Marolles-en-Brie (Val-de-Marne)

commune française du département du Val-de-Marne

Marolles-en-Brie
Marolles-en-Brie (Val-de-Marne)
L'église Saint-Julien-de-Brioude.
Image illustrative de l’article Marolles-en-Brie (Val-de-Marne)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
Arrondissement Créteil
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Grand Paris Sud Est Avenir
Maire
Mandat
Alphonse Boye
2020-2026
Code postal 94440
Code commune 94048
Démographie
Gentilé Marollais, Marollaises
Population
municipale
4 689 hab. (2021 en diminution de 1,74 % par rapport à 2015)
Densité 1 022 hab./km2
Population
agglomération
5 060 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 43′ 57″ nord, 2° 33′ 03″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 102 m
Superficie 4,59 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton du Plateau briard
Législatives 3e circonscription du Val-de-Marne
Localisation
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Marolles-en-Brie
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Marolles-en-Brie
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Marolles-en-Brie
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Marolles-en-Brie
Liens
Site web http://www.mairie-marolles.fr/

Marolles-en-Brie est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France.

Géographie modifier

Situation modifier

 
Localisation de Marolles-en-Brie dans le Val-de-Marne.

La commune, périurbaine, est située à une vingtaine de kilomètres au sud-est de Paris, à l’est du département du Val-de-Marne, et a une dominante résidentielle et de forêt. Sa partie urbaine est enserrée dans un espace forestier: le domaine de Grosbois à l’ouest, la forêt de Notre-Dame au nord et à l’est. Au sud le territoire est fermé par la vallée du Réveillon qui reçoit un golf devenu 18 trous en 2015.

La RN 19 qui relie Paris à Troyes, est la desserte routière majeure de la commune.

La commune fait partie du Plateau briard.

Au nord de la commune se trouve le bois Notre-Dame et elle est traversée par la rivière le Réveillon.

Au sud, le territoire communal est bordé par la ligne TGV.

Une modification du territoire a été engagée en 2016-2017, qui a attribué le chemin du Vieux-colombier, qui ne dessert que des pavillons situés à Boissy-Saint-Léger, à cette dernière commune[1],[2]

Communes limitrophes modifier

  Sucy-en-Brie  
Boissy-Saint-Léger N Santeny
O    Marolles-en-Brie    E
S
Villecresnes

Hydrographie modifier

La commune est drainée par le Réveillon, sous-affluent de la Seine par l'Yerres.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 675 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mandres-les-Roses à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 698,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records MANDRES (94) - alt : 93m, lat : 48°42'33"N, lon : 2°32'59"E
Records établis sur la période du 01-01-1988 au 31-12-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,8 1,6 3,8 5,8 9,6 12,7 14,5 14 10,8 8,2 4,7 2,4 7,5
Température moyenne (°C) 4,5 5 8,2 11 14,8 18,1 20,2 20 16,3 12,4 7,8 5 11,9
Température maximale moyenne (°C) 7,2 8,6 12,7 16,4 19,9 23,5 25,9 26,1 21,8 16,6 10,9 7,5 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−16
08.01.10
−13
07.02.1991
−10,5
01.03.05
−3
07.04.21
0,5
07.05.1997
1,8
04.06.1991
6,1
04.07.1990
6
28.08.1998
1
30.09.12
−3,8
30.10.1997
−10,4
24.11.1998
−10,3
29.12.1996
−16
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
16,1
27.01.03
22
27.02.19
25
31.03.21
29
20.04.18
33
28.05.17
38
22.06.17
39,5
31.07.20
40,1
06.08.03
35
15.09.20
29,5
01.10.11
23
08.11.15
17,3
16.12.1989
40,1
2003
Précipitations (mm) 57,2 50,9 49,8 50,6 67,4 58,6 60 61,1 52,4 58 61,8 70,5 698,3
Source : « Fiche 94047001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Marolles-en-Brie est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[12] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

Le nord du territoire communal est marqué par une importante zone pavillonnaire, le lotissement Clos Saint-Marceau.

Toponymie modifier

Une mention ancienne de la localité est : Marrolas 1190[17]

Du latin materia (bois de construction), suivi du suffixe latin, de présence ola, « endroit où il y a du bois de construction ».

Histoire modifier

La terre seigneuriale appartenait, en 1088, à Dreux III de Mellot, archidiacre de l'église de Paris. Il la donna, en 1097 à des religieuses, et leur bâtit un prieuré qui existait encore à la Révolution[réf. souhaitée].

Politique et administration modifier

 
Bâtiment de la mairie.

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Antérieurement à la loi du [18], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-de-Marne et son arrondissement de Créteil, après un transfert administratif effectif au .

Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1986 de la troisième circonscription du Val-de-Marne.

Elle faisait partie de 1801 à 1967 du canton de Boissy-Saint-Léger du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-de-Marne, elle est rattachée en 1967 au canton de Villecresnes[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton du Plateau briard.

Intercommunalité modifier

La commune était, jusqu'en 2015, le siège de la communauté de communes du Plateau briard (CCPB), créée fin 2002.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[20].

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Grand Paris Sud Est Avenir, qui succède notamment à la communauté de communes du Plateau briard[21].

Tendances politiques et résultats modifier

Politique locale modifier

En 2014, Sylvie Gérinte (SE) succède à Alain Josse en l’emportant face à Emmanuel Bezançon (DVD) avec 57 % des suffrages[22].

En 2020, trois listes sont en lice. C’est Alphonse Boye (SE) qui l’emporte au second tour avec 46 % des suffrages face à Martine Harbulot (30%) et la maire sortante, Sylvie Gérinte (23%)[23]. Le nouveau maire, comme quelques-uns des membres de son équipe municipale appartenait à l’ancienne majorité menée depuis 2014 par Sylvie Gérinte, avec laquelle il s'est désolidarisé en cours de mandat[24].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1807 Pierre Guillot    
1807 1811 André Vauguyon    
1811 1815 Pierre Guillot    
1815 1820 Pierre Duclos    
1820 1825 Florian Guittard    
1825 1827 Claude Bontemps    
1827 1832 André Fournier    
1832 1842 Jean Guérin    
1843 1853 Louis Letourneur    
1853 1871 Pierre Duclos    
1871 1873 Charles Mazerot    
1873 1884 Pierre Duclos    
1884 1892 Magloire Coudray    
1892 1900 Edouard Sanglier    
1901 1907 Alfred Coudray    
1907 1919 Paul Bezançon    
1919 1935 Charles Boivin    
1935 1959 Pierre Bezançon    
1959 juin 1995 Paul Redon CNIP[26] puis DVD
puis UDF
Conseiller général de Boissy-Saint-Léger (1964 → 1967)
Conseiller général de Villecresnes (1967 → 1994)
juin 1995[27] mars 2014 Alain Josse[28] SE Cadre supérieur retraité
Président de la CC du Plateau Briard (2002 → 2006 et 2012 → 2014)
mars 2014[29],[30] juillet 2020 Sylvie Gérinte SE puis
UMPLR
 
juillet 2020[31],[32] En cours
(au 6 juillet 2020)
Alphonse Boye SE-DVD Ancien joueur international de handball
Cadre supérieur, chef d'entreprise

Politique de développement durable modifier

La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2011[33].

Distinctions et labels modifier

La ville, qui participe depuis plusieurs années au concours des villes et villages fleuris, possède en 2015 trois fleurs[34].

Jumelages modifier

Équipements et Services publics modifier

La commune est équipé d'un centre équestre, le Centre Equestre UCPA de Saint-Maur.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

En 2021, la commune comptait 4 689 habitants[Note 3], en diminution de 1,74 % par rapport à 2015 (Val-de-Marne : +3,13 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
140185228218235233250250249
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
209219249225211238215214214
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
234234250253281318276244311
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
3094935011 5014 6065 1915 0905 0574 806
2018 2021 - - - - - - -
4 8394 689-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Les élèves de Marolles-en-Brie sont rattachés à l'académie de Créteil.

La commune possède trois établissements scolaires[Quand ?] : l'école maternelle des Buissons, l'école élémentaire des Buissons, et l'école maternelle et élémentaire de la Forêt.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

La commune est riche culturellement : elle compte parmi ses bâtiments une des résidences secondaires des parents de l'Impératrice Sissi (Élisabeth d'Autriche), épouse de François-Joseph). Elle compte également une très ancienne église, l'église Saint-Julien-de-Brioude, au prieuré Saint Arnould, construit au XIe siècle[38],[39].

  • L'église Saint-Julien-de-Brioude
L'église Saint-Julien-de-Brioude a été construite dans la première moitié du XIIe siècle sur l'emplacement d'une chapelle carolingienne du IXe siècle. Certains de ses éléments architecturaux sont encore romans mais d'autres témoignent de l'apparition du style gothique. Elle a été classée monument historique en 1909[40].
  • Presbytère, 1 rue Pierre-Bezançon, datant de 1771. Déclaré bien national pendant la Révolution française, il sert de logement à l'instituteur vers 1820 et accueille la mairie en 1844[41].
  • Prieuré de bénédictins Saint-Julien-de-Brioude, 2 rue Pierre-Bezançon, fondé fin XIe ou début du XIIe siècle. Vendu comme bien national à la Révolution, il devient château avec adjonctions aux extrémités et construction d'un canal et d'un abreuvoir avant 1810[42],[43].
  • Grille d'honneur de l'ancien château du Buisson, 2-4 route de Santeny, de la fin du XVIIe et du XVIIIe siècle[44], et le nouveau château. construit pour Simon Arnout, contrôleur général de la maison de Marie de Médicis, démoli, dont ne reste que deux pavillons[45].
  • Ferme de Combault, 19 rue Pierre-Bezançon, ayant appartenu au prieuré Saint-Julien de Brioude. Le logis comprend un escalier du début du XVIIIe siècle, et a été remanié au XIXe siècle. La grange et l'étable sont antérieures à 1770[46].
  • Ferme de Veaurichard, 7 rue Pierre-Bezançon, ayant également appartenu au prieuré de Saint-Julien de Brioude. Acquise par la commune, qui y construit une école à son emplacement. Certains de ses bâtiments sont encore en place rénovés et dénaturés[47].
  • La Belle Image, 3 rue du Pressoir, demeure du début du XVIIe et du début du XVIIIe siècle, Acheté en 1813 par Berthier de Wagram qui l'annexe au domaine de Grosbois. Son nom vient d’une chapelle dédiée à la Vierge, bâtie sur un rond-point devant l’entrée de la maison, et qui figure sur le plan établi par l’abbé Delagrive[48].
  • Monument aux morts, route de Santeny, érigé en 1922 par l'architecte Tillet et l'entreprise parisienne breton et Cie, à la mémoire des morts des guerres de 1914, 1918 et 1939, 1940[49].
  • Puits, 14 rue Pierre-Bezançon[50].

Personnalités liées à la commune modifier

Le bourreau Charles-Henri Sanson, qui fit tomber à de nombreuses reprises le couperet de la guillotine, notamment sur celle de Louis XVI, est peut-être originaire de cette ville[réf. nécessaire].

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. Jean-Pierre Maillard, « Rapport et conclusions du commissaire-enquêteur de l'enquête publique « Modification de la limite communale entre les communes de Marolles-en-Brie et Boissy-Saint-Léger » » [PDF], Modification de la limite territoriale entre les communes de Marolles-en-Brie et Boissy-Saint-Léger, Préfecture du Val-de-Marne, (consulté le ).
  2. « Arrêté préfectoral du 28 novembre 2017 portant modification de la limite communale entre les communes de Marolles-en-Brie et Boissy-Saint-Léger » [PDF], Modification de la limite territoriale entre les communes de Marolles-en-Brie et Boissy-Saint-Léger, Préfecture du Val-de-Marne (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Marolles-en-Brie et Mandres-les-Roses », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Mandres » (commune de Mandres-les-Roses) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Mandres » (commune de Mandres-les-Roses) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. NEGRE (E.) Toponymie générale de la France (1990), t. 1, p. 385.
  18. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
  21. Décret n° 2015-1664 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Créteil sur Légifrance.
  22. « Résultats des élections municipales 2014 Marolles-en-Brie (94440) », sur leparisien.fr (consulté le ).
  23. « Résultats des élections municipales à Marolles-en-Brie », sur 94 Citoyens (consulté le ).
  24. Par La rédaction Le 24 novembre 2019 à 17h30 et Modifié Le 24 Novembre 2019 À 17h49, « Municipales 2020 : l’actualité du 24 novembre dans le Val-de-Marne », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  25. Extraits du livre de G. BLANC-CESAN : Les Maires du Val de Marne (1988), cité par « Les maires de Marolles-en-Brie », sur francegenweb.org (consulté le ).
  26. [1]
  27. « A Marolles, Alain Josse (SE) s'est mis au golf », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire de Marolles-en-Brie depuis 1995, il avait décidé de ne pas se représenter et de céder la main. « A 74 ans, il était temps que je laisse la place ! », rit Alain Josse ».
  28. Bartolomé Simon, « Marolles-en-Brie : l’ancien maire Alain Josse est décédé : Agé de 79 ans, ce passionné de hippisme et de littérature a été emporté par la maladie ce vendredi », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Alain Josse avait succédé à Paul Redon (DVD), maire de Marolles de 1959 à 1995. Il avait effectué trois mandats, de 1995 à 2014, avant de laisser sa place à l'actuelle maire Sylvie Gerinte (LR) ».
  29. « A Marolles, Sylvie Gérinte veut succéder au maire sortant », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Également adjointe au maire chargée de la solidarité depuis 2008, cette Marollaise depuis 24 ans, a par ailleurs obtenu l'investiture de l'UMP ».
  30. Christian Cambon, « Municipales : les candidats UMP élus dès le 1er tour : 9 UMP sortants ont été réélus dès le 1er tour dans le Val-de-Marne », sur christian-cambon.fr, (consulté le ).
  31. Marine Legrand, « Municipales dans le Val-de-Marne : un vent de dégagisme souffle sur le Plateau briard : Guille perd la mairie à Villecresnes, Gerinte est distancée à Marolles ; Perrault, Urlacher et Gendronneau passent la main à leurs poulains parfois avec difficulté. », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le candidat est arrivé largement en tête avec 46,28 % des voix, devant Martine Harbulot (DVD), l'élue d'opposition, avec 30,10 %, et la maire de Marolles en dernière position avec 23,61 % ».
  32. Marine Legrand, « Val-de-Marne : voici les cinq nouveaux maires du plateau briard : Mandres-les-Roses, Marolles-en-Brie, Périgny-sur-Yerres, Santeny et Villecresnes ont élu de nouveaux maires. Mais le plateau briard conserve son ancrage de centre droit. Portraits de ces élus aux parcours parfois étonnants », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le 28 juin, il devient maire, élu avec plus de 46 % des voix dans une triangulaire ».
  33. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Marolles-en-Brie, consultée le 14 novembre 2017
  34. « Cachan, 4e ville de Val-de-Marne à obtenir sa 4e fleur : Après Créteil, Maisons-Alfort et Rungis, Cachan vient d’obtenir sa 4e fleur dans le cadre du Concours national des villes et villages fleuris », 94 citoyens.com,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Parcours historique », Histoire et patrimoine, sur marollesenbrie.fr (consulté le ).
  39. Marie-Agnès Ferault, « Présentation de la commune de Marolles-en-Brie », Inventaire général du patrimoine culturel d'Ile-de-France (consulté le ).
  40. « Eglise paroissiale Saint-Julien-de-Brioude », notice no IA00028011, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Presbytère », notice no IA00028015, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Prieuré de bénédictins Saint-Julien-de-Brioude », notice no IA00028012, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Château du Prieuré », notice no PA00079891, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Château du Buisson (ancien) », notice no PA00079890, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « Château du Buisson », notice no IA00028014, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Ferme de Combault », notice no IA00028017, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. « Ferme de Veaurichard », notice no IA00028016, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. « Demeure la Belle Image », notice no IA00028013, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. « Monument aux morts », notice no IA00028018, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. « Puits », notice no IA00028020, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.