites fenêtres. L'avant-chœur est surmonté d'une coupole sur pendentifs et d'un clocher. Le chœur est couvert d'une voûte sur croisée d'ogives du XVe siècle qui se termine par un chevet plat. En 1885 la nef a été couverte d'une voûte en berceau.

Elle est inscrite monument historique depuis 1941[40].

Patrimoine civil modifier

 
Le monument aux morts devant le cimetière.

Près de la place de l'église, des bâtiments nommés l'Évêché, une des résidences de campagne de l'évêque d'Angoulême, datent en partie du XIVe siècle[27]. Il n'en reste que le mur d'enceinte de la ferme[28].

La Faye possède encore ses deux lavoirs.

Le monument aux morts pour la France : son élévation est décidée le lors de la délibération en session extraordinaire du conseil municipal. Le , toujours en session extraordinaire du conseil municipal, son emplacement est fixé au côté droit du cimetière communal.

Patrimoine environnemental modifier

Les rives de la Charente sont en zone Natura 2000[41] et très fréquentées par les promeneurs et les pêcheurs.

La municipalité a fait l'acquisition d'îles et aménagé l'île du Château et l'île de Labattut avec une passerelle et des aires de pique-nique.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blasonnement :
Parti : d'or à la croix de gueules chargée en abîme d'un écusson d'argent au chef de sable[42].

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les communes de Marciac (Gers), Marsaz (Drôme), Marsas (Gironde), Marsat (Puy-de-Dôme), Marsac (Tarn-et-Garonne), Marsac (Creuse), Marsac-sur-l'Isle (Dordogne), Marsac (Hautes-Pyrénées), Marsas (Hautes-Pyrénées) ont aussi cette étymologie.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Marsac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. « Communes limitrophes » sur Géoportail.
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. Carte du BRGM sous Géoportail
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le ).
  8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  9. « Fiche communale de Marsac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Marsac », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Marsac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  24. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 55
  25. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 231
  26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 426.
  27. a b et c Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 234
  28. a et b Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 226
  29. Histoire passion
  30. Maire jusqu'à la fin de son mandat le 12 mai 1941, puis fait fonction jusqu'au 8 février 1942.
  31. Son décès le 13 octobre 1952 met fin à son mandat.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marsac (16210) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  38. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  39. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  40. « Église de Marsac », notice no PA00104413, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  41. Ministère de l’écologie et du développement durable, « Vallée de la Charente en amont d'Angoulême », (consulté le ).
  42. « Armoiries de Marsac », sur emblemes.free.fr (consulté le ).

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

  • Catillus Carol, « Marsac », (consulté le )